Le contrôle… qui échoue et qui se renforce à mesure qu’il échoue. Au-delà de la question stricte du féminisme. Vous le sentez ? Oui si vous me lisez parce que vous êtes animé d’une recherche avide de vérité et de liberté. Mais toutes ces personnes obéissantes et qui nous ont bien pourri l’existence pour rien, depuis 2 ans de pseudo-pandémie. Elles, depuis, nous avons pris conscience combien elles fonctionnaient autrement.
Au début, nous n’avons pas compris, pas entièrement. Nous savions, ou plutôt nous sentions qu’une part servile de la société allait répondre aux injonctions sociales les plus folles. En la matière, nous n’avons pas été déçus. Mais première surprise, cette part s’est retrouvée chez une majorité d’intellectuels, et moins surprenants, de haut placés. Les haut placés, c’était facile à comprendre, leur place était en jeu. Mais les personnes avec des métiers qui demandaient de la réflexion, indépendants, en contact avec le terrain, des médecins, ceux-là se sont retrouvés à cautionner les plus grands délires régressifs de politiciens. Comment cela fut-il possible ?
Autre surprise : aucune institution démocratique n’a résisté aux décisions illégitimes et illégales d’un seul. Certes, en tant que militants de la vie, ou simples gilets jaunes, nous savions désormais que les lois étaient tordues par le pouvoir républicain. De là à voir l’état d’urgence généralisé, les mesures anti-démocratiques devenir la règle, et l’absence de réaction des institutions de contrôle comme le conseil constitutionnel, le parlement, le sénat, le cese… Nous étions censés vivre dans un patriarcat, constitué d’hommes forts. Nous nous sommes retrouvés au milieu d’une foultitude de lâches incapables d’offrir la moindre résistance à un seul d’entre nous, élu par des femmes.
Dernier élément marquant : la bêtification médiatique a fonctionné à plein. Durant des décennies, l’éducation nationale n’a cessé d’instruire les enfants sur le danger d’un mauvais traitement de l’information. Résultat probant : une majorité d’enfants devenus adultes ont cautionné les nouvelles toutes plus contradictoires les unes que les autres, jusqu’à penser qu’un pangolin aurait pu être responsable de la propagation d’un virus incorporant une séquence du VIH. La liste des couleuvres avalées à l’occasion par le citoyen modèle serait trop longue à faire (efficacité du masque, du vaccin, mesure arriérée de confinement…). Quant aux informations raisonnables, elles ont été largement censurées (sur l’origine du virus, sur les traitements efficaces comme l’ivermectine adoptée depuis aux USA, la publication fallacieuse du lancet sur l’hydroxychloroquine, etc…)
Suite à cette déroute sociale complète, nous sommes entrés en guerre contre la Russie. Je dis bien « nous », parce qu’un même troupeau d’ânes bâtés, semblant majoritaire, s’est mis en marche pour tuer des gens à l’autre bout de l’Europe en toute bonne conscience, et défendre ainsi l’intérêt grégaire du groupe. Doit-on la succession de ces deux réactions communes à la simple coïncidence ? Je ne le crois pas.
Que ce soit pour le covi ou pour la guerre, j’accuse ici la toute puissance féminine d’avoir fait des ravages, d’être à l’origine de la corruption et de la cautionner, sous le faux prétexte d’attention aux plus faibles. Et je rajoute que nous n’en sortirons pas sans détruire cette régression féministe. Le pouvoir totalitaire qui a été laissé aux femmes, se traduit en humiliations répétées envers les personnes, principalement hommes, fortes et compétentes. Du coup l’escalade totalitaire n’a pas de fin. Car l’homme compétent et fort, est une menace pour le troupeau qui se cache derrière le nombre et qui entend faire régner son ordre de manière implacable. Le résultat, c’est l’absence d’affrontements individuels dans le débat public, et en dernier lieu, la mauvaise décision basée sur le sentiment majoritaire, la manipulation de la part d’oligarques, le confinement, la guerre.
Ce troupeau, cette société, fonctionne de nos jours quasi exclusivement au service des femmes, par soucis d’égalité jalouse, pour notre plus grand malheur à tous, hommes et femmes. Il suce le sang masculin grâce à son administration fiscale. Si une apparente égalité, et encore, persiste, dans les faits, tout est organisé pour contrôler et non responsabiliser l’individu dans nos sociétés. Ce contrôle est celui d’une mère sur son enfant, contrôle qui arrange bien nos oligarques.
Je ne suis plus un enfant. Mais il semble que nombre de mes concitoyens le soient et revendiquent le droit de le rester, c’est à dire de confier leur destinée à un homme politique/ un état. L’infantilisation est l’envers du contrôle exercé par la mère, et appliqué à la société. Elle exclut l’homme compétent souvent accusé de se comporter en « patriarche ». Et de nos jours, cette régression est partout, dans tous les métiers où les femmes s’imposent, où l’état met son nez. L’oligarque se donne de l’importance en décidant à la place des individus, et l’individu femélisé se cache derrière la puissance du groupe contrôlé par l’oligarque. Cette symbiose socialiste, appelée à tort libérale et capitaliste, s’exerce sur le dos d’hommes minoritaires en démocratie, même si cette démocratie leur doit tout. Or à cause de ce mouvement, l’incompétence s’est généralisée, et les hommes ont de moins en moins de place pour faire prospérer la société. Nous ne sommes donc plus capables d’entretenir notre système de corruption, et nous en sommes arrivés à provoquer une guerre pour piller les autres nations. En somme, la guerre qui a été menée contre le génie masculin blanc en interne a eu pour résultats l’appauvrissement généralisé, et ce système féminisé compte bien continuer sur le dos d’une autre bête, hier les pays producteurs d’énergie dans le tiers monde, de nos jours la Russie.
Durant les derniers jours d’été, les températures ont augmenté au-dessus de 40. Mais il a fallu conserver le masque dans nombre d’hôpitaux. Le seul endroit où le virus pouvait préférentiellement survivre à cette époque, ce fut justement dans un milieu humide tel que celui du masque. Les vaccinés sont tombés malades en masse. Rien n’y a fait. Les petits kapos en jupons, ou plutôt en pantalons blancs puisqu’elles ne portent même plus de jupes, ont fait respecter l’ordre en se cachant derrière le vocable : « c’est obligatoire ». Et du coup, les contaminations ont pu continuer en pleine période de sécheresse (ce qui explique peut-être le rebond des cas en début d’été).
Si des règles aussi absurdes sont mises en œuvre, la raison en est simple : la femme se cache derrière le respect des règles sociales, qui en vérité, sont toutes faites pour lui permettre de perpétuer sa mainmise sur la société. Ne pas les respecter, aussi absurdes soient-elles, elle le sent, elle le sait, ce serait attenter à son pouvoir. Le vol de l’argent gagné honnêtement dans des métiers productifs, va aux familles déstructurées, aux poules pondeuses, aux fonctionnaires très majoritairement femmes, et l’état s’est substitué aux hommes pour assurer leur protection. C’est plus sûr. Que serait ces femmes sans l’intervention publique ? Des femmes honorables et responsables, obligées de composer avec la réalité, avec un homme, horreur. Au contraire, préfèrent-elles souvent que leur survie se confonde très exactement avec celle d’un état totalitaire. Vivant d’abus, de dette sociale, elles ignorent au passage toutes les vérités immuables que la tradition humaine s’est transmise de générations en générations. Et puis, si c’était si terrible, les hommes ne laisseraient pas faire ça. Dans leur tête, tout est donc bon pour cautionner cet état totalitaire.
Or, loin de faire valoir la raison et l’expérience, bien des hommes occidentaux, surtout français, adoubent cet état de fait au nom de leur rôle historique de protection des femmes, eux qui n’arrivent même pas à s’en protéger. Parce qu’ils n’ont plus d’autonomie intellectuelle et sentimentale propre, ils recherchent cette approbation du beau sexe pour espérer survivre psychiquement, et socialement. Vous n’avez qu’à les écouter. Tous féministes. Tous anti-Poutine, contre cette image rémanente d’homme fort, de patriarcal. Subjugués sentimentalement, ils n’ont plus de prétentions sociales. Pour eux, le progrès, c’est leur propre disparition en tant qu’homme, l’avènement de la chatte universelle. Alors qu’il est reconnu depuis 10 000 ans, que le progrès doit passer par l’évolution de la condition masculine, eux appellent « évolution », l’égalité, l’indifférenciation hommes-femmes, la régression tribale au profit de gaïa, la sainte vierge effarouchée.
Même dans nos rangs, et c’est là le plus dramatique, la prise de conscience n’est que partielle. Fait marquant, il y a plus de femmes que d’hommes pour sentir la supercherie. Ces dernières savent d’instinct qu’un homme fort, c’est la possibilité d’une femme forte. Celles-ci sont les gardiennes d’un monde passé qui disparaît progressivement. Comme les autres, elles essaient d’entraîner les hommes derrière elles au nom de la protection qui leur est due, nourrissant le problème qu’elles veulent combattre. Mais une majorité attend encore que l’état règle les problèmes que cet ogre matriarcal contrôlant a généré. Beaucoup, hommes et femmes, sont perdus idéologiquement, et ne trouvent pas de sens à la décadence qui est la nôtre. Elle est pourtant évidente. Elle vient des idées qui sont en nous, notamment du progrès social confondu avec celui de la femme, cette idée absurde au possible. Le progrès social, c’est l’homme. Le progrès sentimental, c’est la femme. Or de nos jours, la femme est chargée de faire progresser la société, et l’homme doit changer pour faire « évoluer » la famille. L’embourgeoisé s’ennuie.
Pour nous en sortir, il va donc nous falloir sortir de cette domination par l’humiliation des hommes. Il va falloir que des hommes s’extraient de toutes leurs culpabilités infantiles, et réussissent à faire comprendre à leurs concitoyens qu’ils n’obtiendront rien en s’attaquant à Dieu. Car dévaluer l’homme, ou dit autrement, renoncer à l’efficacité masculine dans le domaine public, c’est s’attaquer à Dieu. Ce serait aussi le cas si les femmes étaient humiliées. Mais en ce moment, tout leur est dû, et de ce fait, elles en sont devenues ces petites connes perdues que nous côtoyons au quotidien, et qui en demandent toujours plus. L’homme est de retour. Et si tel n’est pas le cas, ce monde ira de perditions en perditions.
Le mensonge a fini par gangrener toute la société, et l’apparence du progrès n’y subsiste même plus. Une civilisation peut perdurer avec beaucoup d’adultes immatures en son sein, vivant de ses rentes passées, nous le voyons de nos jours, mais pas mué par un système de reproduction par infantilisation, nous le verrons demain. Personne ne s’attaque impunément aux règles que Dieu a établies.
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