Il y a bien longtemps que le féminisme fait plus qu’oser. Il gouverne. Il décide qui doit être choisi ou pas, qui doit être ministre ou pas. Il y a bien longtemps que la compétence n’est plus reconnue, et qu’elle est même combattue.
Dans nos écoles, des femmes se chargent de sous-noter les garçons (1). Plus tard elles recrutent de préférence des femmes (DRH quasi-exclusivement féminines). Et désormais, il ne leur suffit plus que les hommes votent des lois pour elles. Elles sont assez fortes pour commander à la République qui doit être ministre et qui ne doit pas l’être.
Et de nombreux hommes français, des riens du tout toujours persuadés de leur supériorité, lèchent le caniveau que des femmes leur commande de lécher pour détruire ce qui reste de leur sexe.
Pensez-vous que ce soit un hasard si ces hommes pro-féministes sont toujours ceux qui arrivent au pouvoir, de Nicolas Sarkozy à François Hollande ?
Je ne le crois pas.
Les hommes de pouvoir sont formés, cooptés, favorisés puis promus par des femmes. A l’école, le peu de garçon qui échappe à la ségrégation de ce système féminisé, doit montrer patte blanche à l’entrée des entreprises. Si ces hommes osent montrer un tant soit peu d’indépendance, les voilà bizarrement exclus. Oh, il n’y aura pas de cris, pas de scandale, tout se fera en douceur, et sous d’autres motifs (inadaptation, violence, réactions « inappropriées »….). La domination sera cachée par un langage qui donnera bonne conscience à tous. Encore plus tard, des femmes au CNRS, seront chargées de maquiller la domination féminine, de faire apparaître les femmes comme opprimées. Quand on sait que ce sont nos frères qui dorment dans la rue, qui vont en prison, qui sont en échec scolaire, et occupent les emplois les plus dangereux depuis toujours, on aurait envie de crier, de hurler, de taper dans la fourmilière. Mais qui détient les journaux, les moyens de communication, qui est « journaliste ». A 75% des femmes.
Alors, quand ce matin, j’entends qu’ « Osez le féminisme » donne des accessits au gouvernement pour la bonne parité qu’il a « accordé » aux femmes, quand j’entends qu’un ministère des femmes a été créé alors que les premières victimes de notre société sont les hommes, quand j’entends qu’elles osent critiquer qu’il n’y ait pas parité sur les ministères « régaliens », à jamais insatisfaites dans ce monde où elles prennent sans jamais donner, je voudrais qu’on les renvoie où elles le méritent : en prison pour discriminations, en exil pour haute trahison de la Nation française, à des travaux d’intérêt général. Qu’elle soient condamnées ces délinquantes, ces avorteuses, ces eugénistes, ces meurtrières. Mais non, que suis-je bête, ce sont des femmes. Les femmes n’agissent pas mal parce que ce sont des femmes. Il suffit qu’elles nous assènent leurs souffrances pour que tout devienne légitime, puis légal en ce qui les concerne. Elles et leur boîte à plaintes, elles, ces nanties, ces privilégiées, ces exploiteuses insatiables. Dans ce que vous avez de féministe, vous n’êtes que des vampires.
Les hommes, durant des années, ont choisi les gens pour leurs compétences. Ils croyaient même que les femmes feraient de même ! Mais pour les femmes, le pouvoir c’est le sexe. Qu’importe la compétence, puisque les hommes sont des affreux oppresseurs (bien moins qu’elles dans nos familles, bien moins qu’elles dans nos entreprises). Leur marketing communautaire entraîne notre Europe dans un délire débout. Marchez, marchez hommes, continuez à marcher. Quand le système s’effondrera, ce sera de votre faute. N’êtes-vous pas les responsables décisionnels ? Quand ces dames changeront de crémerie si le bateau coule, vous, vous ne trouverez nulle société traditionnelle pour vous accueillir, la vôtre ayant été détruite par les féministes. Par contre, soyez sûrs que d’autres hommes, d’autres traditions, se chargeront d’accueillir toutes ces pauvres femmes « victimes » de notre système moderne… Cela vous plaît-il tant, de jouer le rôle d’éternels cocus ?
Il fut un temps où il y eut des hommes en France. Il serait temps de vous souvenir de vos pères, d’arrêter de les trahir, et de foutre dehors la mafia féministe.
1 « Les enseignantes sous-notent les garçons par rapport aux filles », Atlantico du 17/02/2014
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