En lisant le titre de mon article, vous jugerez certainement qu’il est normal de contrôler les fréquentations d’un jeune garçon pour éviter qu’il ne soit entraîné dans la délinquance. Mais je ne veux absolument pas parler de cette nécessité éducative, encore que celle-ci puisse servir de justification à tous les abus que je vais évoquer par la suite. En effet, il faut toujours accomplir le mal au nom d’une noble intention dans notre monde où le démon a été débusqué. Ainsi des mères peuvent-elles assassiner un homme mais, au choix, pour les protéger d’un pédékiraste qui n’en est pas un, d’un mari déclaré violent alors qu’elles sont violentes, ou encore éliminer les hommes de secteurs professionnels entiers au nom de l’égalité. Et j’en passe. La liste serait trop longue tandis que ce sujet devrait principalement faire l’objet de recherches théologiques.
L’idée à retenir est qu’une femme, particulièrement une femme, ne verra ses actions remises en cause sans qu’elle n’avance une défense habile faite de justifications de bon sens qui détourneront l’esprit critique de l’évidence de sa responsabilité. Elle a tué parce qu’elle était faible, elle a oppressé parce qu’elle ne supportait pas telle ou telle situation, elle a censuré sur internet pour éviter la propagation d’idées nauséabondes, elle a contrôlé au nom d’une nécessité éducative. Et pour le sujet qui nous concerne aujourd’hui, elle a mis sous tutelle un homme pour le protéger.
Sur ce dernier point, vous noterez que la raison essentielle du contrôle se meut au travers d’une mécanique d’irresponsabilité de l’homme. S’il est vrai que durant une courte période de notre histoire humaine, les femmes ont été assignées au statut de mineures légales leur vie durant, il n’en est pas moins vrai que dans l’intimité, elles se sont toujours efforcées d’infantiliser les hommes pour les subjuguer. Le statut de mineure légale dans la société avait surtout pour but de contrebalancer une minorité de toujours des hommes dans les rapports personnels. Et nous allons voir aujourd’hui comment.
L’enfance
Voilà où le contrôle est le moins évident à remettre en question. Un petit garçon se met en danger, la mère intervient pour le protéger et personne ne le lui reprochera, encore que, déjà, elle est incapable de discerner la situation éducative de la limite à ne pas franchir. Son seul but, c’est de protéger la vie de son enfant, ou éviter qu’il ne se fasse mal, ou éviter tout simplement qu’il fasse des expériences pour grandir. Ces distinctions ne l’intéressent pas, en particulier si elle ne met pas les valeurs paternelles au-dessus de tout. Mais même si elle a reçu un héritage civilisationnel, elle sent qu’elle aura intérêt à franchir les limites, que l’abus est facile et que personne ne pourra la remettre en question, en particulier si son compagnon n’a plus de représentation institutionnelle.
Dans ce cas, l’enfant devra pratiquer tel sport plutôt que tel autre, parce que c’est dangereux, inutile, en vérité pour lui éviter de grandir et de suivre ses aspirations. Il ne devra pas fréquenter tel ou tel copain, parce qu’il lui fait faire des bêtises, en vérité parce qu’il est trop indépendant et risquerait de relativiser son rôle de mère. Il ne devra pas toucher les produits dans le supermarché parce que ça ne lui appartient pas, en vérité, elle le houspillera jusqu’à ce qu’il confonde intégration sociale et règles édictées par sa mère.
Si ces distinctions vous semblent abstraites, essayez de songer à ce petit garçon qui s’est rapproché de la rame de métro et que sa mère humilie devant tout le monde, de manière disproportionnée, alors qu’il n’a pas l’âge de comprendre, parce que certaines limites spatiales lui sont inconnues. Ou à cette mère qui se met à genoux devant son enfant de 3-4 ans en lui criant droit dans les yeux, et devant tout le monde “c’est la dixième fois que je te dis de ne pas toucher les étalages”, l’enfant immobile, le regard ailleurs, fuyant en pensée pour survivre psychiquement à une injonction qu’il n’a pas encore intégrée parce qu’il est trop jeune pour ce faire, et qu’un jeune esprit, particulièrement garçon, a soif de découvrir son environnement.
Vous le sentez, ces deux mères ont raison. Mais en même temps, une violence qui ne dit pas ses mots transpire de ces comportements. En fait, ces mères là, n’essayent pas de faire grandir leur enfant. Elles se les approprient psychiquement. Il vaudrait mieux qu’elles les fessent car ces enfants comprendraient qu’ils ont franchi une limite physique. Au contraire, ici, ils intégreront la brimade comme d’un interdit quasi spirituel. L’enfant aura osé faire preuve d’autonomie. L’autonomie aura été sanctionnée et finira par être considérée comme une mauvaise action. N’ayant pas grandi pour l’occasion, chaque situation de vivre de manière autonome plus tard, exposera l’enfant à un danger qui se réalisera forcément à un moment donné ou à un autre et qui validera les vues de la mère.
Avec l’expérience, toute mère va intégrer plus ou moins instinctivement, que l’abus par le détournement des bonnes intentions, va lui donner du pouvoir, et que ce pouvoir va lui permettre de contrôler son entourage, soit disant pour la guérir d’angoisses qui ne feront qu’aller croissant pour justifier sa prise de pouvoir (la peur de voir l’enfant emporté par une rame de métro, la peur de voir son enfant devenir un délinquant…). Elle piquera une crise si son mari la remet en question, elle lui fera la guerre pour qu’il admette sa prééminence de mère sur sa progéniture, et quand il aura cédé, car qui veut vivre dans un climat de perpétuelle violence, elle contrôlera “ses” enfants dont elle pourra se servir pour faire pression sur toute la société, y compris son mari (voir le roman de Mauriac « Le nœud de vipères »).
Alors en situation confortable, jamais exposée directement, elle pourra envoyer ses petits soldats combattre pour elle, qui d’un professeur trop charismatique, qui d’un mari révolté, qui d’un voisin dérangeant. Dans ce cas, ses enfants verront le monde déformé à travers son regard, et deviendront incapables de juger de par leurs propres sentiments, même à l’âge adulte. Mineur un jour, mineur toujours. Ils auront beau quitter le foyer ou bien détester leur mère et rejeter son éducation, ils seront sous son emprise. Le plus souvent ils reviendront se soumettre à tous ses desiderata en cas de souci, voire ne quitteront jamais vraiment le foyer comme tous ces hommes des pays arabes sanctifiant leur mère, ou comme tous ces hommes passant de femmes en femmes en Afrique noire.
La tribalisation est à l’oeuvre aussi dans notre société, même si la persistance d’une civilisation marginalise encore aujourd’hui, ces enfants. Car leur intégration sociale ne peut être que lacunaire. Par exemple, la fidélité à la tribu va primer sur toute considération de vérité, de justice. Or une civilisation fonctionne sur un état de droit qui déconsidère les réflexes tribaux. Si vous tuez quelqu’un parce qu’il est sur votre territoire (réflexe normal de certains banlieusards), une civilisation saine ne devrait pas vous trouver d’excuse. Tout comme si un représentant des forces de l’ordre tente de vous arrêter et que vous vous cachez près d’un transformateur électrique et que vous vous électrocutez, une civilisation n’ira pas pleurer sur vous, ni même faire de procès aux policiers concernés.
Or la déliquescence du corps familial chez nous, prend des atours parfois plus détestables que dans les tribus quand on songe que dans notre civilisation en bout de course, le rôle des pères peut être réduit à néant par le biais de l’intervention du socialisme étatique conjugué à une technologie hors de contrôle (pour faire un parallèle sur la question de l’élimination des pères par les inséminations artificielles et les modifications géniques qui se justifient par un “puisque ça existe, ce sera utilisé”, c’est comme si nous autorisions l’usage des bombes nucléaires dans les relations internationales parce que nous en avons la possibilité).
Plus précisément, et pour en revenir à la thématique de mon article, l’enfant n’aura le droit de fréquenter d’autres enfants que s’ils conviennent à la mère. Bien entendu, au fur et à mesure de l’avancement en âge du petit, la mère va devoir jouer d’habileté pour justifier de son emprise. Elle ne pourra plus l’écarter de tous, elle devra lui faire agréer à ses vues. La mise sous tutelle du père sera alors essentielle pour qu’elle puisse garder son contrôle. D’où la guerre qui lui sera faite pour le mettre sous tutelle lui-aussi et que j’aborderai plus en détail après.
Sur la mise sous tutelle des fréquentations d’un enfant, l’exemple le plus éloquent que je connaisse dans mon entourage est celui d’un ami qui tentait à 20 ans un concours exigeant et dont la mère m’a demandé de le laisser travailler cette année là. Elle n’a pas hésité à intervenir directement pour que je ne le dérange pas et que je ne sois pas un obstacle à sa réussite. D’aucuns pourraient trouver ce récit anecdotique. Voire trouver cette mère admirable de vouloir protéger son petit. Allons quoi, il fallait bien qu’il réussisse. Seulement à 20 ans, prendre en charge un enfant ainsi, c’était douter de son autonomie, de sa motivation à réussir dans la vie, de sa capacité à se concentrer pour des études exigeantes. A 20 ans, dans son esprit tout au moins, il travaillait encore pour elle.
Le petit a effectivement réussi. Il a acquis famille et statut social élevé comme elle l’entendait. Tout va bien en apparence. Sauf que parfois, il lui arrive de se demander pourquoi il a fait tout ça. Selon des critères universellement reconnus, il devrait être l’homme le plus heureux du monde. Sa mère lui a transmis de bons repères. Cependant, il n’a pas encore une autonomie complète symbolique par rapport à elle. Il a agi pour elle, jusqu’à un âge trop avancé. Et du coup, toutes les richesses qu’il possède ne réussissent pas à le combler. Il est vrai que personne n’échappe à la quête de sens dans une vie. Cependant l’homme sous tutelle d’une mère sera toujours déchiré entre une conception personnelle de la vie, donc une autonomie de fait, et un cadre maternel enfermant qui l’aveuglera, même au milieu des honneurs. Pour le dire plus simplement, il ne saura jamais s’il a agi pour lui ou pour elle. Voyez combien la civilisation est difficile d’accès. Celle-ci n’exige pas seulement l’élévation sociale, mais l’autonomie psychique des hommes qui réussissent.
Plus qu’une personne venant d’Afrique noire, ce garçon avait pourtant hérité d’un capital culturel important, moins qu’un sémite d’aujourd’hui, il ne sanctifiait sa mère, mais comme un nordique il avait reçu en héritage une vision tribale de la société qui l’a empêché, jusqu’à aujourd’hui, d’édifier notre civilisation. Vous noterez combien ici comme ailleurs, l’immigration peut constituer un déchirement, financier, culturel, familial important, même chez une personne qui a « réussi ». Si nous voyons beaucoup de descendants d’immigrés italiens ou espagnols lutter pour la cause nationale française, ce n’est pas un hasard. Chez eux, le combat pour l’intégration à notre civilisation est épidermique. Il rappelle trop de souffrances endurées pour le laisser à des dilettantes. Alors que nombre de Français de souche ont renoncé et retournent progressivement à des conceptions tribales du monde, eux, ne s’y résignent pas facilement.
Dans le couple
Une femme a accepté de faire de vous son champion. Elle vous autorise à user de son corps, pour le plaisir, pour avoir des enfants, mais en échange, elle veut que vous adoptiez telle ou telle attitude. Surtout, pour ne pas que vous changiez de conception de la vie, elle va contrôler vos fréquentations. Et je ne parle pas des autres femmes sur lesquelles une épouse a largement un droit de regard. Mais de vos fréquentations masculines. Un jeune homme laissé libre, pourrait s’enticher de quelque maître en humanité glorieux qui lui ferait aimer sa propre autonomie. Voilà qui est plus dangereux qu’une aventure d’un soir.
Je m’explique. Un enfant voit pour la première fois un vélo. Le voilà qui comprend instinctivement que cette machine va lui permettre d’explorer son environnement par ses propres moyens. L’enfant, en particulier garçon, va aimer le vélo qui rend libre. La mère va lui faire utiliser une draisienne pour qu’il apprenne l’équilibre mais surtout qu’il ne tombe pas. Elle va lui mettre une petite roue sur le côté pour lui faire gagner en confiance. Puis elle va lui mettre un casque et exiger que la loi fasse porter des protections à tous les enfants. Puis elle l’accompagnera partout où elle ira pour lui éviter d’avoir à prendre son vélo tout seul et lui fera aimer la voiture, cet instrument de confort et d’amollissement général. A la fin, la plupart des garçons détesteront utiliser le vélo et l’abandonneront à leur vision molle d’une efficacité plus que douteuse. Pire, l’enfant aura oublié le principal. Faire du vélo, c’est prendre des risques et désirer l’aventure.
A la fin dans le couple, comme avec l’usage du vélo sous contrôle maternel, vous ne reconnaîtrez plus vos premières aspirations à aimer. Vous imaginiez que vivre en couple vous ouvrirait au monde et voilà que votre femme rechigne à voir vos amis, qu’elle vous l’interdit plus ou moins explicitement, et que sans sa coopération, de toutes les manières, il devient difficile de l’envisager. Elle exige de vous que vous l’assistiez, elle et ses enfants, elle a peur de ne pas y arriver, votre temps c’est son autonomie, et vous coupe ainsi de toute forme de vie amicale. Elle a besoin de vous.
Là où vous reconnaîtrez la malhonnêteté d’une femme, c’est lorsqu’elle ne vous cautionnera pas dans l’éducation des enfants. Les règles que vous leur donnez ont pour but de les faire grandir, mais de surcroît, soulagent la famille et les parents d’un temps précieux. L’enfant qui sait faire son lit seul, se lave, participe aux tâches ménagères etc. dégage du temps pour les autres. Seulement, pour gagner en efficacité, il faut recevoir des punitions, que l’enfant agrée l’autorité d’un père. Il faut le contraindre de manière juste. Quand une femme ne se choisit pas un enfant pour compagnon pour courcircuiter toute possible contestation de sa prééminence, elle mène parfois une guerre de l’intérieur au père et à sa représentation symbolique dans la famille. Lui coupant l’herbe sous le pied, elle peut ainsi préserver sa domination et se plaindre que ses enfants lui prennent beaucoup trop de temps.
Au début de la vie d’un couple, pas mal de femmes construisent minutieusement leur emprise. L’aveuglement de leur compagnon à leur égard est vérifié et encouragé. Quand elles l’ont engagé par le mariage ou/et une paternité, c’est déjà moins évident. Les voilà parfois qui changent d’attitude sans que l’homme n’en comprenne la raison. Celles-là peuvent se laisser aller car elles ont obtenu ce qu’elles désiraient. Moins fainéantes, d’autres mettent en œuvre les moyens pour que le contrôle perdure le plus longtemps possible. Elles sont jalouses des amis de l’homme, voire de toute sa famille, et elles écartent les uns et les autres. Un proverbe dit « Quand tu maries une fille, achètes des chaises. Quand tu maries un fils, vends-les » tandis que la Bible annonce « Tu te sépareras de ton père et de ta mère ». Ces attachements excessifs ou déséquilibrés masquent des conflits entre hommes et femmes, beau-pères et belles-mères, dont aujourd’hui, les femmes sont les maîtresses en se rapprochant de leur famille.
Il vaut mieux un homme marié qui reste encore symboliquement attaché à sa mère, qu’une femme qui retourne dans son milieu maternel (ou paternel), car dès lors l’autonomie des hommes de cette seconde famille sera moins importante que dans la première. En tout état de cause, une famille qui se constitue doit gagner en autonomie.
Cet idéal ne signifie pas que les uns doivent vivre éloigner les uns des autres. J’ai connu des familles dont 4 à 5 générations vivaient sous le même toit sans que cela ne pose de problème particulier d’autonomie. Au contraire, j’ai connu des mariés qui vivaient éloignés de leurs parents sans pouvoir se construire affectivement en dehors de leur regard. L’autonomie est une question d’état d’esprit, plus que de situation.
Seulement quand vous croisez le regard d’une femme accompagnée par son amoureux, qui se presse de détourner l’attention de ce dernier pour éviter qu’il ne vous prête attention, parce qu’elle a senti votre indépendance d’esprit, vous pouvez vous dire que c’est mal parti. Quand, plusieurs fois et de différentes manières, cette situation se reproduit, vous pouvez suspecter une sorte de problème social. Enfin quand vous divorcez, que vous vous retrouvez isolé socialement, tandis que votre femme fourni au juge des dizaines d’attestations de moralité, puis que vous rencontrez des dizaines d’hommes dans cette situation, vous pouvez être certain que ce phénomène n’est pas dû au hasard, qu’il est voulu et contrôlé, pour empêcher toute émancipation de la part d’un homme.
Pour en revenir à l’exemple du vélo et de l’enfant. La femme finit par exiger des lois sur le port du casque, après avoir balisé l’apprentissage de son enfant de bout en bout. A l’inverse, l’homme poussera son enfant dans le dos, sans protection, sans apprentissage préalable, sans structure étatique pour réglementer sa première prise de risque, et s’il doit se casser la figure, il apprendra qu’il n’y a pas d’initiative sans danger. Ou bien, il le jettera à l’eau alors qu’il ne sait pas nager.
Vous n’obtiendrez jamais que tous les enfants aiment l’aventure et soient capables de l’affronter, soient capables de se dépasser. Par contre, en confiant l’éducation des enfants aux femmes, vous êtes certain que tous, seront désarmés face à la prise de risque, que l’état interviendra pour vous priver de liberté et alimenter une horde de fonctionnaires pour vous contrôler à vos frais. Tout cela, pour alimenter une paranoïa toute féminine.
Aujourd’hui, l’exemple le plus éloquent est celui du code de la route. Vous pouvez être sanctionné sans avoir mis en danger personne (port de la ceinture de sécurité), ou sans n’avoir porté tort à autrui (dépassement de limitations de vitesse). Par contre, si vous attrapez un accident parce que vous avez commis une erreur de conduite, vous serez excusé, assuré, également en termes de frais médicaux, malgré vos négligences (ski hors piste, tabagisme…). Si vous êtes responsable de la mort de quelqu’un, vous ne serez pas vraiment jugé coupable, tant que vous aurez respecté l’étiquette de bon conducteur. Ainsi la société offre-t-elle un cadre de contrôle qui vous excusera de tout, excepté de déroger aux règles qu’elle protège jalousement. Tout comme vous pourrez vous permettre pas mal d’écarts auprès d’une femme, vous laisser aller par exemple, si dans le même temps, vous acceptez son contrôle.
Dans les relations humaines, le choix de vos fréquentations remplit le même rôle que les situations auxquelles la société vous permet de vous exposer tout en étant assuré. Dérogez aux règles et vous vous retrouverez seul ou nu ou coupable, à devoir payer. Vous devez rester dans le cadre, ce qui suppose d’obéir à tout un tas de règles non dites qui ne sont pas basées sur l’état de droit, mais sur des notions tribales. Ne vous étonnez pas des décisions judiciaires iniques dans une société tribale. Elles sont soumises aux influences personnelles, aux conceptions misérabilistes de l’être humain, à des rapports de force politiques qui ont peu à voir avec le droit et la justice. Elles prennent leur source dans un besoin de sécurité féminisé qui justifie toutes les privations de liberté, tout en cachant un pouvoir qui ne dit pas son nom.
Si vous êtes en couple, vérifiez bien que vous ne faites pas l’objet d’un tel contrôle. Si vous êtes indépendant d’esprit, et célibataire, malgré toutes vos qualités, ne vous en étonnez pas trop. Vous n’êtes pas “rassurant” de nos jours, ou plutôt, en vérité, vous l’êtes trop. Trop prévisible, trop attaché aux règles, à la loi, à la justice, peu susceptible de faire craquer une femme, elle vous considérera au mieux comme un faire valoir ayant le droit de tomber amoureux d’elle. Ou elle vous donnera une chance en seconde main, quand elle sera lassée de sa première monture. Dans tous les cas, elle visera votre soumission, croyant pouvoir ainsi gagner le beurre de la civilisation et l’argent du beurre de la toute puissance. De ce fait, la mise en couple avec un looser intégral sera toujours préférée par la femme à l’asservissement d’un homme autonome qui à chaque instant pourra se révolter contre son servage. D’autant que ces valeurs de justice, de droit, de christianisme, qui sont à la base de notre civilisation, sont en perte de vitesse, et qu’un homme civilisé n’est vraiment plus un bon cheval. Tout ce qui devient de plus en plus inutile dans notre société et dont les femmes d’aujourd’hui n’ont que faire, aussi parce que les hommes ont laissé faire.
A force d’avoir été trop bien éduqués, nous avons été interdits de solidarité masculine. Les derniers “boys club” sont traqués, au nom d’un pseudo harcèlement sexiste, tandis que les femmes s’autorisent des pratiques de groupe discriminatoires et illégales sur le marché du travail qui ne seront jamais sanctionnées parce qu’elles sont des femmes, qui ne sont même pas remises en question. L’avènement de l’égalité signe l’écrasement des hommes. Une bonne leçon à méditer pour tous ceux qui, isolés, veulent reconstruire un monde qui aura un peu plus de sens.
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