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Le théâtre des pleurnicheuses par LeonidasDD
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(Vidéo) Le théâtre des pleurnicheuses.
93 réponses à “(Vidéo) Le théâtre des pleurnicheuses.”
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"Marine Tondelier en larmes : elle veut son quart d’heure bardellien !" BV du 02/072024.
Les larmes se démonétisent dans les yeux de telles femmes.
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(Vidéo) "NATHALIE DÉNONCE LE QUOTIDIEN DIFFICILE DES MÈRES CÉLIBATAIRES" Simone média de 2021.
Les pères qui ne payent pas leur pension… pas le sien… aucun en vérité. Il faut qu'elles trouvent un bouc émissaire à leur échec. Pourquoi veut-elle être prise en charge suite aux erreurs qu'elle a commises alors qu'elle refuse toute responsabilité ? Pitoyable.
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"EXCLUSIF. Sarah Abitbol : « On me reproche d’avoir sali le patinage »" L'obs du 21/01/2021.
et je rajouterais : par intérêt personnel.
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"Violences faites aux travailleuses et travailleurs du sexe : «Il est temps qu’on nous entende»" Libération du 17/12/2020.
Les violences sexuelles prospèrent sur le terreau de la misère sexuelle. Surprenant. Personnellement, si jamais j'avais l'idée d'aller voir une pute et que je me retrouvais dans le lit avec un second zizi, je ne sais pas bien comment je le prendrais… A qui est faite la première violence dans ce cas ? Les déviants veulent vous imposer l'idée que vous n'avez pas à avoir de préférence, eux qui ont le droit à toutes les préférences. C'est une sorte de viol qu'ils commettent sur leurs partenaires. Puis ils s'attendent à être respectés en retour. La propagande LGBT procède du même principe.
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"La chanteuse du groupe L'Impératrice dénonce des violences sexuelles dans le monde de la musique" Figaro du 12/12/2020.
Elle ne sait toujours pas comment se faire remarquer…
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"On a vu "Chambre 2806 : l'affaire DSK" avec Tristane Banon" Figaro du 09/12/2020.
L'art consommé des femmes à remuer un couteau dans une plaie. Jusqu'à se retourner contre elles-mêmes. Tristane Banon s'est construite une jolie prison en forme de guimauve. Et elle participe à en construire une pour toutes les autres pleurnicheuses à moitié anorexiques, sans parler des vénales assoiffées de sang pour qui l'occasion est trop bonne de faire fructifier leur petit commerce.
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"Egalité et parité au cinéma : l'implacable témoignage d'Agnès Jaoui" L'Obs du 25/11/2020.
Quelle beauf.
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"Violences conjugales envers les femmes autistes : «J'ai cru que j'allais mourir»" Libération du 25/11/2020.
Et comme elle était cul de jatte, elle n'a pas pu sortir de la maison. La pauvre.
J'y t'envoie une lettrinfo par saison
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