En 1987 Marshall Kirk et Erastes Pill, chercheurs à la prestigieuse université d’Harvard publient un document sur la stratégie et la tactique à suivre pour normaliser l’homosexualité. Ce document « The overhauling of straight America », je vous en propose la traduction avec des réflexions personnelles notées ndt pour note du traducteur. A vous de juger de la probité de la démarche qui a été utilisée par le réseau LGBT pour subvertir l’Américain moyen.
« L’évolution » de l’Amérique hétérosexuelle
La première étape de ce travail consiste à désensibiliser le public américain concernant les droits des gays et du gay en particulier. Désensibiliser le public c’est l’aider à percevoir l’homosexualité avec indifférence ou avec toute absence d’émotivité. Idéalement, nous devrions considérer les différences de préférence sexuelle sur le même registre que des différences de goût comme pour la crème glacée ou le sport : elle aime la cerise, j’aime la vanille ; il suit le base-ball et je suis le football. Pas de problème.
Au début, nous viserons seulement la désensibilisation des gens et rien de plus. Nous n’avons pas besoin et nous ne devons pas attendre une pleine « compréhension » ou « approbation » de l’homosexualité de la part de l’Américain moyen. Oubliez de vouloir persuader les masses que l’homosexualité est une bonne chose. Si vous les amenez à penser que c’est « juste quelque chose d’autre », avec un haussement d’épaule, alors votre bataille pour les droits sociaux et légaux sera gagnée. Et pour en arriver à l’étape « haussement d’épaules », les gays comme classe sociale doivent cesser d’apparaître comme mystérieux, étrangers, détestables, et contrariants. Une grande campagne de communication sera nécessaire pour changer l’image des gays aux USA. Et pour accomplir ce retournement, chaque campagne devrait faire 6 choses.
1 Parlez du sujet gay et de l’homosexualité aussi fort et aussi souvent que possible.
Le principe qui appuie ce concept est simple : n’importe quel comportement est perçu normalement si vous y êtes exposé d’assez près et en particulier de par vos fréquentations. L’acceptation d’un nouveau comportement est basé sur le nombre de vos proches qui l’acceptent ou qui le pratique. Certains peuvent être choqués par sa nouveauté au début– plusieurs l’ont été dans le passé par le « streaking » (ndt : courir nu dans un événement sportif), manger du poisson rouge, ou le sexe avant le mariage. Pourtant, au fur et à mesure que le quidam sent qu’il est invité régulièrement à penser de manière identique à ceux qui l’acceptent, et tant que ce nouveau comportement ne présente qu’une petite menace pour sa sécurité financière et physique, le voilà qui s’y habitue bien vite, et la vie continue. Le sceptique peut continuer à secouer la tête et penser « Les gens sont fous en ce moment », progressivement ses objections deviennent plus réfléchies, plus philosophiques, moins émotionnelles. (ndt : les auteurs adoptent un point de vue scientifique comportementaliste qui exclut toute forme de réflexion).
La manière de paralyser l’émotivité à propos de l’homosexualité est d’avoir un grand nombre de personnes discutant de ce sujet de manière neutre ou positive. La discussion ouverte et franche rend le sujet moins furtif, étrange, et coupable, plus honnête. Des discussions constantes donnent l’impression que l’opinion publique est au moins, partagée sur le sujet, et qu’une bonne partie accepte ou pratique l’homosexualité. Même les débats houleux entre opposants et défenseurs servent le camp de la désensibilisation tant que des gays « respectables » sont mis en avant et font face pour atteindre leur but. La chose principale est de discuter d’homosexualité jusqu’à ce que cela devienne profondément fatigant.
Et quand nous disons de parler d’homosexualité, nous ne voulons pas dire beaucoup plus. Dans les premières étapes de n’importe quelle campagne de communication pour atteindre l’Amérique hétérosexuelle, les masses ne doivent pas être choquées et rebutées par une exposition prématurée au comportement homosexuel lui-même. Au lieu de cela, l’imagerie autour du sexe doit être minimisée et la question des droits gays doivent être réduit à une question sociale abstraite autant que possible. Le chameau pointe son nez à l’entrée de la tente avant d’y introduire son gros derrière ! (ndt : le terme « gay » est indifféremment employé par les auteurs avec celui « d’homosexualité » à une époque où les revendications des communautés homosexuelles féminines sont jugées marginales et où par contre, la communauté gay dans son ensemble s’est solidarisée autour des contaminations dues au SIDA)
L’important est de savoir où nous parlons. Les médias visuels, films de cinéma et télévision, sont simplement les vecteurs d’images les plus puissants en Occident. Un ménage moyen américain regarde plus de 7 heures la télévision par jour. Ce temps passé ouvre une porte dans l’intimité hétérosexuelle, à travers laquelle un cheval de Troie peut passer. La désensibilisation est le but, le moyen est le message sur la normalité. Jusqu’ici, l’Hollywood gay nous a fourni nos meilleures armes cachées dans la bataille de désensibilisation de l’opinion publique. Petit à petit depuis 10 ans, les personnages et thèmes gays ont été introduits dans les programmes de télévision et dans les films (même si cela a été souvent fait au travers de comédies et de comportements ridicules)
Est-ce qu’une campagne ouverte et maintenue de désensibilisation à la cause gay atteindra tous les opposants enragés de l’homosexualité ? Bien sûr que non. Tandis que l’opinion publique est une des principales composantes de la fabrication de valeurs majoritaires, l’autorité religieuse en est une autre. Quand les églises conservatrices condamnent les homosexuels (ndt : il y a plusieurs positions des Eglises dites « conservatrices ». Ici, l’auteur fait des amalgames), il y a seulement deux choses que nous pouvons faire pour confondre l’homophobie des vrais croyants. Premièrement, nous pouvons user de discours pour les embourber dans les eaux de la moralité. Cela signifie de supporter des gays appartenant à des églises plus modérées, de soulever des objections théologiques à propos des interprétations conservatives des enseignements religieux,
et de mettre à jour leur haine et leur inconsistance. Deuxièmement, nous pouvons miner l’autorité morale des églises homophobes en les dépeignant sous les traits d’antiques rétrogrades, en dehors de leur époque et hermétiques aux découvertes récentes en psychologie (ndt : c’est jouer sur l’inculture des gens, puisque la psychologie juge négativement la pratique homosexuelle depuis toujours). A la force d’attraction de la religion institutionnelle, il faut opposer la puissance imagée de la science et de l’opinion publique (le bouclier et l’épée de ce sacré « humanisme laïc »).
2 Décrire les gays comme des victimes, non pas comme des adversaires agressifs.
Dans toute campagne pour conquérir le public, les gays doivent être présentés comme des victimes en besoin de protection de telle manière que les hétérosexuels soient enclins par réflexe à endosser le rôle de protecteur. Si au lieu de cela les gays sont présentés comme une communauté forte et une tribu fière promouvant de manière rigide un style de vie anticonformiste et déviant, ils seront plus susceptibles d’être perçus comme une menace publique qui justifiera la résistance et l’oppression. Pour cette raison, nous devons écarter de nous la tentation d’affirmer notre « fierté gay » publiquement quand celle-ci entre en conflit avec l’image de la victime gay. Et nous devons marcher sur la voie étroite qui impressionnera les hétérosexuels par notre grand nombre d’un côté, mais qui ne provoquera pas leur paranoïa hostile du style « Ils sont partout », d’un autre côté.
Une campagne médiatique pour promouvoir l’image de la victime gay (ndt : voir la fausse agression homophobe de Wilfried de Bruinj mise en avant durant le « débat » sur les unions de duos) devrait user de symboles qui amoindrirait la sensation de menace pour l’opinion publique majoritaire, qui lui ferait baisser la garde, et qui rendrait plus plausible la victimisation. En des termes pratiques, cela signifie que l’homme musclé désinvolte à moustaches devrait être mis en second plan dans les communications gays et autres apparitions publiques, tandis que des images compatissantes de jeunes gens, personnes âgées, et femmes attractives devraient être mises en avant (inutile de dire que des groupes les plus éloignés de la notion d’acceptabilité comme NAMBLA (nde : l’association nord américaine pour l’amour homme-garçon, donc pédophile) ne devront absolument pas prendre part à ce genre de campagne : la suspicion de maltraitance sur enfants ne vous fera jamais voir comme victimes).
Maintenant, il y a deux manières fructueuses de faire passer le message sur la victime gay. Premièrement, l’opinion publique majoritaire devrait en arriver à penser que les gays sont victimes de la fatalité, en ce sens que la plupart n’ont pas eu le choix d’accepter ou de refuser leurs préférences sexuelles. Le discours qui doit être tenu : « Aussi longtemps qu’ils s’en rappellent, ils sont nés homosexuels, comme vous êtes né hétérosexuel ou blanc ou noir ou brillant ou sportif. Personne ne les a pervertis ou séduits ; ils n’ont jamais choisi, et ne peuvent être tenus moralement responsables. Ce qu’ils font n’est pas contre-nature, c’est naturel pour eux. Ce coup du sort aurait pu aisément vous arriver ! »
Les téléspectateurs hétérosexuels devraient pouvoir s’identifier aux homosexuels comme de victimes. M et Mme Toutlemonde ne devraient pas se donner d’excuses de dire « ils ne sont pas comme nous ».
En tout état de cause, nous avons bien conscience de la question technique soulevée par de nombreux gays, à savoir que cette façon de concevoir l’homosexualité pourrait apparaître comme une affreuse maladie qui pourrait détruire notre statut de victimes de la fatalité. Mais en vérité, la communauté gay est faible et doit agir sur les leviers de pouvoir des faibles, dont le jeu sur la compassion. Dans tous les cas, nous compenserons l’aspect négatif de ce trait de la victime gay au principe 4 (voir en dessous)
La deuxième manière de faire passer le message serait de décrire les gays comme victimes de la société. La majorité hétérosexuelle ne reconnaît pas la souffrance que cela provoque dans les vies des gays et cela doit être montré : des images graphiques de gays violentés ; dramatisation de l’insécurité dans le travail et l’intimité, perte de garde d’enfant, et humiliation publique : et la liste est ouverte.
« … Dans toute campagne pour conquérir le public, les gays doivent être présentés comme des victimes en besoin de protection de telle manière que les hétérosexuels soient enclins par réflexe à endosser le rôle de protecteur. »
3 Donner aux protecteurs une juste cause à défendre.
Une campagne médiatique qui met en scène des gays comme des victimes de la société et encourage les hétérosexuels à être leurs protecteurs doit rendre plus aisé les réponses et les explications de leurs nouveaux protecteurs. Peu de femmes hétérosexuelles et moins encore d’hommes, voudront défendre courageusement l’homosexualité en tant que tel. La plupart préféreront relier leur nouveau réflexe de protection à quelque principe de justice ou de loi, à quelque désir général de cohérence et de traitement juste de la part de la société.
Nos campagnes ne devraient jamais demander de supporter directement les pratiques homosexuelles, mais devraient avoir pour thème la lutte contre la discrimination. La liberté de parole, de croyances, d’association, une procédure équitable et une protection égale aux yeux de la loi, devraient être les préoccupations que nous devrions garder à l’esprit dans nos campagnes de communication.
Il est particulièrement important pour le mouvement gay, afin d’atteindre son but, d’accepter les standards de la loi et de la justice parce que les hétérosexuels qui le supporteront devront avoir en main des arguments convaincants face aux réponses morales de ses ennemis. Les homophobes habillent leur répulsion émotionnelle dans les robes intimidantes du dogme religieux, donc les défendeurs des droits des gays doivent être prêts à contrer le dogme par des principes (ndt : caricature de l’opposition).
4 Faire que les gays aient l’air bien.
Pour réussir à rendre la victime gay compatissante pour les hétérosexuels, vous devez la caricaturer comme monsieur Tout le monde.
Le rôle prééminent d’hommes ou de femmes gays ou bisexuels saute réellement aux yeux. De Socrates (ndt : Socrates était marié. L’auteur veut certainement parler de Platon qui appréciait les très jeunes hommes…) à Shakespeare (ndt : Shakespeare était marié, avait trois enfants et seule la communauté homosexuelle prétend encore qu’il était bisexuel en jouant sur des interprétations anachroniques et tendancieuses de quelques uns de ses vers) , d’Alexandre le Grand (ndt : rien ne prouve qu’Alexandre le Grand était au mieux bisexuel. Seules des interprétations, là encore anachroniques, et faisant références aux moeurs grecques de l’époque pourraient le suggérer, sans aucun fondement factuel) à Alexandre Hamilton, de Michel Ange à Walt Whitman, de Sapho à Gertrude Stein, la liste est évidente pour nous mais choquante pour l’hétérosexuel américain (ndt : à l’évidence, l’ensemble des références données sonnent en forme manipulation). En peu de temps, une campagne médiatique intelligente et efficiente pourrait donner à la communauté gay l’image d’une véritable déesse mère féerique de la civilisation occidentale.
En suivant la même ligne, nous ne devrions pas oublier de chercher le soutien de célébrités. Les célébrités peuvent être hétérosexuelles (Dieu vous bénisse Ed Asner, où que vous soyez) ou gay.
5 Donner un sale air aux persécuteurs.
A l’étape suivante d’une campagne pour les droits des gays bien après que les slogans soient devenus communs, ce sera le moment de s’attaquer durement à nos opposants. Pour être affectés, ils doivent être ostracisés. (cela sera nécessaire plus que tout, car à ce stade, l’ennemi poussé dans ses retranchements quadruplera ses attaques au vitriol et de désinformation (ndt : les auteurs sont en train d’accuser les autres de ce qu’ils sont en train de faire). Ici, notre but est double. Premièrement nous remplaçons l’opinion majoritaire fière de son homophobie par la honte et la culpabilité. Deuxièmement, nous ferons que les antigays aient l’air si haineux que les Américains moyens voudront se dissocier eux-mêmes de ce genre de types.
Une campagne pour diffamer les persécuteurs devrait rendre fou la plupart de nos fervents ennemis, bien entendu. Mais que pouvons-nous faire d’autre ? Celui qui se sent morveux se mouche, et nous devrions le leur faire éprouver, sous le regard de l’Amérique.
6 Solliciter des fonds : la responsabilité commence ici.
N’importe quelle campagne médiatique de cette sorte requiert des dépenses sans précédent sur plusieurs mois voire plusieurs années, une levée de fonds sans précédent.
Une campagne de publicité effective est une proposition coûteuse : plusieurs millions de dollars devraient faire tourner la machine. Il y a 10-15 millions d’homosexuels adultes dans ce pays : si chacun d’eux donne simplement deux dollars pour le financement de cette campagne, leur trésor de guerre amassé devrait pouvoir concurrencer la plupart de leurs ennemis les plus médiatiques. Et puisque ces gays n’ont pas normalement de charge de famille, ils ont plus de revenus discrétionnaires que la moyenne, ils seront donc susceptibles de contribuer d’autant plus.
« … nous ferons que les antigays aient l’air si haineux que les Américains moyens voudront se dissocier eux-mêmes de ce genre de types. «
Mais l’accepteront-ils ? Ou bien est-ce que la communauté gay est aussi irresponsable, égoïste, non engagé et myope que ses critiques le proclament ? Nous ne le saurons jamais avant qu’une nouvelle campagne médiatique ait été lancée à un niveau national et par un appel concerté au don supporté tout autant par des bienfaiteurs connus qu’anonymes. L’appel devrait être lancé aussi bien aux gays qu’aux hétérosexuels qui ont à coeur les questions de justice sociale.
Au début, pour des raisons qui vont être expliquées par la suite, l’appel aux fonds devrait être lancé exclusivement dans la presse gay, magazines nationaux, journaux locaux, affichettes dans les bars, parution dans les photos magazines. Les fonds pourraient aussi provenir d’organisation gays locales de terrain sur les campus ou dans les aires citadines. Eventuellement, des donations pourraient être sollicitées directement dans des publicités dans les gros médias hétérosexuels.
Il n’y aura rien eu de semblable dans l’histoire de la communauté gay aux USA. Si ces mesures échouaient à générer un capital de départ, il y aurait peu d’espoir d’aboutir à une campagne médiatique et peu d’espoir de progrès des droits des gays dans un futur proche. Pour l’instant laissons-nous aller à penser que les gays comprendront combien les donations pourraient servir promptement leurs intérêts à long terme, et qu’un montant suffisant devrait être atteint. Faisons cette supposition courageuse.
Prendre l’antenne, ou, échouer.
Sans accès à la télévision, à la radio, à la presse majoritaire, il n’y aura pas de campagne médiatique. C’est un problème délicat –beaucoup de patrons de presse refusant simplement d’accepter dans leurs colonnes ce qu’ils appellent une « cause publicitaire »– une publicité convaincante peut provoquer un déchaînement de ressenti de la part du public et des sponsors, qui est mauvais pour les affaires. La justice a d’ailleurs confirmé le droit du diffuseur à refuser les « causes publicitaires » qui ne lui plairaient pas.
Qu’est-ce que constitue exactement une « cause publicitaire » ? Cela ne concerne évidemment pas les appels creux à l’unité familiale et ses vertus (respect aux Mormons) pas plus que cela ne concerne les tirades contre la perfide Albion (respect à Lyndon La Rouche) ; pas plus que cela ne concerne les rappels à la mémoire parce que « le souvenir qui se perd est quelque chose de terrible » (respect à la fondation Université Nègre Unie) ; pas plus que cela ne concerne les shows religieux qui condamnent le péché gay ; pas plus que cela ne concerne la dénonciation de la guerre nucléaire ou de la discrimination raciale— du moins pas au Massachusetts. On donne leur chance à certains.
Parce que la plupart des communications directes sont impossibles, la NGTF (ndt : quelque chose comme le « groupe de pression national gay » ou le « réseau gay », cela correspond à LGBT en France) doit cultiver des rapports discrets avec les sales de rédactions et les émissions médiatiques afin de s’assurer que des causes importantes pour la communauté gay reçoivent une couverture ; mais une telle pratique n’est pas idéale, bien entendu, car cela signifie que l’image de la communauté gay est contrôlée par les dernières informations événementielles au lieu de l’être par une stratégie prudente– et récemment la plupart des nouvelles qui ont concerné les gays ont été négatives (ndt : à l’époque, l’auteur fait référence aux contaminations du SIDA qui se sont propagées en occident principalement à cause de certaines pratiques sexuelles…).
Donc que faire pour casser la barrière d’accès aux principaux médias ? Plusieurs choses, en plusieurs étapes.
Commencer à petit pas.
Journaux et magazines pourraient très bien être plus appétants en termes de recettes publicitaires pour les gays que la radio ou la télévision.
Et le coût de ces annonces sur papier est généralement inférieur. Mais souvenez-vous que la presse, dans la plupart des cas, est uniquement lue par les Américains les mieux éduqués, de ceux en tous cas qui sont le plus susceptibles d’accepter l’homosexualité. Donc pour que nos recettes aient plus d’impact, nous devrions écarter de notre liste la Nouvelle République et la revue de la nouvelle gauche, et nous concentrer sur le Time, People et le National Enquirer. ( bien entendu, la communauté gay devra s’imposer d’elle-même comme un contributeur publicitaire régulier dans des tribunes averties avant que ce ne soit accepté dans la presse de masse)
Tandis que nous sommes en train de mener la bataille avec des salves d’encre, nous devrions aussi alerter l’opinion publique majoritaire avec une campagne nationale subtile d’affichage le long des autoroutes. Avec de simples caractères gras imprimés sur fond noir, une série de messages subliminaux devraient être proposés :
EN RUSSIE, ILS VOUS DISENT
CE QUE VOUS DEVEZ ETRE. AUX USA
NOUS AVONS LA LIBERTE
D’ETRE NOUS-MEMES…
ET DE DEVENIR MEILLEURS.
ou
ENTRAIDE PLUTOT
QUE HAINE
C’EST TOUT LES USA.
Et ainsi de suite. Chaque message devra toucher le sentiment patriotique, chaque message instillera une affirmation agréable identifiable dans la tête de la majorité- un « message de service public » faisant suite à nos objectifs. Et, si les propriétaires le permettent, chaque affiche sera signée en petites lettres, « de la part du groupe de travail national gay »- et ceci afin de construire des associations positives et d’obtenir que les gens s’habituent à voir de tels partenariats.
Etape visuelle 1 : être dans l’image.
Pour la télévision et la radio, un plan plus élaboré devrait être nécessaire pour casser la glace. Pour les débutants, naturellement, nous devons continuer à encourager l’apparence de personnage gay positifs dans les films et les émissions à grand spectacle. De nos jours, les débats télévisés constituent une avenue pour gagner en audience. Mais pour accélérer les choses, nous devrions mettre en place un stratagème audacieux pour obtenir l’attention des médias.
Le plan que nous avons en tête demande une attention soutenue, qui nous économisera bien des dépenses tout en augmentant notre visibilité et l’envergure soudaine du mouvement gay.
Bien avant les prochaines élections législatives, nous devrions planifier la mise en œuvre de candidatures gays symboliques dans tous les principaux bureaux de vote de ce pays (un tel plan doit être mis en place en considérant l’épineuse question d’obtenir assez de signatures gays et hétéros pour avoir une chance de se présenter). Nos 50-250 candidats participeront à tous les débats qu’ils pourront, introduisant des thèmes de campagne gays en coordination avec notre quartier général, tout en demandant un temps de parole égal. Ils pourraient alors se retirer gracieusement avant les élections en faveur des candidats hétérosexuels les plus viables (avec malice, peut-être pourrions nous soutenir dans quelques états certains de nos plus fervents opposants). Il est important de ne pas demander aux gens de voter Ouiiiii ou Nonnnn à la cause gay durant cette étape préliminaire : une telle position favoriserait plutôt la position du non et provoquerait des défaites spectaculaires en nombre et visibles.
Durant une telle campagne politique, la majorité de pensée devrait surmonter son premier choc de voir des annonces gays, et le niveau d’acceptation de tels annonces sera renforcé par leur aspect le plus crédible possible ; et tout cela sera mis en œuvre avant que les campagnes de publicités non électorales soient essayées par la communauté gay. La campagne devrait provoquer du remue-ménage, mais si nous nous comportons courageusement et de manière respectable notre cause devrait gagner en légitimité et pourrait même devenir une cause reconnue.
Si tout va pour le mieux, le public quelque peu désensibilisé et les principaux réseaux de communication eux-mêmes devraient être prêts pour la deuxième étape de notre programme.
Etape visuelle 2 : coucou, voilà les annonces.
A cet instant, la communauté gay a un pied dans la porte, et c’est le moment de demander aux médias d’accepter un partenariat gay pour certaines publicités et émissions à succès. Il faut être dans les temps:la demande doit être faite immédiatement après la disparition de notre communication politique à un niveau national. A défaut, nous devrions demander des partenariats la fois suivante à des réseaux de médias qui nous soutiennent en faisant appel à leur ouverture d’esprit pour inclure des personnages ou des thèmes gays dans leurs films ou leurs émissions de télévision. S’ils désirent être cohérents au lieu de rester dans l’hypocrisie, ils nous couvriront. Cependant, ils pourraient être tentés de dire « non » quand bien même nous leur ferions penser leur résistance comme déraisonnable, et peut-être même illégale. Nous agirons en leur proposant « des annonces gays » au même titre que celles qu’ils acceptent de diffuser pour les Mormons ou autre. Comme d’habitude, les téléspectateurs seront soumis à des sketchs irréprochables sur l’importance de l’harmonie et de la compréhension à l’intérieur de la famille– et à ce moment là, le narrateur pourra terminer en disant « Ce message vous a été offert par le Groupe de Travail National Gay » (NGTF). Tout cela le plus calmement et dans une ambiance la plus tamisée possible. Souvenez-vous : l’exposition médiatique est tout, et la manière de communiquer contient le message.
« …l’exposition médiatique est tout, et la manière de communiquer contient le message »
La communauté gay devrait se joindre à d’autres forces respectables de lutte pour les libertés civiles et ceci afin de promouvoir de doux messages concernant le multiculturalisme américain, et se terminant toujours par une référence explicite au groupe de travail gay ou à d’autres organisations gays.
Usant du meilleur dans la pire des situations, nous pouvons également proposer des appels aux dons et aux donations compatissantes pour financer la recherche sur le SIDA– si Jerry Lewis et la marches des dîmes (ndt : association américaine de protection de la santé des enfants) le font, pourquoi pas nous ?
Etape visuelle 3 : sortir la grosse artillerie.
A cet instant, notre tactique tranches de salami nous aura ouvert, petit à petit, un large accès aux médias majoritaires. Et maintenant ? Ce pourrait être le moment de faire sortir les annonces gay de leur placard. Les messages de telles annonces pourraient s’adresser directement aux peurs persistantes du public à propos des homosexuels comme autant d’étrangetés détestables et à rejeter. A titre d’exemple, voici les formats possibles pour la télévision et les annonces publicitaires permettant d’éroder les mauvaises représentations persistantes :
Format A pour la familiarisation : le témoignage d’estime.
Pour rendre les gay moins mystérieux, présentez une série de spots publicitaires courts mettant en scène des garçons ou des filles « d’à côté », jeunes et attirants, ou des grands-papis et mamies délicieux et rassurants. Assis dans un environnement intime, ils répondent à un interviewer derrière sa caméra avec assurance, bonhomie et charme. Leurs commentaires mettront en avant 3 éléments de vie sociale :
1 Il y a quelqu’un de spécial dans leur vie, une relation à long terme (pour souligner une stabilité gay, la monogamie, l’engagement) ;
2 Leurs familles sont très importantes pour eux, et les soutiennent (pour souligner que les gays ne sont pas « anti-famille », et que les familles en général n’ont pas à être anti-gays).
3 Aussi longtemps qu’ils peuvent s’en souvenir ils ont toujours été gays, et sont probablement nés gays ; ils n’ont certainement jamais décidé de leur préférence d’un côté ou d’un autre (soulignant ainsi que les gays font ce qui est naturel pour eux, et qu’ils ne sont pas contre-nature). Les individus devraient être questionnés seuls, non pas avec leur compagnon ou leurs enfants, car la présence d’autres personnes pourrait faire surgir malencontreusement des questions dérangeantes à propos de la complexité des relations sociales gays, ce que ces spots ne pourraient pas expliquer. Il est toujours préférable de faire une chose en même temps.
Format B pour créer des associations positives : le message de la célébrité.
Tandis qu’il pourrait être utile de présenter des soutiens célèbres par l’intermédiaire de figures populaires gays ou de sympathisants hétérosexuels (Johnny Mathis ? Marlo Thomas?), le climat homophobe américain pourrait rendre peu probable une telle fièvre de soutiens dans un avenir proche. Les premiers spots de célébrités devront donc identifier des personnalités gays ou bisexuelles historiques, illustres et honorées… et mortes. Les annonces pourront être sardoniques et indirectes. Par exemple, par dessus une musique majestueuse et un portrait ou deux, le narrateur annoncerait simplement : Michel Ange (un cours sur l’art) , Tchaïkovsky (un cours sur la musique), Tennessee Williams (un cours de théâtre), etc.
Format C de la compassion victimaire : notre campagne pour stopper l’abus d’enfants.
Comme nous l’avons écrit un peu plus tôt, il y a plusieurs façons de décrire les gays comme victimes de discrimination : images de brutalité, histoire de boulot perdu, de séparations familiales, et bien d’autres. Cependant nous pensons que quelque chose comme 30 secondes de publicité doivent aller au coeur du problème et révéler le meilleur.
La caméra bouge doucement sur un adolescent d’âge moyen, assis seul dans une chambre dans la pénombre. Le garçon est plaisant et n’a rien d’exceptionnel, sauf qu’il a l’air abattu et qu’il se tient en silence, pensivement, emprunt d’une évidente détresse. Comme la caméra zoome progressivement sur sa figure, un narrateur commente : « Cela arrive à un garçon sur 10. Quand il grandira, il réalisera qu’il se sent différent de la plupart de ses autres amis. S’il le laisse voir, il sera exclu et moqué, humilié, attaqué. S’il se confie à ses parents, ils pourraient le mettre à la porte de la maison, le jeter à la rue. Certains disent qu’il est « anti-famille ». Personne ne le laissera être lui-même. Il devra donc se cacher. De ses amis, de sa famille. Et c’est dur. C’est déjà assez dur d’être un enfant de nos jours, mais être l’un de ces dix… un message du groupe de travail national gay (NGTF). »
Ce qui est sympa en ce qui concerne ce genre de pubs, c’est qu’elles dépeignent à peu de frais les gays comme innocents et vulnérables , elles sont victimisées et incomprises, étonnamment nombreuses et pourtant non menaçantes. Cela retourne aussi l’accusation « anti-famille » des gays comme absurde et hypocrite.
Format D de l’identification avec les victimes : le coup classique.
La majorité d’opinion identifiera mieux la situation critique des gays si les hétérosexuels peuvent, au moins une fois, se mettre dans les chaussures gays. Une annonce télévision ou radio pour les aider à faire cela pourrait utiliser un scénario court animé ou dramatisé comme suit :
La caméra approche de la porte en chêne massif du bureau du patron, qui s’ouvre, et la caméra (qui représente le téléspectateur) entre dans la pièce. Derrière le bureau énorme est assis un gros et vieil avare fronçant des sourcils et tirant sur un cigare. Il regarde la caméra ( c’est à dire le téléspectateur) et gronde ,
« C’est donc vous Smithers. Bien, vous êtes viré ! » La voix d’un homme plus jeune se fait entendre avec stupéfaction, « Mais—mais– M Thomburg, je suis dans votre compagnie depuis dix ans. Je pensais que vous appréciez mon travail. » Le patron répond, avec un air de dégoût, « Oui, oui, Smithers votre boulot répond à nos attentes. Mais j’ai entendu des rumeurs… que vous avez été vu dans les environs de la ville avec quelque petite amie. Une petite amie ! Franchement, je suis choqué. Nous n’allons pas commencer à faire la promotion des hétérosexuels dans cette compagnie. Maintenant sortez. »
L’homme plus jeune intervient encore une fois :
« Mais patron, c’est injuste ! Qu’est-ce qui se passerait si vous étiez à ma place ? » Le patron lance des regards noirs de travers pendant que la caméra sort brusquement de la pièce et que la grosse porte se referme brutalement. Avec inscrit sur la porte : « Un message du Groupe de Travail National Gay » (NGTF)
Il peut être facilement imaginé d’autres scénarios traitant d’intimité ou d’autres discriminations.
Format E de l’ostracisation des persécuteurs : sortez les torpilles.
Nous avons déjà indiqué quelques images qui peuvent s’attaquer à la vendetta homophobe : les neo-nazis extrémistes religieux plein de haine et de rancoeur, et les membres du Ku Klux Klan nés pour avoir l’air ridicules et diaboliques (tache à peine difficile).
« .. elles dépeignent à peu de frais les gays comme innocents et vulnérables , elles sont victimisées et incomprises, étonnamment nombreuses et pourtant non menaçantes. »
Format F pour les fonds : SOS.
A côté ou durant ces publicités persuasives, nous devrons solliciter des dons pour qu’elles puissent continuer. Des appels directs de la part de célébrités (de préférence vivantes, merci) peuvent être utiles ici. Tous les appels doivent souligner que l’argent peut être donné de manière anonyme (en utilisant des virements) et que toutes les donations sont confidentielles. « Nous ne pouvons aider sans votre aide », et ainsi de suite.
L’heure est venue.
Nous avons esquissé ici un plan pour transformer les valeurs sociales des Américains hétérosexuels. Au coeur de notre programme se situe la campagne médiatique pour changer le regard du citoyen moyen sur l’homosexualité. Il serait aisé de chercher la petite bête d’une telle campagne. Nous avons essayé d’être pratiques et précis, mais les propositions peuvent toujours prendre un éclat visionnaire.
Il y a cent raisons pour lesquelles la campagne pourrait ne pas être entreprise ou pourrait être risquée. Mais il y a au moins 20 millions de bonnes raisons pour lesquelles un tel programme doit être essayé dans les années qui viennent : le bien-être et le bonheur de tous les gays hommes et femmes dans ce pays l’exige. En dernier, pour une minorité oppressée légalement dans la société américaine, il est temps que les gays prennent des mesures effectives pour rejoindre la majorité de l’opinion publique en termes de fierté et de force. Nous croyons que, que vous l’appréciez ou pas, une telle campagne est la seule manière d’opérer dans un proche avenir.
Et laissez-nous vous répéter, le temps nous est compté. L’épidémie de SIDA répand la peur et la colère au coeur de l’Amérique hétérosexuelle. Comme le virus filtre hors des cercles homosexuels et à l’intérieur du reste de la société, nous ne devons pas avoir d’illusions sur qui sera pointé du doigt. Les dix prochaines années pourraient décider des quarante prochaines si les gays revendiquent leur liberté et leur égalité ou reviennent en arrière, encore une fois, comme d’une caste américaine d’intouchables honnis. Ce n’est pas qu’une plaisanterie : parlez maintenant ou taisez-vous à jamais. (ndt : il est significatif que ce plan stratégique se termine par des mots prononcés durant un mariage catholique…)
In November 1987 article intitulé « The Overhauling of Straight America » apparu dans le magazine Guide. Quelques années plus tard, les auteurs ont développé leur pensée dans un livre :
Marshall Kirk, Hunter Madsen: « After the Ball — How America will conquer its fear and hatred of Gays in the 1990s ». (Plume, 1990), ISBN: 0452264987.
NDT : pour le confort de lecture, je n’ai pas pu intégrer les milliers d’images de propagande diffusées par le réseau LGBT à l’international dans les films, séries. Voici un petit florilège qui pourra vous rafraîchir la mémoire :
La série jeune des années 90. La vision infantilisée de la pratique lesbienne. Willow tombe amoureuse d’une fille, pas parce que c’est une fille, mais à cause de sa belle âme ! Ici, l’absence de représentations homosexuelles type Q et R tend à assimiler la pratique lesbienne à une famille filiative.
Ally Mc Beal série transition entre les 90′ et les années 2000. Le pratique lesbienne y est idéalisée.
Desperate Housewives, la série des années 2000, fourmille de duos homosexuels. Ce sont les seuls qui ne sont pas détraqués.
En France
En plein débat sur les unions de duos, la palme d’or 2013 est attribuée à un film pornographique lesbien :
En plein débat sur les unions de duos en France en 2013, Plus belle la vie, une série populaire, caricature en faveur de la normalisation homosexuelle :
Actuellement.
La série des 2010′, Game of Thrones, le sexe homosexuel y est esthétisé. Tout comme l’inceste. Bizarrement, dans cette série ultra-violente, les déviants et pédophiles ne sont pas homosexuels.
La série Sons of Anarchy des 2010′ est assez confidentielle. Cependant, intégrer dans une série de gros bras blancs, une fliquette lesbienne, n’est pas très anodin. Il s’agit de s’attaquer au noyau dur de la résistance masculine.
La nouvelle mode actuelle : homosexualiser tout le répertoire imaginatif propre aux garçons. Ici Star Wars. James Bond quant à lui devient de plus en plus « gay friendly ».
Castle à la transition des années 2000 2010, les familles déstructurées présentées de manière positives :
A chaque défaite de la gauche, à chaque frustration, ce sont les mêmes images qui…
En 2022, certainement soulagé de sortir de la bouffonnerie covidesque, je suis passé à côté…
_ « Je vous l’avais dit Donald, vous ne pouvez rien faire contre leur désir. Ils…
Prenons la dernière loi française qui fiscalise les pensions alimentaires que les pères payent très…
Lorsque cette fameuse épître aux Éphésiens (5,21-28) de saint Paul est lue durant une assemblée…
A contre-temps. Je crois qu’il n’y a pas de meilleur mot pour désigner l’action politique…
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"Plus belle la vie, plus basses les audiences : le progressisme, ça eut payé !" BV du 04/06/2024.
En attendant, une bonne partie de la population souscrit toujours lorsqu'il s'agit d'être prise pour une conne.
"Mélenchon hué au Sénégal pour sa propagande LGBT et humilié par Sonko" MPI du 17/05/2024.
Il dit tout juste que nous sommes des pédés et que ça ne concerne pas l'afrique. Quant à Mélenchon, il joue la provoc pour faire avancer une cause qui nous fait apparaître comme des dégénérés en dehors de l'europe.
"Dr Robert Malone : Les meilleures universités du monde sont désormais des marionnettes du Forum économique mondial" MPI du 23/03/2023.
Et après, on nous parle de démocratie.
"Angelina Jolie s'offre une sortie shopping avec ses filles Shiloh et Zahara (et elles ont bien grandi)" Figaro du 10/01/2021.
Shiloh, enfant utilisée par les progressistes pour faire passer leurs idées, cherche à assumer sa féminité depuis qu'elle est adolescente. Elle a échappé aux griffes du diable. Prions pour que les dégénérés ne réussissent pas à la perdre.
"Mon oncle Frank: un autre genre d’Amérique sur Amazon Prime Vidéo" Figaro du 10/12/2020.
Y-a pas à dire, c'est super original : un pédé issu du trou du cul du monde, revient dans sa famille. Avec, ça, y-a pas à dire, les derniers réactionnaires en Amérique vont se convertir à la religion LGBTQIFD?%FDSD$.
"Un document de la CIA explique comment faire accepter une guerre à l’opinion publique et pourquoi l’Etat profond est hostile à Trump" Le cri des peuples du 05/12/2020.
Vrai à ceci près que Donald Trump a diminué le nombre des bombardements, et non pas augmenté. Seule l'Iran peut se plaindre plus qu'avant de son action, pour des raisons qui m'échappent.
"« PMA pour toutes » : le scandale des études biaisées" Familles chrétiennes du 19/09/2019.
"Geneviève de Fontenay : « Une Miss lesbienne, oui ; transsexuelle, jamais ! »" Le Point du 29/10/2019.
Commencer à en parler même pour le railler.
"Cameroun: à Yaoundé, un vidéo-club fragile havre de liberté pour homosexuels" TV5 monde du 25/10/2019.
""Je t'aime ma fille" : la campagne vidéo de sensibilisation sur les ados transgenres", AFP du 29/03/2019.