Conte introductif
Il était une fois un tout petit pays qui vivait heureux parce qu’il rêvait. Il rêvait de devenir souverain, de devenir riche et instruit, et d’étendre sa richesse à tous les pays autour de lui. Les gens y connaissaient les mêmes malheurs qu’ailleurs, ils mourraient, enduraient les souffrances de la maladie, et les difficultés à choisir une orientation dans leur vie. Mais ils rêvaient et cela faisait une grosse différence par rapport à tous les autres pays du monde entier.
Dans le grand pays voisin, les gens étaient riches, ils étaient déjà instruits et très intelligents. Mais ils ne rêvaient plus. Ils croyaient être les meilleurs, ils croyaient avoir atteint le haut de la civilisation. L’ogresse qui dirigeait le pays leur ramenait les dépouilles encore chaudes de ses ennemis, et les gens de ce grand pays s’étaient habitués à les dévorer. Au début c’était un peuple qui avait rêvé lui-aussi. Comme le petit pays, il avait rêvé de liberté et de richesses. Au nom de cet idéal, les gens du grand pays avaient chassé les autres habitants, moins riches et moins intelligents. Puis ils se mirent à dévorer les étrangers qu’ils achetaient à d’autres pays où les ogres régnaient. Puis ils firent rêver les étrangers de ces pays qui vinrent tous seuls se faire dévorer. Enfin, ne trouvant pas assez de chair fraîche dans leur propre pays, ils allèrent en chercher ailleurs, dans les petits pays. Depuis longtemps, ils étaient devenus des ogres, mais ils ne le savaient pas.
L’ogresse de ce grand pays ne supportait plus désormais, la moindre contradiction. Et il y avait un pays plus que tout autre qu’elle ne supportait plus. C’était ce petit pays où les gens rêvaient encore. Elle remuait, tournait en rond et ne savait plus comment s’en défaire. C’était un petit caillou dans sa chaussure qui l’empêchait de marcher. Elle n’en dormait plus.
Dans tous les pays, il y a des ogres qui se cachent. Et dans ce petit pays aussi l’ogresse savait pouvoir trouver des alliés ogres. Elle demanda donc aux ogres de ce petit pays de le mettre à feu et à sang. L’ogresse lui donna des armes, et en principal le petit écran de lumière qui obligeait les gens à croire en tout un tas de mensonges. Elle plaçait son petit écran de lumière en face de ses fidèles sujets, et ceux-là devenaient prêt à tout, et surtout à combattre pour l’ogresse. Et puis, ils étaient devenus avides de sang, eux-aussi, et même s’ils ne croyaient plus en l’ogresse, ils faisaient semblant d’y croire pour avoir, eux-aussi, leur part de chair fraîche. Les ogres du grand et du petit pays armés, l’ogresse ne fit qu’une bouchée de ce petit pays qui rêvait. Elle rit beaucoup à la mort des gens du petit pays. Elle rit beaucoup, jusqu’au jour où elle eut encore très faim…
Morale de l’histoire
Hommes : ne laissez jamais plus dire, devant vous que le monde des femmes est plus pacifique.
La mort du général Kadhafi a beaucoup fait rire Hillary Clinton…
Je n’ai jamais vu une telle vulgarité s’afficher sans honte devant un écran de télévision. Peut-être avant, auriez-pu vous croire que nos déesses étaient incapables d’un tel manque de scrupule. Eh bien vous voilà rassurés. Elles sont capables de faire pire, de rire, comme d’un détail de la mort du petit, et même de la moquer en singeant Jules César. En occident, voici des centaines d’années que nous allons nous battre pour elles. Elles nous poussent à la guerre pour satisfaire à toutes leurs lubies, la dernière de celle-ci étant de nourrir une armée de fonctionnaires. Leur lâcheté n’a eu jusqu’ici d’égal que leur absence de remords. Elles ont même été jusqu’à vous accuser, vous, hommes, d’être sanguinaires ! Tandis qu’elles profitaient des résultats de la guerre ! Que celle-ci soit gagnée ou bien perdue. Les quelques dommages collatéraux qu’elles ont eu à subir, n’ont rien été en comparaison des bénéfices qu’elles ont touchés de la mort de ces millions de ventres à nourrir qu’on appelle hommes.
Mais la responsabilité nous en incombe également.
Nous les avons traitées comme des agneaux, tandis que sous notre toit, dormaient des loups. Il est temps de revenir à plus de mesure. Ils est temps de faire acte d’autorité et dire stop à un esclavage qui rend chacun des membres du couple irresponsable. Le laisser aller est général : nous laissons nos déesses à visage d’enfant profiter de notre intelligence et de notre travail, tandis que nous profitons d’une paix odieuse dans nos ménages. Oui, je veux la guerre. Mais je ne veux plus la guerre entre hommes. Je veux que vous alliez débusquer l’ennemi là où il est : chez ces femmes cupides et sans aucun sentiment qui font de vous des marionnettes, et qui se moquent bien de votre mort. Celles-ci sont vos femmes quand elles ne vous respectent plus et vous parlent mal, celles-ci sont vos filles quand vous ne leur donnez plus d’éducation, et désormais, celles-ci sont vos gouvernantes quand vous les élisez.
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