L’impunité des Saintes Innocentes

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« Va, désormais ne pèche plus » (Jn 8-11)

 

 

Elles tuent, violent, enlèvent les enfants et ne sont jamais condamnées. Elles sont des femmes. Elles sont des objets d’adoration. Des êtres sacrés. Des divinités. Celles-là ne peuvent commettre le mal. Si elles tuent, elles le font sans le savoir. Si elles violent, cela ne se peut pas. Si elles enlèvent des enfants, c’est pour les protéger. Les Saintes Innocentes sont toujours excusées.

Une énième mère, « victime » d’un « déni de grossesse » vient d’être acquittée, et je ne veux plus taire ma colère contre cette espèce de « victimes ». A ces saintes innocentes, j’oppose ma sainte colère. Qu’elle emporte ces assassins !

 

http://www.sudouest.fr/2012/09/08/accusee-d-infanticide-elle-est-acquittee-815226-2932.php

http://www.europe1.fr/France/Accusee-d-infanticide-elle-est-acquittee-1231011/

 

Durant 9 mois elle oublie qu’elle est enceinte. Puis accouchant, déchirant le cordon avec ses dents, elle ne se contente pas de le mettre dans le bac à ordures. Non, avant, pour être sûre qu’elle ne donnerait pas la vie, elle étouffe ou saigne, au choix, la bête immonde. Qu’est-ce que la bête immonde ? Son violeur ? Celui qui aurait tenté de la tuer ? Sa marâtre ?

 

Non.

 

La bête immonde c’est son enfant, son propre enfant, l’enfant de Dieu qu’elle venait de faire naître, le Saint des Saints.

 

Combien de Bach a-t-on assassiné depuis 1975, depuis le droit au génocide généralisé des femmes sur leurs enfants ?

 

massacre_des-saints-innocents

 

N’avez vous pas remarqué combien, depuis 1975 on recule l’âge légal pour avorter ? Combien la notion d’avortement dans des cas exceptionnels disparaît ? Puis comment on excuse progressivement les infanticides ? Puis comment le nombre d’avortements augmente ? Puis comment on cache les chiffres ? Puis comment les femmes vivent à côté de leur corps ? Qu’elles semblent ignorer tant leurs maternités que l’avortement n’est plus qu’un moyen de contraception pour elles ? Regardez ces témoignages de femmes qui ont avorté. Elles sont féministes et je ne pourrai faire mieux pour vous convaincre de leur inconscience que d’écouter leurs propos dans cette vidéo : Non, rien, de rien, je ne regrette rien…

 

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/518717-arretons-de-culpabiliser-les-femmes-qui-avortent-elles-ne-sont-pas-irresponsables.html

 

Aujourd’hui, elles militent pour le droit à l’indifférence. Elles ont l’impunité, et elles ne comprennent même plus la condamnation morale dont elles font l’objet. Elles tuent, elles ont l’assentiment de la société mais cela ne leur suffit pas. D’ailleurs, elles vont toujours plus loin dans l’horreur.

 

En 2009, Mme Courjault (née en 1968…) avait pris 8 ans de prison ferme pour avoir fait 3 « dénis de grossesse » à la suite, ou si vous préférez, après avoir tué trois de ses nouveaux-nés (3 à la suite, vous ne trouvez pas bizarre que le déni se soit répété 3 fois ? Avec 3 glaçons dans le congélateur qui démentaient toute forme de déni possible ?). Il fut une époque où elle aurait été passée à l’échafaud pour le pire crime que puisse commettre un être humain, époque où elle aurait accepté sa sanction :
(Pour accéder à la chanson, cliquez

 

En 2012, cette femme ayant commis le même crime que Mme Courjault, vient d’être acquittée. Comment croire que notre société est de plus en plus juste et consciente ? Ici comme souvent ces derniers temps, la psychologie est venue à la rescousse de la femme homicide, enfin une partie de la psychologie, intéressée dans un marché de plus en plus juteux qui veut s’émouvoir à bon compte. Notre mère homicide a été défendue par Sophie Marinopoulos, psychologue et psychanalyste, à l’hôpital Mère Enfants du CHU de Nantes. Elle a presqu’excusé la meurtrière durant le procès en parlant, je cite, de « l’horreur du réel dans laquelle la femme est précipitée. »(en cas de déni de grossesse). C’est comme si on excusait une perversion en l’expliquant. Ce procédé sexiste est utilisé uniquement s’il s’agit de femmes. Imagine-t-on parler d’un tueur d’enfants ainsi ? « Monsieur Le tueur n’a apaisé sa souffrance insoutenable qu’au moment où il a planté le couteau dans le ventre de sa victime ».Ces propos là seraient véritablement insoutenables. Mais quand ces propos sortent de la bouche d’une femme pour s’adresser à une femme, même publiquement, ils deviennent des excuses que la société doit gober.

 

Elle a été acquittée…

 

Car ce ne sont plus ces mères qui sont des monstres mais leurs enfants. Ces horribles enfants dont elles ne veulent plus, qui pourrissent leur avenir, leur futur métier de salopes au service de l’Etat ou d’un patron qu’elles rêvent maintenant de remplacer. Le détritus, l’enfant objet, l’horrible empêchement des femmes qui ne désirent pas octroyer la vie, celui-là ne vaut rien. Cet être faible, on sait bien ce qu’il en advient de cette espèce dans nos « démocraties », surtout s’il n’est pas désiré. Le désir de la femme, c’est le droit de vie ou de mort sur les faibles désormais. Elles deviennent des monstres, petit à petit, des êtres sans foi ni loi, fières de leurs crimes, fières de leur domination, sans limite, sans père ni références sociales, puisque tous les hommes de cette société les laissent faire. Oui, elles assument leur folie aux yeux et aux vus de toute une majorité de moutons qui ne sait plus quoi en penser.

 

Je leur dénie le nom d’humains quand elles agissent ainsi.

 

Il y a longtemps désormais, elles se sont attaquées à la confession dans l’Eglise catholique. Cette attaque n’était pas anodine. Cette attaque l’était contre l’âme de notre société française. Cette attaque gagnante empêche désormais tout retour sur soi dans notre société. Il fallait s’accepter tel quel, ne pas se poser tant de question. Surtout pas. Tous ces êtres qui réfléchissaient, qui se posaient des questions n’étaient que d’affreux culpabilisateurs ! Elles nous dirent : « Laissez-nous vivre bon sang ! Laissez-nous devenir riches, devenir libres ». Aurions-nous accepté tout cela si nous avions eu des cas de consciences. Bien évidemment que non. Il fallait stopper tout cas de conscience chez la population car alors nous aurions entendu dans la plainte des féministes une autre vérité : « Laissez-nous mettre ce pays à bas, détruire l’Occident dans l’enfer des familles mono-éducantes, dans ce cocon malveillant et féminin, dans le déni de toute prise de risque, dans un système social qui ne vivra que pour lui et que par lui, dans une économie vampirisée, dans un manque d’attention grandissant envers les enfants. » Vous voulez connaître le vrai fond de notre crise économique, eh bien, ne le cherchez pas ailleurs. Notre pays est devenu pire que le tiers monde dans certaines de ses cités. Il a vécu à crédit sur le dos d’une société traditionnelle qui avait mis des millénaires pour en arriver là. D’ailleurs certains parents africains renverraient leurs enfants dans des écoles africaines tant notre système serait devenu une ordure sans autorité, ni sens, dans certains quartiers, pire que le pire des tiers-monde. Les ghettos féminins n’ont plus de limite  :

 

http://www.franceculture.fr/emission-repliques-l-ecole-dans-la-cite-2012-09-08

 

 

Et la cité n’est que la partie émergée de l’iceberg. Quant au reste du glaçon, il est composé d’un occident où les hommes n’ont plus qu’un rôle de fantoches dans leurs familles et où ils doivent trouver cela naturel. Veulent-ils se comporter en hommes sans la tutelle d’une femme, les voilà quittés, perdant leurs enfants sans possibilité de les revoir, faussement accusés de tous les crimes de la terre, mais surtout, éternels suspects, surveillés dans les jardins d’enfants, aux abords des écoles. Les féministes auraient-elles de plus en plus peur des monstres pédophiles qu’elles ont engendrées ? Ou auraient-elles de plus en plus peur que les hommes se réveillent de millénaires d’un sommeil oppressif ?

 

Sans un esclavage renforcé sur les hommes, sans un rabaissement de leur niveau de conscience, l’indépendance des femmes aurait été impossible à conquérir.

 

L’impunité est telle que, non seulement elles ont droit de vie ou de mort sur leurs enfants, et que ce droit est étendu d’années en années, mais qu’elles peuvent enlever leurs enfants aux pères, sans risque, quand ils sont un peu plus grands. Cela s’appelle non représentation d’enfants. 150 000 non représentations d’enfants en France, presqu’aucune condamnation (moins de 0,7% dont 80% de mères) condamnations rarement exécutées. Ces non représentations d’enfants concernent essentiellement les mères qui détiennent à 85 % la résidence principale pour leurs enfants. Car à l’inverse, le parent qui ne possède pas la résidence principale pour ses enfants (à 85% le père), s’il ne présente pas l’enfant risque d’être poursuivi pour enlèvement d’enfant. Encore deux poids et deux mesures. Il y a 304 enlèvements d’enfants par an en France et comparés aux 150 000 non représentations d’enfants, on comprend combien les pères seuls sont concernés par la brutalité des femmes :

 

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2011/06/03/01016-20110603ARTFIG00590-les-contentieux-postdivorce-envahissent-les-tribunaux.php

http://www.lepoint.fr/actualites-societe/2009-05-25/augmentation-des-fugues-disparitions-d-enfants-et-enlevements/920/0/346443

 

Enfin, en ce qui concerne les viols sur mineurs, doit-on rappeler le travail de M Cyrulnik et les incestes mères-fils qui sont aussi nombreux que ceux pères-filles tandis que seuls les criminels hommes sont condamnés… (Boris Cyrulnik « les nourritures affectives » p152-153) :

 

http://books.google.fr/books?id=Q5_Lbb1fjaEC&pg=PA153&lpg=PA153&dq=autant+d%27incestes+m%C3%A8re-fils+Cyrulnik&source=bl&ots=sqNeLvtt86&sig=FZrDIRCRtPNjuSg9ATy3LEl0_1k&hl=fr#v=onepage&q=autant%20d%27incestes%20m%C3%A8re-fils%20Cyrulnik&f=false

 

 

ou encore les statistiques d’allo119 qui montrent que, majoritairement, les femmes sont auteurs de violences sur enfants tandis que les seules campagnes de prévention de la violence concernent les hommes, campagnes où les femmes ne sont jamais brocardées comme violentes dans le couple !

 

ou encore ces « agressions sur mineurs » qui seraient qualifiées automatiquement de viol avec circonstances aggravantes (personne ayant autorité) à caractère pédophile si le même professeur avait été un homme et s’il avait pénétré une fillette de CM2 ?

 

http://www.elle.fr/Societe/News/Vendee-une-prof-condamnee-pour-avoir-couche-avec-son-eleve-2156548

 

Récemment j’ai lu sur un forum que deux garçons, après avoir argumenté contre une féministe, s’étaient laissés convaincre de participer à la prochaine marche des salopes sur Paris. Le niveau d’argumentation de ces garçons était si faible sur ces sujets qu’ils se laissèrent convaincre facilement.

 

Il n’est plus temps de sentir tout le mal causé par les féministes. Il est temps de leur répondre, il est temps de leur opposer une résistance, il est temps que je vous vois écrire ou à défaut transmettre des articles antiféministes autour de vous. Je sais déjà que vous êtes nombreux à le faire. Mais cela n’est pas suffisant. Il faut passer au militantisme et plus seulement à l’affinité d’idées. Tant que tous les hommes n’auront pas pleinement conscience du massacre organisé sous leurs yeux, il faudra agir, il faudra réveiller les consciences, compter vos soutiens, vous affirmer, nous affirmer.

 

Le temps d’agir est venu. Nos consciences endormies doivent se réveiller. Il est temps d’éponger la mare de sang féministe.

 

194 réponses à “L’impunité des Saintes Innocentes”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Pédophilie dans l’Isère : la femme du directeur se sent « terriblement coupable » », Figaro du 27/03/2015.

    Elle se sent terriblement coupable, mais elle jouit d’une belle liberté. J’ai des doutes qu’avec autant d’actes de pédophilie, elle n’ait rien vu… Par contre, le père des bébés congelés qui a prévenu récemment la police quant aux agissements de sa femme, il dort lui en prison… L’un dénonce sa femme et dort en prison, l’autre laisse faire son mari et est interviewée comme si elle était victime.


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Gironde: cinq corps congelés de bébés découverts à Louchats », Figaro du 19/03/2015

    Le père prévient la police, on le met en garde à vue. La meurtrière reconnue responsable de ses actes et en état psychique stable, est hospitalisée.


  3. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Récidiviste infanticide condamnée à 23 ans de prison », Le figaro du 05/03/2015.

    En dehors de toute question de vengeance, comment une société a pu oser la relâcher alors qu’elle était encore féconde ?


  4. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Transfert du commentaire d’observateur suite à l’effacemenet de l’article « Pourquoi y-a-t-il si peu de femmes en prison ? »
    Envoyé le 07/06/2014 à 6 h 45 min

    Je cherchais ce genre d’étude et j’en ai enfin trouvé une: Comparaison des peines de prison reçues par les femmes et par les hommes, Les hommes sont condamnés à des peines 63% plus longues en moyenne http://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=2144002


  5. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Pourquoi y-at-il moins de femmes en prison ? », Libération du 25/09/2012

    Elles arriveraient presque à se plaindre de ce qui est un avantage.

    Dans l’article de cet auteur, la violence n’est pas sexuée. Autre défaut de la démarche.


    1. Avatar de kasimar
      kasimar

      En effet la violence n’est pas sexué loin s’en faut.
      Regardez les pugilats dont sont capables les femmes ou lisez La violence des femmes de Regina Christophe.
      Non égaux physiquement, mais clairement égaux en déviances psychiques en tout genre 😉


      1. Avatar de Léonidas Durandal
        Léonidas Durandal

        Vous avez lu trop vite. Pour moi la violence se définit effectivement de manière identique qu’elle soit masculine ou féminine. Cependant, elle est sexuée dans la forme (empoisonnement pour les femmes, bagarres pour les hommes…)


  6. Avatar de observateur
    observateur

    Histoire suspecte:

    http://lci.tf1.fr/france/faits-divers/charente-maritime-une-voiture-tombe-a-l-eau-un-pere-et-sa-fille-8538088.html

    La mère n’est mentionnée nulle part dans l’article. Alors qu’aujourd’hui on aurait eu la mère a la une des journaux pour se plaindre à quel point cette histoire est dramatique, pour dire qu’elle a appelé la police pour les informer de la disparition de ses enfants. Peut-être qu’elle est décédée mais cette histoire reste quand même très suspecte

    L’article omet soigneusement de mentionner qui était au volant au moment de l’accident.


    1. Avatar de observateur
      observateur

      Une personne avec beaucoup d’imagination envisagerait que le père et les enfants ont été drogués, placés dans la voiture en haut d’une pente, que la voiture a été poussée et est tombée à l’eau.

      Manque de chance le froid de l’eau a réveillé le garçon qui a pu nager et atteindre un bateau de pêcheur.


    2. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      C’est comme le couteau de Nabila, il s’est enfoncé dans le dos de son homme malgré elle.


  7. Avatar de observateur
    observateur

    Un lien interessant pour ceux qui lisent l’anglais:

    http://www.reddit.com/r/PussyPass


    1. Avatar de Léonidas Durandal
      Léonidas Durandal

      C’est sympa, c’est exactement l’objectif de mon article, en Anglais.


  8. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    « Une mère de famille arrêtée dans l’octuple infanticide qui bouleverse l’Australie », Figaro du 20/12/2014

    Ce serait une « famille soudée » où la mère aurait eu 7 enfants de 5 pères différents ! Tout le reste de l’article est écrit sur le même ton : on nage dans l’incohérence et l’immaturité, laxisme d’une morale féminisée où les mères semblent avoir le droit d’égorger leurs enfants à l’arme blanche parce qu’elles seraient en dépression (comme on dit « si c’était un homme… »)


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