C’est courageux de condamner le comportement de populations d’origine immigrée qui sèment le bazar autour d’elles, et de plus en plus largement. Ce serait plus positif de nous regarder en face, et de constater les raisons de notre échec.
Le cas social blanc a été le premier à voter contre l’importation massive d’immigrés par le patronat. Il savait qu’il allait en être la première victime. Le parti communiste de la fin des années 70, n’était-il pas lui-même contre cette immigration ?
Mais les autres blancs qui s’extrayaient de leur condition, accédant à des métiers de ronds de cuir, y voyaient au contraire un moyen de rehausser leur ego. En accueillant de povs immigrés dont on avait besoin, ils se donnaient une bonne conscience nourri par leur racialisme et la certitude de leur propre supériorité. Le prolétaire blanc connaissait l’immigré. Il n’était pas raciste lui. Il vivait avec l’immigré. Mais il était contre l’immigration. Tout l’inverse de ces nouveaux parvenus et de cette classe sociale traître féministe qu’ils servaient.
Il est donc arrivé ce qui devait arriver. La bonne conscience est devenue submersion. Les problèmes des immigrés ont nourri la machine socialiste qui n’a cessé de grossir en france. Et les petits blancs ont déchu. Leurs problèmes de nourriture ont été résolus jusqu’à ce jour. Nous ne les avons plus vus exploiter leurs enfants et les initier à la sauvagerie du servage, poussés par les restes d’une culture féodale. Cependant, toute l’idéologie gauchiste a rencontré chez eux, un matérialisme nihiliste, et la déchéance qui va avec. Ce communisme qui devait les défendre a été la première arme utilisée pour les abâtardir. La désindustrialisation et l’abandon des campagnes, voulus par nos décideurs occidentaux, a fait le reste en les privant d’autonomie face à l’état, ou de leurs racines, ce qu’on appelle désormais “identité”.
Un cas qui vient d’être jugé en charente ces derniers jours, et qui a fait la une de tous les médias nationaux, illustre bien la dégringolade. Dans notre bon pays de france, en plein milieu, au sein de la petite bourgade rurale tranquille de Nersac, un enfant de 9 ans a été abandonné par sa mère qui a été vivre avec une autre femme à 5 kms de là. Carrément abandonné. Sans chauffage. Avec peu de nourriture. Les voisins ont fini par alerter les services de la gendarmerie après deux ans de n’importe quoi.
En quoi cette affaire possède des traits plus généraux :
_ Un lesbianisme dégénératif. Dans l’imaginaire commun, le lesbianisme, c’est les films pornos. Dans la réalité, c’est plutôt deux grosses caractérielles percées et tatouées qui se laissent aller, notamment à regarder du porno (Myriam Badaoui), ou une femme sadique qui finit par se séparer de sa partenaire boderline. Vu l’état des relations hommes femmes, le désaccord grandissant, pas mal de femmes ont eu tendance à se replier sur cette sorte de palliatif abêtissant. Autre, le lesbianisme de ces mamans qui ont eu leurs enfants, et finissent parfois par quitter leur mari pour vivre « leurs vraies aspirations », cultivant un mensonge fait d’insatisfactions perpétuelles auxquelles toute une société semble les encourager.
_ Des enfants instrumentalisés, des enfants objets. Chez ces femmes, la notion de transmission, paternelle, a été réduite à zéro. L’enfant est entrevu comme un moyen de réalisation personnel, non plus comme un transmetteur. S’il ne satisfait plus le narcissisme de la relation, et/ou la sexualité de la mère, il est abandonné.
_ L’absence de survie, c’est la perte de repère pour certaines familles. Trop habituées à se reposer sur la défense de leurs besoins vitaux, et à ne pas se poser de questions, certaines familles ont abandonné tout sens commun depuis que le capitalisme a résolu les problèmes de survie dans nos sociétés.
_ Une ruralité qui n’est pas épargnée. L’effritement des institutions familiales, religieuses, d’instruction publique, n’a pas fait exception en campagne. C’est peut-être pire qu’ailleurs tant la misère y est plus répandue qu’en ville, et notre télé poubelle, un des moyens encore centraux d’être au contact du “monde”.
_ Des femmes excusées alors qu’elles font n’importe quoi. Ici, les voisins ont mis deux ans à prévenir les services sociaux. Imaginez un homme laissant son enfant seul au vu et au su de tous… Et il ne ferait pas de la prison avec sursis.
_ Une femme avec un sentiment d’impunité total. Alors que désormais, les téléphones portables sont traçables, que le témoignage de tous les voisins des deux villages se recoupent, en plus du témoignage de son fils, elle continue à affirmer devant la juge qu’elle s’est bien occupée de son fils. Socialement, elle est persuadée de pouvoir mentir sans être mis face à ses responsabilités.
_ Un garçon courageux et intelligent mais isolé au milieu d’une civilisation qui le méprise. La génétique y est aussi pour beaucoup, peut-être plus que les restes de notre passé glorieux. Le gamin a continué à aller à l’école tout seul, à donner le change et à se débrouiller, au milieu d’une absence totale d’affection. Il était dans les meilleurs élèves de sa classe. Un bon petit gars, comme on dit chez nous, et comme il y en a encore beaucoup.
_ Des soutiens familiaux inexistants. Où est le père, ou les grands-parents de cet enfant, les articles n’en parlent pas. A force d’attaques contre la famille, nous en sommes arrivés à favoriser des situations systémiques d’abandon, la PMA et la GPA en étant les deux derniers avatars. Aucune institution ne prend le relais en cas de défaillance.
_ Des services sociaux sollicités par la mère de l’enfant et qui lui donnent des bons alimentaires afin qu’elle puisse poursuivre, plus tranquillement, sa maltraitance.
_ Des logements sociaux, même dans la campagne, et où le sous-prolétariat végète. Le concept de logement social a été détourné. Il devait accueillir les travailleurs des campagnes. Il est devenu un droit au logement, droit qui est de moins en moins assuré par l’état face à l’afflux d’immigrés qu’il a provoqué. Ici, il ne s’agit pas d’immigrés, mais finalement, et c’est le plus terrible, cela revient au même.
_ Une maltraitance par abandon. De nos jours, les violences exercées contre les enfants sont majoritairement de ce type. Le moindre écart en termes de violences physiques, est ostracisé par toute la société. Elles font l’objet de sanctions implacables puisque même des parents innocents sont condamnés après dénonciation. Cette répression jusqu’à l’absurde n’empêche en rien la violence de s’exercer. L’enfant étant de plus en plus vu comme une contrainte pour les personnes ou pour la planète, il est laissé seul devant des écrans chargés de l’éduquer.
_ Une société où les gens ne se connaissent pas. Durant 2 années, les institutrices n’ont pas dû voir la mère très souvent ! Probablement jamais, ce qui les a bien soulagées. Elles n’ont pas été chercher plus loin. Les gens ne se connaissent pas mais pire, ils ne veulent pas se connaître. Vous savez pourquoi personne ne soulève ce genre de problème en france ? Parce que tout simplement, cette indifférence est devenue la règle. Il vaut mieux parler du pouvoir d’achat sur lequel nous n’avons aucune emprise collective, ou si peu, ou de guerres qui ne nous concernent pas. Et ceci parce que nous sommes incapables d’introspection, suite à l’abandon du guide des vérités christiques. Reste un sentiment que ces enfants devraient être soutenus et aidés par les services sociaux, mais sentiment qui ne perdurera qu’autant que nous aurons de l’argent pour ce faire, et que les élections n’en décideront pas autrement. Sans parler du phénomène de maltraitance systémique au sein de ces mêmes services sociaux. La discussion publique en france se résume à l’intervention de l’état. Nous ne faisons plus société au sens propre du terme.
Nous, petits blancs, nous avons plusieurs gros problèmes à régler. La propagande étatique s’attaque à nos intérêts : en matière d’immigration, de destruction des institutions sociales comme le mariage, de promotion de mœurs qui participent à notre délitement, ou d’écologisme punitif. Plus encore, aucun modèle sérieux de société ne nous anime. Nous vivons une sorte de stérilisation voulue ou conséquente d’une culture de mort à laquelle il est urgent que nous nous désolidarisions.
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