Les femmes vous le diront : la solidarité féminine n’existe pas. Elles sont rivales entre elles. Leurs comportements peuvent être impitoyables quelle que soit la personne et cette idée ne serait que fantasme de notre part.
Si les femmes sont bien rivales entre elles, rien n’empêche une forme de solidarité féminine contre les hommes (9). Tout le discours sur l’oppression des femmes, discours victimaire et féminisé au possible en est une des facettes. La plupart des femmes font corps, se considèrent supérieures aux hommes, et justifient toutes leurs exactions, en se disant victimes, et en évacuant ainsi la culpabilité qui les tient jusqu’à imposer des quotas pour profiter « du système » en dehors de toutes compétences (10).
L’effet ruche à l’oeuvre chez les pauvres et chez les riches.
Salop de pauvre !
Parmi les couches prolétaires, ce discours féminisé a d’autant plus de chances de prendre, que le miséreux risque de former famille autour de sa femme seule qui le contrôle émotionnellement sans qu’il ait acquis les moyens, si ce n’est physiques, de remettre un peu d’ordre chez lui.
Oui, le dégénéré chez les pauvres est souvent outrageusement féminisé, et cette espèce y est plus répandu qu’ailleurs, car quand une femme a toute emprise, il ne reste que la cellule familiale restreinte, mono-éducante, autour de la mère, pour faire vivre la famille. Dans ces familles bancales, l’inceste maternel et paternel y sont courants, les hommes y sont immatures, les femmes toutes puissantes, les règles de vie familiales ne sont pas légitimes. Tout se construit autour de l’affection qui peut y être donnée ou reçue, dans une violence toujours à même de déborder. Les sociétés misérables, à l’intérieur des sociétés riches ou pas, sont féminisées autant que possible et on peut souvent comprendre le féminisme occidental comme un désir de maintenir une mainmise là où elle était très forte auparavant. Le riche devient alors le coupable idéal à tous les ratés de la vie, un empêchement à étendre le pouvoir des femmes. Le communisme, médiocre palliatif à loi divine, se mue en règle. On rêve de renverser le riche, personne abstraite, qui oppresse « les pauvres », puis on rêve de renverser « l’homme blanc hétérosexuel » quand l’homme pauvre est devenu un sous-prolétaire de matriarcat à cause de la dislocation des familles. Seulement, en pratique, les familles pauvres sentent bien qu’elles auraient besoin des revenus et des règles d’un homme. De fait, elles sont beaucoup moins sensibles au féminisme que dans la bourgeoisie. Et la plupart du temps, elles se limitent donc souvent à une forme de communisme primaire envieux de l’opulence du patron, et jaloux pour les hommes.
Salop de riche !
Même dans la matriarcat le plus archaïque, chez les Mosos, la monogamie devient la règle auprès de l’élite. Mais les sociétés humaines ne génèrent pas en leur sein qu’une élite équilibrée. La richesse a tendance à corrompre et chez nous, ce mouvement était contrebalancé par la religion que riches et pauvres partageaient. Il était demandé des efforts au riche.
Désormais dans notre société du tout économique qui mêle bizarrement réussite professionnelle et dégénérescence, le riche est devenu parfois aussi bête et misérable que son pair sans argent. Car un riche sans religion ne vaut guère plus qu’un pauvre misérable, et aujourd’hui, on voit des riches dégénérés, qui ont réussi sans morale dans une société qui le permet, soutenir le féminisme pour évacuer leur culpabilité d’être des hommes. L’envers du misérable dégénéré c’est donc le chef barbare à la tête d’une fortune acquise par avidité. Ici, une Myriam Badaoui en banlieue côtoie un Georges Soros qui finance des Fémens. Avant, il jouait au Che Guevara, bourgeois complexé poursuivi par ses démons, n’hésitant pas à mettre le monde à feu et à sang parce qu’il se croyait au-dessus de Dieu. Aujourd’hui, il n’est plus complexé dans sa foi, seulement par rapport à la femelle qui l’a engendré. Né d’une famille incestueuse, il n’est plus volontairement immoral, il est psychologiquement atteint. Quant à la femme bourgeoise, elle est le moteur de toute cette dégénérescence. Elle tente d’étendre le matriarcat partout où un pouvoir totalitaire lui échappe car elle ne supporte pas la moindre restriction à son hystérie, portée en cela par l’amour dévoyé d’un père complexé dans sa bourgeoisie familiale. Les mères déséquilibrées envoient des violeurs dans la société, et les pères dégénérés des féministes.
La solidarité féminine : un pouvoir qui tue l’excellence.
Dans le monde de la médiocrité, les femmes ont appris à se protéger des tortionnaires qu’elles avaient engendrés. C’est le rôle de la solidarité féminine. Transférée aux milieux d’excellence, ou pour attaquer les familles avec un repère paternel sain, ce fonctionnement de meute se révèle néfaste. Il tend à réintroduire le contrôle par les sentiments et les conflits d’intérêts dans des milieux stables ou qui cherchent seulement à prospérer. Dans les secteurs d’arrière garde, cela n’a aucune importance. Dans les secteurs de pointe, le fruit est rapidement gâché par cette attitude. L’exemple emblématique de cette médiocrité est aujourd’hui à aller chercher dans la Silicon Valley. L’arrivée des femmes qui veulent se graisser la patte en profitant d’une industrie qui ne leur doit rien, attaque le fonctionnement d’entreprises heureusement multi-milliardaires (11, 12). D’autres secteurs n’ont pas cette chance Dans une famille complètement incestueuse, la solidarité féminine jouera son rôle habituel de destruction. Dans une famille avec un père digne de ce nom, le trouble et la division se répandront au fur et à mesure que ces dames ne respecteront plus l’idée de « père ».
Les manifestations pratiques de la solidarité féminine.
On ne peut comprendre la féminisation totalitaire dans tous les milieux professionnels que les femmes investissent (santé, justice, éducation, journalisme…), sans comprendre que les hommes y sont éliminés individuellement grâce à ce mécanisme puissant dont celles-là essaient de se cacher la claire-conscience par tout un tas de pratiques manipulatoires et victimaires. Cela fait partie de l’esprit de solidarité. Dans l’exemple précité sur la Silicon Valley (12), une Française d’un journal de centre-droit trouve le moyen de glorifier une dirigeante américaine licenciée pour incompétence et qui a perdu son procès en discrimination. Dans son texte, les fausses accusations de cette dirigeante deviennent vérité. L’idée qu’elle fût incompétente est repoussée. Et finalement, un mensonge sur l’oppression des femmes va servir de pâture à toutes les hystériques qui la liront.
En parallèle, il faut noter la propension incroyable des femmes à créer des réseaux professionnels sexués d’intérêts (15). Inimaginables et interdits au masculin (au nom du sexisme), ces réseaux promeuvent l’emploi de femmes, tandis que les réseaux masculins, de franc-maçons par exemple, sont à l’origine de la promotion du travail des femmes ! Avidité des unes, perméabilité des autres…
Différences hommes femmes.
Les femmes savent conserver et reproduire. Tel est le prix de notre survie. Les hommes veulent changer et produire. Tel est le prix de notre excellence. Quand l’esprit de reproduction familiale est appliqué à l’esprit d’innovation sociale, il gâche tout, et inversement.
Les femmes impertinentes qui se montrent changeantes, utilisent surtout leur attitude comme un mécanisme de séduction ou de pouvoir. En vérité, elles cherchent la stabilité. De même, les hommes qui se montrent rassurants cachent surtout leur vraie nature pour séduire une femme. Les unes et les autres prétendent comprendre l’alter ego, et se mettre à sa portée. Mais la séduction est un jeu dangereux qui se termine souvent par une séparation avec pertes et fracas. Cette séduction a un autre nom. Elle se nomme tricherie et elle a des résultats aussi négatifs dans l’entreprise que dans le couple.
Mécanismes de contrôle.
Dans un milieu d’hommes, les femmes en font appel à leur beauté physique, à leurs sœurs journalistes, aux hommes perméables aux femmes, elles usent de soumission et de discrétion. Bref, elles utilisent tous les moyens possibles et imaginables pour s’imposer petit à petit, sans faire de vagues. Et cela en passe par casser la culture masculine qui ne leur convient pas, notamment les blagues grasses qu’elles ne supportent pas (17, 18),
la coopération et l’efficacité qu’elles détestent, ou encore la bonne ambiance nécessaire à un travail difficile.
L’ambiance doit être pourrie, le travail facile. Effet de ruche, mais société de hyènes (21). Voilà comment leurs intérêts sont préservés, notamment quand elles s’aperçoivent qu’une vie professionnelle exigeante entame leur vie familiale.
Enfin, dès qu’elles obtiennent un poste de direction et à compétences égales, elles ont tendance à privilégier les femmes. Une femme qui est une fieffée salope sera critiquée, certes, mais rarement licenciée. Un homme dérangeant ou simplement médiocre, sera impitoyablement éliminé.
A l’excès, quand elles deviennent majoritaires dans un milieu de travail, leur attitude change. Elles imposent un contrôle strict. Dès qu’un homme se permet de vouloir changer les habitudes dans un milieu de femmes, on le qualifie vite de « dangereux ». La femme conçoit le changement en rapport à l’assentiment de tous, autant dire comme une reproduction sociale d’une vie de groupe stable et un ronron bien rassurant d’égos. Comme dans une ruche, l’intelligence y est perçue essentiellement de manière collective (1). Tout autre forme d’intelligence, et en particulier en matière d’excellence, n’est pas comprise voire jugée suspecte. Ce phénomène collectif n’empêche pas cette intelligence de se structurer autour d’une matrone, la reine de la ruche, qui n’est pas facile à identifier pour un homme. La matrone a la parole assassine sans en avoir l’air. Elle sait retenir ses coups plus que tout autre, tout en sachant être impitoyable. Elle est parfois jugée par ses pairs sur sa capacité à manipuler les hommes et à discuter avec eux, à servir d’intermédiaire. Elle est puissante sentimentalement parlant. Elle peut être tyran. Autant un homme a du mal à repérer la femme puissante dans un groupe, autant les femmes ont du mal à repérer l’homme compétent. L’homme est ébloui par la beauté d’une femme, et la femme admire l’homme puissant socialement, rarement ils comprennent la vraie qualité/force de l’autre.
Postes de contrôle.
Il faudrait se pencher sur les services de direction des ressources humaines (DRH), aujourd’hui essentiellement féminins, qui contrôlent les entrées dans les grandes entreprises. Une étude parue récemment tendrait à montrer que les femmes évitent de recruter des rivales surtout de celles qui joueraient sur leur beauté physique.
Cela n’empêche pas ces grandes entreprises de se féminiser et de recruter des hommes acceptables pour ces dames avec des conséquences qui doivent être gigantesques… D’ailleurs, la dernière période de crise que nous avons connue en France a vu le taux de chômage des hommes exploser tandis que celui des femmes se maintenait (13). On n’entend plus les féministes sur le sujet aujourd’hui (14). La sécurisation des femmes, même sur le marché du travail, en est donc arrivée à un tel point qu’elles réussissent à vivre sur la bête dans des emplois censés être moins exigeants (les femmes sont moins payées parce qu’elles travaillent moins) alors même que l’économie s’effondre. Le net avantage des femmes sur le marché de l’emploi apparaît sans limite, la discrimination envers les hommes totale, ce que corrobore une étude d’il y a quelques années, et qui montrait qu’à CV égal, les femmes étaient favorisées.
La situation des femmes qui paraissait inférieure en période de croissance n’était donc qu’un écran de fumée. Elles seront les dernières à être licenciées de leurs planques quand notre nation se sera complètement effondrée. Ce tour de force n’a pu s’accomplir qu’en jouant sur des plaintes complètement disproportionnées qui ont faussé notre perception de la réalité.
Mécanismes d’exclusion du groupe.
Quand une femme du groupe, et essentiellement du groupe, est menacée, le réseau d’intelligence s’active : ostracisation, harcèlement, pression morale, mise à l’écart de l’individu jugé « dangereux ». La parole de cet homme est alors dévalorisée, jugée inférieure à celle d’une femme. Patiemment le réseau de dénigrement fait sortir l’étranger de la ruche.Les abeilles se rassemblent, se plaignent de l’individu à expulser, elles se transmettent des informations personnelles sur lui et s’en servent instinctivement. Et elles le font en toute bonne conscience : l’homme qui se défend ne connaît pas les règles de soumission, il est trop ci ou trop ça, finalement, on lui reproche de ne pas être une femme. Il est pris à partie sans l’ombre d’une possibilité de se défendre. Elles l’auront à l’usure. Il sera alors accusé, plus ou moins explicitement, de ne pas comprendre les femmes. En fait, il ne les aura peut-être que trop comprises.
La violence indirecte.
Pour préserver leurs intérêts, les femmes agissent sans remord, mais il faut que ce soit plutôt par derrière et/ou grâce aux artefacts de la langue (7). Pour le frontal, elles se servent souvent d’hommes intermédiaires. Pour la partie qui les concerne, tant qu’elles peuvent agir en toute impunité, elles censurent, médisent, exagèrent, minorent, entament jusqu’à ce que la planche soit vermoulue et tombe d’elle-même. Les crimes par empoisonnement, essentiellement féminins, se sont arrêtés dès que les analyses chimiques sont devenues performantes (4). Si une femme risque d’être découverte, et sanctionnée publiquement, elle arrête ses méfaits. Le passage de la loi sur les infanticides par avortements dénote d’ailleurs d’une méconnaissance totale de la psyché féminine. Dès que ceux-là ont été autorisés, loin de disparaître avec la généralisation de la contraception, ils se sont multipliés. Aujourd’hui cette mutilation du corps des femmes, et cet assassinat sont jugés positifs par la société féminisée. L’échec moral, sanitaire (stérilités, perturbations psychologiques), démocratique, est complet.
L’ambition sans borne des femmes.
Ainsi, au nom de leur pouvoir, bien des femmes sont capables d’auto-mutilations, c’est dire leur détermination. Il est à croire que nous dussions les protéger d’elles-mêmes en tant qu’hommes sur ce point. Car la mutilation abortive n’est pas l’unique exemple de jusqu’au boutisme de la part des femmes dans notre histoire ou dans celle d’autres peuples. L’utilisation très majoritaire de la pilule contraceptive, anti-naturelle, toxique, perturbante pour leur corps en est un autre exemple (5). L’excision pratiquée uniquement par des femmes sur des femmes pour ne pas être esclaves collectivement de leur plaisir sexuel envers les hommes en est un autre. A l’inverse, il faudra noter combien la circoncision est un obstacle au viol, et il faudra se demander si cette mutilation des hommes répandue dans des sociétés où les mères ont beaucoup de pouvoir, n’a pas été favorisée pour prémunir les jeunes filles autant que faire ce peu…
Il y a bien des femmes victimes… de la tyrannie des femmes entre elles.
Il y a bien des femmes qui sont attaquées elles-aussi : on le voit devant les tribunaux quant au choix de la résidence pour les enfants. Ce ne sont pas exclusivement des hommes qui sont l’objet de discriminations, mais aussi les femmes qui ne respectent pas les règles de la ruche. Dans la ruche, l’apparence de la bonne ouvrière doit être préservée, le fait de faire semblant de s’occuper des enfants par exemple. Si l’impudente ne respecte pas cette règle, elle porte tort à l’image de toutes les femmes, et pour les femmes, il n’y a rien de plus inacceptable. Une femme est parfois sanctionnée parce qu’elle ne propage pas une image positive des femmes dans la société, car les autres entendent bien continuer à bénéficier de ce préjugé positif, quelle que soit la réalité. C’est le syndrome de la petite fille sage.
Sujets sensibles pour une femme.
Cet effet ruche est décuplé sur certains sujets, comme pour les atteintes au corps. Les femmes se mobilisent fortement contre ce genre de phénomènes, viols, agressions physiques, qui ont la capacité ultime de restreindre leur liberté. Ainsi, quand la ruche devient mondiale, les abeilles excitées par leurs collatérales ou par quelque manipulateur intéressé, vont-elles jusqu’à défendre d’improbables victimes dans des pays inconnus (2).
Les femmes se sentent membre, naturellement d’un plus grand ensemble, et chaque atteinte à l’une d’elle est vécu comme une atteinte personnelle qui pourrait lui être faite. Elles perdent alors toute mesure pour imprimer le tabou du viol à l’égal d’un assassinat dans la tête des jeunes hommes, tant et si bien qu’un de ceux là, pris de panique, a préféré tuer sa victime dernièrement plutôt que de risquer un procès pour viol (19).
Conséquence sur les élections.
Jouant sur ce « complexe de solidarité », les gauches ont réussi à récupérer une partie du vote des femmes pourtant naturellement conservateur. Comment cela a-t-il été rendu possible ? Se sachant perdant comme hérauts de la stabilité familiale, le PS et le parti communiste, se sont vantés de leur capacité à défendre l’image de femmes victimes, et à leur octroyer en échange de leur vote, des subventions de toutes sortes. Etre payées pour de la maladie, il fallait y penser. Aujourd’hui, le système a si bien fonctionné en France, que chez nous, les femmes élisent des conservateurs en matière économique (dans le sens de stabilité des emplois et du modèle social), et des progressistes en matière familiale.
Depuis Valéry Giscard d’Estaing, aucun homme politique n’a dérogé à cette règle, qu’il soit de droite ou de gauche, poussés en cela par la féminisation grandissante de notre société, mais aussi l’appât que constituait le vote féminin majoritaire (8). En parallèle, les organismes internationaux ont propagé une dictature émotionnelle censée faire échapper la moindre femme à la moindre injustice qu’elle subirait, et ceci calé sur notre modèle occidental. L’auto-défense généralisée est devenue perversion à l’échelle mondiale et la grande tolérance envers le monde homosexuel raisonne comme un des nombreux effets de la maladie de la victimisation décuplé par l’effet ruche. Tout bon sens a été sacrifié à cette folie. L’émotionnel s’est répandu comme une traînée de sang. Le droit d’ingérence en est la figure emblématique au niveau militaire. Au début, utilisé à des fins médicales dans des zones de conflit qui suscitaient les apitoiements de la populace (« We’re the world, we’re the children ! »), il est devenu intervention directe dans des pays pacifiques. Les bonnes intentions féminisées ont laissé place à des crimes de masse de la part de l’occident comme en Syrie ou en Libye. Le contrôle et la dictature sont poussés toujours plus loin à mesure que le progressisme s’impose comme seule lecture laïque du monde, seule propre à rassembler. Pendant ce temps, la longue tradition hypocrite et colonialiste de gauche perdure parmi ceux qui croient faire mieux que la religion catholique.
Les exactions de femmes sont tolérées.
Mais revenons à un niveau plus personnel, là où tout commence. Les crimes de femmes, leurs fausses accusations en matière d’atteinte à la personne, sont vite oubliées, faiblement sanctionnées (20), car les femmes placent la défense de leurs intérêts corporels au-dessus de la vérité et de la justice, et qu’elles contrôlent notre société. Considérant qu’elles ne sont que rarement coupables, elles laissent les pires d’entre-elles médire jugeant que le mensonge d’une femme n’aura jamais autant de conséquences que la violence d’un homme (3). Des vies sont brisées par dizaines de milliers, en particulier devant la justice aux affaires familiales, mais jamais un Etat très féminisé ne voudra revenir sur ces fausses accusations et les sanctionner au niveau qu’elles méritent. Il faut que les femmes se gardent la possibilité de dire un mensonge pour pouvoir dire une vérité, de temps en temps. Les milliers d’hommes ou d’enfants brisés comptent peu face à une seule femme qui serait victime d’une absence d’écoute.
Le bourdon.
Servant d’intermédiaire aux désirs de sa mère, de sa femme, des employées femmes, le bourdon que les Américains appellent aussi le « chevalier blanc » ou que j’avais précédemment nommé « chevalier-maman »,
ce bourdon donc, a un rôle clef : il est chargé de permettre l’ascension de ces dames, il a été éduqué à être poli respectueux du sexe qu’il identifie comme faible en toutes circonstances, il est irritable quand il se retrouve en opposition face une femme (6, 12). Par contre, il n’hésite pas à s’opposer aux autres hommes dès que l’un de ceux-là montrerait l’ombre d’un manque de respect envers une/les femmes. Il est le fruit de l’inégalité entre pères et mères dans les couples, en faveur des mères, d’où le surnom que je lui avais donné de chevalier-maman. Il est encore dans le giron de sa mère et pollue le monde de son enfermement.
Utilité du bourdon.
Le bourdon fait beaucoup de bruit, mais il est très faible intérieurement. Son seul intérêt est de servir de paravent. Malheureusement pour lui, il ne peut remplir le rôle de parfait mari. Trop bête sentimentalement parlant, trop naïf, trop zélé, il risque à chaque instant de se rebeller dès qu’il s’apercevra que sa compagne ne correspond pas à l’idéal féminin qu’il porte en lui. Ainsi le bourdon est dangereux pour la ruche, et il vit en dehors. La plupart des femmes préfèrent prendre un pauvre type, qu’un bourdon pour compagnon. Cependant, la contradiction est là. Les femmes éduquent leurs fils en bourdons, mais voudraient bien de compagnons réalistes. Cet intérêt contradictoire entre mère et compagne se traduit aujourd’hui par des séparations en masse, voire des situations de célibat accepté.
Les femmes n’ont pas les hommes qu’elles désirent, mais elles sélectionnent leurs fils à devenir des bourdons ou des faibles, et de générations en générations, la désunion entre hommes et femmes grandit.
Le bourdon, bon fils, n’est pas forcément un bon partenaire.
Conclusion
Manque de respect entre nations au niveau international, ambiance au travail étouffante, ingérence, tolérance envers l’idéologie homosexualiste, familles désunies, propagation de l’idéologie de mort pro-choix, incompétence, mutilations, tout cela n’a jamais été possible que par un pouvoir fort des femmes, une intelligence collective dont nous subissons encore les effets néfastes en France et ailleurs parce que nous n’avons pas su la prendre en compte, parce que nous l’avons méprisée. Au lieu de réfléchir à des utopies désincarnées égalitaires, nous devrions prendre nos caractères comme un donné dans le monde et travailler à une société meilleure à partir de ce donné. L’effet ruche doit avoir un cadre et des limites. Envahissant pour notre société, il est une fabrique à ratés parce qu’il n’est pas contrôlé. De même les hommes ont bien des défauts, mais il a été décidé de leur élimination. Il n’est donc pas question de se concentrer sur un problème qui n’existe plus mais de voir en quoi nous pourrions améliorer ce qui peut l’être. Cela passera par une prise en compte du pouvoir des femmes et sa remise en question.
1 « Une équipe sans leader serait plus performante », Cadremploi du 30/01/2015.
2 « Le rap de deux jeunes femmes contre le viol », Madame Figaro du 18/03/2015.
3 « Fausses accusations et si on en parlait ? », Aimeles.net du 18/07/2014.
4 « Meurtres de femmes : les empoisonneuses », Aimeles du 28/10/2014.
5 « Pourquoi la pilule contraceptive n’est pas encore interdite ? », Aimeles du 19/07/2013.
6 « Cet article est une déprogrammation », Aimeles du 28/07/2011.
7 « Supériorité des femmes pour imposer un mensonge en novlangue », Aimeles du 26/01/2015.
8 « Un homme ne peut survivre en démocratie », Aimeles du 19/03/2014.
9 « Le monde de l’entreprise pour les femmes », Aimeles du 29/05/2013.
10 « Elections départementales : la parité absolue », France24 du 12/03/2015.
11 « Il fallait bien qu’elles pourrissent aussi le milieu des jeux vidéos », Aimeles du 26/09/2014.
12 « Dans la Silicon Valley, la parole se libère sur la discrimination des femmes », Figaro économie du 30/03/2015.
13 « Chômage des hommes et des femmes en France », Graphique.
14 « Pourquoi la crise affecte-t-elle les femmes en particulier ? » CADTM du 17/02/2015.
15 « La stupidité des hommes féministes », Aimeles du 08/12/2012.
16 « Il faut interdire les réseaux professionnels féminins très vite. », Aimeles du 21/04/2012.
17 “L’affaire du stylo : l’humour est mort ce soir”, Aimeles du 25/06/2013.
18 “Les publicités sexistes : analyses à l’emporte-cruche”, Aimeles du 24/04/2012.
19 “Virginie était-elle une fille facile ?” Rue89 du 25/03/2015.
20 “Justice entre femmes : existe-t-il des pratiques sexistes ?”, Le Point du 31/08/2012.
21 “L’individu femelle dans les sociétés humaines”, Aimeles du 03/01/2015.
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