Je viens de m’apercevoir que j’ai châtié un peu durement Binoclard. En effet, après avoir été voir ailleurs, j’ai bien peur que son article reste la première et la meilleure contestation possible de mon site. Suite aux nombreuses interventions médiocres que je reçois des féministes, et qu’il me faut souvent censurer tant le niveau est bas, je dois faire ce constat : je n’ai pas de vrai contradicteur. Je vais rester toute ma vie vie comme Michael Schumacher, gagnant tous les grands prix de l’intelligence, de la culture, de la rhétorique, du développement intellectuel, sans concurrence et sans opposition réelle. Malheureusement à vaincre sans péril on triomphe sans gloire. Pour vous illustrer à quel point l’opposition est faible, voici un article d’une féministe à mon sujet : une de celles-là a décidé de détrôner Binoclard de sa place sur google suite au défi que j’avais lancé. Mais elle est très loin de Binoclard qui est pourtant loin de moi. Devrais-je me contenter d’adolescentes sans culture pour faire mon panégyrique ?Devrais-je toutes les dépuceler moi-même pour leur faire découvrir la vie ? La réponse est terrible. C’est OUI (pour l’instant).
J’espère que ma présente réponse, servira à toutes les autres qui auront les même velléités. Par pitié élevez le niveau !
http://actufeministe.blogspot.com/2011/12/reponse-les-femmes-ne-servent-plus-rien.html
Le plus criant quand on arrive sur ce site c’est le logo. Un « genre » féminin marche sur le monde avec une attitude conquérante. Très beau résumé du féminisme, je n’aurais pas fait mieux :
Il y aurait bien à dire sur la confusion que l’auteure entretient entre sexisme et identité sexuelle, sur ces articles pleins de poncifs, mais là, il n’y a rien d’original. Je me contenterais donc de ce qui me concerne pour ne plus avoir à y revenir.
Les subtilités historiques échappant souvent aux féministes, elles ne connaissent pas l’histoire, et en font une mythologie personnelle. Par exemple, pour cette féministe, je m’identifie à un perdant : Léonidas. Comprend-elle la notion de sacrifice, de victoire des idées au-delà des hommes, de force virile, de responsabilité civique ? Non pour une féministe c’est incompréhensible, beaucoup trop subtil ! Mademoiselle a besoin d’explications et il me faut lui faire sa culture (en plus du reste) : je sais que je vais, personnellement perdre cette bataille. Mais je gagnerai la guerre. Léonidas perd pour faire gagner la société. Il se sacrifie. A sa suite, 1million de Perses seront battus par 50 000 Grecs, unis, entre Spartes et Athéniens.
Dans l’esprit d’une féministe tous ceux qui s’opposent au féminisme sont forcément masculiniste, des hommes qui n’assument pas leur antiféminisme. Cependant, il est en dehors de leur champ de conception d’imaginer qu’un homme soit antiféministe et pas du tout masculiniste. Je n’ai pas besoin de cultiver mes valeurs masculines pour me sentir homme. Je châtie le féminisme, c’est tout. Le féminisme veut nous faire croire que les identités ne sont pas stables ou souhaitables. Elles le sont très fortement chez moi.
N’ayant que peu réfléchi à son article, salopant le travail, la partie qu’elle recopie de mon article est plus longue que ce qu’elle écrit elle-même. Celle-là désirerait que je quitte mon pseudo parce que je n’assumerais pas mon combat. Croit-elle pouvoir jouer sur mon hypothétique complexe de supériorité pour me faire sortir de l’anonymat ? Aujourd’hui les féministes sont flattées, et elles sont pourtant plus incapables et idiotes que jamais. Elles peuvent donner leur nom. Il n’y a aucun risque pour elles sauf à passer pour des imbéciles aux yeux de ceux qui les lisent (et elles ne se privent pas de cet avantage certain dans notre monde). Par contre celui qui mène un combat comme le mien a besoin de se protéger. Je me protège des féministes, qui je le sais, me rendraient la vie impossible comme elles la rendent à tous ceux qui essaient de s’opposer à elles dans leur entourage. Ce sont des tyrans du quotidien qui n’hésitent pas à utiliser les fausses accusations, les mensonges, les calomnies, pour arriver à leurs fins. Face à cela, je me défends par l’anonymat. Contre cela, elles ne peuvent rien, et elles n’y pourront jamais rien. Voilà comment j’ai décidé de contourner leur diktat. Cela les fait enrager : tant mieux !!!! Je sais être en position de faiblesse. Je n’ai pas la prétention d’en démontrer à ces femmes en termes de vilenies, d’absence de morale, de coups tordus. Sur ces points, je les sais beaucoup plus fortes que moi et j’attendrai d’être un peu plus fort pour changer de stratégie. En attendant, mesdemoiselles, pérorez dans le vide, c’est bon de vous voir ramer.
Comme le niveau est trop élevé pour elles, il faut toujours qu’elles cherchent des explications psychologisantes à mon combat. Cela leur évite de se poser des questions philosophiques et de se remettre en question. Je dois avoir un problème avec ma maman, avec les femmes, j’ai un mauvais comportement avec « elles ».
A l’inverse, je crois que beaucoup de femmes ont un mauvais comportement avec moi, et qu’elles ont un problème avec les hommes, en particulier s’ils s’assument. Par exemple, celle-là insulte ma maman comme seule réponse à mon article, sous-entendant qu’elle m’aurait mal éduqué ou que je n’aurais aucune gratitude pour elle. Croyez-vous que parce que vous enfantez, vous avez le droit de dire ou de faire n’importe quoi ? Vos enfants ne vous appartiennent pas et si vous vous comportez comme des traînées, ils ont le droit de vous en faire part, que vous soyez leur mère ou pas.
La notion de progrès est sibylline pour une féministe : l’égout est le summum du progrès social. Je serais d’une époque qui aurait précédé son invention. Eh bien, je m’en gargarise. Je suis plutôt d’une époque où on essayait de se respecter entre hommes et femmes, d’une époque qui n’ignorait pas les différences et les gérait grâce à la religion, d’une époque paisible, d’une France paisible (« qui n’a pas connu la France de l’ancien régime, n’a pas connu la douceur de vivre » aurait dit Talleyrand), d’un Moyen-Age cultivé, et soumis à Dieu, d’êtres libres de parler, libres de penser, qui s’affrontaient dans des joutes d’un haut niveau (entre catholiques, avec des musulmans), d’une belle Europe. Je ne suis pas de l’inquisition de la Renaissance, de sa superstition et de ses sorcières, du faux-progrès des sciences, de son orgueil, de la Révolution, des médiocres petites lumières qui ont amené le feu et le sang dans notre monde, tout en trahissant le peuple et la démocratie. Par contre, les féministes, elles, sont de cette époque. Elles croient pouvoir en être fières, elles feraient mieux d’en avoir honte.
Les féministes accusent facilement les hommes de ne pas vouloir s’occuper des enfants, surtout s’ils sont antiféministes. Tel n’est pas mon propos. Je n’ai pas dit que les hommes ne s’occupaient pas de leurs enfants ou ne devaient pas s’en occuper, j’accuse les femmes de ne plus s’en occuper. Et je pense que le maternage ne doit pas concerner les hommes. Beaucoup d’hommes doivent pallier à la fainéantise de leurs femmes de nos jours. Ils se féminisent parce que des femmes jalousent leur monde et veulent se l’approprier. Ces femmes renversent les rôles puis accusent les hommes de ne pas vouloir accepter leur féminisation ! Avec qui ces méthodes marchent-elle ?
Mon article sur les femmes qui ne servent plus à rien, n’est pas un article sexiste. Bien avant, j’ai fait un article sur l’inutilité des hommes (elles pourraient me lire avant de me critiquer). Je ne veux pas supprimer les femmes, tout au contraire. Je suis persuadé que ce sont les féministes qui sont en train de les supprimer. Dans votre monde du « genre », en fait, hommes et femmes n’ont plus leur place… J’attends donc des femmes qu’elles s’élèvent un peu. J’attends que les hommes s’assument d’autant plus. Je suis un identitaire de la différence sexuelle. Et je suis fatigué de l’attitude médiocre de beaucoup de femmes françaises et en particulier de leurs réflexions médiocres sur mes articles qui prouvent combien j’ai raison. Au lieu d’améliorer leur culture, elles volent celle des hommes, puis devant leur incompétence, finissent par renier leur identité ! (à travers le genre) Cette fuite en avant n’est plus acceptable. Puisque vous êtes de plus en plus nombreuses à vous comporter comme de petites irresponsables, des enfants, il est temps que des hommes vous remettent à votre place de femme, et exigent que vous vous assumiez en tant que femmes. Et si vous ne le voulez pas, il n’est que temps que nous vous enlevions tout soutien.
Dans ce même article, je démontre en quoi de nombreuses mères sont devenues égoïstes, cupides, vénales et sans conscience, je cite des exemples et je développe un argumentaire. Les féministes ne comprennent pas la notion d’argument. Donc, jamais, elles ne répondent, ou ne peuvent répondre, à mes assertions. Il faudrait qu’elles s’élèvent mais elles ne s’aperçoivent même pas de leur médiocrité.
Cette médiocrité s’accompagne, bien évidemment, du tutoiement. Quand on ne respecte pas la vie, qu’on vit sans Dieu, ni maître, dans une irresponsabilité totale, le respect de l’interlocuteur est anecdotique. Et je voudrais m’adresser directement à l’auteure en quelques mots pour prévenir de futurs débordements d’hystériques : « vous avez été volontairement malpolie et en plus d’être sans culture, faisant preuve de peu d’intelligence (ce qui est excusable à votre âge), votre tutoiement citoyen indique les formes les plus inquiétantes de la bassesse morale. Ca c’est le signe d’un manque d’éducation et d’une dérive hystérique personnelle coupable qui seront difficiles à corriger. La contestation de l’iniquité est l’irrévérence. La révolte contre l’intelligence est signe d’inculture. Vous n’avez pas reconnu la première en moi, de vous-même, vous vous placez dans la seconde. »
Je me permets de corriger le « Encore plus pire » et loin de jeter l’opprobre sur l’orthographe, la grammaire ou le style de l’auteure (chaque écrivain étant un apprenti en ce domaine), je me permettrais de faire remarquer l’acharnement contenu dans la tournure, l’excès dans lequel se trouve la féministe à cet instant précis, dont la colère interdit l’expression. L’hystérie commune à cette espèce se révèle à travers la formule.
Il faudra aussi que les prochaines féministes qui m’interpelleront veillent à ne pas me prêter des paroles que je n’ai pas prononcées, qu’elles ne se laissent pas aller au transfert. Je ne suis pas le père qui les a abandonnées, je ne suis pas le père qui les a battues comme plâtre, je ne suis pas le père dénigré par leur mère, je ne suis pas le faiblard qui baisait les orteils de leur mère. Je ne suis que moi, et mettre des paroles d’un autre dans ma bouche, relève de la psychanalyse, et non du débat. Ainsi, je n’ai pas dit que « les femmes étaient des salopes », que les hommes « rentrent le soir à la maison, mettent les pieds sous la table et exigent un bon repas et que les enfants soient au lit, pas question que des braillements viennent déranger les oreilles de l’homme. Après tout, lui a travaillé. » etc… etc... et merci également d’éviter les caricatures maladroites.
Voilà le genre de propos qui me font perdre mon temps. Voilà le visage du féminisme au quotidien. Voilà la médiocrité que je dois affronter et que notre société a fait sienne, tout cela pour que des femmes continuent à usurper des places (ici de journaliste, Wernaers Camille) et préservent leurs planques à travers l’idéologie féministe (si on appliquait l’égalité dans ce milieu ?). Fidèles lecteurs, sachez que celle-là va devenir journaliste et qu’elle grossira les rangs des petites écervelées planquées qui cracheront sur vous le moment venu et qui tenteront de vous faire culpabiliser pour vous contrôler. Elles seront aussi de celles qui vous interdiront l’accès aux métiers où elles seront majoritaires. Elles participeront à vous mettre des bâtons dans les roues là où vous serez (partout où leur propagande se répandra).
Cependant, la justice vient, même si elle arrive toujours en retard. Aujourd’hui, le système hyper féminisé et poussiéreux des journaux soporifiques, menteurs, sexistes et incultes est en train de s’effondrer. Puissent-elles être de plus en plus nombreuses à connaître le chômage. Elles l’ont tant mérité.
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