Comme elles n’ont plus rien de valeureux à donner, les femmes de notre pays sont de plus en plus tentées de développer des méthodes de séduction déviantes. L’une de celle-là consiste à paraître le plus intouchable possible, le plus éloigné des hommes pour aiguiser leur avidité. Ce qui est rare est cher. L’homme qui voit une femme habillée pour plaire aux hommes mais qui ne peut la conquérir est entretenu dans sa frustration. Une envie monte en lui jusqu’à le soumettre à la première femme venue qui acceptera d’être un peu plus avenante. Ce phénomène est bien connu. Il permet de contrôler les hommes. Les femmes habillées de manière salace pourront vous répondre qu’elles ne le font pas pour séduire les hommes. Mais cette même affirmation jouera aussi un rôle dans l’excitation de l’homme. Elle lui fera envisager celle-là comme d’autant plus intouchable, et donc d’autant plus désirable.
Le système de castes indiennes qui fait des intouchables, la pire des castes, ne dit pas qu’en arrière plan, ceux-là servent de victimes émissaires tel que le définit René Girard, et qu’ils sont donc sacrés parce que sacrifiés.
Aujourd’hui certaines femmes continuent à se déifier elles-mêmes par cette méthode. Mais en plus de certaines formes d’habillement outrageantes, elles développent en parallèle d’autres concepts déviants pour attirer les hommes. « L’agression sexuelle » est l’un de ceux-là. J’ai déjà montré ailleurs comment les lois qui punissaient ce genre de crime n’avaient aucune base cohérente quand elles concernaient deux adultes. Dans ce présent article, je voudrais souligner combien la chasse à l’agresseur sexuel crée en fait un environnement favorable à la convoitise des femmes.
Mais revenons d’abord un peu plus haut, quand l’homme empli de désir contemple sa dulcinée, de loin. Celle-là joue le jeu du corps que toute parole viendrait à démythifier. Les mots tuent si souvent le fantasme. L’homme le sait mais comment rompre la distance ?
Si elle se sent rebutée par l’avance et qu’elle s’exprime, l’affaire est entendue. La situation est claire. L’homme recule, la femme est déçue de ne plus être désirée.
Si elle n’exprime pas clairement son refus, peut-être l’homme continuera à la courtiser. Elle entretient alors une ambiguïté. De l’humiliation de l’homme naîtra certainement un souhait de satisfaire toujours plus la psychée de ses fantasmes.
Enfin dans le pire cas, elle sera totalement incapable d’assumer la situation, ses désirs, ses attentes. Elle cherchera à aguicher sans vouloir poser des limites. Elle accusera l’homme de ne pas avoir lu ses intentions cachées, et le fera condamner pénalement de par sa propre faiblesse. Le geste sera déplacé, la blague jugée sexiste, la proposition indécente une forme de harcèlement.
Dès lors, ces affaires de fausses agressions sexuelles médiatisées (Affaires Baupin, Sapin, Strauss Kahn, Tronc…) ou de fausses violences conjugales (Affaire Raoult) deviennent l’occasion de consécrations géantes du corps de la femme, de sa sacralisation non en ce qu’il est chair, mais dans ce qu’il serait signe d’absolu et de divin. Grâce à des pétitions, des actions en justice parfois perdues d’avance, et des enquêtes « préliminaires » surtout contre des hommes de pouvoir, le corps social entier se lève dans un mouvement puissant (effet ruche) pour écraser un homme et en faire la victime émissaire de notre médiocrité. L’être humain ainsi broyé est vilipendé alors même qu’il est identifié à un puissant, rappellera à tous quelle est la valeur des femmes, d’autant plus gigantesque dans la société qu’elle sera nulle à un niveau individuel. Car ce mécanisme déviant permettra surtout aux femmes d’échapper à leurs responsabilités et d’en faire des êtres inférieurs mais sacrés, tout comme les intouchables. A travers ce mécanisme, les femmes bénéficieront d’une aura qu’elles ne mériteront pas et qui les entraînera dans un laxisme morbide. La déification de la femme est l’envers de la femme qui jamais n’incarnera son existence, sera toujours « à côté de la plaque ».
Les comportements parfois hystériques de celles-là remplissent le même rôle. L’autre est ramené à l’état d’objet et seul le quant à soi compte. L’homme fasciné par la femme qui se regarde, vénérera sa propre impuissance. La déesse aura toute emprise sur lui. Il ne la verra plus en tant qu’humain et s’oubliera. Le jeu mimétique qui était social auparavant, comme pour le phénomène des fausses agressions sexuelles médiatisées ou pas, prendra un tour individuel. La femme deviendra d’autant plus puissante dans son couple, qu’elle sera loin de son homme, dans cette relation déviante. A l’extrême limite l’intouchable ne fera plus l’amour à son mari mais se donnera à tout autre, et celui-ci en sera parfaitement satisfait, même si son ego le vit mal. L’hystérie de ce genre de femme peut entrer en résonance avec celle d’un homme.
Le phénomène médiatique des fémens, ces femmes qui se dépoitraillent en public pour combattre l’Église, les puissants, la chasteté etc., est à ce point intéressant qu’il combine une forme d’hystérie individuelle et de manipulation sociale. La fémen incarne tout à la fois la femme malade dans son être que dans ses relations sociales. Personne ne peut toucher sa poitrine, tout le monde la voit. Elle crie, éructe, attaque les soi-disant puissants sans argumenter. Elle est loin de tout. Elle veut tout. Elle n’obtient que la destruction, à l’intérieur même de son mouvement.
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A contre-temps. Je crois qu’il n’y a pas de meilleur mot pour désigner l’action politique…
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"Des "menteuses" en "colère" : Donald Trump rêve que les journalistes soient comme des femmes au foyer d'antan" Figaro du 06/05/2020.
Y-a pas à dire, il sait parler aux hystériques.
"Nos seins nous appartiennent-ils vraiment ?" Figaro du 04/03/2020.
Et nos couilles madame, nous appartiennent-elles quand elles regardent vos seins ???? C'est à n'en plus finir.
""Instagram a détruit une partie de ma génération" : le paradoxe de Selena Gomez" Le Monde du 07/02/2020.
En somme, elle utilise un outil qui détruit les filles en toute connaissance de cause. Et personne pour lui dire qu'elle est folle ?
"Meghan Markle renonce à la nationalité britannique" Le Point du 28/01/2020.
"« Women only » : la tendance lourde du tourisme en 2020." L'obs du 01/10/2019.
Qu'est-ce qu'elles ne sont pas prêtes à faire pour susciter l'envie des hommes.
"L'histoire secrète des « déviantes » : ces filles qu'on ne voulait plus voir" Le Point du 26/12/2019.
Voilà ce qui arrive lorsqu'on aide une femme hystérique, elle finit par vous le reprocher.
"Les femmes aussi veulent jouir !" L'Obs du 11/11/2019.
C'est bien de vouloir.
"Sexualité lesbienne, sexualité modèle" Le Monde du 03/11/2019.
Et pourquoi elle ne dit pas que les duos lesbiens sont aussi plus violents ?
« Pourquoi les filles c’est de la merde et que si elles sont pas égales c’est parce qu’elles sont trop connes. »
Un petit texte rigolo rédigé par un blogueur qui ne croit plus aux valeurs du féminisme colportées par sa crétine de mère :
http://www.jetenculetherese.net/societe/filles-cest-de-merde-egales-cest-connes/
(Vidéo) "Micro-Connard #2 - LA JOURNÉE DE LA FEMME" El Rahyan du 10/03/2019.