Le matriarcat sanglant de France.

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Aujourd’hui nous sommes dans un matriarcat :

 

le pouvoir familial est entièrement détenu par les femmes, le pouvoir juridique est entièrement détenu par les femmes (elles sont majoritaires dans tout le système judiciaire et en plus la justice leur est toujours beaucoup plus favorable),

le pouvoir économique est détenu par les femmes (elles détiennent majoritairement le capital et surtout gèrent majoritairement l’argent dans les familles),

le pouvoir législatif est entièrement détenu par les femmes (elles font passer les lois qu’elles veulent quand elles le veulent).

Or le matriarcat est totalement inadapté au monde moderne. La matriarcat n’est pas adapté à la vie des états modernes. Un état moderne a besoin de personnes capables de sortir de rapports interpersonnels pour gérer la globalité d’une société. L’état moderne a besoin de personnes qui savent trancher, prendre des décisions où l’intérêt général prime sur les intérêts individuels, quitte à défavoriser certains groupes à l’intérieur de la société. Un état moderne a besoin d’autorité et de puissance, d’une mise en avant et de prise de responsabilités, de privilégier l’application de règles plutôt que de prise en compte de situations personnelles. Or le matriarcat déteste toutes ces fonctions.

 

1 L’autorité sociale dans un matriarcat est détenu par des femmes qui ont des attitudes maternelles, protectrices, ou personnalisées. L’autorité dans un état moderne est à l’inverse de cette conception. Dans un état moderne l’autorité c’est être capable de s’opposer aux intérêts personnels. On comprend mieux pourquoi aujourd’hui en France, nous ne savons plus où nous allons. Sans autorité nous sommes tout le temps dans la compromission avec chaque groupe qui compose la société et même parfois avec chaque personne (voir l’affaire Marie Humbert). Un matriarcat dilue l’autorité et finit par l’annihiler en souhaitant répondre à chaque souffrance personnelle, alors que la règle n’est plus vécue comme légitime. L’homme politique doit être proche des gens au lieu de proposer un projet risqué ou ambitieux.

 

2 A l’image de l’autorité sociale, l’autorité familiale dans un matriarcat est bancale. Elle suppose que la femme est à l’origine de l’être, mais aussi des règles de vie. Elle est omnipotente. Or l’enfant qui reçoit la règle a du ressentiment pour celui qui la donne. Il ne peut dépasser son ressentiment que par l’amour de sa mère qui le console mais qui conforte le père. Dans un matriarcat, la femme délaisse l’application de la règle car cela la fait haïr de ses enfants et le père qui ne possède pas l’autorité ne peut pas l’imposer. Les enfants grandissent sans règle par compromission. Au fur et à mesure des années, l’individu dans un matriarcat n’a qu’une chance de se réaliser : soit servir la mère s’il est un homme (qui peut-être sa propre femme), soit devenir mère s’il est femme. En fait, dans un matriarcat, l’enfant n’a aucun chance de s’émanciper. Il est toujours, soit sous tutelle maternelle, soit un exploiteur.

 

3 Le pouvoir économique a besoin d’autorité pour fonctionner. Or le matriarcat n’éduque pas les êtres humains à devenir des chefs. Il les éduque à ses propres fins, ou à la survie de la déesse mère. Oui, il faut un chef pour qu’une organisation soit efficiente dans notre société moderne, des personnes qui écoutent et d’autres qui dirigent, tous au service du bon fonctionnement de l’entreprise. Dans un matriarcat, le chef est détesté, toujours remis en question, voire séduit. Les relations de copinage se développent au détriment de la recherche de l’efficience. Car dans un matriarcat, ce sont les rapports humains et sensibles qui sont au centre de l’entreprise et de l’autorité. On pourrait imaginer que ce soit un véritable bienfait, si on oubliait qu’en se préoccupant de chacun, on oublie l’objectif de l’organisation et qu’on finit par créer forcément de grosses tensions au sein de l’équipe de travail. Seules les femmes issues d’un patriarcat sont capables de dépasser ces contradictions par l’exemple qu’elles ont reçu. Le matriarcat, nous envoie soit des femmes complètement déséquilibrées comme chef, soit des incompétentes notoires. Dans un matriarcat, le chef de la hiérarchie n’est pas celui qui est réellement légitime. Celui qui est légitime c’est celui qui impose son ascendant psychologique et on voit bien à quoi ce système peut aboutir comme dérives tout en étant parfaitement inefficient.

 

4 Que dire de l’autorité juridique dont la principale fin est de trancher les litiges. Le matriarcat déteste trancher, il cherche la conciliation, l’arrangement. La multiplication de juges hommes et femmes issus du matriarcat est à l’exact opposé du rendu d’une bonne justice. Dans un matriarcat, tout le monde est floué : justiciable appelant ou victime. On cherche à arranger les procédures de manière humaine tandis qu’on en arrive à la nécessaire conclusion de trancher. Entre temps, le matriarcat oublie les règles écrites ou orales pour se concentrer sur l’humain. Tout ceci abouti aux injustices qu’on connaît en matière familiale ou ailleurs. Le justiciable finit par être jugé d’un point de vue morale et féminin sans que cela ne soit dit de manière explicite. Ainsi des femmes qui tuent leur enfant à la naissance ou un peu après peuvent même être relâchées par le matriarcat qui considère que d’un point de vue morale, ceci est acceptable car la femme est en souffrance.

 

Conclusion :

 

notre matriarcat français en est venu à absoudre celles qui tuaient leurs enfants, il en est venu à laisser ses enfants faire n’importe quoi puis à les jeter à la rue quand la situation devenait ingérable, à pourrir les ambiances de travail, la justice républicaine et la vie familial et sociale en général. Il est temps de renverser ce matriarcat si nous voulons survivre avant qu’une émeute généralisée n’emporte notre société.

 

Pour aller plus loin : http://www.philo5.com/Textes-references/RubinGabrielle_PasDePeresPasDeCivilisation_100626.htm

53 réponses à “Le matriarcat sanglant de France.”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    "De la sorcière à la ménagère : comment le capitalisme a domestiqué les femmes" L'Obs du 31/10/2019.

    Donc, ne pas aller à l'usine et ne pas mourir de manière prématurée, être protégée, c'était des désavantages. Et puis les femmes ne voulaient pas avoir d'enfants, c'était le capitalisme qui les voulait ! Bien entendu, tuer des enfants, est un droit fondamental des femmes oppressées. Tout est inversé dans une vision satanique dans laquelle le bien est le mal et le mal est le bien, là où la logique a été dévoyée par quelques bourgeoises à qui il a été appris à discourir sans queue ni tête pour nourrir leur jalousie dévorante. Cette jalousie d’ailleurs, a tué bien des sorcières à la renaissance. Ces femmes ne sont pas les descendantes des sorcières, mais de celles qui les faisaient brûler.  


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    "Google et Facebook abusent de leur position dominante vis-à-vis des éditeurs de presse et des pouvoirs publics. L'Europe résistera-t-elle à leur diktat ?" Le Point du 31/10/2019.

    Donc pour résumer, le journal dit le plus libéral de la presse généraliste française, en appelle à l'état pour supprimer toute liberté d'entreprise alors que les dites entreprises leur rendent un service monumental en promouvant leurs articles et en censurant les nôtres. Tellement tyrannique qu'il n'accepte pas qu'une entreprise étrangère échappe au racket français sur l'économie et à la mafia socialiste dont ce journal fait partie. 


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) "Le traumatisme ritualisé comme fondement du contrôle mental" Jeanne Burgermeister du 11/10/2019.


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    "Sylvie Goulard, le mauvais traquenard" Les Echos du 10/10/2019.

    Donc nous envoyons un agent des USA corrompu en pensant que tout va bien se passer parce que c'est une femme…


  5. Avatar de Léonidas Durandal

    « Johnny : veuve éplorée, fille révoltée… les clans qui s’affrontent pour l’héritage », L’Obs du 08/11/2018.

    Les clans de femmes s’affrontent, car s’il ne s’agissait que d’hommes, il y a bien longtemps qu’il y aurait la paix, « clan » faisant référence aux si pacifiques tribus de femmes.


  6. Avatar de peter panpan
    peter panpan

    Je pense qu’il n‘y a plus qu’un soulevement majeur pour redresser la societe …la democratie n’existe plus dans notre pays iu les gouvernement et lobbies font tout et n’importe quoi sans Opposition reelle on est deja en etat d’esclave de la pensee et le matriarcat ne va que faire exploser cette situation car c’est le fondement de cette merde de politique en + les hommes ont perdu leurs couilles ..de ils sont devenu de vrai lache qui ne recherche qu’a tremper leurs pinceaux ..plus de leader


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      Plus de peuple d’hommes.


      1. Avatar de Peter panpan
        Peter panpan

        Malheureusement tout a fait d’accord avec vous

        Merci pour l’excellent travail d’information que vous faites c’est clair, concis, rationnel et très intelligent un boulot de mec..BRAVO


  7. Avatar de Léonidas Durandal

    « Midterms : les femmes mènent la charge », Libération du 19/10/2018.

    Le mouvement de dégénérescence complet aux USA mené par des femmes. Tout un symbole.


  8. Avatar de Léonidas Durandal

    « En Argentine, la crise permanente » L’Express du 20/10/2018.

    Demande de sécurité des femmes communisme échec demande de sécurité des femmes communisme échec demande de sécurité des femmes communisme échec etc…

    Souvent je me dis que notre Pape est issu d’un pays où la masculinité s’est effondrée à un tel point que l’ensemble du pays s’effondre (tout comme en Grèce par exemple où seule l’intervention allemande a permis au pays d’éviter l’effondrement complet, pour l’instant).


  9. Avatar de Manuela
    Manuela

     » Un état moderne a besoin de personnes capables de sortir de rapports interpersonnels pour gérer la globalité d’une société. L’état moderne a besoin de personnes qui savent trancher, prendre des décisions où l’intérêt général prime sur les intérêts individuels, quitte à défavoriser certains groupes à l’intérieur de la société. Un état moderne a besoin d’autorité et de puissance, d’une mise en avant et de prise de responsabilités, de privilégier l’application de règles plutôt que de prise en compte de situations personnelles. Or le matriarcat déteste toutes ces fonctions. »

    Peut-on avoir confiance en des hommes qui ont vécu ce type de pouvoir abusif, qui à l’évidence laisse quelques stigmates? Il n y a rien de pire qu’un homme choyé ou détesté par sa mère, sauf si il admet avoir été abusé…

     


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      J’ai envie de dire, je suis un de ces hommes là, et j’ai réussi à limiter la casse, même si j’en garde des incapacités. Je n’utiliserais pas le terme de « choyé ». Un homme a besoin d’être choyé par sa mère. Je crois que la relation mère garçon relève plus d’une problématique de présence du père pour que cet amour ne soit pas un abus. Quand une femme n’aime pas le père de ses enfants, elle a une fâcheuse tendance à abuser de ses enfants. Elle reporte sur eux un amour qui n’est pas le bon. Je trouve qu’il ne faut pas dire « choyer » car dans ce cas, la mère ne pense qu’à elle. Si cette relation perdure après 5-7 ans, c’est de l’inceste. Aujourd’hui, cet inceste est organisé par la loi lors des divorces. C’est assez terrible quand on songe que le père doit être la loi, et la loi le père. Le massacre actuel est organisé par la civilisation, qui sape ses fondements en s’attaquant aux pères. Reste des mères dépassées, qui ne pourront jamais plus être des femmes, et qui sont un poids pour tout le monde.

      Un homme détesté par sa mère, je n’ose même pas imaginer les dégâts. La plupart des violeurs et des tueurs en série ont ce profil.


      1. Avatar de Manuela
        Manuela

        La problématique de présence de père je connais bien avec le mien qui n’a pas connu son géniteur.

        Ma grand mère défend toujours l’indéfendable, quand il s’agit de ses enfants. Les mères qui ont raté une part de l’éducation de leur enfant, ont une vision binaire de leur comportement. Avec ce type de mère, quand leur enfant abusé rate sa vie, c’est toujours de la faute du conjoint de ce dernier ou tout l’inverse.

        Je voulais dire par « choyé » qu’un enfant abusé l’est par l’entourage en général, je crois que mon père à vécu son enfance dans un schéma comme celui ci une sorte de chouchou, pour compenser l’absence de père, et en même a subi des différences de traitement. Ces hommes deviennent un peu sociopathe.

        Mais pourquoi vous ne parlez jamais des dégâts causés par des pères abusifs?

        Pour les violeurs je ne suis pas convaincue qu’ils aient tous été détestés, comme Fourniret.

        Hitler a été choyé justement et il est devenu complétement paranoïaque.

        Je ne sais pas quel est le pire entre pas aimé son enfant et l’amour incestuel.


        1. Avatar de Léonidas Durandal

          Un père abusif est un père féminisé.
          A ce propos, il y a une très bonne émission des couilles sur la table qui en parle. La personne reçue n’ose entièrement dévoiler la réalité pathétique devant cette féministe sceptique, alors elle parle de pères fusionnels avec leurs enfants. Surtout fusionnels avec maman, qui joue à la méchante femme, l’enfant faisant ses petits caprices, les deux cherchant maladroitement à s’aimer dans la violence. Les violences conjugales se conçoivent à deux :


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