Il ne leur reste plus que leur utérus. Elles enfantent et puis quoi, plus rien. Elle n’aiment plus les hommes, elles ne s’occupent plus de leurs enfants, veulent travailler comme des hommes mais sans en avoir les contraintes, elles détruisent la société à travers le féminisme. Que leur reste-t-il pour se différencier de nous ? Rien. Nos enfants grandissent sans sécurité affective, sans leurs parents. Plus personne n’a de temps à leur consacrer, mais plus personne ne s’interroge non plus sur les résultats de ce féminisme.
Issus de cette maltraitance, nos enfants deviennent de moins en moins stables psychologiquement, de moins en moins aptes à construire des relations familiales stables, de moins en moins aptes à comprendre la différence hommes-femmes. Ceux-là délaissent d’autant plus leur famille qu’ils ont été délaissés, quand ils ne deviennent pas pédophiles ou homosexuels. Ce mouvement imprimé par le féminisme et suivi par la quasi-totalité des femmes s’est imposé dans notre société. Elles ont obtenu ce qu’elles désiraient, ou presque.
Alors maintenant, ne serait-ce pas à nous de les interroger et de les mettre face à leurs responsabilités :
A quoi servez-vous ?
De simples utérus artificiels feraient très bien l’affaire.
Vous ne vous intéressez pas plus à la politique hier qu’aujourd’hui, vous ne prenez pas plus de risques hier qu’aujourd’hui et tout votre honneur de femme, devenir épouse et mère et vous occuper de vos enfants, vous avez laissé à d’autres le soin de le remplir. Il vous faut des garderies, des écoles maternelles, des inconnus, du temps pour vous maintenant que vous avez poussé l’égoïsme jusqu’à supprimer l’homme et les enfants de votre « cadre » familial. Vos hommes ne sont plus que des minables n’ayant plus aucun pouvoir social, de simples marionnettes psychologiquement immatures, vos enfants ne vous intéressent même plus, et si on pouvait vous reprocher votre égocentrisme forcené du passé, au moins celui-ci incluait les membres élargis de votre famille. Mais aujourd’hui, filles-mères dépassées, vous n’êtes qu’un poids pour votre famille et pour la société. Vous êtes incapables de vous occuper de vos parents, mais également de vos enfants. Vous vivez en parasites sur le dos de tous. Et dès que l’utérus artificiel aura été mis au point, il faudra sérieusement s’interroger sur la nécessité de vous confier des enfants.
Confier des enfants à des mères égoïstes, vénales, cupides, et sans conscience. Quel est l’intérêt pour la société ?
Les hommes ont tout fait pour vous soutenir, les imbéciles, et quel en a été le résultat ? Encore plus d’ingratitude, encore plus de plaintes, encore plus de médiocrité.
Désormais, vous étendez votre petite tyrannie, du domaine familial à l’ensemble de la société. Vous avez détruit la notion même de famille. Mais vous ne vous en êtes même pas arrêtées là : il vous faut maintenant détruire le monde du travail au nom de votre indépendance. Les hommes ont-ils jamais demandé à être indépendants de vous ? Vous avez profité de votre position de force en matière de maternité pour nous imposer vos délires. L’indépendance des femmes, payée par les impôts des hommes, n’est-ce pas un de vos plus grand délire ? Et nous, si soumis et si imbus de notre position sociale « enviable », nous vous avons donné nous-même la hache pour nous couper la tête.
La civilisation ne se mesure pas au niveau d’indépendance des femmes. A l’opposé, la civilisation se mesure en conscience de notre interdépendance entre hommes et femmes, ceci pour dire que nous sommes tombés bien bas. Heureusement aujourd’hui des hommes dans le monde entier, dénoncent la forfaiture. Ceux-là sont antiféministes.
Vos mensonges ne tiennent que parce que quelques hommes irresponsables ont décidé de vous soutenir. Le jour où ils auront naturellement disparus, il ne vous restera plus rien, et nous devrons vous interroger : qu’apportez-vous à la société ?
Vos utérus ne sont plus suffisants !
Nous vous demandons des comptes, nous exigeons que vous vous releviez un peu moralement, nous exigeons d’avoir de vraies partenaires à nos côtés, qui fassent le deuil de leur omnipotence, de leur pouvoir totalitaire et de leur médiocrité. Nous exigeons un arrêt immédiat du rapport de force. Cette guerre des sexes que vous avez engagée, vous, qui soit-disant ne menez jamais de guerres, vous devez y renoncer. Vous devez rentrer à vos fourneaux et réapprendre ce que vous avez toujours méprisé dans votre médiocrité. A l’occasion vous travaillerez de manière salariée, et vous privilégierez les mi-temps. A l’occasion, vous mènerez des carrières, mais jamais, au grand jamais vous ne choisirez d’abandonner votre famille à cette fin. Durant des millénaires, vous nous avez demandé de faire ceci ou cela, d’avoir de l’ambition, de ramener de l’argent, de nous occuper des enfants. Maintenant il nous faut vous demander des comptes et exiger un peu de réciprocité : devenez un peu moins médiocres. Vous polluez toute la société. Si vous faîtes quelque chose, apprenez à le faire avec amour. Si vous avez des enfants, essayez de les avoir par amour de votre mari, si vous cuisinez, essayez de le faire avec amour et essayez de devenir de vraies cuisinières, pas ces frustrées incapables de faire de grands chefs. Il y a eu de grandes bonnes femmes dans la cuisine. Essayez de prendre exemple sur elles. Arrêtez de nous faire tout voir comme une contrainte insupportable quand il s’agit de vos obligations. Savez-vous désormais que le monde salarié est contraignant, que la vie en général est contraignante maintenant que vous avez commencé à grandir ?
Si vous travaillez dans le monde salarié, arrêtez de vous choisir des planques, d’en faire le moins possible sous une apparence consciencieuse et tout en tortillant du cul pour amadouer vos chefs et leur faire prendre des vessies pour des lanternes, puis de vous plaindre de harcèlement. Devenez adultes. De nombreux hommes cherchent des femmes adultes à leurs côtés, pas des irresponsables vindicatives et capables de toutes les saloperies pour conforter leur petite position. Vous n’êtes pas toutes assez belles pour qu’ils se contentent de saliver sur vous toute une vie.
Enfin arrêtez d’éduquer vos garçons pour qu’ils vous aiment envers et contre tout. Et ceci inclus la nécessaire présence d’un homme reconnu à la maison, d’un père ayant autorité que vous apprendrez à aimer au lieu de vous rabaisser exclusivement à aimer vos enfants. Et puis, arrêtez de dresser vos enfants pour qu’ils répondent à l’odeur de leur future partenaire. Arrêtez d’en faire d’éternels enfants qui aimeront votre médiocrité, ce qui soulagera votre future complice (votre belle-fille) de tout effort. Arrêtez d’en faire de marionnettes si vous voulez devenir un peu moins médiocre. Exigez des hommes exigeants et non ces lavettes dont vous faites la promotion et dont vous encouragez les vices.
Votre mainmise sur la société est un échec complet.
Nous n’avions pas besoin de vous sur le marché du travail salarié. Désormais, nous n’avons même plus besoin de vous dans nos familles. Vous faites tout mal : engrossées par un pigeon qui ira en engrosser une autre dès qu’il aura assez de revenus pour entretenir une deuxième salope, vous avez créé une nouvelle forme de polygamie, à l’occidentale.
Bientôt, vous ne servirez plus à rien, alors réagissez, il n’est que temps. Il serait temps de nous nous soutenions un peu entre hommes et femmes au sein des couples. Les hommes y sont prêts depuis toujours. Quant à vous, il vous faudra renoncer à votre parasitisme social. Et en ce qui concerne les imbéciles qui vous flattent, je vous conseille de vous en débarrasser au plus vite, ils sont encore plus inutiles que vous ne l’êtes devenues.
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