Vous l’avez vécu comme moi : un de ces repas de famille où les femmes pressent les hommes d’arrêter de parler de politique soit parce que le ton monte soit parce que le sujet ne convient pas du tout à ces dames. Autre situation : vous êtes devant la télévision et vous voudriez bien regarder une émission sur l’histoire de la 3ème République. Bizarrement, cela n’intéresse pas du tout votre dulcinée qui va vouloir visionner quelque série télévisée ou autre.
Penser la différence.
A quelques rares exceptions près, nous ne sommes pas pareils, nous n’avons pas les mêmes centres d’intérêts. Pire quand une fille veut singer un garçon en regardant un match de sport, on ne voit pas le même match. Quand elle verse dans le culturel, cela nous semble superficiel. Entendons-nous bien, je pense qu’une femme ne devrait jamais avoir honte de ce qu’elle aime, et de sa culture en général, surtout pas, mais elle ne devrait pas non plus, avoir trop de velléités à faire comme un homme car elle est toujours ridicule quand elle s’y essaye. Le droit de vote, la politique… combien de femmes cela barbe profondément, et combien n’osent pas le dire par peur de passer pour des cruches. Femmes qui me lisez et qui voulez un peu vous assumer, répétez après moi « je déteste la politique ». Je sais que nombre d’entre vous pensez en votre for intérieur que la politique c’est inutile, dangereux, c’est la dispute, le conflit et les guerres, tout ce que vous détestez et tout ce dont un homme raffole. En vérité, la politique est une insulte profonde à la féminité, en général la femme n’y brille pas, raison pour laquelle elle rêve de la changer mais qu’elle ne fait que la rabaisser. Les hommes qui promeuvent ce genre de femmes ne comprennent pas ce qu’ils font au début. Ils y voient une aventure humaine extraordinaire et exotique avant de comprendre l’affreuse réalité : nous sommes différents. Quand une femme se lance en politique, elle pense souvent qu’elle va pouvoir aider les gens la petite sotte, qu’elle va pouvoir faire le bien, et surtout faire plier les circonstances à sa féminité. Un jour, parfois bien tard pour les plus bornées, elles comprennent que faire de la bonne politique est tout à l’inverse de ce qu’elles imaginaient. La bonne politique ne change pas le monde, elle le sert. Un homme politique de qualité passe son temps à savoir dire non aux désirs fous de grands malades. Pour un oui qu’il pourra prononcer et obtenir ainsi un résultat positif, il lui aura fallu asséner dix non et en essuyer vingt autres pour sa propre pomme. Au contraire, tandis que la femme qui veut rester femme a une image dévoyée du pouvoir qu’elle calque inconsciemment sur une pseudo capacité à séduire, elle pensera pouvoir obtenir 10 oui, pendant qu’elle essuiera 9 refus et que sa frustration de ne pas être reconnue à l’égale d’un homme grandira d’autant. Le pouvoir est aussi ingrat que la séduction est facile pour elles. Le quiproquo est là. C’est encore et presque toujours ce drame, cette incompréhension qui se joue entre hommes et femmes quand ces dernières décident de se lancer en politique (1). Elles voudront faire comme des femmes, un métier qui ne supporte généralement que des hommes. Non seulement nos compétences sont différentes, mais nos manières de voir le sont, et nos désirs divergent complètement, eu égard à notre culture et à notre nature qui sont inextinguiblement liés. La place d’une femme n’est pas de prendre des décisions pour la communauté, mais de la soutenir. Les intérêts personnels qu’elle cherchera à défendre seront toujours à l’exact opposé du bien être général, et elle pourrira tout ce qu’elle touche en la matière (2). Si en voulant faire de la bonne politique, elle sacrifiait les désirs individuels de ses concitoyens à la communauté, elle perdrait aussi ce qui ferait d’elle une femme, et on en arriverait à l’étrange paradoxe qu’une femme qui réussirait en termes de décisions communes serait forcément une déséquilibrée, ou dans le meilleur des cas, une femme soumise à des valeurs masculines. Les cas très isolés et récents de réussite politique de femmes, souvent discutables, masquent des dizaines d’existences gâchées et en particulier en occident, un gaspillage de moyens inédit, des politiques familiales complètement désastreuses, menées au nom des femmes, et une dégénérescence morale (infanticide, avortement), économique et sociale jamais atteinte dans l’histoire, eu égard aux ressources financières pétrolifères sans limite dont nous avons joui sur cette période.
Les raisons d’un échec profond de la France riche : la féminisation du pouvoir politique.
Une majorité d’imbéciles élus depuis 40 ans dans notre pays, par des femmes, n’ont pas le niveau en matière de gouvernance. Ils veulent se faire élire par une troupe de mamelles. Ils cèdent progressivement à toutes les revendications personnelles (voir pour les duos homosexuels) car tel est la demande de ces femmes qui ne voient que par le “care”. Ceux-là finissent par penser comme une femme. Ils sont féminisés. Jeunes hommes, le spectacle pitoyable que vous avez pu voir dans nos hémicycles plénipotentiaires ces dernières années n’a rien à voir avec de la politique. C’est de la dînette pour grands enfants, un détournement de phallus, une interdiction à la virilité (3). Et bien ce triste spectacle, nous le devons à une majorité de femmes qui décident des élections et qui jugent soit par rapport à leurs intérêts égoïstes et qui n’imaginent pas qu’on puisse penser autrement, soit à la trogne du gazier, et qui, de toutes les manières, finissent par faire élire le plus intelligent parmi tous les idiots qu’elles auront choisi. Là est le vrai scandale de la féminisation : contraindre les aptitudes naturelles des derniers vrais hommes en France pour laisser place à des mauviettes protecteurs de moutz.
Un exemple.
Le pire dans tout cela, ce sont les quotas. Oh oui, les femmes vont changer la politique, elle y sont déjà arrivées d’ailleurs, mais le meilleur est à venir. Vous voyez, rien que cette histoire de quotas, c’est vraiment un truc de nanas : et je t’aide et tu m’aides et ensemble on va prendre de grandes décisions. Ce sera une réussite ! Mais comment voulez-vous réussir quand on fait la promotion d’une personne qui n’a pas mérité sa place, et qui a bien des chances d’être complètement incompétente, qui imagine que le pouvoir c’est le saint graal de la « domination masculine » qu’il suffit d’atteindre pour réussir en politique. Aimer le pouvoir, c’est aimer s’en prendre une dans la tronche et distribuer quelques bourre-pifs, cela demande une certaine souplesse d’esprit. C’est penser pour tout le monde quitte à écraser quelques retardataires dans la société, casser des oeufs, c’est arrondir les angles la plupart du temps, c’est la politesse, le respect, la peur de la guerre pour l’avoir longtemps pratiquée, c’est dire oui ou non, trancher, enfin toutes ces choses qui misent ensemble font que les hommes ont le truc, tandis qu’une femme sombrera souvent dans le travers de sa psychologie raide et individualiste, en croyant faire de la politique. Bon, il y a des exceptions, je n’en connais pas mais je ne voudrais pas être médisant.
Il y a trop de femmes qui veulent faire de la politique, mais il y a aussi trop d’hommes.
Bien entendu, il faut laisser les gens choisir. Cependant je ne comprends pas que le moindre imbécile dans notre Nation, qui ne s’intéresse aucunement à la politique et qui n’en a pas les compétences puisse voter. Il faudrait restreindre de manière drastique le droit de vote. Non en termes d’argent, non en termes de sexe, mais en termes de motivation et de compétences. Je pense que pour présider aux destinées d’une grande Nation, la condition sine qua non serait que le citoyen en question en fasse la demande, après 25 ans, ou plus tôt s’il est intégré socialement, et après qu’on lui fasse passer un examen en ce sens. Tout d’abord, je n’ai jamais compris cette histoire de majorité à 18 ans pour une génération encore plus immature que celle qui l’avait précédée. Evidemment quelqu’un qui travaille de manière salariée ou indépendante, devrait avoir le droit de passer son examen de vote de manière anticipée. Mais sinon, pourquoi donner le droit de vote à des jeunes encore chez leurs parents ? Le problème est presque le même en ce qui concerne les fonctionnaires. Aujourd’hui, on voit bien comment les fonctionnaires, qui sont aussi plus souvent des femmes, ont permis la sur-inflation d’un Etat bureaucratique. On ne peut être juge et partie et décider de l’avenir de la Nation en ayant la tentation de défendre ses intérêts en grossissant toujours davantage les rangs de ses propres coreligionnaires. Un fonctionnaire devrait donc renoncer au droit de vote pour cette raison mais aussi pour tous les conflits d’intérêts qu’il nourrit avec un employeur qu’il élit mais pour qui, il ne travaille pas vraiment (un fonctionnaire est certainement payé par l’Etat, par contre il ne devrait jamais travailler pour lui).
Vers un avenir meilleur grâce à des mesures viriles et donc, réalistes.
Pour tous les autres qui rempliraient les conditions d’âge et de profession, il leur faudrait passer un examen oral qui vérifierait leur motivation et leur connaissance du système institutionnel français. Ces connaissances de base, cette motivation, alliées ensemble, permettraient de sélectionner des personnes qui tiendraient un discours cohérent motivé par l’excellence, soit tout l’inverse du chemin que nous suivons actuellement. Il faudrait également vérifier qu’une femme qui voudrait voter ne le ferait pas pour singer son partenaire homme. Il faudrait vérifier qu’elle est prête à sacrifier sa féminité pour cela et qu’elle n’est pas trop dérangée psychologiquement. Ces mesures de bon sens renoueraient avec la tradition française d’Esprit, d’institution, de corps électoral noble, intéressé et intéressant. Ce genre de travail pourrait réconcilier l’esprit de noblesse et d’ancien régime qui est encore le nôtre et celui de décision populaire dont certains on voulu nous parer. Voilà, je me suis pris à rêver d’une Nation où ceux qui feraient de la politique seraient intéressés par le sujet et compétents. Plus que ces quelques mesures énoncées à la sauvette, que cet esprit fasse son chemin au milieu de la dégénérescence actuelle, de la féminisation totalitaire et débilitante que nous devrons vaincre si nous voulons léguer un patrimoine suffisant aux générations qui nous suivront.
1 “Féminisation, incompétence et totalitarisme à l’Assemblée Nationale”, Dailymotion de février 2014, loi su l’égalité.
2 Repères historiques en matière de femmes au pouvoir, aimeles.fr
3 Assemblée Nationale, on prend les pères pour des imbéciles, youtube 01/02/2014.
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