Demain c’est le 25 novembre et on va encore avoir droit à toutes les bêtises de la télé, de la radio et des journaux sur les femmes opprimées. Par anticipation, je me permets d’éditer ce tableau :
Quand j’ai vu le résultat de mon étude, je me suis dit que si toutes les vies se valaient, certaines valaient plus que d’autres.
La peau d’un homme, par exemple. Celle-là ne vaut pas bien cher. Surtout s’il est battu.
Par contre la même peau, si elle appartient à une femme, vaut tout de suite beaucoup plus cher. A croire que le sexisme n’est pas où on l’imagine !
A chaque fois qu’un fumier de lapin d’homme bat sa femme, et la tue, il en aura coûté 86 000 euros en prévention à la société. Quel salopard ! Par contre, les femmes peuvent tuer autant d’hommes qu’elles veulent, puisque pour le même résultat, il n’en aura rien coûté à la société. C’est que des menteurs, ceux qui disent que les femmes sont plus dépensières. Quand elles tuent un homme par exemple, ça coûte rien.
J’en vois déjà qui se disent : « S’il y a moins d’hommes qui battent leur femme et les tuent, le prix d’une carcasse de femme va forcément baisser. » Et là, on verrait tout de suite le néophyte en économie. Nul n’est parfait.
Vu qu’on dépense toujours autant d’argent, quel que soit le nombre de femmes battues, et bien c’est l’inverse qui se produirait. Si par hasard, le nombre de femmes tués sous les coups de leur mari venait à diminuer, l’argent consacré à la prévention augmenterait d’autant par tête de pipe. La logique voudrait donc qu’on batte d’autant plus de femmes pour rentabiliser les campagnes de prévention. Vous trouvez cela absurde ? Je ne vous le fais pas dire. C’est absurde, mais c’est la France d’aujourd’hui. Celle-là consacre des sommes monumentales, toujours plus, pour des phénomènes toujours plus anecdotiques dans notre société. Dans notre saine société féminisée, la dépense n’est pas fonction du dommage causé à la société, mais elle est fonction du sexe et de l’émotion qu’elle suscite.
Qui remporte le pompon à la course à l’échalote de la domination ?
Sont-ce ces affreux machos dominateurs, « hétéro-patriarcaux » j’ai appris ce mot dernièrement (certainement l’invention d’un ignare qui a fait fac de sociologie), sont-ce ces bêtes immondes et purulentes possédant un vil organe reproducteur et bandant entre les jambes, sont-ce ces violeurs de pucelles, ces rats d’égout dégoûtant et lubriques qui pénètrent violemment des millions de femmes rétives chaque année selon des statistiques féministes faîtes maisons mais véridiques, quand ils ne battent pas une veuve qu’ils ont prise en seconde noce avec un sale morpion qui lui est attachée et dont le père est toujours vivant mais qu’on considère comme mort ou inapte parce qu’on n’a pas réussi à le faire se suicider ? Sont-ce ces violeurs d’enfants pédophiles qu’on met en prison s’ils sont innocents et qui battent la campagne s’ils sont coupables, parce que sous la tutelle rassurante d’une femme ?
Eh bien non.
Les affreux dominateurs, sont en fait des dominatrices. Elles accaparent tout l’argent de la prévention des violences conjugales. Elles accaparent plus de deux fois plus d’argent pour elles s’il s’agit de cancers. Elles accaparent l’attention, elles accaparent l’argent. Les voilà celles qui sucent le sang de la société de leurs plaintes, grâce à leurs associations de parasites, par leurs revendications égoïstes et vénales, celles qui ont un ministère pour les avantager davantage tandis qu’elles sont favorisées d’avance et de partout, celles qui sont devenues si abjectes que leur seule ambition dans la vie est de prendre le plus de plaisir sexuel possible, et qui sont toujours plus insatisfaites, celles qui ne s’occupent plus de leurs enfants et que leur famille ne préoccupe plus tant que cela, si ce n’est pour se faire mousser, oui, je veux parler de nos maîtres femmes.
Ici, l’oppression est criante. Celle-là est le résultat d’une erreur de diagnostic flagrant, encouragé par des associations féministes de mauvaise foi qui nous conduisent à des impasses en nous mettant en concurrence entre hommes et femmes. Ces malades féministes nous ont fait consacrer bien plus d’argent aux femmes battues dont seulement 122 meurent pas an, qu’aux accidents domestiques qui tuent 18500 personnes, hommes et femmes, la même année. Vous savez pourquoi ? Parce que dans bien des cas, la responsable de l’accident domestique, c’est cette mère overbooké qui n’a pas le temps de s’occuper de ses enfants et qui les laisse se blesser. Celle-là, il ne faut pas la pointer du doigt. Ou bien, c’est cet homme de famille, simple homme, seulement homme, qui meure sur sa toiture, et dont il est inutile de se préoccuper. Je crois qu’il serait temps que nous changions nos priorités. Le tirage de couverture communautaire montre chaque jour ses limites. L’idéologie du non sens de la domination masculine a poussé notre société dans le non sens et l’absurdité d’un conflit sans fin entretenu par des folles, qui ne s’attaquent pas aux problèmes de la société, mais qui sacrifieraient tout le monde à leur égocentrisme si cela leur permettait de survivre une seule journée.
Le phénomène des femmes battues est anecdotique dans notre société. Il ne sert qu’à maintenir une pression culpabilisatrice sur des hommes innocents. Les hommes sont rarement violents. Ils le sont de plus en plus depuis que les féministes se sont attachées à détruire toutes les institutions familiales dans notre société en réduisant la famille à leur petite personne. Les hommes violents servent d’excuse à des féministes qui les ont créés de toute pièce pour satisfaire à leur cupidité. Les viols n’ont jamais été si nombreux que depuis la libération de la femme.
En période de crise, nous pourrions rationaliser un peu nos dépenses publiques. S’il n’est pas déjà trop tard pour notre Nation, l’association antiféministe aimeles demande à ce que toutes les subventions aux associations de femmes battues, entre autre, soient coupées. Il est ridicule de consacrer de l’argent à un tel tonneau des danaïdes et cela en pure perte pour pourvoir à quelques démons insatiables. Le diktat émotionnel de la pauvre femme battue doit cesser. Les femmes battues sont rares et sont rarement des victimes. Par contre elles nous font payer cher la pitié gouvernementale que nous leur accordons. Nous avons d’autres chats à fouetter en France, accidents domestique, cancers, précarité des hommes tombés dans la rue, enfermés en prison, subissant l’échec scolaire de manière majoritaire, commençons par ceux-là qui constituent le gros de la troupe et par ordre de priorité.
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