Je me contenterai de commentaires (en gras) Les orientations que prennent notre société sont très inquiétantes. Ici, ce sont des mesures de féministes dîtes modérées. Pourtant ce sont des mesures discriminatoires envers les hommes, qui nient toute complémentarité des sexes dans notre société, qui encouragent les séparations et font financer l’asservissement des mâles par des impôts indirectement payés par les hommes. Maintenant, puisqu’une majorité du sexe fort semble d’accord…
- Développer le mode de garde des jeunes enfants, sur le modèle de la Suède : création de 500.000 places en crèches collectives pour 2017, participation des entreprises à hauteur de 0,5 % de leur masse salariale et ouverture des crèches 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 : eh oui, pourquoi pas travailler 24h sur 24 sans pause et faire élever les enfants par d’autres tant qu’on y est. Ah c’est déjà le cas ?
- Un congé parental rémunéré à 80 % du salaire antérieur brut, limité à six mois et à un an s’il est pris par la mère et le père alternativement. Oui pourquoi pas…
- Egalité de rémunération entre les femmes et les hommes, avec publication d’un rapport annuel par les entreprises et création d’un indice permettant d’effectuer des comparaisons entre secteurs : impossible à mettre en oeuvre, injuste pour les hommes.
- Interdire les réunions dans l’entreprise avant 9 heures et après 17 heures et faire passer la productivité de l’individu avant sa présence effective sur le lieu de travail : oui, pourquoi pas, mais cette mesure s’oppose à la précédente. S’il y a des différences de productivités entre hommes et femmes dans certains secteurs, comment fera-t-on ?
- Enrayer la limitation des salaires des femmes lorsqu’elles prennent un congé maternité, en l’augmentant au niveau de la moyenne des augmentations salariales de leurs collègues : pourquoi « des femmes », et pourquoi vouloir faire supporter ce financement par les hommes ?
- « Déprécariser » le temps partiel des femmes, en imposant une augmentation du taux horaire du salaire, lorsque les horaires de travail sont imprévisibles et morcelés : encore une usine à gaz impossible à mettre en oeuvre qui rigidifie le marché du travail et au final, crée la précarité .
- Développer la politique des quotas dans les lieux de prise de décision : 50 % de femmes dans les conseils d’administration par exemple : mais oui, bien entendu, les compétences individuelles n’existent pas, n’importe quel homme et n’importe quelle femme sont interchangeables : ridicule.
- Mis en place de programmes d’accompagnement personnalisés pour les femmes, afin qu’elles affichent leurs ambitions et se projettent dans des postes à pouvoir. : discrimination et écrasement des derniers hommes qui ont un job. (quand on analyse mal une situation, on a toujours de mauvaises solutions. Ce sont les hommes qui sont victimes de discrimination sur le marché du travail…)
- Création d’une « charte des bonnes pratiques » qui regrouperait les points 1 à 8, et dont le suivi serait effectué par des agences de notation, au titre de la responsabilité sociale des entreprises : allez encore une usine à gaz pour créer des emplois fictifs pour les femmes.
- Soutenir le développement du microcrédit : comme dans le 1/3 monde. Ben ça en dit long de notre niveau de développement.
- Instauration d’une déclaration fiscale séparée dans les couples, car le modèle actuel favorise le modèle « homme au travail-femme au foyer » et surtaxe le second revenu du couple : alors là c’est carrément dégueulasse. Déjà que les couples sont moins favorisés que les filles mères. Là ça deviendra un handicape de se marier. Vraiment inadmissible.
- Instauration d’une allocation familiale dès le premier enfant : multiplication des filles mères et des enfants non aimés.
- Combattre les stéréotypes dès la formation initiale des futur(e)s enseignant(e)s, pour qu’ils comprennent qu’une organisation sociale est faite de représentations assignant filles et garçons à des rôles précis, rendant naturelle la suprématie de l’homme sur la femme : alors déjà, qu’ils mettent autant d’enseignants hommes que femmes à tous les niveaux de l’éducation nationale et on en reparle après.
- Intégrer la question de l’égalité entre les sexes dans les enseignements d’histoire : le grand foutoir historico-idéologique des féministes ou le révisionnisme historique. (« oulala, on empêchait les gentilles femmes de devenir des génies, on était vilains nous les hommes » = une histoire par les féministes = niveau maternelle)
- Créer une éducation aux relations entre les sexes : aller au-delà de l’amalgame contraception-sida-avortement, pour évoquer l’éducation sexuelle et le respect de l’égalité entre les sexes : il n’y a pas égalité, il y a complémentarité.
- Création d’une mission d’observation et de suivi concernant les stéréotypes sur les femmes, pour surveiller l’image de la femme dans la société. J’étouffe de rire. Et on tue les femmes qui veulent adhérer à un autre modèle que celui des féministes. Ou bien, on interdit les femmes à poil dans les pubs. Moi, j’attends avec impatience ce retour de la morale. Chiche?
- Instauration d’un ministère des Droits des femmes, et non pas d’un secrétariat d’Etat. Comme ça, la tyrannie sera complète.
- Former un gouvernement paritaire femmes-hommes, comme c’est déjà le cas en Espagne : avec les résultats que l’on voit. (quand on ignore la culture, il faut s’attendre aux pires résultats)
- Limiter le cumul des mandats pour les hommes : et pas pour les femmes ? Féminisme = dictature organisée.
- Limiter le scrutin uninominal freinant le renouvellement et la féminisation du corps politique.
21. Elaborer une charte des bonnes pratiques à signer par les partis politiques. Ca c’est certain, virez-moi tous ces incompétents qui ont voté tant de lois fémino-destructrices.
22. Création d’un Observatoire national sur les violences faites aux femmes. Et pas pour les hommes qui subissent plus de violences de la part des femmes!!!!!!!!!!!!!
23. Mise en place dans chaque département d’un guichet unique pour les victimes de violences, où police et parquet seraient présents, et où l’on peut trouver aides juridiques gratuites, assistance psychologique et sociale, associations d’aides aux victimes, entre autres : pour les hommes ? Car pour les femmes, il y a déjà beaucoup de subventions en ce sens.
24. Création et multiplication d’appartements autogérés, maisons citoyennes et foyers pour les femmes victimes de violences, afin qu’elles puissent continuer à vivre avec leurs enfants. Oui, c’est ça, et comme elles ne se rempliront pas comme au Canada, on trafiquera les chiffres et on fera entrer des gens pour d’autres raisons, voire on encouragera aux séparations, et on falsifiera les stats pour garder les subventions.
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