Découlant de la différence sexuelle, voici l’altérité la plus notable entre hommes et femmes. Les femmes discutent à partir de cas ou de ressentis personnels. Les hommes essaient d’avoir une vision globale du monde, de la politique et des individus.
L’immigration
Prenons l’exemple de l’immigration de masse. Pour la plupart des femmes, ce phénomène est vu à travers le prisme de l’individu. De droite, elle se posera la question de savoir si ce changement va la mettre en danger physiquement, si elle risque d’être violée, si elle perdra en sécurité dans les rues et plus généralement dans les lieux qu’elle fréquente. De gauche, elle fera appel à l’humanité des immigrés, la nécessité de les traiter de manière personnelle, de leur offrir de l’aide.
Jamais un homme, exception faite des hommes féminisés, ne se posera la question sous ces angles. Il s’interrogera sur le nombre de places d’hébergement, la situation de l’emploi dans le pays, les possibilités d’intégration, le risque de submersion, les relations entre groupes culturels. Il comprendra vite que les ressources de son monde sont limitées et qu’il faut faire des choix entre individus, et que sinon, tous en pâtiront.
Ces choix pour une femme sont incompréhensibles, voire inacceptables, car pour elle, tous les individus seront d’abord éminemment respectables. A la rigueur, elle remettra en question ses idées politiques si ses ressources familiales sont attaquées, ou si ses enfants sont violentés par exemple. Ce jour-là, l’autre pourra devenir son ennemi. Mais il le sera parce qu’à un niveau personnel, elle aura été affectée.
La femme accède à la compréhension du général par le personnel, et mal. Ce qui provoque des angoisses chez elle. Comme lorsqu’un homme est bousculé par des considérations intimes, la femme est déstabilisée par des réflexions d’ordre général. Dépassée dans ce cas, elle chargera l’homme de calmer ses terreurs en le rendant responsable de son impuissance. Droitisée, elle exigera de lui la sécurité, se dira mal à l’aise dans les rues, face au mouvement migratoire. Gauchisée, elle voudra qu’il mette en place les conditions d’un accueil sans limite pour tous les pauvres de la terre.
Face aux échecs de l’homme, ou face à ses refus, elle protestera, et à l’extrême, se retournera contre lui s’il est trop faible. La politique migratoire “d’accueil” vue par les femmes, oscillera donc entre la peur panique, et une allocation des moyens aléatoire, qui comblera ses attentes individuelles, les siennes ou celles de ceux qui peuplent son imaginaire.
Dans C Polémique « La France : terre d’accueil ou de rejet », le débat tourne vite à l’affrontement entre deux hommes qui défendent des principes généraux et deux femmes qui défendent des principes personnels :
Pour les femmes, il en est de la place des étrangers comme de toutes les autres questions de société. En consommatrices, elles ont tendance à penser que les « moyens » peuvent régler tous les problèmes, par magie, comme dans le milieu du professorat dont le budget a explosé ces dernières décennies parce qu’elles ont été écoutées, tandis que le niveau de l’école s’effondrait. Incapables de s’interroger sur leurs responsabilités, elles interrogeront toujours celle des hommes. Elles voudront que le monde fonctionne comme elles, et elles jugeront que tout va mal sinon, surtout au fur et à mesure qu’elles deviendront majoritaires dans un secteur d’activité.
L’école
A l’extrême, l’intelligence logique est rejetée pour être remplacée par l’intelligence émotionnelle. C’est assez flagrant dans l’enseignement. La compétence du coeur, naissant de l’intimité, était la prérogative féminine par excellence. Or les femmes fuyant leur famille ont fait baisser, et le niveau du quotient intellectuel, secondaire pour elles en tant que professeur, mais aussi le niveau du quotient émotionnel, parce que s’occupant moins de leurs enfants. Parmi le professorat, les cours de langue, artistiques, expression, ont pris le pas en France sur les cours de sport, mathématiques, technologie. Et au bout de 30 ans, le niveau des élèves en matière de logique a fini par s’effondrer dramatiquement. L’histoire a suivi son cours, de manière implacable.
Du côté de l’Etat, certains en sont d’abord arrivés à s’interroger sur leur rôle et à s’approprier la question. En premier lieu, personne n’a voulu se poser la question de la baisse du niveau. Les femmes investissaient l’enseignement comme le reste, pour le meilleur, et ce qui a inquiété les autorités publiques, c’était les comportements qui gênaient la pratique de ces nouveaux fonctionnaires. Les dépressions, suicides, le mal être grandissant, les incivilités, avaient des conséquences dans les classes qu’il était urgent de corriger, avant de prendre en compte le niveau d’élèves qui bénéficiaient d’une rente passée, d’un capital culturel accumulé par la société. Il est paradoxal de noter, que les professeurs femmes ont été chargées de limiter les conséquences des destructions familiales auxquelles elles participaient soit par leur activité professionnelle, soit par leur adhésion à l’idéologie féministe.
En France, et dans beaucoup de pays européens, les programmes se sont garnis de « compétences transversales », « valeurs » et autres « savoir-être », de “psychologues scolaires”, de “pédagogues”, pour pallier le manque de résultat dû à toutes ces carences familiales qui ne cessaient de s’étendre de générations en générations. Finalement, le niveau d’instruction a baissé, sans pour autant permettre aux futurs adultes d’être mieux dans leur peau. Nos enfants ont été bercés d’illusions pour s’apercevoir du mensonge après. Plus que jamais, la naissance favorisait les uns et pas les autres. En tant que parents, ils se sont révoltés contre une école hypocrite en la déligitimant auprès de leurs enfants. Et de fil en aiguille nous en sommes arrivés à une confrontation physique dans nombre d’établissements, entre élèves, entre parents et professeurs, entre professeurs et élèves, cette confrontation physique n’étant que la partie émergée d’un iceberg fait de haine. L’école a eu l’ambition folle d’apprendre aux enfants à devenir plus sensibles en se méfiant du discours des pères, il est logique qu’elle subisse la situation qui en découle : les enfants dénigrent les adultes, font des crises de colère dans les classes, dès qu’ils sont perturbés, ils expriment leur mal être devant le groupe, et les mal être s’agrégeant dans une société inhumaine car sans parents de chair, les enseignements sont désormais remis en question. Puisqu’en accord avec cette logique, les problèmes familiaux, culturels, géographiques se sont décuplés, « l’école féminisée leur échappe » entièrement.
Les domaines d’activité féminisés
La situation est identique au niveau de la justice. Tous les domaines d’activité que les femmes ont investi récemment connaissent des crises graves de fonctionnement, dont l’origine nous est masquée par l’amour que nous leur portons. En quelques années, celles qui monopolisent les diplômes du supérieur, laissant les hommes loin derrière, ont pourtant réussi l’incroyable exploit de pourrir tout ce qu’elles touchaient malgré leur niveau d’instruction, et leur intelligence certaine. Cet échec retentissant qui n’est pas dû à leurs capacités, ni à leur niveau de formation, ne peut s’expliquer que par leur nature de femme. Ce raisonnement essentialiste que les féministes envisagent souvent comme un piège, et pour cause, est pourtant le seul qui soit un tant soit peu crédible. Nous sommes aussi des corps. Or les féministes préfèrent continuer d’accuser le “patriarcat” dans un monde où les derniers hommes influents embauchent des femmes en priorité et paient des impôts pour alimenter un fonctionnariat féminisé. Car en plus d’envisager le monde à partir de l’intimité, les féministes le voient de manière conflictuelle, en direction des hommes. Cette idéologie qui n’est qu’une maladie de l’intimité augmente les difficultés de compréhension entre sexes.
La politique
Il y a une frontière abyssale entre hommes et femmes sur le plan personnel et général, pour tous les sujets, qui rend la plupart des femmes incapables de participer à la direction des affaires d’un pays. Seules des femmes, forcément rares, capables de comprendre ces implications générales devraient être autorisées à voter. Or pour l’instant, elles le peuvent toutes, et pensent pouvoir influer de manière positive sur nos sociétés en conservant leurs vues de femmes. La plupart des hommes aussi le pensent. Ils ne voient pas qu’en pratique, elles ont dilapidé en quelques décennies l’héritage de plusieurs siècles d’histoire en exerçant leur pouvoir majoritaire, en compagnie de ces hommes immatures qu’elles génèrent au sein de familles féminisées.
Voir par le personnel pour gouverner la France от Léonidas Durandal на Rutube. Marine Le Pen/Emmanuel Macron entre deux tours de la présidentielle 2017.
L’intégration des femmes à l’Assemblée Nationale, se traduit par l’irruption de ce monde des sentiments en matière de politique, et au pire, sentimentaliste. Vous pouvez reprendre toutes les interventions des femmes et les faire coïncider à ce point de vue personnel.
_ Elles font la guerre pour sauver les enfants. Mais elles exigent aussi la paix pour sauver les enfants.
_ Elles autorisent les unions de duos à cause de « l’amour », jusqu’à la caricature. Mais elles s’y opposent aussi au nom de la grossesse pour argent.
_ Elles parlent de « culture du viol » parce que quelques unes d’entre elles ont été violées. Ou bien elles dénient son existence, parce qu’elles ont les capacités de se défendre.
_ Elles imposent des lois discriminatoires contre les hommes en matière salariale parce qu’elles sont incapables d’envisager leur propre inefficience dans des entreprises qui ont pour but la rentabilité. Et elles punissent durement les contrevenants. Mais vous n’entendrez jamais parler de discrimination positive dans les secteurs où elles sont largement majoritaires, ni dans les métiers qui les rebutent.
Toutes ces lois sur le travail pour favoriser leur insertion doit leur permettre de nouer des relations sociales, et plus largement est envisagée depuis les bénéfices qu’elles peuvent en tirer, et non pour servir la machine productive, tant et si bien que même une femme comme E Badinter qui reste sceptique quant au rôle naturel de la femme, l’affirme sans ambages. Les femmes doivent aller travailler pour rompre l’isolement !
_ Elles sanctionnent tous les hommes quand elles votent des lois en matière familiale pour éviter qu’une seule d’entre elle ne soit violentée. Mais elles défendent un de leur proche lorsque celui-ci est victime d’accusations abusives.
Les démocraties sont faibles et tyranniques par leur faute. Facilement manipulables, il suffit de faire du sensationnalisme pour finir de les convaincre, de jouer sur la corde sensible pour qu’elles oublient toute raison, la meilleure manière étant encore d’accuser un opposant de ses erreurs passées dans ses rapports intimes pour le discréditer définitivement. Un homme politique bien, doit se comporter en gentleman dans son entourage, sinon il est éliminé, quand bien même les faits auraient plus de 10 ans ! Autant le juger à sa femme comme le font les Américains. Seulement, ce n’est pas notre tradition, et chez nous, certains hommes politiques de génie pour la communauté peuvent être des minables dans l’intimité. Avant, le cadre catholique empêchait les débordements. Aujourd’hui, c’est fini, d’où le désastre. Au grand jeu de l’évolution, nous avons gagné des hommes politiques tout autant minables dans l’intimité que dans la gestion collective, et ce n’est pas un hasard.
Parce que nous sommes à une époque où la gauche féminisée contrôle les institutions, l’accusation du « crime » de misogynie, de racisme, ou d’homophobie, à l’image d’une épée de Damoclès, pèse sur chaque homme qui chercherait à faire de la bonne politique. Au lieu d’envisager cette question de manière rationnelle, ce qui est le propre de la politique, la moindre critique en matière d’immigration, de mœurs, ou de pratiques culturelles étrangères, provoque chez nos votantes majoritaires la peur d’autant d’attaques personnelles. Il est alors plus facile pour une femme de rassurer, d’autres femmes, et de s’imposer dans le jeu politique, malgré une incompétence absolue. La raison est sous contrôle et doit se soumettre à cet impératif sentimental. Mais gageons qu’à une époque où les esprits féminisés seraient de droite, le problème serait identique. Il faudrait alors faire la guerre pour la sécurité de nos femmes, rejeter l’étranger signe de menace personnelle, se comporter en machos pour les rassurer. Raisonnement tout aussi absurde à droite qu’à gauche, parce que féminisé.
Les hommes qui ne connaissent rien aux femmes, et les femmes se gardant de trop leur en montrer, s’imaginent que l’implication de ces dernières en politique ne changera rien, voire améliorera la représentation démocratique. Les hommes voient cette dernière de manière abstraite comme ils le font quand ils doivent réfléchir à la résolution d’un problème général. Celle-ci est donc favorisée par des quotas, votés par des hommes, car il n’y a pas assez de femmes à des postes à responsabilité, ou de « représentants des minorités » ce qui revient au même, parce que la doxa féministe veut les voir toujours discriminés et non inaptes. Le complexe d’infériorité se mue alors en volonté de rétablir la justice en contrôlant tout : les paroles, les actes, les lois. Le système ancien est vu comme oppressif parce que manquant de femmes. Comme les femmes ne semblent pas différentes des hommes dans une société féminisée sans limite, propre à la confusion, la seule explication reste celle de l’oppression. Elles peuvent tout, doivent pouvoir tout faire, les enfants, la famille, le travail, et si elles n’y arrivent pas, c’est la faute des hommes. Perpétuant leur attitude de mineures irresponsables, elles ne comprendront jamais combien certains individus peuvent profiter du système parce que tout système est imparfait, mais qu’une société dans son ensemble ne peut se le permettre sans dégénérer. Ainsi la féminisation prend pieds sur une incompétence première des hommes qui, perméables aux femmes de leur entourage, ont voulu privilégier leur famille à leur pays. Quand la méritocratie disparaît, l’abus devient légitime, surtout personnel. Le matriarcat refait son apparition et à la fin, la société ne sait même plus si elle doit permettre le suicide, si elle doit autoriser les infanticides, pourquoi la fécondation d’une femme par un mort devrait poser problème, pourquoi la raison ne se soumettrait pas aux émotions les plus immatures qui soient, pourquoi l’enfant ne serait pas roi, pourquoi le monde entier ne pourrait pas devenir consommateur sans frein, pourquoi l’inceste ne serait pas permis, la pornographie en général etc.
Le pouvoir
Si dans un premier temps, les femmes se montrent plus conservatrices vis à vis des changements, c’est surtout par peur, non par amour des traditions. Ainsi, lorsque le progressisme s’est-il imposé, en sont-elles devenues les premières défenderesses… après avoir soutenu durant des années le général de Gaulle. Comme dit le dicton, les femmes servent le pouvoir, tandis que les hommes s’en servent. Dans les mains d’un homme, le pouvoir est un outil utilisé à bon ou à mauvais escient. A l’inverse, les femmes qui sont le pouvoir, peuvent tout se permettre et toute attaque à leur encontre devient inadmissible. En général, elles sont aimées quand elles devraient être jugées pour leurs qualités réelles à des postes à responsabilité. A la fin, elles sont honnies personnellement.
Quand elles cumulent le pouvoir personnel et le pouvoir social, la société devient un véritable cloaque fait de règles qui installent progressivement la tyrannie. Car la seule réponse à des sentiments contradictoires, c’est la force, surtout quand plus rien ne compense leur domination dans les rapports personnels. Quand elles interfèrent dans la vie publique, elles s’imposent dans la confrontation individuelle et les hommes inférieurs à elles dans ce domaine se font rapidement monter dessus. Ils acquiescent à leurs raisons auxquelles ils ne comprennent rien ou bien parce qu’ils leur sont très perméables.
Seule l’évidente incompétence d’une femme reste un frein à l’ascension de celle-ci. Mais dans un monde de réseaux, qui surproduit, fait d’images médiatiques fabriquées pour susciter le désir de toute pièce, où les hommes sont réduits à rien dès qu’ils ont créés de la richesse, ce n’est pas forcément un problème.
Les mots en politique
Au début des années 80, il restait encore quelques émissions politiques tard dans la nuit, où des hommes s’en mettaient plein la tronche. Il en était ainsi de notre société. Les débats politiques, familiaux ou pas, étaient engagés, houleux, virils. Mais déjà, un Coluche se moquait des balayeurs qui devaient être désignés comme des “techniciens de surface” pour ne pas choquer. Cette année, la dernière émission qui tentait de faire débattre gentiment les personnes à la pointe de la réflexion mais peu subversifs de notre société, a été supprimée du Paf (Ce soir ou jamais). En quelques décennies, nous avons mis notre langue dans notre poche, et plus encore, la moindre confrontation d’idées est maintenant perçue comme dangereuse. Le “politiquement correct” s’est imposé comme un comportement naturel. L’éducation nationale particulièrement féminisée regorge d’un vocabulaire qui n’ose pas nommer les problèmes, ni les objets d’ailleurs. Le ballon y est devenu un “référentiel bondissant”, l’échec à l’assimilation s’est mué en “vivre ensemble”, les uns à côté des autres. Tout le vocabulaire est piégé. L’emploi du mauvais mot au mauvais moment condamne le maladroit à la contrition. Il ne faudrait pas choquer ces dames. Ce ne sont plus les idées qui sont devenus l’objet du débat, mais le mot acceptable. Ainsi, les femmes de droite et de gauche se battent-elles pour imposer le vocabulaire qui sera le mieux à même de défendre les personnes de leur camp. A gauche, on emploi “quartiers sensibles” quand il y a des émeutes dans les banlieues, ceci pour préserver la susceptibilité supposée des habitants. A droite, d’autres esprits féminisés dénoncent “un euphémisme qui accuse les flics”. Aucun des deux camps ne se place du point de vue de la vérité. Le choix du langage est de l’ordre de l’expression, d’une sensibilité personnelle, qui ne peut relever en aucun cas de faits objectifs, mais qui doit défendre des personnes particulières. Tout le monde a raison, tout le monde a tort, et jamais le débat ne peut progresser, chacun campant sur des positions sentimentales, tout en évitant l’affrontement direct, assimilé à une violence insurmontable. Les femmes n’aiment pas qu’on élève la voix, surtout contre elles. Elles se battent alors pour imposer leurs mots, et leur manière d’envisager l’humain, de façon indirecte, cette gestion intime de la politique du vocabulaire générant là-aussi, la tyrannie, l’autisme et l’incompétence.
Conclusion
Rien n’a changé dans le monde féminin du politique à partir du personnel, et dans le monde masculin du personnel à partir de la politique, excepté que les femmes se sont imposées à gauche sans concession dans le domaine public tandis que les féministes jouent le jeu simiesque de leur propre domination à un « système patriarcal » pour prolonger ce pouvoir. Dans notre monde riche, la catastrophe est pourtant là, à tel point que nous ne savons même plus comment nous en sortir. Dans le déni le plus complet, nous n’allons jamais jusqu’au bout de nos constats qui remettraient toutes nos croyances en question. Nous attendons patiemment l’effondrement pour oser penser notre société sur un plan politique, et non sur un plan personnel, quand il ne sera plus temps.
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