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Le cerveau des femmes est plus petit à cause des féministes

La seule explication des féministes concernant la moindre taille du cerveau féminin (10%), pour l’instant, est celle d’une Catherine Vidal qui argue de sa plasticité pour affirmer que son volume ne présume en rien de notre intelligence. Faut-il le rappeler, cette femme est « chercheuse » au CNRS, donc l’élite de la science subventionnée dans un pays où l’état décide de l’orientation de la grande majorité des recherches. 

Si notre cerveau est totalement plastique, si la taille du cerveau n’a aucune incidence sur notre intelligence, en poussant le raisonnement par l’absurde, pourquoi ne pourrions-nous pas nous en passer ?

En vérité, la taille du cerveau a non seulement une importance en terme d’intelligence, ce que le simple bon sens aurait pu apprendre à ces grosses têtes, mais en plus, il y a nécessairement une explication historique et scientifique à cela.

En adoptant un point de vue féministe plus traditionnel, nous pourrions aussi accuser les hommes d’avoir comprimé le cerveau des femmes, jusqu’à ce que ce dernier diminue en taille. Au premier abord, cela apparaît aussi absurde que l’hypothèse de sa totale plasticité. Pourtant, les féministes n’ont pas hésité par le passé à explorer ce genre de raisonnement en accusant les hommes d’avoir privé historiquement les femmes de viande, ce qui serait censé prouver la moindre taille des femmes.

Aussi délirantes soient-elles, il faut donc anticiper sur les argumentaires de la lutte des sexes afin d’éviter la contagion.

Alors , les hommes auraient-ils opprimé les femmes jusqu’à ce que leur cerveau diminue ? Par exemple en les privant d’instruction comme le souligne déjà nombre de mouvements féministes ?

Pour valider une telle hypothèse, il faudrait déjà prouver que l’abêtissement des femmes correspondrait à une chance de survie supérieure pour l’humanité. Or c’est bien l’inverse que nous constatons. Sur de très longues périodes, l’humanité évolue en développant ses capacités cérébrales, que ce soit pour les hommes ou pour les femmes. Les conditions de survie de l’espèce sont déterminées par notre capacité à nous en sortir intellectuellement et donc à développer nos capacités de raisonnement, et donc la taille de notre cerveau, chez les deux sexes. 

Le dernier argument féministe à étudier serait celui d’un maintien d’une taille de cerveau féminin légèrement inférieure à celle des hommes pour que ces derniers assurent une forme de domination. Mais ce serait ici renverser l’usage pratique de l’évolution. Les humains ont besoin de survivre avant de dominer. Pour être encore plus pragmatique, la taille du cerveau étant un élément déterminant de la survie, et la survie étant le régime majoritaire de toutes les populations à toutes les époques, aucune population ne pourrait se permettre une moindre taille de cerveau d’un des sexes sur l’autre, au risque de disparaître, s’il n’y avait pas là une nécessité pratique. 

En vérité, ce ne sont pas les femmes qui ont un cerveau inférieur aux hommes. Ce sont les hommes qui doivent être pourvus d’une capacité cérébrale supérieure aux femmes pour qu’hommes et femmes survivent. Penser par l’infériorité des femmes est un complexe féministe qui sert à exciter les rivalités, pas à progresser. Les hommes n’ont pas le choix. Ils doivent avoir un cerveau plus gros pour espérer s’en sortir dans une société qui les désavantage.

Si l’on y songe, les hommes sont très exposés dans la société, beaucoup plus que les femmes. Ils sont les premiers à finir à la rue, les premiers à être poussés au suicide, à être emprisonnés, engagés qu’ils sont dans une lutte sans merci entre eux pour conquérir le pouvoir ou tout simplement se perpétuer à travers le mariage grâce à leur emprise sociale.

Faut-il le rappeler, la polygamie a toujours laissé une majorité d’hommes sur le carreau, autorisant la perpétuation seulement pour les plus reconnus socialement, polygamie encore très présente dans notre société. Des hommes reconnus par les femmes se dégagent parmi tous les hommes. Ils sont récompensés en ayant accès aux femmes. Mais à quel prix ? Ce prix, ils le payeront en étant obligés de réfléchir plus, de se démener plus, de prendre plus de risque pour survivre, en mourant plus aussi. La conséquence de cette organisation sociale sera une plus grande taille de cerveau pour répondre à ce besoin de survie. Quant aux laissés pour compte, ils ne seront pas forcément tellement plus bêtes que les autres, mais ils auront payé le prix de ce système, la face émergée de cet iceberg actuel étant les incels

Pour bien asseoir ce raisonnement, remontons un peu dans le temps. Les humains sont surstimulés intellectuellement en période de survie. La taille du cerveau de l’homme de Néandertal est par exemple supérieure à la nôtre. Etrange alors que nous serions censés avoir toujours progressé.

Pour aborder ce problème, il faut d’abord imaginer combien les humains dans nos sociétés se la coulent douce. Ils vont travailler le matin, s’abrutissent dans un boulot qui est toujours le même, effectuent des tâches répétitives, et dernièrement, ils n’ont même plus besoin de mémoriser des informations qu’ils trouvent disponibles sur internet.

Ce nouveau monde social très spécialisé et numérique va jusqu’à nous mettre en face d’un défit étonnant : celui de notre régression intellectuelle totale. Car la mémoire est intimement liée à l’intelligence, les deux sont difficilement séparables comme le prouvent là aussi toutes les études pédagogiques sérieuses. Et dans notre monde, si nous sommes très stimulés par des informations, il ne nous est plus nécessaire de faire des efforts de mémoire, ni d’inventivité. L’internet, et l’ingénierie sociale nous mettent à l’abris de nombreux questionnements favorisant ainsi le laisser aller. Le niveau de nos apprentissages a certes évolué, mais cela ne dit rien sur les capacités intellectuelles que nous mobilisons. Pour prendre un premier exemple, beaucoup de Français savent résoudre une équation mais parce qu’il leur a été appris un automatisme, qui de surcroît, ne leur demande pas beaucoup d’itérations logiques une fois qu’il a été intégré, voire pas du tout. Un autre exemple pris dans le milieu médical peut vous faire comprendre comment le niveau de la science a progressé alors que l’exercice de la médecine a reculé. Lors de la formation d’un médecin, il lui est demandé de mobiliser une activité mémorielle importante. Par la suite, il doit appliquer des protocoles, son cerveau revenant à l’état d’un pois chiche au fur et à mesure des années, s’il ne se secoue pas.  

Si la taille du cerveau a tendance à augmenter sur des millions d’années, il faut donc s’intéresser de plus près à ces périodes de régression, les mécanismes qui sont les leurs, pour en déduire quelle est la réalité de nos sociétés. Ainsi, l’introduction de l’homme dit moderne en provenance d’Afrique, Cromagnon, n’a pas été pour les Européens un gage de développement intellectuel. La taille de nos populations a certes explosé, nous avons acquis des compétences sociales, mais au prix d’une diminution de nos performances individuelles. 

L’héritage de Néandertal est d’ailleurs probablement, celui de cet individualisme qui a rendu si riche nos sociétés, tandis que Cromagnon nous a permis de nous perpétuer. D’où les débats politiques qui animent encore nos sociétés actuelles entre acceptation de l’immigration et survie/progrès/richesse. Ce débat se prolonge depuis des millénaires et croire que « nous faisons face à de nouveaux défis » comme aiment à le dire les politiques, est ridicule au possible. 

Si Néandertal était plus intelligent que nous, c’est parce qu’il avait besoin de mémoriser de nombreuses techniques. Face à son isolement (une population de 70 000 individus dans toute l’Europe de l’Ouest), chaque personne portait le patrimoine d’une humanité qui cherchait par tous les moyens à survivre. Néandertal devait donc retenir toutes les techniques possibles et imaginables, tous les mythes qui lui permettaient de nourrir son imaginaire et de s’élever vers Dieu. Un seul individu était probablement plus intéressant qu’aucun ne l’est actuellement dans nos sociétés. Voilà pourquoi son cerveau était plus grand que celui de Cromagnon, avant qu’un autre de ces réchauffements climatiques ne favorise l’arrivée de populations plus sociables, et que la taille moyenne de nos cerveaux ne finisse par diminuer, la mixité engendrant une baisse générale de niveau pour les populations autochtones.

En passant par ce petit détour, revenons à notre débat sur les hommes et les femmes. La survie définit donc la taille de nos cerveaux, les techniques aussi, les deux étant intimement liées. Les femmes ont un plus petit cerveau car les conditions de survie sont moins difficiles pour elles, ce que là encore, toute l’histoire de l’humanité tend à prouver (les femmes et les enfants d’abord en cas de naufrage, moindre exposition des femmes aux risque de la chasse, protection des femmes durant la maternité etc…).

Au passage, il est à noter que toutes les hypothèses de travail féministes sont délirantes, car basées sur une oppression de la femme, alors que celles-ci ont toujours été particulièrement protégées car d’elles, dépendaient la perpétuation de l’espèce. 

Dès lors, il faut prendre la revendication féministe pour ce qu’elle est : non pas une émancipation, mais une demande de protection supérieure des femmes par rapport aux hommes. En effet, pratiquement, l’action politique de ces femmes permet une appropriation des revenus dégagés par les hommes sans y avoir contribué par l’exercice de métiers rentables. Les allocations aux mères, APL, subventions, logements sociaux, métiers de fonctionnaires, détournent une partie de la richesse nationale, essentiellement au profit des femmes, et au mieux des femmes en couple.

Toutes les revendications féministes peuvent donc être comprises comme une obligation faite aux hommes d’être toujours plus rentables, toujours plus galants, ceci afin qu’ils acceptent de redistribuer leurs revenus à ces dames, quand bien même aujourd’hui, cet argent n’irait même plus à leur femme, mais à l’ensemble du corps féminin, corps social féminin qui pourrait ainsi spolier légalement l’ensemble du corps masculin sans contrepartie directe.

Et c’est ici que le bât blesse sur plusieurs points, même pour les femmes. Cet effort qui est demandé aux hommes sert aujourd’hui à les culpabiliser. Un comble, sachant qu’ils en sont les premières victimes. Mais plus encore, pour protéger les femmes, les féministes participent à la diminution de la taille du cerveau des femmes en perpétuant une rente de situation que les femmes ne méritent pas. Cette revendication politique permet aux femmes de fournir moins d’efforts pour survivre, moins d’exercice de leur responsabilité individuelle  (ce que les féministes appellent aujourd’hui avec malignité « égalité » tandis qu’elles sont déjà largement favorisées). Du coup, elles participent à diminuer la taille du cerveau des femmes plus que cela ne devrait l’être. 

Dans ce rapport de force, la maternité surdétermine la question sociale. Sans enfants, une société ne peut se perpétuer. La maternité est donc le pouvoir de contrainte sous-jacent et éminent exercé par les femmes sur les hommes. Cependant, cette maternité est aussi l’élément qui donne des limites aux femmes et les empêchent d’être aussi intelligentes d’un point de vue logique, et rentables qu’un homme. D’où les revendications pour que les pères deviennent de secondes mères, d’ouverture de crèches, de garde d’enfants etc… toujours payées par l’ensemble du groupe… 

Cependant, parce que nous n’obtiendrons jamais une situation identique à partir de nécessités différentes, le mouvement de revendication des femmes pour exercer les mêmes fonctions que les hommes ne peut déboucher que sur une stérilisation de notre société et un effondrement de l’économie, tout au moins une forme de régression généralisée car l’ordre naturel n’est plus pris en compte.  Soit la protection des femmes est assumée, et les hommes en sont récompensés au moins symboliquement. Soit le servage est total, car il permet une exploitation des hommes sans que pour autant les femmes ne fassent progresser la société plus qu’ils ne pourraient le faire par eux-mêmes.

Conséquemment, cette revendication féministe qui tend à soulager les femmes de leurs contraintes naturelles, finit par les abêtir, comme je l’ai déjà évoqué. Ne pouvant jamais devenir des hommes, les femmes toutes puissantes ne s’épanouissent pas en tant que femmes. D’ailleurs, aujourd’hui nous voyons nombre d’entre elles courir entre leur métier et leur enfant, ne pouvant s’impliquer ni dans leur travail de mère, ni de salariée, ni femmes, ni actives, bêtes dans leur maternité, inutiles dans des métiers où leurs capacités ne sont pas valorisables, tandis que, dans le même temps, les féministes luttent contre les temps partiels.

Autant dire que malgré la forte aspiration des femmes à avoir des enfants, malgré les conditions économiques très florissantes, malgré le niveau d’instruction des femmes qui est supérieur à celui des hommes dans notre société, nous finissons par être remplacés par des populations étrangères plus fécondes qui font simplement oeuvre de bon sens parce que la guerre entre hommes et femmes dans notre civilisation, guerre initiée par le féminisme de toujours, s’applique à profiter d’une situation de manière égoïste jusqu’à rupture des hommes. 

La mort féministe s’immisce dans la nécessité que nous avons de protéger particulièrement les femmes. Cette obligation contraindra toujours les cerveaux masculins à prendre plus de risques, à faire plus d’efforts et à élever le niveau général de l’humanité en termes de logique et de techniques. Nous ne pouvons renoncer à la protection des femmes sans nous détruire en tant que civilisation. Et nous ne pouvons imposer un servage des hommes sans entraîner la mort des femmes, autant intellectuelle que physique. Concernant notre interdépendance, l’humanité suivra toujours les progrès des hommes, dont les femmes bénéficieront naturellement, que ce soit par la génétique ou par la culture ambiante. Castrer les hommes n’amènera qu’à une régression du niveau général, dont celui des femmes.

Ce mécanisme est à ce point vrai, que nous avons les plus grandes difficultés à nous accommoder entre hommes et femmes quand nous avons des niveaux intellectuels différents, quand nous sommes issus de catégories sociales trop distantes, sans parler du taux de divorce monumental dans les mariages mixtes.

Les progrès intellectuels menés par les hommes débouchent sur une augmentation du niveau intellectuel des femmes qui savent se les réapproprier et les reproduire. Les progrès relationnels menés par les femmes permettent aux hommes de vivre dans une société où l’entraide autorise la perpétuation. Enfin, dégager du temps pour les femmes, c’est leur permettre de pouvoir se réapproprier pleinement ce savoir et d’investir dans leur culture, et ainsi de progresser intellectuellement. Le parasitage de la culture masculine, sans gratitude, et conçu comme un servage des hommes, est un excès de pouvoir à visée totalitaire. Il brouille le bon développement féminin, et l’initiative masculine.

Soulager les femmes de leurs obligations naturelles pour les obliger à effectuer des tâches pour lesquelles elles seront toujours handicapées par rapport aux hommes, c’est en faire des sous-êtres, à jamais inférieures à un fantasme masculin qu’elles n’arriveront jamais à se réapproprier, sauf dans la stérilité, et encore.

Voir le développement des hommes et des femmes de manière harmonieuse c’est jouer à un jeu gagnant-gagnant, où chacun cultive ses propres prérogatives pour le bien commun, hommes et femmes étant inextinguiblement liés dans la survie.

Faire régresser le niveau des hommes, c’est faire régresser le niveau des femmes, et empêcher toute reproduction car nous ne sommes pas opposés, mais forcément complémentaires, dans notre corps, dans notre psyché, dans nos intérêts, dans notre intellec et dans notre affect, obligés que nous sommes à dialoguer dans nos vécus pour nous reproduire.

Car nous ne pouvons nous perpétuer sans respecter et retravailler une image de la femme qui nous a été transmise en tant qu’hommes, tout comme les femmes le font avec l’image d’homme dont elles ont hérité. 

La taille du cerveau des femmes progresse parce que le rôle des hommes est sur ce point de tirer l’humanité vers le haut, non pas de nous asseoir simplement sur un confort social qui abêtit et asservit, confort et relations sociales dont les femmes sont très friandes, tous comme elles favorisent l’immigration quand elles pensent pouvoir bénéficier de la concurrence entre autochtones et étrangers.

En tant qu’homme, j’ai forcément de la gratitude pour toutes ces mères qui nous ont engendrés. Mais les femmes ne s’engendrent pas d’elles-mêmes. Elles n’ont pas ce pouvoir là sauf à redevenir de petits animaux sans cervelle. Ainsi les hommes libres et intelligents engendrent des générations de femmes toujours plus intelligentes. Aujourd’hui, il est à se poser la question de savoir où sont ces femmes affectueuses qui engendrent des hommes intelligents. Je crois qu’il faut les chercher dans les populations immigrées qui malheureusement ont tout à découvrir des problèmes que nous sommes en train d’affronter. D’où le mouvement de régression général. 

Léonidas Durandal

Antiféministe français, j'étudie les rapports hommes femmes à travers l'actualité et l'histoire de notre civilisation.

View Comments

  • "Pourquoi les hommes sont plus violents que les femmes", Le Point du 10/12/2018.

    Eh oh Le Point, il y a des penseurs aussi en France, ici-même, et qui vont bien plus loin !

    Il faudrait rajouter plusieurs précisions à l'article : la violence directe est le fait des hommes. Mais l'assassinat concerne aussi les femmes, peut-être principalement les femmes, quand il s'agit de tuer de manière indirecte : envoyer un homme se battre à sa place, ou encore tuer son enfant par avortement, empoisonneuse etc... Il y a tout de même une sacré naïveté des chercheurs actuels.

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Léonidas Durandal

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