Le féminisme est un appel désespéré au viol

N’ayant, semble-t-il, pas toujours été très bien compris concernant mon article sur la sanctification du viol par les féministes, je me suis remis en question. Au vu de certaines réactions, je pense que je n’ai pas été assez clair. C’est pourquoi, après avoir mûrement réfléchi, je me suis dit qu’il fallait clarifier mon propos.

 

 

Les féministes doivent le savoir. Leur hystérie jusqu’au boutiste peut susciter trois types de réactions chez les hommes :

 

 

  • La complaisance : c’est celle des hommes féministes.
  • L’indifférence : c’est celle de la majorité.
  • Le rejet : celle des antiféministes.

 

 

En fait tous les hommes passent par ces trois étapes. Ils suivent un chemin bien tracé face à l’idéologie féministe et qui dépend de leur maturité.

 

 

Tout d’abord, ils sont complaisants. Les féministes, c’est un peu leur petite maman qu’ils ont envie de protéger, la femme qu’ils imaginent faible, leurs sœurs, leurs cousines qu’ils ont envie de voir réussir dans la vie, à leur égal. A ce stade, les hommes sont niais et irresponsables.

 

Puis très vite, quand ils n’ont pas de trop gros soucis psychologiques, certains hommes s’aperçoivent, que la femme ça ne veut pas dire grand chose, qu’il y a des femmes et que certaines d’entre elles sont de sacrés salopes, et peut-être plus que beaucoup d’hommes, parce qu’elles y rajoutent l’hypocrisie. Il comprend qu’elles peuvent jouer de leur beauté pour ensuite s’en plaindre, qu’elles peuvent vouloir être jugées de manière égale aux hommes, puis qu’elles ne supportent pas la comparaison, qu’elles veulent bien travailler dans des métiers d’hommes mais seulement si ça les arrange. C’est cela qu’on appelle féminisme chez une femme. L’homme qui a compris cela, fait désormais partie de la majorité des hommes. Il espère faire sa petite vie à l’abri du féminisme, fuyant cette idéologie, mimant l’indifférence, priant pour être tombé sur la bonne compagne, ou bien, incapable de se dépêtrer de sa relation aux femmes, il suit ses pulsions animales de manière parallèle à ces dames qui suivent les leurs en se faisant engrosser par n’importe qui.

 

 

La dernière catégorie, la plus élevée, est celle des antiféministes. Et parmi eux, deux espèces. Celle qui, noblement, a décidé de combattre l’injustice tout en aidant les femmes à devenir meilleures. Et la deuxième, qui en est venue à l’antiféminisme, non au travers de nobles désirs mais par obligation. Ces derniers se sont fait écraser par le système féminisé, qui les a privés de leurs enfants, qui les a discriminés à l’école, qui les a injustement accusés de viol, de violences conjugales, qui les a privés de leur emploi alors qu’ils étaient plus compétents qu’une femme,  et ce, au nom de l’égalité, ou encore, ils peuvent être de ceux qui ont dû payer financièrement ou moralement l’incurie féministe particulièrement développée dans notre monde moderne, et qui ont compris la mascarade. Ceux-là n’ont qu’un seul mérite : celui d’avoir conservé en eux un réflexe de survie, un brin de masculinité enfoui qui a été réveillé par quelque piqûre de rappel. Je leur accorde le courage, mais pas la clairvoyance, ni la de soif de justice.

 

 

A force de sagesse, les hommes en deviennent forcément antiféministes. A force de narcissisme, les femmes en deviennent forcément féministes.

 

 

Enfermée dans son narcissisme, dans la recherche de ses intérêts purs, de ses droits, dirait-elle, la féministe ignore le monde. Son éducation féminisée l’empêche de considérer les hommes comme ses égaux. Elle parle d’égalité quand il s’agit de servir ses intérêts. Elle ne veut pas voir qu’hommes et femmes sont différents et que de cette différence émerge toute culture, avec des rôles très différenciés entre hommes et femmes, quand cette culture veut devenir une civilisation. A l’inverse, la féministe s’imagine que tout est possible, si ce sont les autres qui payent bien entendu. Souvent déresponsabilisée à hauteur de son inconséquence, elle réfléchit dans le vide. Elle imaginera pouvoir s’élever au niveau des hommes, la cruche, tandis qu’elle ne sera capable que de domination pour arriver à ses fins. La féministe croit qu’elle peut être un homme comme les autres, et il lui faut nier tous ses échecs pour pouvoir continuer dans sa maladie. Tiens, prenons une Françoise Héritier par exemple. Cette anthropologue a travaillé toute sa vie sur la différence des sexes. Elle a constaté que cette différence des sexes se retrouvait dans toutes les civilisations, et même dans toutes les cultures ! Croyez-vous qu’elle en conclurait que cette différence est inhérente à l’humanité. Pas du tout. Celle-là se met à imaginer qu’on pourrait remettre en cause cette différence sexuelle, parce qu’il y a des différences entre hommes et femmes dans certaines cultures. Sur quelles bases s’appuie-t-elle ? Rien. Sur quels éléments de notre propre culture ? Aucun. Complètement irresponsable dans un champ scientifique où elle n’est pas à l’aise, elle sort de ce champ scientifique pour entrer dans une forme de pensée philosophique délirante, faite de « domination masculine » et qui n’est que le reflet de son propre mode de fonctionnement féminin perturbé. Si cet exemple de déni scientifique est significatif d’une médiocrité féministe dans les domaines proprement masculins, c’est parce que les féministes n’ont pas réussi à trouver mieux que cette femme pour les représenter. Celle-là a travaillé toute sa vie sur la différence des sexes mais s’est retrouvée incapable de la penser en dehors de rapports sociaux de domination ou de confusion. Vous imaginez à plus bas niveau…Cette généralisation abusive serait risible si ce genre de personne n’avait pas été mise en avant par certaines de nos élites, pour guider notre société lors du débat sur le mariage homosexuel (Youtube censuré, lien vers Rutube).

 

Les défauts d’éducation des féministes.

 

La pensée féminine appliquée à un champ de pensée masculin, n’aboutit qu’à des catastrophes. Et la catastrophe entraîne la catastrophe. Les hommes payent la bêtise féministe tant qu’ils en ont les moyens. Au fond d’elle, la féministe sait très bien qu’il faudrait stopper net son hystérie totalitaire. La féministe sait qu’elle a besoin d’un homme pour cela. Mais elle fait l’enfant, la femme-enfant, elle flatte la pseudo-puissance masculine, et s’en sert à ses fins. Elle joue le jeu incestueux de son papa. A l’inverse, elle peut être complètement révulsée par les hommes de son enfance et entretient des rapports conflictuels avec eux. De toutes les manières, son désir maladif d’être un homme, de tout dominer, de confondre les rôles, les genres, finit par tout gâcher. Et elle poursuit en attendant qu’un homme se manifeste, qu’il la sauve en la remettant enfin à sa place de femme, non plus de femme-enfant, ou de femme-homme, mais de femme-femme. Dans notre société féminisée, cet homme adulte est rare. Alors elle pousse le bouchon toujours plus loin pour le faire naître. Tout d’abord, elle s’adresse à un homme complaisant. Elle cherche à le connaître. Il est gentil, il devrait lui convenir. Malheureusement, il ne comble pas son désir insatiable. Un peu plus malade encore, elle regarde dans la direction de tous ces hommes méfiants ou indifférents. La confiance avec eux est précaire, la relation instable, la défiance s’installe. Alors la féministe s’enfonce dans ses délires. Les hommes ne sont pas ce qu’elle en attendait, elle les méprise, elle les maltraite, elle les rejette. A l’extrême, elle nie l’autre dans sa différence et se laisse aller avec des femmes. A la fin, toutes ces déséquilibrées se servent les unes des autres ainsi que des hommes complaisants pour faire voter des lois censées culpabiliser les méchants hommes, mais qui font de la gent masculine une sous-espèce (loi de 2010 sur les violences faites aux femmes). Ou bien, elles martyrisent les hommes de leur entourage. Dans les cas les plus pervers, elles pourront brimer la masculinité de leur petit garçon jusqu’à en faire un violeur.

 

 

L’absence de réaction des hommes, appelle à la surenchère des femmes.

 

 

Dans notre monde de plus en plus maternel, une majorité d’hommes indifférents ou complaisants ne réagit toujours pas aux provocations féministes. La plupart des hommes-enfants féminisés reculent devant leurs responsabilités en se disant que ça leur passera, ou qu’ils n’y peuvent rien, ou même qu’il serait préférable que les hommes disparaissent. Mais plus elle trouve d’hommes complaisants ou indifférents sur sa route, plus la féministe dévaste le monde, ou tout au moins, parce qu’elle est incapable d’en avoir une claire conscience, elle veut voir le monde à travers elle, uniquement, ce qui procède forcément de la destruction du monde pour finir. Dévastant le monde, elle se dévaste elle-même. Depuis son enfance, cherchant une limite qu’elle ne trouve pas, la féministe, forcément immature, pousse toujours plus loin son raisonnement. Les hommes coopératifs qui ne sont pas capables de lui donner de bons repères d’adulte, féministes eux-aussi, l’encouragent dans son hystérie en refusant de jouer leur rôle. Et à cause de leur passivité, la femme malade se croira toujours plus libre, tout en sombrant toujours plus dans le non sens. Les hommes féminisés éduqués par ces femmes, seront de plus en plus nombreux à reculer devant leurs responsabilités, et de plus en plus impuissants à répondre à leurs demandes extravagantes. Aujourd’hui, faibles et isolés, les derniers hommes en sont à louvoyer avec les femmes. Exclus de certains milieux professionnels, exclus de leur famille, le peu d’individus encore virils de notre société, mène une guérilla souterraine là où il faudrait utiliser quelque arme sociale de destruction massive. Remis en question dans leur identité d’homme, ils harcèlent, licencient, piquent quelque crise de nerf, mais le plus souvent se font manipuler puis progressivement écraser sur tous les plans (politiques, familiaux, professionnels). Au lieu d’apprendre à se battre et à se confronter à l’altérité, ces lâches préfèrent vivre reclus dans leur peur des femmes tout en continuant à se fantasmer puissants.

 

 

La féministe cherche le viol.

 

 

Personne ne peut rien contre un désir malsain et irrésolu, si ce n’est faire preuve d’une résistance indéfectible. Inconsciemment et à cause de son rapport aux hommes, je pense que la féministe cherche le viol, seul acte d’autorité dont elle imagine qu’il pourrait mettre des limites à son hystérie envahissante. Car croyez-vous qu’un texte comme le mien puisse la faire réfléchir ? Certainement pas. Pour une féministe, seule la force fait sens, pas l’argumentation, ni la discussion, ni la raison. Contestée, elle cherchera à censurer, à écraser, à imposer le rapport de force en général, en oubliant l’altérité, je l’ai encore constaté la dernière fois que j’ai touché ce point sensible chez elles. Vous comprendrez pourquoi notre monde actuel est devenu si sclérosé : la pensée déplacée féminine (placée au mauvais endroit) cherche à s’étendre et non à découvrir la vérité. C’est la pensée communiste de la lutte des classes, ou la pensée d’un Jean-Pierre Michel, président PS du Sénat, qui justifie l’adoption du mariage homosexuel par la force. Pour ces personnes féminisées, la loi, c’est le viol. Il faudra en conclure qu’elles attendent certainement d’être brisées pour commencer à devenir humaines, elles qui ne comprennent la société qu’à travers les rapports de force, et qui sanctifient, non seulement le viol, mais un phallus qu’elles cherchent à faire leur, alors qu’il fait tache quand elles s’en emparent. Or de prime abord, les hommes n’ont pas tellement envie de cela avec les femmes. Comme je l’ai dit précédemment, ces femmes, ce sont leurs mères, leurs sœurs, et s’ils ont appris à respecter celles-là, pourquoi ne respecteraient-ils pas les autres ? Sauf si….

 

Des femmes malsaines.

 

La féministe cherche le viol parce qu’elle est née de l’inceste, parce qu’elle a subi un viol, parce qu’elle a manqué de père, parce que c’est un moyen d’exister pour elle, ou parce que cet homme-femme est devenu homosexuel à la suite d’un viol (ou d’un inceste maternel). Mais au lieu de revenir sur son histoire, la féministe est mue par un désir mauvais. Au lieu de vouloir réparer le monde et son existence, elle cherche à reproduire les marques d’amour malsaines qu’elle a dû subir. Ces rapports de domination en appellent d’autres que la féministe est seule apte à pouvoir accepter. La fille incestueuse met en avant ses charmes pour y arriver. La lesbienne, sa souffrance. L’homme à pulsions homosexuelles dévoie sa masculinité. Si l’homme sain ne met pas des barrières à leur action, ces hommes et ces femmes malades, se croiront légitimés dans leur fonctionnement malsain. Si l’homme se laisse-aller aux charmes d’une fille incestueuse, il se dévoie, et lui laisse des prérogatives qui ne sont pas les siennes. Si l’homme ignore la souffrance lesbienne ou juge qu’elle est légitime, il encourage la violence des femmes envers les hommes. Si l’homme laisse un autre homme à pulsions homosexuelles croire qu’une relation sexuelle avec lui pourrait le guérir, il le laisse s’enfoncer dans le déni de son identité.

 

Le monde a besoin d’hommes.

 

Seul un acte d’autorité légitime et irrésolu pourra remettre un peu d’ordre dans la vie de ces personnes troublées qui ne sont pas en état émotionnel et intellectuel d’accepter la confrontation d’arguments. Il est inutile que des hommes sains perdent leur temps à les convaincre, elles n’ont pas été éduquées en ce sens. Seul un bon gros phallus* pourra les guérir. Les hommes de demain devront accepter de remettre les femmes à leur place de femme. Il faudra bien qu’elles comprennent un jour qu’au petit jeu de celui qui pisse le plus loin, elles ne peuvent pas gagner. Ce jour-là, ne croyez pas qu’elles se laisseront faire. Et seule une résolution indéfectible de notre part, obligatoirement collective, pourra remettre ce troupeau de mamelles hystériques sur le bon chemin de l’humanité. Des textes comme les miens ne peuvent servir qu’à des personnes équilibrées. Ils ne suffiront pas à convaincre des folles. Ils ne vous dédouaneront pas de votre responsabilité d’homme. Si vous voulez aider les femmes de demain à devenir meilleures, il va falloir apprendre à agir en conséquence et à vous comporter, enfin, en hommes.

  • Le phallus entendu comme l’incarnation de la puissance symbolique de l’homme.

 

Léonidas Durandal

Antiféministe français, j'étudie les rapports hommes femmes à travers l'actualité et l'histoire de notre civilisation.

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