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• "Des internautes se mobilisent contre les attaques sexistes visant Brigitte Macron", L'Obs du 10/05/2017.

  Suggérer qu'une femme ménopausée est ménopausée, c'est sexiste... Je ne comprends plus trop.

• "Un dirigeant de Publicis suspendu pour des propos sexistes", Les Echos du 01/08/2016.

  "Propos sexistes : Kevin Roberts démissionne de Publicis", Les Echos du 03/08/2016.

  Quand on voit combien le moindre propos de bons sens sur l'implication des femmes dans le monde du travail est impitoyablement sanctionné, il est facile d'en déduire que ce milieu tenu désormais par des femmes, n'a pas la moindre chance d'être sexiste comme le proclament les féministes.

• "Projet révolutionnaire anti-sexiste : couper la France en deux", Homme libre du 06/11/2015.

• "Le marketing féministe a le vent en poupe",  Stratégies du 11/09/2014.

  Fini la neutralité en faveur de la ménagère de moins de 50 ans, dorénavant, la soumission au féminisme est directe et affichée.

• Pour les féministes : Un homme se fait insulter = normal. Une femme défendue de l'insulte = sexisme.

  Elles se donnent toujours raison, même dans le pire des cas :

   

  Nouvel Obs du 02/07/2014 : "Si l'emmerdeuse est dégradant, l'emmerdeur est-il un compliment ?"

• Difficile de dire si c'est le manque d'humour ou l'analyse bête sur les publicités qui prime ici :

  "Mémo sexiste pour publicitaires en période de mondial" , Rue89 du 16/06/2014

• AHAHAH, le club de surf a voulu rendre hommage aux femmes dans le surf qui n'existent presque pas, et ils se font taper sur les doigts pour publicité sexiste !

   

  20minutes du 03/07/2013

   

  Bien fait pour leur tronche.

• 
  

  Trierweiler: "Le 6 mai, je n'avais rien mesuré"

   

  Article du Figaro du 15/12/2012

• Encore un jour où l'humour est mort :

  20minutes du 06/01/2014 sur une publicité "sexiste".

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  Vous affirmez : "... la prostitution et la pornographie ne peut servir que de soupape aux exclus du système : les hommes ne représentant pas un assez bon parti." Je dirais plutôt que la prostitution, loin d'être une soupape pour les défavorisés, est plutôt un exutoire pour ceux qui ont bien les moyens. Tout le monde n'a pas 100, 200 ou 300 euros à aller dépenser d'un coup deux fois par semaine. Notez que si les féministes paraissent défendre les prostituées, elles combattent officiellement la prostitution. Comment peut-on défendre qui exercent une activité alors qu'on veut criminaliser et interdire cette même activité? La position des féministes est encore une fois hypocrite: il s'agit de faire la chasse aux supposés "proxénètes" (encore une fois, il faut que ce soit un mec qui trinque) en rabâchant la thèse de l'esclavage, comme si les femmes qui font cela étaient des enfants irresponsables. Les femmes voient la prostitution comme une menace parce que, là où elle est légale du moins, elle dissuade une catégorie d'hommes à bons revenus de vouloir se marier. Quant aux femmes mariées dont les maris visitent les filles vénales, elles ne voient pas d'un bon oeil de l'argent qui s'échappe du ménage (du pactole qu'elles gagneront lors du prochain divorce). De la même façon, les féministes combattent le sexe tourisme masculin (mais elles sont elles-mêmes sextouristes, cf. Wikipedia : "female sex-tourism"). Les androïdes sexuels promettent une révolution: nouvelles matières imitant la peau, d'imitation dans les détails du corps féminin et de ses réactions (chercher dans Google et dans Youtube sur le terme "realdolls" et "sexbots"). Les féministes veulent déjà les interdire.