Dans l’imaginaire féministe, le client de prostituée est synonyme d’affreuse domination patriarcale. La réalité est tout autre, peut-être même à l’inverse de ce qui s’en dit : le client de prostituée est plutôt un homme faible exploité dans ses pulsions par des femmes avides et sûres d’elles. Démonstration dans cette vidéo :
La prostitution est honnie non parce qu’elle révèle la domination patriarcale, mais au contraire, parce qu’elle révèle la faiblesse inhérente des hommes quant à leur sexualité. Toute la société veut éviter de voir que l’homme est exploité, qu’il est faible et manipulable à souhait à cause de sa sexualité. Car si l’homme prenait conscience de sa faiblesse, il prendrait conscience de son oppression. Et s’il prenait conscience de son oppression, il pourrait vouloir révolutionner la société à son avantage. Telle est la raison pour laquelle les femmes limitent leur solidarité féminine aux prostituées. Cette catégorie de femme est peut-être la seule que les femmes, dans leur majorité, n’acceptent pas de protéger parce que ces travailleuses du sexe révèlent la faiblesse inhérente des hommes, et que cette révélation pointerait du doigt la force des femmes socialement installées, ce qui les forcerait à terme, à se responsabiliser dans la conduite des affaires familiales. Les femmes tous comme les hommes tous comme tous les êtres humains, sont partisans, au premier abord, du moindre effort.
Contenir la prostitution.
Pour éviter d’attaquer les prostituées de front, les féministes qui relaient les demandes des femmes en la matière, font mine de s’attaquer aux clients, mais elles visent indirectement leurs soeurs qui remettent en cause, de bien des manières, leur statut social de compagne, de mère, de femme. En effet, si l’homme peut aisément être comblé par une femme qu’il paye, quelle est l’utilité pour lui de nourrir une famille, de faire des efforts pour une compagne et d’éducation des enfants ? Mais plus encore. Si cet homme satisfait à tout ce que la société demande de lui en devenant un bon mari, un bon père de famille, et qu’il ne peut être satisfait, lui, dans ses besoins les plus primaires avec une femme qu’il est sensé « posséder » gratuitement, il faudra en arriver à la conclusion que cet homme n’est qu’une bête de somme qui travaille sans aucune contrepartie, le summum de l’exploitation étant atteint quand les féministes demandent à ce que le devoir conjugal soit assimilé légalement à un viol. En vérité, ces femmes qui ne savent plus gérer cette notion de devoir conjugal au sein de leur couple, et qui frustrent leur compagnon au-delà de toute mesure, sont pires que des prostituées. Elles abusent de leur compagnon sans aucune contrepartie. Voilà ce que l’existence de la prostitution révèle et ce que beaucoup de féministes voudraient cacher. Ce n’est pas un hasard, si la Suède, pays féminisé par excellence, a été la première a vouloir casser le thermomètre de la prostitution en obligeant les clients de son territoire à aller dans des bateaux au large des côtes.
La prostitution, un message social.
Certaines féministes veulent cacher la misère masculine en combattant la prostitution, d’autres en la tolérant, comme un moindre mal :
(Si vous n’arrivez pas à lire la vidéo, essayez sur rutube ici)
Mais toutes n’ont qu’un seul but : canaliser cette faiblesse à leur propre profit.
Bien entendu, je n’invite pas les clients de prostituées à continuer, mais plutôt à se révolter dans leur famille et dans la société. Vous devez trouver le moyen d’être respectés en tant qu’êtres humains sans avoir à vous rabaisser ou à rabaisser une autre personne. Accepter la prostitution, c’est continuer à accepter sa domination, sous une autre forme que familiale, même si cette forme semble plus respectueuse de votre nature masculine. La prostitution c’est aussi de la branlette qui vous empêche d’utiliser votre énergie pour le combat. Utilisez cette énergie pour vous révolter face à votre entourage, pas pour vous enfuir.
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