Notre histoire.
Nous avons laissé faire. Tant que nous n’aurons pas pris conscience de cette évidence morale, il nous sera impossible d’avancer. La morale existe. Elle est aussi expérience du passé. Nous ne sommes pas différents de nos aînés qui se sont bouchés le nez quand on leur présenta les propositions féministes sur l’avortement et la généralisation du divorce. Nous nous sommes tous dit que c’était un moindre mal, que cela ne valait pas une opposition forcenée de notre part. Nous avons été laxistes. Elles nous parlaient de libération, d’indépendance, elles occupaient le cirque médiatique devant une majorité sceptique, elles imposèrent leurs vues. Aujourd‘hui, la liberté ne leur convient plus, elles viennent chialer devant le phénomène de la pauvreté de filles-mères pourtant largement subventionnées. Elles sont traitées avec égards sur le marché du travail, mais c’est la grande dépression car elles ne se sentent pas à leur place. Oh, je ne parle pas de ces grandes malades qui veulent toujours plus de pouvoir pour assouvir leurs vices, je parle bien des ouvrières, des employées du privé qui absorbent des cachets à plein tube pour fuir leur vie. Qu‘ont-elles gagné à notre monde celles-là ? Rien, et nous avons laissé faire. Telle fut notre manque de virilité.
Nous laissons faire le féminisme parce qu‘en fait, nous n’aimons pas assez nos femmes. Nous considérons que les aimer c’est céder à tous leurs désirs, comme des enfants. Les femmes auraient besoin d’hommes, mais que font ces hommes ? Ils attendent que le système s’effondre. Croient-ils que cela réglera tous nos problèmes ?
Aujourd‘hui cette folie féminine s’attaque à nos enfants grâce à la théorie du genre. Nous avons laissé nos femmes devenir des objets déifiés. Laisserons-nous nos enfants crever à leur humanité ?
Rééducation castratrice.
Ces femmes folles agissent à l’identique aussi bien dans leur famille qu‘aux plus hauts sommets de l’état : elles veulent rééduquer les comportements sociaux des enfants comme elles ont rééduqué les membres de leur famille pour le résultat qui nous est connu. Mais les enfants résistent, plus que les hommes. L’appel de la nature est plus exigeant que ne l’a été notre volonté de culture. Les hommes français après un long apprentissage sont devenus ouverts à tout. Ils écartent les cuisses à la demande. Contrairement à nous, nos enfants veulent encore grandir, ils veulent devenir hommes et femmes. Et ils sentent de manière plus ou moins consciente, que cela suppose des rôles différents dans la société, d’où leurs choix d’orientation. Laisserons-nous tuer en eux toute volonté de grandir ? Les laisserons-nous dans l’état d’éternels enfants, soumis au système, indifférenciés ? Soumis à des mères maquerelles ? Prisonniers ? Dans leur famille, ils ne deviennent plus jamais matures, à cause de l’idéologie féministe. Pour compléter cette domination, il faudra aussi qu‘ils restent enfants face à la société et qu‘ils n’aient plus les moyens de s’émanciper pour satisfaire à l’idéologie de ces déviantes ?
Le programme scolaire de ces femmes dérangées.
Notre ministère de l’éducation nationale a déclaré 2013 année de l’égalité entre filles et garçons. Il s’agit de rééduquer les enfants à l’école, les ouvrir aux comportements sexuels différents, dès le plus jeune âge, de la maternelle au CM2 (ministère de l’éducation nationale). Le programme :
Le ministère de l’éducation nationale réfléchit actuellement aux modalités de son application à travers « l’ABCD » de l’égalité. Testé dans 5 académies, il devrait se généraliser à la rentrée 2014. Ce programme confond stéréotypes et archétypes, pour mieux détruire les seconds qui sont à la base de l’identité de chacun (femmes.gouv.fr site subventionné sexiste)
Un numéro d’appel a aussi été créé pour accueillir les enfants qui doutaient de leur sexualité, la ligne azur. Le site internet qui fait la promotion d’un dispositif dont les parents sont exclus met en avant le livre de Serge Hefez, « le nouvel ordre sexuel » (sic) qui sert de fond idéologique au dispositif d’accueil et dont l’éditeur résume la pensée par :
S’interroger sur le genre dépasse amplement les revendications des communautés homosexuelles. C’est tout d’abord tenter de comprendre la manière dont chacun d’entre nous s’approprie sa masculinité et sa féminité, et tout simplement ce que ces mots peuvent bien signifier. Deux sexes, mais combien de genres ?
En résumé, la sexualité devenue individuelle, ne se réfère plus à un sexe donné à la naissance, soit une castration généralisée.
Résister.
Mais cette fois, nous avons un moyen simple d’agir. Les camps de rééducation ont un point faible : les professeurs. Ceux-là cherchent leur légitimité dans un système qui a perdu toute signification, la base étant de plus en plus déconnectée des volontés ambitieuses affichées aux plus hauts sommets de l’état. Ils sont devenus faibles et souvent égoïstes. Ils céderont facilement à la pression des parents. Si votre enfant, en particulier si votre garçon doit subir un tel lavage de cerveau, allez voir son professeur et exprimez-lui votre désaccord. Allez le voir avant même qu’il ne mette en place son dispositif à la prochaine rentrée, gentiment, pas besoin de faire des esclandres, juste demander des explications, lors de la réunion de rentrée par exemple. Il vaut mieux prévenir que guérir, se renseigner sur ses intentions. Celui-ci se cachera derrière le cadre législatif mais cela l’obligera à réfléchir. Et si plusieurs personnes viennent le voir, il finira par renoncer à l’idée même de mettre en place le dispositif. Nous n’influons pas cette élite dégénérée, mais nous sommes à la base de ce pays.
Comme le rappelle le reportage d’Harald Eia en Norvège, plus un pays est libre, plus les filles et les garçons prennent des orientations professionnelles marquées. Ces mesures liberticides qui cherchent à gommer nos différences doivent être combattues. Elles ne servent pas l’égalité, mais une volonté dictatoriale de confusion et d’amalgames, très proche de l’homosexualité. Ne nous laissons pas imposer nos comportements en matière de sexualité ou autre.
Il y a aussi cette pétition à signer :
Pour cette ligne azur, je ne sais pas trop quoi faire sinon les appeler pour leur demander des explications viriles. Mais ces gens cyniques pourraient se servir du nombre de nos appels pour justifier de leurs budgets, alors…
Bref aujourd’hui, tous les moyens imaginatifs et traditionnels sont bons pour combattre cette idéologie de mort, l’idéologie féministe qui a fait bien assez de mal à notre société, qu’elle soit théorie du genre ou féminisation forcée, avortement, ou divorce, pilule ou préservatif. Que le mensonge cesse.
A chaque défaite de la gauche, à chaque frustration, ce sont les mêmes images qui…
En 2022, certainement soulagé de sortir de la bouffonnerie covidesque, je suis passé à côté…
_ « Je vous l’avais dit Donald, vous ne pouvez rien faire contre leur désir. Ils…
Prenons la dernière loi française qui fiscalise les pensions alimentaires que les pères payent très…
Lorsque cette fameuse épître aux Éphésiens (5,21-28) de saint Paul est lue durant une assemblée…
A contre-temps. Je crois qu’il n’y a pas de meilleur mot pour désigner l’action politique…
View Comments
"Offensive du gender : des drag queens pour lire des contes aux enfants", MPI du 26/05/2016.
"Un professeur licencié pour avoir pris la défense du mariage « hétéro » dans une université jésuite aux Etats-Unis", RITV du 31/03/2016.
Une femme professeur qui impose son diktat progressiste à l'ensemble d'une structure catholique contre un homme droit moralement. Tiens, comme c'est étrange !
"Le Michigan veut laisser aux élèves LGBTQ le libre choix de leur genre et leurs toilettes", RITV du 24/03/2016.
"Théorie du genre : la Belle Province en délire", MPI du 28/03/2016.
Bonjour Monsieur Durandal,
J'espère que vous allez bien. J'espère aussi que vous fîtes un bon pèlerinage. En lisant l'article sur le Québec, je me dis que ma terre d'adoption est une des plus dégueulasse au monde. Les Québécois, dans leur écrasante majorité, sont des gens dépourvus de toute morale. Je me chargerai un jour de liquider de manière extrêmement brutale le libéralisme-libertaire au Québec. Sans pitié et ça va saigner.
Arrêtez avec vos conneries. Vous vous parlez de liquider les ordures qui nous ont amenés là où nous en sommes aujourd'hui mais vous n'avez pas les moyens de le faire.
Eux par contre ils sont très puissants et dans le passé ils ont déjà mené des campagnes de purges sanglantes de leur opposition (terreur de la révolution française, mexique, purges staliniennes, katin, génocide arménien, ... ). Vous feriez mieux de pensez à voir comment vous allez vous protéger contre leurs attaques.
Bonjour,
Les moyens seront ce qu'ils seront en temps et lieu. Je ne suis pas du type à baisser les bras et à me laisser démoraliser. Face à la bourgeoisie libérale-libertaire, avoir du sang sur les mains ne me fera certainement pas faire des cauchemars. Je dormirai tranquillement, la conscience tranquille, le devoir accompli. L'un des traits de caractère que je remarque souvent chez les Français, c'est le mépris de ceux qui veulent faire quelque chose... jusqu'à temps qu'ils l'aient fait et aient obtenu des résultats impressionnants. Après, l'attitude n'est plus du tout la même. Du mépris, on passe à l'admiration et aux remerciements.
Je ne m'en fais pas trop. Chaque chose en son temps. S'ils veulent me tuer, qu'ils me tuent. Je n'ai pas peur de mourir. Seul Dieu décidera de mon sort pour l'éternité.
Vos remarques n'en demeurent pas moins utiles. Se protéger oui, mais attaquer férocement est essentielle. Assumer le caractère tragique de l'histoire, voilà l'objectif.
Je ne cherche pas à vous décourager.
Votre attitude est héroïque mais souvent le héros se prend une balle dans les 5 minutes qui suivent le moment où ils sort de sa tranchée.
Si vous voulez les battre il faut être plus intelligent qu'eux et vous comprendrez qu'il faut consacrer plus d'énergie à esquiver leurs coups qu'à les combattre. Chaque fois que vous essayez de les combattre vous les renforcez. Ils ont besoin d'un ennemi pour maintenir la cohésion dans leur rang. Ne leur rendez pas ce service.
Conte sur l'intrusion de l'Etat dans les familles :
"Nouvelles parentalités mauvais genre", NDF du 22/12/2015.
"Maman cuisine, papa bricole : du sexisme dans les manuels de CP",Figaro du 07/10/2015.
C'est marrant de présenter les situations où les filles sont en majorité comme anecdotiques, de voir du normal dans l'anormal (inversion dans les sports entre garçons et filles), et de l'anormal dans le normal (plus grande présence des garçons dans la sphère publique, plus grande représentation des femmes pour s'occuper des enfants). Ainsi l'entreprise de destruction culturelle dont nos enfants font l'objet, se révèle ici :
"Le Petit Chaperon rouge serait trop sexiste", Figaro du 07/10/2015.
"Une organisation britannique LGBT fait mettre en place la propagande transgenre dans les écoles, dès 3 ans : c’est ce qu’ils veulent toutes !", RITV du 25/09/2015.
Vous êtes collégien au Québec. Pour vous inscrire à un module quelconque, il va d'abord falloir répondre :
tiré de
"L’idéologie du gender, cela donne ce module d’inscription à un collège québécois…" NDf du 30/09/2015.
"Qu'y-a-t-il dans les cours de morale 2015", Figaro du 28/08/2015.
Julien Sage femme, Maud Grutier.
Un enfant bien éduqué de la gay pride :
"Young boy pride", barbewire.com du 15/06/2015.