Décidément ce samedi 13 février 2010 est à marquer d’une pierre noire.
Le gouvernement français, avec le soutient de la gay pride et de Roselyne Bachelot, vient de retirer, par décret monsieur, la transexualité des maladies mentales connues. Après les homosexuels en 1992, les transexuels, grâce au gouvernement, ne sont plus atteints de confusion sur leur identité sexuelle! Ils viennent d’obtenir par une action lobbyiste et contre toute logique scientifique, la déclassification de leur orientation sexuelle. Il faut s’attendre à ce que bientôt, les zoophiles, les pédophiles, les schizophrènes, les bipolaires, les névropathes, ne soient plus reconnus comme des malades s’ils s’organisent en groupe ! Dans notre société, nous n’acceptons plus de traiter la maladie telle qu’elle.
Au lieu d’essayer de faire accepter la maladie et les malades pour ce qu’ils sont dans la société, on essaye carrément d’affirmer qu’ils ne sont plus malades! Très inquiétant, nous nous demandons jusqu’où ce phénomène ira s’étendre. Faudra-t-il que, dans les sections de psychologie et de psychiatrie, les professeurs renoncent bientôt à toute étude sur l’homosexualité ou sur la transexualité pour éviter d’avoir à choquer cette communauté ?
Et comme le communautarisme se mêle toujours à l’hypocrisie, les transexuels pourront toujours bénéficier d’un suivi médical à la charge de notre système de santé. Ils ne sont pas malades, mais nous devrons tout de même prendre en charge financièrement leur maladie. Cette société va droit dans le mur, et au lieu d’appuyer sur la pédale (sans jeu de mots) de frein, elle appuie sur l’accélérateur. Nous obligeons déjà des enfants à être élevés par des homosexuels. Jusqu’où iront ces abus sur les enfants, sur les esprits? Espérons qu’un sursaut des consciences se fasse jour.
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