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Les couilles des féministes

Aujourd’hui les féministes ont plus de couilles que les hommes.

 

A travers le monde nous sommes nombreux (hommes et femmes) à avoir fait ce constat : le féminisme a échoué. Non seulement nous avons fait ce constat mais nous l’avons démontré à travers de nombreux sites :

 

http://www.aimeles.fr/ , http://www.lapresrupture.qc.ca/

Aujourd’hui, si certains d’entre nous veulent poursuivre ce débat idéologique, et ils ont raison, telle n’est pas la priorité que nous devons nous donner : sur les idées, nos mouvements ont démontré depuis longtemps leur supériorité face aux mensonges féministes. Alors pourquoi, malgré la dénonciation objective de ces mensonges, nous n’arrivons pas à percer ? Il faut ici faire notre auto-critique : contrairement aux féministes, nous sommes restés mous et sans audace. Nous avons refusé le combat par peur et par calcul. Ce calcul a échoué et la peur a gagné. Nous nous sommes cachés idéologiquement, évitant de prendre de front le mal, tolérants envers le mensonge, petits devant les femmes qui nous étaient proches. Quant aux féministes, elles ne se sont pas privés de nous écraser, dans les médias, dans la littérature et pire que tout : dans nos propres familles. Nous les avons laissées être sexistes sans répondre, nous les avons laissées détruire nos sociétés sans leur opposé de résistance. Nous avons attendu bien patiemment que l’orage passe, croyant en notre propre supériorité, sûrs et certains que les hommes ne pouvaient disparaitre, apeurés de notre propre violence, terrifiés par nos femmes.

 

Les problèmes ne se résolvent pas d’eux-mêmes.

 

Et en effet, l’orage ne s’en est pas arrêté là. Il a grandi, s’est transformé en tempête puis en tsunami. Le soleil, loin de revenir nous est caché depuis longtemps et ses chances d’apparaître sont désormais minces. Pourtant il n’est pas de limite à celui qui se révolte et dont le désir est légitime. Si nous ne combattons pas, nous sommes certains de perdre. Mais je vous le garantis, si nous jetons toutes nos forces dans ce combat, même à 12, nous pouvons renverser le mal. Nous avons le devoir de laisser à nos fils un monde respirable. Nous avons le devoir de donner à nos filles un avenir. Nous avons le devoir de détruire la violence généralisée qui s’est propagée à la suite du matriarcat. Des femmes se sont arrogées le droit de penser à la place du reste de la société, elles se sont accaparées le pouvoir, à leur profit, oubliant la famille, les hommes et les enfants. Nous devons leur opposer la plus grande fermeté si nous ne voulons pas que la notion même de vérité disparaisse.

 

Il y a un guerrier en vous tous. Il y a un guerrier courageux caché qui n’attend qu’une chose : faire son devoir. Vous devez réveiller ce guerrier et ne pas en avoir peur. Vous en avez le droit et vous en avez le devoir.

 

Cependant ce guerrier ne doit pas rester isolé, à aucun prix : nous avons un deuxième devoir tout aussi important à accomplir : nous regrouper dans des associations de lutte contre le féminisme, qu’elles soient hoministes, masculinistes ou volontairement antiféministes. Rester seuls et isolés ne nous mènera à rien, ce serait un grand manquement à nos obligations, une erreur terrible. Ne faisons pas cette erreur, et au lieux de cultiver l’esprit de discorde, apprenons à donner le meilleur de nous, chacun à son poste. Nous avons gagné la lutte idéologique, désormais gagnons la lutte tout court.

Léonidas Durandal

Antiféministe français, j'étudie les rapports hommes femmes à travers l'actualité et l'histoire de notre civilisation.

View Comments

  • Léonidas:" Il y a un guerrier en vous tous. "

    Vous citez John Eldredge et je vous suis tout à fait. Il dit aussi que Dieu nous a créé à son image et qu'Il est donc un guerrier lui aussi.

    Cependant, le guerrier qui est en nous a besoin de savoir où frapper l'ennemi et de quelle façon. Pour cela, il faut analyser la situation et c'est cette analyse (et Dieu) qui nous donnera la victoire. Comme vous, j'ai noté que les féministes ont toujours tort. Mais chaque fois qu'une critique est pertinente, elles la dévient, la retournent et en font une nouvelle arme. C'est le principe même de la propagande dont on a vu les résultats dans les pays totalitaires. Si un principe ne marche pas, ce n'est pas qu'il faut en changer, c'est parce qu'on en a pas assez fait !

    De plus, les féministes ne sont pas seul(es). Elles ont des alliés puissants, à la fois politiques et économiques. C'est pourquoi dénoncer le féminisme est inopérant. Il faut surtout dénoncer les puissances qui se servent d'elles comme de pions, au détriment de toutes et tous. Dénoncer les Femens, sans dénoncer leur financement (Soros ...) c'est perdre son temps.

    • Non, c'est l'inverse.
      Vous jugez que les gens se font manipuler et qu'il suffirait de dénoncer les manipulateurs pour que cela change. C'est la grande erreur de tous les mouvements qui ont critiqué le féminisme jusqu'à aujourd'hui. Parce que les hommes ne pensent qu'en termes de pouvoir, de réseaux, ils croient que les femmes font de même, ils croient que les hommes pour la plupart féminisés, vont agir comme eux. Seulement si vous ne démontez pas la manipulation, si vous ne la faites pas comprendre aux personnes, eh bien, vous aurez beau renverser les manipulateurs, d'autres prendront leur place et joueront sur les même mécanismes psychologiques. C'est une erreur typiquement communiste : croire que les systèmes changent le coeur des hommes. Si un homme et plus généralement une population, est féminisée, vous aurez beau renverser les manipulateurs, d'autres profiteront de la faille affective de ce peuple pour régner sur lui. Et le pire, c'est qu'il régneront de manière exactement identique. Regardez l'exemple de la Russie. Ils ont changé de système de manière drastique, ils n'ont jamais réussi qu'à régner de manière identique sur ce peuple. Il y a un paradoxe à cela : seul un retour à la tradition permet d'avancer réellement, en l'occurrence, le retour à une religion munie d'une spiritualité forte qui s'intéresse au libre arbitre de l'homme et qui le respecte pour le faire progresser.
      N'allons pas trop rapidement en besogne mais travaillons les coeurs en profondeur.

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Léonidas Durandal

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