Les jeunes idiots utiles se réjouissent d’avoir vu tous les médias prendre partie pour les unions de duos. De ci de là, ils expriment seulement le regret qu’on nous ait trop donné la parole. Or si du temps d’information a été consacré à la Manif pour tous, celui-ci a été strictement encadré par des interventions homosexualistes, des sondages, des analyses, des émissions, des interviews qui nous étaient tous défavorables. Il semble donc que notre seule présence ait eu le pouvoir de les déranger, quand bien même nos actions aient été des plus pacifiques. D’ailleurs quand on se promène dans la rue durant une manifestation anti-dénaturation de l’humain, on s’en aperçoit bien. Nous observant défiler, ils cherchent avec mépris le regard du facho catholique d’extrême droite et ne veulent surtout pas voir en nous un brin d’humanité. Une maxime de sagesse affirme que le point de vue que l’éducateur porte sur un enfant fait aussi de lui ce qu’il devient. Si nous n’avions pas le Christ en nous, assurément, nous devrions devenir d’irrépressibles violents face à ces regards là, la caricature à laquelle nous sommes renvoyés étant d’une violence incroyable.
Cette attitude d’une partie de la jeunesse qu’on dit favorable aux unions de duos m’interroge. En idéalisant ce qu’ils nomment « l’amour » homosexuel (sic), ils parlent souvent de progrès, d’évolution nécessaire, de chemin obligatoire de l’histoire. Ils semblent avoir renoncé à leur liberté de conscience et de décision. Baignés depuis leur enfance dans un environnement libertaire extrémiste, le résultat en est d’autant plus surprenant. Ceux qui promouvaient le « il est interdit d’interdire » en seraient venus à vouloir interdire toute contestation de leur idéologie parce qu’ils jugeraient leurs idées supérieures à tout autre.
Pour moi, il s’agit bien d’un enferment moral sans précédent. Si les Khmers rouges reéducaient les enfants, ils le faisaient à force de violences physiques, sous la contrainte, car ils savaient que la conscience de leurs victimes ne leur était pas acquise. Chez nous, l’idéal Khmer rouge d’auto-critique et d’individu servile ayant pleinement intégré l’utopie marxiste s’est réalisé sans violence apparente. Les enfants ont été rééduqués dans le pacifisme. Et ils sont venus à défendre la liberté des désirs individuels contre la liberté sociale de contester ce dogme. Que la pulsion sexuelle mal encadrée puisse devenir une des prisons les plus abjectes pour l’humain n’est pas un sentiment qui les a « éflorés ». Le soi d’une branlette avec l’autre est devenu leur horizon. L’échec apparent de ce choix civilisationnel en termes de séparations, de déconstructions familiales, de stérilité, d’absence de reproduction des Français intégrés, ne les concernent pas plus que ça. Ils les trouvent normaux puisque l’individu qui s’est trompé a fait ses propres choix et qu’il ne peut s’en prendre qu’à lui. Quant à l’individu plus âgé qui a immanquablement échoué, il n’a plus qu’à se taire et laisser place à ces jeunes qui vont mimer ses comportements passés en se croyant pourtant libres.
En vérité, on ne peut tolérer que des individus trop jeunes décident de l’avenir de la société sans reproduire un enfermement dans l’inexpérience. Il faut savoir contenir les certitudes de la jeunesse en lui donnant des responsabilités de manière progressive. Or aujourd’hui, nos jeunes intégrés pleins d’une richesse éhontée ne sont jamais mis face à leurs responsabilités, mais par ailleurs, on leur donne toute possibilité d’agir comme bon leur semble. Ils ont le droit de vote à 18 ans, ils couchent avec qui ils l’entendent chez leurs parents, ils avortent quand ils ont fait une « erreur », ils ne doivent respecter aucune règle morale. La seule obligation qu’on leur donne est de s’insérer économiquement pour qu’ils puissent reproduire leur mode de vie laxiste en particulier dans le cas où ils décideraient d’avoir des enfants. Ces enfants seront abandonnés sans repère mais qu’importe puisqu’eux-mêmes l’auront été. Evidemment ces manques d’amour flagrants conduisent nos générations d’intégrés à échouer affectivement de plus en plus mais à trouver parallèlement de nouvelles stratégies pour échapper à la conscience de leur misère morale. Ainsi, n’ayant pas reçu d’éducation au sein de leur famille et bien incapables d’en transmettre une, ils se défaussent de plus en plus sur « l’éducation » nationale. L’Etat devient leur père. L’embrigadement grandit car comment des fonctionnaires désincarnés pourraient-ils transmettre quoi que ce soit en terme d’amour et de morale, d’autant plus que ces enseignants pris individuellement sont de moins en moins conscients de la grandeur de la morale catholique. Au contraire, il faut en arriver à contraindre les esprits pour éviter les remises en questions d’une contestation sociale telle que la manif pour tous. La généralisation de la théorie du genre qui valide intellectuellement ces désirs pulsionnels individuels est alors soutenue par des dispositifs de rééducation tels que les ABCD de l’égalité, les contes homosexualistes, le discours ambiant (médiatique, des professeurs…), les lignes téléphoniques gratuites d’information sur la sexualité, l’éducation sexuelle à l’école.
Dernièrement les jeunes du parti socialiste viennent de relayer cette absence de morale et cette flagornerie sexuelle de notre jeunesse endoctrinée en des termes clairs (1) :
« Non à la manif des réacs » : ostracisation par un vocabulaire dénigrant, volonté d’interdiction de la manifestation. La dangerosité de tels slogans et l’hystérie idéologique sont évidents. La tentative de récupération l’est aussi. Les jeunes socialistes retranscrivent en termes clairs les bons sentiments qui circulent chez de nombreux jeunes pour s’accaparer leur audience tout en masquant les lacunes de leur programme économique et social. La manif pour tous a bon dos. Le mensonge sur le genre peut ainsi cacher tous les autres mensonges sur le marxisme que les socialistes ont abandonné depuis longtemps mais dont ils se sont nourris électoralement durant des années.
Alors que la famille et toute la société s’effondrent objectivement comme ils le constatent dans cette campagne, l’école qui a participé à cet effondrement pourrait guérir les souffrances individuelles de chacun ? Ainsi ne s’aperçoivent-ils même pas que leur société du tout pulsionnel a créé la violence. Leur histoire est leur présent, leur absence de culture se prolonge avec l’âge, rien n’a changé. Ils perpétuent les erreurs de leurs parents au lieu de vouloir les dénoncer et tentent de rejeter cette société qui est la leur au moment même où ils la confortent. Abandonnés dans leurs familles, ils voudraient pouvoir se jeter sur le radeau de la méduse de « l’éducation nationale » qui peut tout puisque l’Etat est omnipotent, qu’ils en sont ses enfants et qu’ils sont objectivement l’avenir de la Nation.
Or notre école médiocre, qui n’a pas le temps d’apprendre à faire lire-écrire-compter ses enfants, a encore moins les moyens spirituels de leur donner de l’amour. Penser que l’amour et le bon exemple pourraient passer à travers un programme ministériel est proprement édifiant. Il est relatif à des adolescents qui ont d’énormes carences affectives, qui comptent pallier leurs failles narcissiques par une hypothétique relation de couple et qui transfèrent leurs névroses sur la population à pulsions homosexuelles, quand ils ne deviennent pas eux-mêmes homosexuels à force de manques d’amour ou d’amour dévoyé. Cette inconséquence est aussi le résultat de la féminisation de « l’éducation nationale » qui a créé une ambiance peu propre aux apprentissages mais très rassurante en termes maternels. Les enfants qui n’ont pas grandi en son sein, pensent que notre société devrait être à l’exemple de celle-ci. L’idéologie utopiste de l’école transformatrice de la société trouve ici son aboutissement : des enfants immatures croient pouvoir révolutionner les mœurs tandis qu’ils reproduisent la faiblesse des adultes qui les ont formés. On ne remplace pas les pères aussi facilement, sauf au prix d’une privation de liberté et d’une impossibilité à raisonner de manière autonome. L’incapacité à supporter le monde qui en découle se transforme en revendication de féminisation complète de la société parce que ce maternage généralisé empêche tout retour sur soi. Le serpent se mord la queue. Les adolescents d’hier qui se révoltaient contre leurs pères en croyant faire mieux, veulent aujourd’hui préserver les individus de toute souffrance et refusent toute contestation de leur dogme immature. Ils dénoncent les « conservateurs réactionnaires » alors qu’ils n’ont jamais été aussi peu révolutionnaires. Les journalistes, les professeurs, les politiques, les membres d’associations homosexualistes relayent leurs plaintes, trop contents de se voir absous de leurs erreurs. Le goulag éducationnel a gagné. Il est dirigé par des enfants.
1 « Les jeunesses socialistes contre les réactionnaires », jeunes-socialistes.fr du 05/10/2014
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“« Comment Bilal Hassani peut représenter la France ? » : on a suivi SOS Homophobie dans un lycée pro”, L’Obs du 04/02/2019.
Il faut rééduquer les bacs pro.
"Quand des féministes harcèlent des scientifiques", Le Point du 14/03/2019.
Et elle, pourquoi défend-t-elle encore le féminisme alors que cette logique du politiquement correct lui est scientifiquement attaché ?
""Déshumanisant" ou "une très bonne chose" : vives réactions à l'amendement "Parent 1, parent 2"", AFP du 14/02/2019.
"L'école obligatoire dès l'âge de 3 ans à la rentrée 2019", AFP du 14/02/2019.
""Le sexisme à l'école s'aggrave"", L'Express du 09/05/2018.
Tout à fait. Les petits garçons sont de plus en plus discriminés par une troupe de femelles et leurs chevaliers mamans qui leur disent où pisser.
""Des référents égalité à l'école"", L'Express du 08/05/2018.
Il n'y a pas de mesure plus antisociale. Les babtous seront encore induits en erreur. Les sauvages prospéreront d'autant mieux.
"N'abandonnons pas les filles", L'Express du 06/05/2018.
Ces "penseurs" qui ont favorisé le porno et l'immigration, regrettent les conséquences de leurs décisions. C'était mieux avant.
Le pire, c'est de les voir se lancer dans un processus de castration renforcé des mâles. Ils ne réussiront qu'à toujours plus humilier le babtou, pour le faire la proie d'autres mâles venus d'ailleurs. Terrible incompétence du gauchiste qui rate tout.
"L'école maternelle deviendra obligatoire dès septembre 2019", Les Echos du 27/03/2018.
Quelle terrible erreur.
Oh mais elle est déjà depuis longtemps dans les esprits.
C'est seulement un prélude, le but étant de scolariser les enfants à partir de 2 ans, ce qui se fait déjà dans beaucoup d'écoles. (Fabrication de petits soumis de l'Etat?)
L'école maternelle c'est la bonne planque pour les feignasses de l'éducation nationale. (Elles ont des Atsem pour faire le sale boulot, et comme souvent il y a un décalage de niveau social et/ou intellectuel ces dernières n'osent pas l'ouvrir quand il y a de l'abus).
La maternelle est aussi une planque pour les parents, qui voient l'école maternelle soit comme une garderie (enfants malades qui devraient être gardés à la maison) parfois comme une sorte de prépa pour des études prestigieuses... Ahahah.
Le plus grave là dedans c'est qu'il y a de plus en plus de décrochage scolaire en France, et tout ces cons s'imaginent qu'en ajoutant encore plus d'école, il vont arranger le problème... Mais bien sur!!!
Saviez vous qu'à la maternelle, les enfants ont un livret scolaire avec des évaluations?
Si elle n'est pas obligatoire actuellement, pourquoi est elle gratuite d'ailleurs?
Bonjour Monsieur Durandal,
J'espère que vous allez bien. Je vous écris, car j'ai une grande nouvelle à vous annoncer.
J'ai décidé d'abandonner complètement le chemin de l'action politique au Québec. Après une très longue réflexion, une très longue maturation, désormais parvenue à son terme, je considère que le sort du peuple québécois n'est plus du ressort de l'homme. Il n'est plus du ressort du plan terrestre, mais du plan divin. Uniquement. Ni un individu humain, ni un groupe restreint d'humains ni le peuple québécois ne peuvent plus rien pour eux-mêmes. La mécanique en marche est profondément ancré dans le conscient et le subconscient de l'Homme, que je ne peux plus rien pour les Québécois. Seul Dieu sauvera les Québécois, s'IL le veut. Autrement, aucune promesse électorale, aucun chef de parti politique, aucun parti politique ne peuvent sauver les habitants du Québec. C'est un peuple condamné à mourir, tranquillement, mais sûrement. Cette mort est inévitable. De plus, c'est un fait que les Québécois VEULENT mourir. Ils tiennent ABSOLUMENT à disparaître. Je ne peux plus rien pour eux. N'étant pas suicidaire (la culture persane en est une de fierté et de dignité, l'individu que je suis n'est pas non plus suicidaire et sur le plan familial, cela ne se fait pas), je ne veux plus vivre au Québec ni servir l'intérêt général du Québec en allant en politique. C'est la seule raison pour aller en politique, c'est la seule raison qui me guidait en politique. Désormais, ne pouvant plus rien faire pour les habitants de cette province canadienne, je préfère les laissez à eux-mêmes, mourir en paix, dans la drogue, le divorce de masse, les tatous et le sexe orgiaque.
Je me FICHE COMPLÈTEMENT du Québec et du Canada.
À partir de ce jour, je vais me concentrer pour la première fois de ma vie sur moi-même (sans tomber dans le narcissisme, l'égocentrisme, le carriérisme et l'égoïsme), mon bonheur, ma réussite financière (la seule vraie liberté dans le système actuel, c'est de laisser l'argent travailler pour vous et non d'être salarié, et de pouvoir se dispenser de travailler en tant que salarié). Éventuellement, je quitterai le Canada (et la province du Québec, cela va sans dire) et n'y reviendrai jamais, ni ne regarderai en arrière. Je referai ma vie à l'étranger, dans un pays plus sain pour l'âme humaine, plus respectueux de la personne humaine, et beaucoup plus religieux, donc beaucoup plus conservateur.
Le monde occidental est en perdition. Je n'y peux rien et je ne peux changer cela.
J'ai la certitude de mener une vie plus saine et plus heureuse à l'étranger.
Il est temps pour moi d'apprendre à être heureux et de concilier le bonheur et la liberté.
Je me souviens que vous m'aviez dit que les hommes forts et les régimes autoritaires avaient souvent le malheur de ne laisser aucun héritier, de ne tenir qu'à un homme et de susciter, après la mort du fondateur du régime, une puissante vague de destruction de tout ce que le régime précédent a laissé en héritage, même le meilleur. Tout cela est vrai.
Si je gouvernais le Québec, je ne ferais que gagner du temps au peuple québécois, sans jamais réussir à dérailler la mécanique diabolique à l'œuvre dans la destruction de la nation. Le monde occidental finira peut-être par mourir. Est-ce vraiment un mal, après tout le mal qu'il s'est fait ainsi qu'aux autres ?
Ce n'est pas facile de choisir d'abandonner la politique, lorsque depuis les quatorze dernières années de votre vie, vous étiez sûr d'y aller pour devenir Premier ministre, et avant cela, Maire de Montréal. Il faut tout réenvisager, s'habituer à vivre et à penser en dehors de la politique, pour soi, avec un rythme plus lent, apprendre à être heureux, profiter de la vie et des joies qu'elle nous offre. C'est le début d'un nouvel homme.
C'est un deuil et un nouveau commencement.
Ma destinée m'appartient désormais.
Cordialement,
Cyrus
Voilà un très beau témoignage.
Si je n'étais pas attaché à ma terre, je pense qu'il y a longtemps que je serais parti. D'ailleurs les expatriés français cultivés sont en nombre. Mais notre pays qui n'a jamais été un pays d'émigration, ne s'en inquiète même pas.
Vivre au Canada sous Justin Trudeau, me semble être une des pires horreurs qui soit.
C'est marrant mais dans les textes du jour, Jésus est chassé par ceux qui qui veulent le voir devenir Messie alors que lui essaie simplement de leur expliquer qu'il veut aider les gens. Du coup, il va là où il est bien accueilli et où il peut trouver une place.
Les gens veulent plaquer sur l'autre, tout un tas d'attentes. Mais souvent, ils ne veulent pas accepter ce qu'il a à donner. Et l'autre lui-même, ne veut bien souvent, pas accepter ce que les gens ont à leur donner.
J'espère que vous trouverez un petit coin de terre où les gens sauront accepter ce que vous avez à leur donner, et où ce que les autres voudront bien vous donner, vous comblera (ne soyez pas trop exigeant avec le monde; il est bien pauvre et vous-même en renonçant à votre projet, vous avez pu comprendre combien l'humain est limité. C'est une bonne chose).
Bonjour Monsieur Durandal,
J'espère que vous allez bien. Je vous remercie de ce chaleureux message de soutien, qui me fait d'autant plus chaud au cœur que vous y évoquez Jésus, un personnage historique qui me fait pleurer et espérer simultanément. C'est un baume sur le cœur et je vous en remercie. C'est exactement ce que j'ai ressenti à force d'être rejeté.
Aucune force matérielle ne peut vaincre le diable. Seule une puissance spirituelle d'un niveau supérieur peut le chasser des cœurs et des esprits. Ainsi donc, seul Dieu peut le faire. Pas moi, ni même Mère Thérésa. Les Québécois sont possédés par le Diable. Ils en sont fiers. Ils n'y voient aucun problème.
Cela dit, j'aimerais vous demander pardon, car je vous avais dit que je voulais faire de la politique au plus haut niveau. J'imaginais contribuer à vous redonner le sourire et la confiance par mes actions, quand bien même celles-ci se dérouleraient à des milliers de kilomètres de la France. Je suis désolé si je vous déçois, vous désespère et vous frustre. Ce n'était nullement mon intention et j'avais même prévu vous accueillir à Montréal, avec Madame Manuela et Monsieur Kasimar, à mes propres frais pour vous faire faire le tour du propriétaire, i.e. l'Hôtel de Ville de Montréal et bien d'autres choses. Manifestement, cela n'arrivera pas, car Dieu m'a illuminé d'une lumière qui m'a permis de voir clairement que mon avenir n'était pas au Canada, et surtout pas au Québec, ni en politique, mais loin de la société humaine. Trop de déceptions par rapport aux humains, aux Occidentaux, aux Québécois, aux Canadiens, aux électeurs, tenant compte de mes standards familiaux et civilisationnels et de classe très élevés. Cela devait et va me conduire inévitablement loin des Hommes et loin de la politique.
Néanmoins, si vous n'y voyez pas d'inconvénients, j'aimerais continuer à publier des commentaires sur votre site.
Ç'aurait été drôle si j'étais devenu un maire ou un premier ministre au Québec. J'aurais été le premier « alumni » (diplômés) de l'Université Durandal à occuper une fonction élective au plus haut niveau. Vous auriez pu vous targuez auprès de tout le monde que vous êtes un excellent recteur d'université et que vous avez même « placé » l'un de vos « anciens » au sommet de l'État. ;) À l'étranger, qui plus est. HAHA !!!
Cela dit, je vous remercie de tout ce que vous m'avez apporté ces dernières années. Vous m'avez fait un bien fou. Grâce à vous, je vois plus clairement dans le jeu des femmes (et pas seulement des féministes) et je fais plus attention à ne pas accorder plus d'attention et de crédibilité et de vertus aux femmes qu'il n'est nécessaire.
J'espère vous avoir été utile aussi.
Cordialement,
Cyrus
Que vous ayez renoncé à votre projet me comble de joie. Il ne faut pas servir les gens qui ne veulent pas l'être. J'ai toujours espéré que vous vous tourneriez vers vous et que vous vous concentreriez sur votre bonheur. Celui-ci passe par le service des autres, c'est vrai, mais juste ce qu'ils demandent, pas par un forçage. Dieu ne demande jamais à ses brebis de réaliser des exploits, juste d'être heureuses, à l'écoute, humbles en elles, et orgueilleuses en Lui.
Je serais très heureux que vous continuiez à contribuer de temps en temps à la qualité du site. J'espère surtout que vous saurez accorder votre vie aux dons que Dieu vous a donnés. Ils sont nombreux. Vous vous exprimez parfaitement. Vous avez l'âme d'un poète. Vous cherchez la vérité comme il faut le faire : avec candeur.
Bonjour Monsieur Durandal,
Je vous remercie encore de votre soutien et de vos bons mots. C'est avec joie que j'accepte donc de continuer à écrire sur votre site.
J'espère que Monsieur Kasimar, Madame Manuela et Monsieur Alban vont bien.
Cordialement,
Cyrus
"Le petit lapin gay qui vient chatouiller l’homophobie du vice-président américain", L'Obs du 22/03/2018.
Ou comment l'homophobie justifie la maltraitance des enfants.