Au moment où certains s’émeuvent de l’introduction de la question du « genre » dans les manuels de sciences des lycéens, jetons un autre petit pavé dans la mare… Et si les (jeunes) filles d’aujourd’hui étaient les « nouveaux » garçons ?
Lire la suite ici :
http://madame.lefigaro.fr/societe/filles-ces-nouveaux-bad-boys-121011-182044
Source : le Figaro
82a678c4f5b823e9022740ba1ffee730
Le problème est que la plupart des gens de la génération montante (quelques années de moins que moi) s’adonnent à des fêtes plutôt orgiesque où l’alcool à gogo est souvent roi. Je lisais justement un article à ce sujet là ce matin, apparemment les soirées étudiantes seraient trop arrosées. Lorsque j’étais moi même adolescent je prenais les personnes plus âgées que moi comme référence. J’imagine que celà n’a pas trop changé maintenant. Ajoutons à celà un encanaillement de la société, avec le féminisme entre autre comme branche, la télé réalité (clips musicaux …) et celà donne une jeunesse perdue.
N’empêche je n’aimerait pas voir ces jeunes femmes adultes, c’est tout un chaos social qui arrivera.
Eh oui toutes les valeurs se sont perdues à notre époque. Et c’est un moins de trente ans qui vous le dit.
a68713b39fc5f6fd6db3c9b74808743d
Original, cet article: ça change un peu de la pensée unique habituelle. Si des Bordelais passent par ici, il serait gentil de leur part de confirmer ou non les propos de l’auteur.
Lorsqu’il parle de jeunes filles de la bourgeoisie, j’ai plutôt l’impression qu’il fait référence aux classes moyennes et classes moyennes supérieures (avec des parents carriéristes, peu présens).
En tout cas, pour ce qui est de Paris, les constats de l’auteur ne s’appliquent pas (et heureusement, d’ailleurs!). Au contraire, certains des plus beaux quartiers ont su conserver leur charme et une façon de vivre un peu à l’ancienne. Les petites collégiennes que je croise régulierement sont adorables. Après, je me doute bien qu’elles ne sont représentatives de l’ensemble des collégiennes en France… D’où l’importance de bien choisir son quartier, et donc par ricochet, ses voisins.
dad0bb8416af8cea57475981ff142636
Je ne sais pas, il faudrait approfondir la sociologie de ce genre de phénomènes, mais ce n’est pas demain la veille que l’état français consacrera de l’argent à cela.
J’ai l’impression qu’il y a plusieurs cas. Cependant je crois qu’il y a vraiment un problème dans ces familles où les deux parents sont carriéristes. Les enfants laissés un peu à l’abandon, vont chercher de l’affection là où ils en trouvent, et puis se droguent, boivent beaucoup et oui, se « mettent minables » plus que de mesure. J’ai beaucoup fait la fête dans ma jeunesse, je crois qu’il est nécessaire de savoir décompresser, mais je trouve que les comportements « border line » chez les enfants de classes moyennes sont parfois un peu inquiétants parce qu’en augmentation (j’entends parler de cocaïne en accès facile… chose inimaginable « à mon époque »). Heureusement tous ceux que j’ai pu côtoyer autour de moi ont fini plutôt bien. En fait ils ont eu leur petite période rebellion psy, puis ils deviennent tout aussi consensuels que leurs parents, parfois plus. J’ai même l’impression que ça fait parti d’une sorte d’endoctrinement dans ces milieux. Les blessures familiales quant à elles, vont plus loin. Je pense qu’il y a différents degrés dans les blessures qu’un enfant peut subir. L’absence relative de parents qui s’entendent n’est pas la pire.
J’ai bien aimé aussi l’angle d’attaque de cet article, sur une forme de masculinisation des filles qui gardent seulement l’apparence de femmes, comme s’il n’y avait plus que les corps qui étaient capables de se parler dans nos sociétés. Nous manquons cruellement d’études sérieuses avec des angles d’attaque intéressants. Seuls les psys nous alertent régulièrement dans notre société, car ils sont obligés de comprendre pour soigner. Les autres CSP tirent la couverture à elles en France, et défendent leur position idéologique plutôt que de regarder la réalité. Elles se moquent de la souffrance tant que cela ne les atteint pas. Et puis, il y a quelques individus au CNRS et dans les instituts statistiques, trop rares, par exemple Marcela Iacub, des femmes vraiment intelligentes et droites. Mais tous ces gens qui luttent de manière isolée se mettent en porte à faux dans leur métier, et j’imagine qu’il leur faut une bonne dose de sérénité psychologique pour continuer à exercer dans ces conditions…
J’espère bien que ce genre d’article se multipliera à l’avenir, et qu’on en arrivera à un vrai état des lieux en France, phase qui précède tout changement sérieux. Qui sait ?
8d978cbc1de7a2c6dbf6f9d376851767
Tiens on parle des copines de rondoudou 😀
Trêve de plaisanterie, merci pour cette étude que j’attendais depuis des lustres
dad0bb8416af8cea57475981ff142636
Moi-aussi j’imaginais bien Rondoudou dans ces portraits : « Je veux être un mec je veux être un mec! »
c8c64147300762746fe39b9353a9b4e0
Et ton article Kasimar, semble complètement faux. Regardez autour de vous ; si vous connaissez des gens battus, ce sont plus des femmes ou des hommes ? Personellement, je n’ai connu qu’un garçon qui se faisait frapper (par son frère, un garçon donc) et toutes les personnes étaient des filles/femmes cognées par un membre masculin de la famille en général mais parfois féminin.
Enfin bref les 20, 50 % sont complètement faux, j’en suis sûre.
Fauxet archi faux. En même temps c’est un article parue au Canada, même si en France la femme qui bat son homme se fait de plus en plus l’inverse j’en entend de moins en moins parler. Donc je rejoins Leonidas et m’en fice complètement de ce que vous pensez de cette étude. Ah et au fait, c’est une ancienne défenseuse des droits des femmes qui a fait cette étude. Donc quand on lit un article on essaie au moins de le comprendre 🙂
Comment ça elle est sexuée ?
Et ton article Kasimar, semble complètement faux. Regardez autour de vous ; si vous connaissez des gens battus, ce sont plus des femmes ou des hommes ? Personellement, je n’ai connu qu’un garçon qui se faisait frapper (par son frère, un garçon donc) et toutes les personnes étaient des filles/femmes cognées par un membre masculin de la famille en général mais parfois féminin.
Enfin bref les 20, 50 % sont complètement faux, j’en suis sûre.
dad0bb8416af8cea57475981ff142636
Et moi je ne connais que des femmes qui se permettent aujourd’hui de donner une baffe à leur enfant en public. D’ailleurs je n’ai jamais vu que des enfants victimes de mauvais traitement par des femmes. Vous n’avez qu’à regarder autour de vous.
Quant aux hommes qui se font insulter, rabaisser, même en public, je ne connais quasiment que ça. Par contre l’inverse, je ne l’ai jamais vu. Et je ne connais pas une seule femme battue. Toutes celles dont on m’a parlé, cherchent les coups et reviennent pitoyablement vers leur boureau.
Enfin toutes les enquêtes le prouvent, les femmes déclenchent les premiers coups dans les couples violents. Qu’elles se reçoivent de grosses bouffes après, il ne faut pas s’en étonner.
96215f7cd8c01daa4e2cca2e57196890
Pour confirmer les dires je vous conseille de zieuter là-dessus
http://hommelibre.blog.tdg.ch/archive/2011/10/11/colloque-sur-les-hommes-battus.html#more
Toi aussi rondoudou ça te fera pas de mal pour une fois
xDD Non mais vous parlez de moi ???
Et non je ne veux pas être un mec. D’ailleurs je ne vois pas le rapport entre être violent et être un mec.
D’ailleurs, ce n’est pas ce que vous disiez vous même Léonidas ? Que la violence n’a pas de sexe ? Vous venez de vous contredire tout seul dans le premier commentaire de cette article, une fois encore 😀
dad0bb8416af8cea57475981ff142636
Oui, mais vous devez également comprendre que la violence est sexuée. Aujourd’hui, la violence féminine devient masculine, voilà ce qui était dit.
82a678c4f5b823e9022740ba1ffee730
Le problème est que la plupart des gens de la génération montante (quelques années de moins que moi) s’adonnent à des fêtes plutôt orgiesque où l’alcool à gogo est souvent roi. Je lisais justement un article à ce sujet là ce matin, apparemment les soirées étudiantes seraient trop arrosées. Lorsque j’étais moi même adolescent je prenais les personnes plus âgées que moi comme référence. J’imagine que celà n’a pas trop changé maintenant. Ajoutons à celà un encanaillement de la société, avec le féminisme entre autre comme branche, la télé réalité (clips musicaux …) et celà donne une jeunesse perdue.
N’empêche je n’aimerait pas voir ces jeunes femmes adultes, c’est tout un chaos social qui arrivera.
Eh oui toutes les valeurs se sont perdues à notre époque. Et c’est un moins de trente ans qui vous le dit.
a68713b39fc5f6fd6db3c9b74808743d
Original, cet article: ça change un peu de la pensée unique habituelle. Si des Bordelais passent par ici, il serait gentil de leur part de confirmer ou non les propos de l’auteur.
Lorsqu’il parle de jeunes filles de la bourgeoisie, j’ai plutôt l’impression qu’il fait référence aux classes moyennes et classes moyennes supérieures (avec des parents carriéristes, peu présens).
En tout cas, pour ce qui est de Paris, les constats de l’auteur ne s’appliquent pas (et heureusement, d’ailleurs!). Au contraire, certains des plus beaux quartiers ont su conserver leur charme et une façon de vivre un peu à l’ancienne. Les petites collégiennes que je croise régulierement sont adorables. Après, je me doute bien qu’elles ne sont représentatives de l’ensemble des collégiennes en France… D’où l’importance de bien choisir son quartier, et donc par ricochet, ses voisins.
dad0bb8416af8cea57475981ff142636
Je ne sais pas, il faudrait approfondir la sociologie de ce genre de phénomènes, mais ce n’est pas demain la veille que l’état français consacrera de l’argent à cela.
J’ai l’impression qu’il y a plusieurs cas. Cependant je crois qu’il y a vraiment un problème dans ces familles où les deux parents sont carriéristes. Les enfants laissés un peu à l’abandon, vont chercher de l’affection là où ils en trouvent, et puis se droguent, boivent beaucoup et oui, se « mettent minables » plus que de mesure. J’ai beaucoup fait la fête dans ma jeunesse, je crois qu’il est nécessaire de savoir décompresser, mais je trouve que les comportements « border line » chez les enfants de classes moyennes sont parfois un peu inquiétants parce qu’en augmentation (j’entends parler de cocaïne en accès facile… chose inimaginable « à mon époque »). Heureusement tous ceux que j’ai pu côtoyer autour de moi ont fini plutôt bien. En fait ils ont eu leur petite période rebellion psy, puis ils deviennent tout aussi consensuels que leurs parents, parfois plus. J’ai même l’impression que ça fait parti d’une sorte d’endoctrinement dans ces milieux. Les blessures familiales quant à elles, vont plus loin. Je pense qu’il y a différents degrés dans les blessures qu’un enfant peut subir. L’absence relative de parents qui s’entendent n’est pas la pire.
J’ai bien aimé aussi l’angle d’attaque de cet article, sur une forme de masculinisation des filles qui gardent seulement l’apparence de femmes, comme s’il n’y avait plus que les corps qui étaient capables de se parler dans nos sociétés. Nous manquons cruellement d’études sérieuses avec des angles d’attaque intéressants. Seuls les psys nous alertent régulièrement dans notre société, car ils sont obligés de comprendre pour soigner. Les autres CSP tirent la couverture à elles en France, et défendent leur position idéologique plutôt que de regarder la réalité. Elles se moquent de la souffrance tant que cela ne les atteint pas. Et puis, il y a quelques individus au CNRS et dans les instituts statistiques, trop rares, par exemple Marcela Iacub, des femmes vraiment intelligentes et droites. Mais tous ces gens qui luttent de manière isolée se mettent en porte à faux dans leur métier, et j’imagine qu’il leur faut une bonne dose de sérénité psychologique pour continuer à exercer dans ces conditions…
J’espère bien que ce genre d’article se multipliera à l’avenir, et qu’on en arrivera à un vrai état des lieux en France, phase qui précède tout changement sérieux. Qui sait ?
8d978cbc1de7a2c6dbf6f9d376851767
Tiens on parle des copines de rondoudou 😀
Trêve de plaisanterie, merci pour cette étude que j’attendais depuis des lustres
dad0bb8416af8cea57475981ff142636
Moi-aussi j’imaginais bien Rondoudou dans ces portraits : « Je veux être un mec je veux être un mec! »
J'y t'envoie une lettrinfo par saison
Laisser un commentaire