L’épidémie de microcéphalies en Amérique latine est probablement le plus gros scandale sanitaire et écologique de cette décennie. Les féministes sont en train de le couvrir pour pouvoir imposer leur idéologie des infanticides par avortement. Et elles possèdent cette fois des relais comme jamais : Monsanto, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), le gouvernement brésilien dirigé par Dilma Rousseff rien que cela, mais aussi tous les journaux qui se sont empressés de terrifier les populations d’Amérique latine pour soutenir ces idéologues dont l’action est jugée de manière positive parce qu’elles sont des femmes.
Or, il s’avère que le virus Zika n’est absolument pas responsable de l’épidémie de microcéphalies au Brésil, tout au moins pas directement. Ce serait même les produits insecticides qui auraient été pulvérisés pour lutter contre lui qui seraient à l’origine de ces malformations.
Il n’est pas possible que le virus Zika soit responsable des microcéphalies
Comme le souligne le Figaro Santé, la Colombie qui est le deuxième pays le plus touché au monde par le virus Zika, n’a recensé « aucun cas de microcéphalie qui pourrait être lié au virus n’a été recensé pour l’instant. ». 3 177 enceintes contaminées ont pourtant été comptabilisées là-bas, sans qu’aucune n’accouche d’un enfant malformé.
Statistiquement, il est donc impossible que le virus Zika soit la cause réelle de cette épidémie. Les traces de virus trouvés dans l’amniocentèse de certaines femmes n’expliquent rien. Elles servent de paravent à la réalité.
L’hypothèse de l’insecticide pyriproxyfène pulvérisé pour lutter contre les moustiques
Le docteur argentin Eduardo Avila Vasquez qui a mené sa contre-enquête souligne que les cas de microcéphalies sont apparus dans des régions où cet insecticide avaient été pulvérisé en masse. En outre, il est étonnant de constater la similitude d’action entre ce larvicide qui atrophie les moustiques ainsi que leurs larves et les microcéphalies d’enfants (Le pyriproxyfene est un inhibiteur de croissance des larves de moustique). Les détracteurs du docteur lui opposent que des régions entières n’ont pas été exposées à ce pesticide et que les cas de microcéphalies y ont pourtant augmenté. Or en guise de régions entières, il s’agit uniquement de la Polynésie française et du « Recife ». Pour cette première, les chercheurs seraient sur la piste d’un vaccin défectueux, mais ils vont avoir du mal à conclure étant donné le petit nombre de cas (16 malformations d’origine inconnue). Dans le « Recife », d’autres insecticides sont utilisés et pourraient avoir les mêmes effets que le pyriproxyfène. En tout état de cause et à ce jour, les malformations ont été provoquées soit par des insecticides comme ceux de l’entreprise japonaise Sumitomo Chemical très liée à Monsanto, soit par mutation du virus dû à ces mêmes insecticides soit par des manipulations génétiques sur le moustique (voir à la fin de l’article de Libération), soit par ces trois raisons à la fois. Le scandale sanitaire est sans précédent. L’OMS est impliquée, le gouvernement brésilien est impliqué, des chercheurs reconnus sont impliqués, de grandes entreprises mondiales, ainsi que les journaux qui ont cru bon de soutenir les mouvements féministes à cette occasion, Le Monde, l’Express, Libération, sont impliqués.
Les incompétents
En effet, en réaction à l’épidémie, le gouvernement brésilien et l’OMS ont répondu par une propagation massive d’insecticide en plus ! Les mouvements féministes ont quant à eux demandé la possibilité d’avorter les femmes en urgence dans des pays où les infanticides sont systématiquement interdits. Les vrais responsables doivent bien rigoler, eux qui auront moins de familles à indemniser.
L’action féministe
Women on Web, une ONG néerlandaise, a annoncé mardi qu’elle offrirait des pilules abortives aux femmes enceintes à travers le monde qui craignent le virus Zika.
Facile de jouer sur les peurs des femmes pour leur faire faire n’importe quoi. Pour rappel, cette organisation utilise son bateau pour faire avorter des femmes dans les eaux internationales à chaque coup médiatique qui se présente. Celui-ci vogue actuellement au large des côtes américaines.
Le planning familial international (IPFF) est encore allé plus loin puisqu’il a incité toutes les femmes porteuses du virus à se faire avorter. Là encore, qui indemnisera les familles qui auront éliminé un enfant sain, puisque la majorité des femmes porteuses du virus accouchent d’un bébé sans malformation ? Personne, malgré les millions d’euros que cette organisation déverse en Amérique latine pour y autoriser l’avortement contre toute tradition là-bas.
La responsabilité féministe
En validant de fait l’hypothèse simpliste du virus comme propagateur de l’épidémie, les féministes ont permis faire vivre un mensonge lourd de conséquences. De fait, elles empêchent toujours une vraie prise de conscience sur ces problèmes et participent à la désinformation.
Au nom de leur cause, elles incitent aussi les femmes à avorter d’enfants sains, elles leur donnent les moyens de les tuer, elles propagent une désinformation complète sur le sujet, et alimentent la peur des populations pour gagner en pouvoir.
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(Vidéo) "LE B.A.-BA DE BÉA BACH N°4: LE GARDASIL, AVEC GÉRARD DELÉPINE ÉMISSION" ER du 25/02/2020.
Tout cela pour protéger les pauvres femmes du cancer du col de l'utérus. Dernièrement, il fallait aussi vacciner les garçons (revendication féministe) pour protéger les pov' femmes, c'est à dire tuer les garçons pour rassurer les pov' femmes, qu'on ne rassurera jamais.
"Les Etats-Unis affaiblissent un texte de l’ONU sur les violences sexuelles lors de conflits, la France « consternée »", AFP du 24/04/2019.
Autoriser les infanticides par avortement à cause des viols de guerre. Il fallait l'inventer.
"Dans le monde, un avortement sur deux reste dangereux pour la femme, dénonce l'OMS", L'Obs du 28/09/2017.
Mais bien entendu, il n'est pas du tout dangereux dans les pays où il est légalisé. Tartufes.
"Zika : plus une urgence, toujours une menace" Figaro du 21/11/2016.
"L’urgence de santé publique internationale a été levée. Une décision technique, qui ne préjuge pas de la fin de l’épidémie."
En somme, l'épidémie continue, mais elle ne fait plus partie des priorités de l'OMS mais bien entendu "Désormais, «le lien est clairement établi, par des études épidémiologiques, mais aussi des travaux menés in vitro et sur des modèles animaux», précise le Pr Arnaud Fontanet de l'institut Pasteur"
Or à la ligne suivante, nous apprenons que :
"Le “syndrome congénital lié au virus Zika”, qui regroupe les microcéphalies et d’autres complications neurologiques, c’est de l’ordre de 5 à 20 % des enfants nés de mères infectées durant la grossesse."
Conclusion : le virus Zika est donc secondaire dans l'apparition des malformations. Ces dernières n'apparaissent que dans d'autres conditions précises qu'il reste à déterminer (certainement l'utilisation de ces mêmes pesticides pour lutter contre le moustique transmetteur de la maladie). Autant dire qu'il s'agit là d'un scandale sanitaire sans précédent, appuyé par des laboratoires complaisants, et une idéologie féministe meurtrière, prête à faire avorter toutes les mères contaminées durant leur grossesse tandis qu'une très petite minorité d'entre elles allaient donner naissance à des enfants malformés.
L'échec d'une institution, cachée par l'institution (journaux, médecins) au nom d'une institution de ratés. Scandaleux.
"idéologie féministe meurtrière"
Triple plénonasme :D
(Vidéo) Alain Soral "Zika, un virus qui tombe un pic !"
Soral répond ! – L’émission du 14 février 2016... par ERTV
"Zika s’attaquerait aussi au cerveau des adultes", Les Echos du 11/03/2016.
Un vieux de 81 ans sans défense immunitaire a eu une méningite à cause de Zika et voilà la panique qui se propage. Cela prouve seulement que la baisse des défenses immunitaires est à l'origine de la contamination du cerveau, ce qui prouverait qu'il faudrait aller chercher du côté de la baisse des défenses immunitaires, plutôt que d'un virus qui fait forcément des dégâts chez une personne fragile physiquement.
"Zika et microcéphalie: la première preuve du processus biologique", Figaro du 04/03/2016.
Reste à savoir pourquoi un virus qui ne provoquait aucune microcéphalie, en produit à la pelle désormais.
""Oui, le virus Zika peut causer un syndrome de Guillain-Barré"", L'Express du 01/03/2016.
Alors comment noyer le poisson : d'abord parler d'effets secondaires d'une autre maladie qui touchent 2,4 personnes sur 10 000 personnes infectées par le virus Zika, puis faire le rapprochement avec les cas de microcéphalie parce que le virus aurait été découvert dans le cerveau de certains bébés. Le hic, c'est qu'il n'a pas été retrouvé dans une majorité de femmes enceintes porteuses du virus. Si le virus Zika est présent dans le cerveau de certains enfants et pas d'autres, si les barrières immunologiques fonctionnent dans un cas et pas dans un autre, si ce virus provoque des microcéphalies dans un cas et pas dans d'autres, mais aussi chez des personnes non atteintes par le virus, il faudra peut-être étudier le rôle génétique ou environnemental dans la faiblesse de ces barrières immunologiques ou tout simplement l'effet de produits chimiques connexes utilisés pour s'attaquer aux moustiques...
Cet article est donc tout sauf scientifique. Il est politique. Si une seule femme a avorté à cause de l'Express, je dis que ce journal a du sang sur les mains, et que l'OMS n'en a pas moins.
"Virus Zika : les chiffres de la microcéphalie au Brésil sont-ils vraiment exceptionnels ?", RITV du 11/02/2016.
Pour Anne Dolhein, les féministes se servent seulement d'une anomalie statistique au Brésil.
"El Salvador : 13 femmes enceintes infectées par Zika, aucun cas de microcéphalie confirmé", MPI du 18/02/2016.