Qui fait la loi ?
Certainement pas Monsieur Strauss-Kahn, le meilleur représentant du sionisme, qui s’est fait balayer comme un fétu de paille alors qu’il allait accéder aux plus hauts sommets de l’état français.
Comme nous l’avons déjà démontré dans un article précédent féministes et sionistes utilisent le même processus manipulatoire pour imposer leurs idées, un processus de victimisation basé sur des faits qui n’ont plus aucune actualité et qui sont revisités historiquement au gré des intérêts des uns ou des autres :
http://aimeles.net/sionisme-feminisme-un-meme-processus-de-victimisation/
Maintenant je voudrais comparer les forces en présence. Où en sont ces deux courants dans notre beau pays ?
Objectivement, les sionistes en sont encore à vouloir faire aimer Israël tandis que les féministes dirigent toutes nos opinions ne souffrant d’aucune contestation. Les sionistes échouent pitoyablement dans l’opinion publique, et ont du mal à faire passer leurs lois. Les féministes quant à elles n’ont même pas besoin de représentantes politiques pour diriger le pays.
Les féministes sont donc , à l’heure actuelle, bien plus puissantes que les sionistes. Nous avons pu en faire la triste constatation lorsque ces deux courants se sont affrontés à travers l’affaire Tristane Banon. En deux temps, trois mouvements, l’homme soit-disant le plus puissant du monde, sioniste, qui n’a jamais été condamné par une quelconque institution juridique, a été balayé de la scène médiatique. Les féministes sont très fortes. Bien mieux que les sionistes, elles savent se positionner en victimes pour faire plier la société.
Pour bien comprendre l’affaire Tristane Banon, il faut se rappeler comment précédemment, les féministes ont inventé le concept juridique d’agression sexuelle sur majeur, l’ont érigé en mythe, puis l’ont fait grossir aux yeux des hommes qui se sont empressés d’adhérer à cette fable :
http://aimeles.net/agressions-sexuelles-sur-majeurs-faut-il-supprimer-ce-concept-juridique/
Pire . Dans ce cas présent, et contrairement aux déclarations de l’avocat de Tristane Banon, jamais la justice française n’a reconnu que celle-ci avait subi une quelconque agression sexuelle.
Le procureur a seulement indiqué que les faits pour lesquels Tristane Banon portait plainte, étaient prescrits. L’avocat de Tristane Banon qui essayait de gérer l’acharnement de sa cliente n’a pu trouver que cette échappatoire pour la contenir juridiquement. Quant au système féministe, il a été trop content de pouvoir reprendre le mensonge de l’avocat : “la justice a reconnu l’agression sexuelle”. Cette annonce flattait tant les préjugés, et l’avocat le savait si bien…
Quelque mal qu’il ait pu faire, avec ou sans lui, les féministes s’étaient mises, de toute façon, en position gagnante face à la société française : Monsieur Strauss Kahn condamné, les féministes dénonçaient les abus évidents des hommes dans notre société. Monsieur Strauss Kahn relâché, les féministes pouvaient dénoncer l’absence totale de condamnation, le laxisme de la justice, et les abus évidents des hommes dans notre société. On le voit, les féministes avaient même plus d’intérêts à ce que Monsieur Strauss Kahn soit relâché. En effet dans ce second cas, l’absence de condamnation renforçait encore leur statut de victime. De plus condamné ou pas, Monsieur Strauss Kahn était définitivement balayé de la scène médiatique. Ostracisé par tous, il ne représentait plus un danger pour elles. Ne pouvant l’éliminer légalement, elles l’ont donc éliminé moralement.
Sauf le respect que je dois à chaque être humain, monsieur Strauss Kahn ne faisait vraiment pas le poids idéologiquement face au féminisme, tout sioniste qu’il était. A-t-il seulement compris contre qui il se débattait ? Anne Sinclair, elle, le savait dès le départ. Et aujourd’hui cette obligation qu’elle s’est faite de garder le silence doit bien la ronger intérieurement. Dans mes rêves les plus fous, j’imagine faire son interview, j’imagine qu’elle accepte de sacrifier tout ce qui lui reste de crédit médiatique au nom de la Vérité.
L’affaire Dominique Strauss Kahn a été une aubaine pour les féministes. En perte d’idées, faisant des campagnes idiotes sur le clitoris, elles ont pu enfin redorer leur blason. Et les voilà à manifester dans la rue pour enfoncer le clou :
Créer une loi sexiste et discriminatoire envers les hommes ne leur a pas suffit (Cf. La loi de 2010 sur les violences faîtes spécifiquement aux femmes). Il leur faut maintenant allonger la durée d’un concept juridique creux : l’agression sexuelle. La chape de plomb est ainsi renforcée, et les hommes n’ont qu’à bien se tenir s’ils ne veulent pas que tout le système juridique leur tombe sur la tête à la moindre tentative hasardeuse sur une femme.
Maintenant, je voudrais m’adresser à Alain Soral et à son association Egalité et Réconciliation. Je connais leur combat contre le féminisme. Alain Soral lui a consacré tout un livre. Cependant aujourd’hui, le site de l’association ne traite de ces sujets que de manière succincte. Le nombre d’articles consacré à l’antiféminisme est anecdotique. L’affaire Dominique Strauss Kahn aurait été l’occasion pour l’association de distinguer lutte contre les idées, et lutte contre les personnes. Un soutien inattendu à Dominique Strauss Kahn aurait montré que les anti-sionistes n’étaient pas des fanatiques prêts à écraser n’importe qui au nom de leurs idées, mais qu’ils combattaient, au contraire, une idéologie de la haine. J’ai pris la position mesurée de l’association sur l’affaire Dominique Strauss Kahn comme une première tentative en ce sens. Il y avait un couac au niveau idéologique et je pense que nombre d’adhérents, et peut-être même Alain Soral lui-même, l’ont bien senti. Comment une idéologie si dominatrice pouvait se faire éliminer de la scène médiatique française aussi facilement ? C’est la question à laquelle je tente de répondre dans le présent article. En espérant qu’il puisse être tenu compte de ma modeste contribution, je pose les questions suivantes : est-il impossible stratégiquement de lutter à la fois contre le sionisme et le féminisme ? Serait-ce trop décrédibilisant ? Croyez-vous réellement que ce combat contre le féminisme soit si anecdotique ? Réconcilier hommes et femmes, à travers la lutte contre le féminisme, n’est-ce pas une tâche, au moins aussi noble, que de vouloir réconcilier des Français d’origines si diverses ?
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