Les Rachidas Dati, des femmes politiques telles que vous les aurez méritées

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« D’ailleurs, quand nous offrons

de l’encens à la reine du ciel

et lui versons des libations,

est-ce à l’insu de nos maris ? » (Jr 44 19)

 

 

C’est vrai, selon les féministes, il ne faut pas faire de différences entre les hommes et les femmes. Juger que les femmes et les hommes ne devraient pas avoir les mêmes droits, c’est sexiste, je le reconnais. D’ailleurs je ne comprends toujours pas qu’elles dénoncent un sexisme dont elles sont les seules à profiter (par exemple les lois sur les quotas de femmes ou la loi de 2010 sur les violences « spécifiques » faîtes aux femmes). Je voudrais bien qu’on ait les mêmes droits entre hommes et femmes, mais nous, hommes, nous sommes de ces sous-citoyens qui n’y avons pas accès. La justice aux affaires familiales n’en est qu’un autre des nombreux exemples.

 

Légalement, il est donc certain que nous devrions avoir les mêmes droits que les femmes et que nous ne les avons pas, que les femmes en profitent et que les féministes s’en plaignent. En dehors de ce fonctionnement si démocratique, nous pourrions nous attendre à avoir un droit à la différence entre hommes et femmes, que ce soit au niveau personnel ou professionnel. Or cette notion de sexisme dont elles ont profité en matière de démocratie, sans se l’appliquer, elles veulent l’étendre à tous les rapports, que ce soit dans le milieu du travail ou de l’intime.

 

Abolir les différences au-delà de la démocratie, n’est-ce pas là une nouvelle forme de tyrannie ?

 

Dans ce nouveau système qui s’impose chaque jour à nous, chacun de nos gestes est pesé, chacune de nos actions doit être jugée à l’aune d’une position entièrement neutre. On ne doit pas draguer en public, regarder de manière insistante une collègue, un milieu d’hommes est jugé forcément sexiste (tandis qu’on n’interroge jamais les milieux de femmes), il faut avoir un comportement systématiquement retenu pour ne pas être considéré comme un dangereux extrémiste ou plutôt comme un garçon turbulent, tare de notre modernité. Dans ce monde où les différences sont jugées « sexistes », il y a une seule différence qui est acceptée, celle des femmes.

 

Prenons la politique par exemple. Instaurer des quotas a été perçu comme une mesure d’équité dans le champ démocratique. Même si je doute que ce fût bien le cas, cette idée s’est imposée. Et la plupart de ceux qui ont soutenu ce genre de lois se sont persuadés qu’une femme politique incompétente valait bien un homme politique incompétent.

 

Or cette proposition se révèle entièrement fausse.

 

La France semble être allergique à ses femmes politiques ! D’Edith Cresson à Rachida Dati, la France en fait l’amère expérience. Celles-ci ne semblent pas respecter les règles du jeu masculin. Elles ne comprennent rien à la retenue, sont dirigistes, et n’ont d’esprit de corps qu’entre elles. Elles n’ont aucun cas de conscience à baiser pour arriver au pouvoir. Tout cela est très loin de ce qu’un homme français peut attendre d’une femme…. elles, censées être si douces et si maternelles, ou ne devant baiser qu’au profit des hommes. Enfin voilà comment ces hommes se les étaient imaginées. En fait, ce sont des femmes, et contrairement à ce que voudraient nous faire croire nos féministes, ou à ce que croient nos hommes politiques, cela change tout.

 

La colère gronde, vous ne l’entendez pas ? Non ? Je me demande si les hommes politiques comprendront avant qu’ils n’aient été balayés. Ils ne voient pas cette troupe leur arriver droit dessus. Pourtant de nombreux signes devraient les alerter. Il se rapproche le train des reproches inconséquents et des prises de pouvoir à tout prix. Ce train, ils l’ont armé. Les Amazones avancent et quand elles seront dans le camp, je peux vous garantir qu’il n’y aura pas de quartiers. Elles n’en ont pas fait dans l’éducation, elles n’en ont pas fait dans le domaine de la santé ou dans le milieu judiciaire. Quand elles en auront fini, le peu d’hommes qui aura survécu, écoutera ces femmes au doigt et à l’oeil, la queue entre les jambes.

 

Regardez la force d’une Rachida Dati bon sang !

 

Une seule femme a réussi à ébranler toute la machine UMP. Elle est arrivée, seule, cooptée par le « dîner du siècle » (qui tend à faire la promotion des minorités). Elle s’est attribuée un des postes clefs des ministères d’état. Elle a bousculé toutes les habitudes pour se faire remarquer, jusqu’à mettre la magistrature dans la rue ! En plein mandat, elle s’est faite engrosser par on ne sait qui, aux yeux et aux vus de tous. Loin d’être jugée moralement pour cet acte suprême d’égoïsme, elle en a retiré encore plus de gloire. Elle a délaissé le mandat de député européenne où elle ne brillait pas assez. Enfin, elle a cherché à se placer dans une circonscription de droite en lieu et place du premier ministre ! Quitte à faire exploser le parti.

 

Rachida-Dati-souriante 

 

Vous pourrez faire exactement le même constat pour Anne Lauvergnon dans le milieu des « grandes entreprises ». L’histoire s’est répétée par rapport à Edith Cresson. Madame Morano a été d’un rare aveuglement dans sa férocité. Et Roselyne Bachelot a servi le lobby homosexuel à l’intérieur même d’un parti jugé conservateur. Demain aux résultats de l’élection parlementaire qui arrive, notre assemblée aura été féminisée artificiellement comme jamais elle ne l’aura été auparavant. Imaginez seulement quand elles seront plusieurs, imaginez un peu ce qui va se passer… Face à leurs revendications sexistes, les hommes n’ont pas fait le poids alors qu’elles étaient extrêmement minoritaires en matière de représentation. Imaginez quand elles seront majoritaires…

 

Dimanche dernier vous avez pu avoir un avant goût de ce qui nous attend. Jean-François Copé était reçu sur France 5 à l’émission « C politique ». Celui-là même qui défend les femmes, et se dit officiellement féministe, s’est fait pitoyablement malmené par la présentatrice, Géraldine Muhlmann. Offusqué qu’une femme puisse lui parler ainsi, il a montré le visage d’un homme blessé, incapable de faire face, lui reprochant en pleine émission de lui poser des questions aussi dure avec un sourire d’ange, cherchant à la gagner à sa cause. J’ai eu pitié de lui, et je crois que Mme Muhlmann n’était pas loin d’avoir ce même sentiment à son égard. Ces hommes qui défendent les femmes à tout prix, les fantasmant faibles, ne sont que le signe d’une société émasculée où les hommes sont éduqués par des femmes, hommes dévirilisés par leur éducation et qui vont laisser place aux plus fanatiques d’entre elles seulement parce qu’elles sont des femmes, et qu’ils sont incapables de comprendre la force des femmes, et d’y faire contrepoids.

 

Le monde des femmes n’est pas un monde de douceur maternelle, sauf pour ceux qui sont restés dans l’enfance. Au contraire c’est un monde extrêmement dur, plus dur que celui des hommes, et dont nous devons, plus que jamais, nous prémunir. Au moment même où il faudrait être exigeant quant au comportement et à la moralité de celles que nous voulons accueillir, nous laissons des démons investir en premier des places qui ne devraient être réservées qu’aux meilleurs d’entre elles.

 

En vérité, à faire la promotion d’incompétentes qui ont l’habitude de se servir, il ne faut pas s’étonner de les voir continuer à se servir, et continuer à être incompétentes bien au-delà des hommes qu’elles côtoient. 

 

(Députées) L’impuissance à exercer le pouvoir от Léonidas Durandal на Rutube.

si le lien ne fonctionne pas, essayer sur Dailymotion.

Celles-là ont une force morale de femmes, oui de femmes, car les différences persistent, n’en déplaisent à ce que voudraient cacher nos féministes. Ces différences, si nous ne les prenons pas en compte, vont s’imposer à nous dans un sens sexiste et anti-démocratique comme ne nous l’avons jamais vu auparavant. Telle est déjà la situation qu’un jeune garçon peut vivre à l’école, qu’un enseignant qui veut rentrer à l’éducation nationale, à l’école de magistrature ou passer le concours d’avocat peut connaître. Telle est la situation qui va s’imposer à nous dans tous les milieux de pouvoir si les hommes ne savent plus se ménager un seul endroit pour se retrouver entre eux et se donner un peu de temps pour gagner en caractère. Bien entendu, je ne vous promets pas l’apocalypse, la terre continuera à tourner. Cependant, je m’inquiète du fonctionnement de notre société, où l’avidité est promue au rang de qualité, où le malheur s’étend sans fin au fur et à mesure que nous avons bousculé tous nos modèles traditionnels, et où la liberté régresse au fur et à mesure que les peurs des femmes augmentent.

 

83 réponses à “Les Rachidas Dati, des femmes politiques telles que vous les aurez méritées”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    (Vidéo) « NKM : Je suis une femme, votez pour moi ! » BFMTV du 09/2016.

     

    NKM: une primaire sans femme, "ce n'est pas un… par BFMTV


    1. Avatar de kasimar
      kasimar

      Pathétique bonne femme. Mettre en avant le sexe en fait de compétence. Pauvre France.

      Toutes les fonctions des hautes sphères nécessitent de se « faire la guerre »


      1. Avatar de Chen
        Chen

        Segolene royale est bien meilleure encore : elle est une meilleure écologiste parce que vous savez, en tant que mère de famille elle se rend compte de toute cette problématique. Elle ferait une meilleure economiste pour les même raisons, une meilleure ministre de la justice aussi etc etc.

         

        Candidate à une primaire ou une élection, je ne me souviens plus, elle criait a tue tête que puisque c’est une femme , nécessairement, présidente, la France irait mieux.


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Oups , les gochos commencent à virer les Hollandettes pour les remplacer par des hommes compétents et nos féministes ne crient même pas haro sur le baudet ! Rue89 en tous cas, s’en réjouit ! C’est bien d’arriver à une forme de maturité. Certainement les conséquences de l’arrivée au pouvoir et de prises de responsabilités !

     

    Rue 89 du 03/07/2013


  3. Avatar de Auguste
    Auguste

    Si vous pensez que les féministes sont favorables au matriarcat, c’est que vous ne leur avez jamais posé la question. Essaye donc de demander à une féministe si elle connait Boadicée guérierère celte, si elle est capable de vous citer le nom d’UNE seule société matriarcale. Il n’y a rien à faire, elles n’ont aucune conscience historique. D’ailleurs elles sont très masculines, peu nombreuses, et il y a des hommes, donc votre histoire de nature féminine nuisible ne tient pas. Le féminisme est un objet médiatique et à la limite universitaire, mais rien de plus. La plupart des femmes s’en contre fichent du féminisme. En tant que matricien, il n’y a rien de pire pour moi que de lire que les féministes veulent restaurer le matriarcat. Quand on connais leur réaction à propos du matriarcat, on sait très bien que c’est faux.

    D’ailleurs je vois que vous n’êtes pas prêt à lacher le morceau, vous êtes prêt à tous les raccourcis pour me faire croire que les féministes défendent le modèle FAMILIAL matriarcal. Soit vous voyez dans le matriarcat autre chose que ce qu’il est, soit vous ne voulez rien entendre. 

    Vous avez au moins le mérite de m’avoir aider à entreprendre de travailler sur un point important : lutter contre l’amalgame entre féminisme et matriarcat, entre guerre des sexes et modèle familial, entre discours castrateur, anti-maternité, anti-virilité et la simplicité, fierté des sauvages. 

    La confusion que vous faites est CONSIDÉRABLE, vous arrivez à mettre sur le même plan ce qui a toujours éxisté aux 4 coins de la planète (modèle familial des origines) et un vulgaire engin idéologique de l’impérialisme occidental. Tenez compte de la nature, des acteurs et de l’origine du phénomène que vous observez. 

    Adieu 


  4. Avatar de Auguste
    Auguste

    @Léonidas
    Le meilleur moyen de combatre la guerre des sexes, c’est de l’ignorer. Vous ne la combattez pas véritablement puisque vous êtes du côté mâle. Vous y participez.

    Si les femmes possèdent leur mari, c’est grace au mariage, qui est une institution patriarcale, inventée pour garantir la paternité. Tous les régimes tyraniques qui ont existé, ont bien compris que l’interdit sexuel est une manière de frustrer et contrôler la population. Le patriarcat est le pire invention que l’humanité ait connu. Les féministes sont incapables de remettre en cause le mariage et la paternité. Vous savez quel est leur problème ? La MATERNITÉ et la MASCULINITÉ (virilité). Elles veulent tuer la maternité pour tuer la famille, et tuer la masculinté pour une société sans sexe. C’est de l’indifférencialisme. Ceci nous conduira l’utérus artificiel masculin et à terme à la procréation dans un bocal. Il y a une filiation naturelle entre féminisme et science-fiction, vous trouverez tout ceci sur Matricien.org. 

    C’est la vie conjugale le vrai problème, mais pas d’inquiétude, il finira tôt ou tard par disparaitre completement, puisque la liberté sexuelle la détruit, et comme personne ne veut revenir à l’ancienne tradition chaste. Je pense que vous vous trompez de combat. Vous devriez être un chrétien intégriste et militez pour un retour de l’orthodoxie et du pouvoir de l’Église. Nous assistons à une mutation civilisationnelle historique, la fin définitive du patriarcat. Vous n’avez pas à faire à quelques femmes qui se rebèllent. Mesurez bien l’ampleur de la chose. La tradition patriarcale aujourd’hui fait l’objet d’un choc des civilisations entre Occident et Orient. Ben Laden, ou les femmes en burqa en France illustrent bien la survivance du patriarcat. Seulement nous voyons bien qui des deux camps va gagner. Ce n’est pas le patriarcat islamique. Si vous êtes patriarcaux, vous n’avez aucune de chance de gagner. C’est un combat vain.


  5. Avatar de Auguste
    Auguste

    @Nash
    aucun des trois qui se présentent comme matricien ne porte le nom d’Auguste 
    Vous faites erreur, il y a 4 matriciens qui font marcher le schmilblick et je suis un de ceux là. Je suis web designer, graphiste, co-administrateur, penseur et co-responsable. Vous trouverez le necessaire pour me contacter dans la page contact de Matricien.org.

    Notre projet ne consiste pas à imposer le matriarcat, visiblement j’ai beau le dire 15 fois cela ne change rien. Chacun mène sa vie comme il veut. Si vous avez eu des relations sexuelles hors mariage, en droit patriarcal, ça s’appelle de la fornication et c’est sévèrement réprimé. De même le divorce est interdit. Donc si vous n’êtes pas un modèle de chasteté ou que vous avez divorcé, vous êtes forcement hors la loi, donc matriarcaux. Le clivage entre patriarcat / matriarcat n’a rien à voir avec la domination d’un sexe sur l’autre (ça c’est la théorie des féministes). Le clivage entre les deux; c’est une question de liberté sexuelle. Si la liberté sexuelle est totale, vous ne savez jamais qui est le père des enfants (alors que pour la mère vous êtes toujours sûr) La liberté sexuelle tue le patriarcat dont le fondement est la paternité. 

    La position du MM sur les points que vous soulevez est nul. C’est à dire qu’il n’y en a pas. La seule chose que je peux vous dire, c’est de ne pas entrer dans la guerre des sexes. Si vous défendez un sexe plutôt qu’un autre, vous n’arriverez à rien. Et même politiquement, dans le réel, cela ne donne rien, et n’est pas raisonnable. Toutes les questions que soulèvent ces articles partent d’un constat qui est bien une réalité, mais qu’est ce que vous voulez que j’en fasse ? C’est facile d’être pour ou contre, ça ne sert pas à grand chose, c’est gratuit.

    Les femmes d’ailleurs ne m’emmerdent pas et elles ne me font pas peur. Les féministes en revanche ont quand même pas mal foutu la merde, en imposant cette guerre des sexes, en opposant les hommes et les femmes entre eux. 

    Le patriarcat n’est pas une théorie, c’est un concept anthropologique qui permet de désigner une forme de famille (qui elle est une réalité observée par l’anthropologue et non un concept), une forme de filiation et d’appropriation des enfants (par l’éducation et le nom; patronymie). La domination masculine elle, est bien une théorie, ou plutôt un mensonge. Si vous voulez résoudre les problèmes d’abus sexuel, commencez par préférer la liberté sexuelle des adultes entre adultes (qui est bien une des caractéristiques du matriarcat). Pourquoi pensez vous qu’il n’y a que des hommes chez les matriciens ? Justement parce qu’il n’est pas question de domination féminine, mais de d’égalité en droit et de liberté sexuelle. D’ailleurs les femmes sont les premières à défendre le patriarcat, en tant que matricien, j’y suis confronté et je suis bien placé pour parler. Au XIXe s., les anti-cléricaux révolutionnaires avaient en face d’eux des femmes. C’est les femmes qui défendaient le PATRIARCAT catholique. Les femmes préfèrent posséder leur prince charmant, le castrer, le posséder comme un toutou. C’est ça le patriarcat. Le patriarcat c’est la castration et pas la domination masculine qui n’a jamais existé. Aller se faire charcuter dans les tranchées de Verdun n’est pas un privilège du sexe dominant. Rester à la maison quand son mari se fait charcuter en revanche, c’est un privilège. 
    La cause des problèmes que vous dénoncez n’est pas la nature féminine, de même que la cause des problèmes que les féministes dénoncent n’est pas la nature masculine.

    Fraternellement 


  6. Avatar de Auguste
    Auguste

    Frédérique, Les féministes tiennent le même discours que vous (en négatif) vous inversez les rôles. Vous êtes dans la guerre des sexes. Vous défendez le sexe mâle. Moi je ne défend aucun sexe, je m’en contre-balance de la guerre des sexes, c’est le combat des féministes, pas le mien. 
    Le divorce + la pension alimentaire rend esclave beaucoup d’hommes, vous avez mal lu. Les jolies filles américainnes se marient avec des hommes riches et les dépouillent le plus possible pour ensuite se remarier et recommencer. Le mariage est un business pour la femme moderne. Ensuite elles deviennent cougar, quand elles sont trop vieilles pour se vendre.
    Toutes les propositions morales que vous faites Frédérique et Léonidas seraient viables si vous aviez un minimum de pouvoir de les imposer. Il faut passer du concept au réel. En attendant les structures famillales sont atomisées, et la situation s’agrave. « Les enfants ont besoin pour leur équilibre… », « il faut… », « faites ci, faites ça… », ces propositions de bonne conduite n’ont jamais résolu aucun problème. Notre société connait un chaos familial, même une solution à peine moins pire serait une bonne solution. Nous avons tout à reconstruire. Si vraiment vous voulez papa et maman, je vous l’ai dit mais j’ai l’impression que vous ne l’avez pas lu, il faut interdire le divorce. Je vous propose de militer activement dans un groupuscule chrétien intégriste, au moins eux ont compris la cause du chaos familial (de même que ceux qui veulent instaurer la Charia).

    Il y a deux choses à ne pas confondre dans mon discours. La première est le regard que je porte sur la société, comme AimeLes le fait, il s’agit de faire un constat, celui du déclin de la famille, et d’en donner les causes (les libertés de la femme).

    La seconde consiste simplement à proposer au gens de se regrouper dans le but de vivre ensemble pour s’entre aider.  L’éducation des enfants ne m’intéresse pas. Dans le cadre de notre projet (Prométhée), la famille est une entreprise de solidarité, un système de production et de consommation. La question de la structure juridique d’organisation en communauté (famille, clan, peu importe) n’a rien à voir avec les questions d’éducation des enfants. Le sujet ne nous intéresse pas, les parents qu’ils soient adoptifs ou non sont les seuls responsables et le M. Matricien n’a ni les moyens, ni la volonté de dicter quelconque ligne de conduite. C’est d’ailleurs très prétentieux, je n’ai aucune leçon à donner aux parents.

    La question qui nous concerne est juridique et constitutionnelle (plagia de la constitution iroquoise), pour le reste, la seule chose que nous conseillons, c’est d’éviter les relations sexuelles à l’intérieur de la famille. Et pour ceux qui y tiennent c’est toujours possible dans le cadre du projet. 
    Les structures de solidarité familiale sont atomisées, et tout le monde va finir dans sa cage à lapin. On ne fera jamais pire que ce qui est déjà à l’heure actuelle ou ce qui nous attends demain. Le projet Prométhée se présente déjà comme une nécessité. 

    Si vous continuez dans la guerre des sexes, moi je m’arrête là parce que je ne veux pas être impliquer dans ce combat. La domination masculine tout comme féminine ça ne veut rien dire, c’est le degrés 0 de l’analyse sociologique, c’est à dire le féminisme universitaire. 

    Lisez Matricien.org si ça vous intéresse.
    Adieu

    Auguste 


  7. Avatar de Nash
    Nash

    D’ailleurs est ce que Auguste va se décider à nous donner son vrai nom ?

    Sur le site matricien aucun des trois qui se présentent comme matricien ne porte le nom d’Auguste.

    A l’attention d’ « Auguste » :

    Une serie d’article. Je vous laisse la liberté de les commenter sur le blog ou ici même. Quelle est la position du MM sur les points soulevé par ces articles ? Comment le MM analyse les points soulevé dans les articles :

    Sur les matriarcats :

    Une société matriarcale est-elle plus juste ?

    Une société matriarcale en Inde

    Les hommes d’une tribu matrilinéaire en Inde réclament l’égalité des sexes

    Particularité féminine :

    Inceste maternel : l’amour en plus

    Femmes responsables d’abus sexuels : refus d’une certaine réalité

    Pour votre culture :

    Les 5 pôles du féminisme

    Plaidoyer pour une journée des hommes (version longue illustrée)

    Le sexisme se réduit-il à l’aversion pour les femmes ?

    Les fausses accusations de viols : Quelle ampleur ? Quelle réalité ?

    La vérité sur les violences conjugales : des femmes violentes, des hommes victimes, des manipulations, un féminisme de combat sexiste …

    A lire :  » Le garcon invisible : S’ouvrir aux victimes masculines  »

    Concernant le patriarcat, voilà ce qu’on peut lire dans une thèse que je vous donne en PJ :

    En tant que théorie générale issue du vécu des femmes « comme groupe », elle a du mérite. Mais elle se fonde aussi sur certaines hypothèses concernant les hommes comme groupe qui, lorsqu’on les scrute de plus près, s’avèrent biaisées. Les victimes masculines commencent à remettre en question une certaine vision de la violence, de la victimisation et des relatons de pouvoir, strictement basée sur le sexe, étant donné que leur propre vécu leur démontre quelque chose de totalement différent.

    Par exemple, l’un des domaines où cette théorie commence à s’essouffler réside dans son analyse des interactions au niveau des classes sociales et des races. En termes économiques et politiques, une femme riche a plus de pouvoir social qu’un homme pauvre ou sans abri. Une femme de profession – médecin, juge ou avocate – a plus de pouvoir qu’un homme sans formation, en vertu de ses études, son pouvoir d’achat et son influence sociale. Une femme blanche a plus de pouvoir social qu’un homme appartenant à une minorité visible. La théorie omet également de tenir compte du pouvoir que les femmes exercent sur les enfants de sexe masculin, d’abord à titre d’adultes et aussi comme mères,
    enseignantes, gardiennes, ou employées de garderie. »

    […] « La théorie du patriarcat, et cela est évident dans la citation de Hyde, porte préjudice à tous les hommes dans la manière dont elle généralise le stéréotype négatif de la « sexualité masculine ».

    […] « En outre, lorsqu’il est strictement appliqué, un modèle très spécifique à un sexe ne réussit pas à expliquer pleinement l’existence de contrevenants sexuels féminins, et notamment l’exploitation de garçons par leurs mères, ou par d’autres femmes adultes ou adolescentes, ni la séduction de jeunes gens mineurs par des adolescentes plus âgées et par des femmes, pas plus que l’inceste mère-fille, ou l’exploitation sexuelle d’enfants par des enseignantes, des employées de garderie, des responsables féminines dans les institutions, et par d’autres femmes en position de pouvoir et d’autorité (Mathews, 1995).

    Et cette perle : […] « La théorie [du patriarcat] est également « hétérosexiste » et elle n’explique pas l’exploitation et les abus sexuels ni les mauvais traitements physiques dans les relations entre lesbiennes (Renzetti, 1992) ou entre hommes gais. Elle ne réussit pas non plus à rendre pleinement compte de la responsabilité des femmes dans les châtiments corporels, la carence de soins et les mauvais traitements émotifs infligés aux enfants. »


  8. Avatar de Auguste
    Auguste

    Moi j’essaie de faire de la sociologie, de l’anthropologie globale. Ma vie privée, c’est autre chose. La paternité biologique a une valeur juridique dans la société française. Si une femme tient absolument à avoir un enfant de moi, je lui ferai sans le reconnaitre. Mais il est hors de question que je ne chérisse pas d’enfants au cours de ma vie. Pour moi l’amour que j’ai à donner à des enfants est presque un besoin biologique, j’en ai besoin pour mon équilibre, c’est l’instinct « paternel » (social bien sûr). D’ailleurs vouloir donner de l’amour à des enfants qui sont à tout prix les siens, c’est dommage parce que beaucoup d’enfants sont abandonnés. Lorsqu’une femme annonce à son amoureux qu’elle est enceinte, pour le géniteur cela signifie : « tu es condamné à la fidélité sexuelle, tu vas devoir te marier et être un bon père de famille ». La reconnaissance de paternité biologique, ou même tout simplement l’existence, nuit tout autant à la mère qu’au père. Parce qu’elle implique la fidélité sexuelle et donc à un moment ou un autre, le divorce (2 mariages sur 3 donne sur un divorce), la manipulation psychologique, la pension alimentaire, la guerre de l’appropriation des enfants, ou l’homicide conjugal, bref les conséquents sont infinies. L’histoire de l’humanité est conditionnée par le droit paternel. De la plus ancienne oeuvre littéraire (L’Iliade d’Homère) jusqu’à Star Wars (Dark Vador se prend le retour de bâton de sa paternité biologique). 


  9. Avatar de Frédérique
    Frédérique

    De très grosses confusions chez ce jeune homme.

    Il se définit comme marxiste. Il a tout dit en disant ca. Il refuse la compléxité du monde en terme de polarité pour une approche en terme de catégorie.

    Son analyse sociologique et anthropologique s’arrête là où commence l’idéologie : la responsabilité des hommes et l’innoncence des femmes.

    Il lui faut donc un dominé et un dominateur ou plutôt un responsable et une victime. La responsabilité c’est la paternité biologique alors que comme je l’ai fait remarqué à Sachem,  la paternité biologique n’a pas besoin de fidélité surtout avec les tests génétiques.

    L’honnéteté de la mère ou les tests génétiques suffisent aujourd’hui. Ensuite la volonté prend le relai. Il est donc tout à fait possible d’avoir différent type de famille sans pour autant mélanger conjugalité, fidélité et vie en commun.

    D’ailleurs, son discours trahi une haine des hommes (sans doute la volonté de tuer la paternité) puisqu’ils sont incapable de penser (et ca je le tiens de mes échanges avec Sachem) la perversité des femmes, des mères. Pour s’en rendre compte, il suffit de lire son message dans lequel il affirme que la pension alimentaire fait partie des éléments qui dominent l’épouse moderne.

    Hors c’est faux et archi-faux, ce sont des éléments de contrôle des hommes tous ca. D’ailleurs, une question en passant : comment Auguste explique les viols collectifs d’hommes effectué par des femmes dans le matriarcat Trobirandais (rapporté par Malowniski).

    Le simple fait qu’ils disent que les féministes sont patriarcales montrent l’emprise idéologique de leur marxisme idéologique.

    Déjà ils sont incapable de faire la différence dans les différents mouvement féministe. La seule chose qui les interessent c’est de démolir la paternité en se basant sur des interprétations de compte puis d’en tirer des généralités. Ca me fait penser à Badinter qui en analysant les moeurs de la bourgeoisie de la Renissance en déduit  les moeurs de tous le monde …

    Ensuite, ils ne voient pas que les féministes veulent soumettre l’homme par des lois liberticides, ne veulent pas entendre parler d’hommes victimes ou tous simplement des problèmes masculins (accident du travail, échec scolaire … )

    Depuis quand le Patriarcat a t-il intérêt à s’autodétruire en promouvant le féminisme ? Plutôt bancale l’analyse sociologico-anthropologique chez vous non ?

    Le jour où ils remettront un peu d’altérité dans leurs discours en faveur des hommes : considération de la perversité des femmes, de la victimisation des hommes, de la misandrie … , je commencerai à considérer leur initiative.

    PS : vous remarquerez que ce monsieur n’a pas répondu sur ma critique a propos du récentisme et de l’antisémistisme réel du Patron Sachem


  10. Avatar de Auguste
    Auguste

    Léonidas
    Il n’y a pas de professeur d’anthropologie au sein du MM. Nous faisons que copier les sources littéraires qui vont de César (quand il parle de la femme celte, lire le Matriarcat Celte) à aujourd’hui, Bachofen, Malinowski, Lafargue etc… Nous avons réaliser des cartes de répartitions du matriarcat dans le monde et par continent. En plus des schémas pour définir le matriarcat et le patriarcat. D’ailleurs notre projet n’est qu’un plagia de la constitution iroquoise qui a inspiré, la Constitution des États-Unis d’Amérique et sa déclaration d’indépendance, ainsi que l’Organisation des Nations Unies. 
    Les aborigènes d’Australie sont aussi des alcoliques et ils sont patriarcaux. Leur problème ne vient pas du matriarcat, tout simplement parce que socialement et familialement ces populations. La cause c’est la modernité, et leur éducaiton inadaptée à celle-ci. Acusez le matriarcat d’engendrer l’alcolisme pour un matricien, c’est vexant ! Mais je vous en veux pas. J’aime le pinard mais faut pas déconner.


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