Categories: Confusion des sexes

L’incapacité des femmes modernes à faire vivre leur culture/le parasitage de la culture masculine

Le constat :

Nos femmes semblent aujourd’hui incapables de créer leur propre culture. Depuis plus de cent ans, elles singent celle des hommes et la parasitent, devenant de plus en plus stériles socialement.

En matière d’habillement, les femmes occidentales ont récupéré nos pantalons. Ce faisant, elles ont abandonné la pudeur qui était l’apanage de leurs mères. Elles ont préféré miser sur la vulgarité d’un vêtement qui faisait appel aux plus bas instincts de l’homme, se soumettant ainsi à l’appel du mâle en rut. Au début, elles ont parlé du côté pratique du pantalon. Aujourd’hui, cet habit leur moule le cul, mettant en avant leurs appareils génitaux primaires (vulve) et secondaires (cul, hanche, jambes). L’imagination a laissé place à la pornographie, culture proprement masculine. Le psychisme de l’homme en a été appauvri d’autant.

En jouant de leur corps, les femmes se sont mises en concurrence les unes avec les autres pour savoir lesquelles d’entre elles seraient les plus performantes sur le marché de la baise. Ce mouvement se solde aujourd’hui par la mise à poil des femmes militantes. Avant, elles revendiquaient le pantalon « pour se libérer ». Aujourd’hui leur revendication prend la forme d’une exhibition de leurs organes sexuels secondaires dans la rue (seins) . Il est à gager que bientôt, entraînées dans cette surenchère par le mouvement féministe, elles désireront nous montrer leur clitoris comme un homme pourrait exhiber son phallus en signe de provocation (doigt d’honneur).

 

Toutes leurs revendications sont en fait calquées, non seulement sur la culture masculine dans la forme, mais aussi dans le fond.

Les féministes leur disent de vouloir le travail salarié à temps complet, enfant ou pas, comme un homme. Et les femmes suivent, tout au moins en France. Les féministes les encouragent à devenir soldat, pilote de chasse, sportives de haut niveau, pompier, capitaine d’industrie, cadres supérieures, mathématiciennes. Et les femmes suivent, autant qu’elles le peuvent. Dans ces métiers où rien ne leur a été transmis, elles se sentent parfois à l’étroit. Deux options s’offrent alors à elles : féminiser ou accepter de se soumettre à la culture dans laquelle elles entrent. Cependant la performance étant la performance, elle ne peut être féminisée. Les voilà donc à saborder des pans entiers de la société (justice, éducation, santé) ou bien devenir des hommes comme les autres et perdre ainsi toute culture. D’ailleurs, quel temps leur reste-t-il pour alimenter leur culture historique dès lors qu’elles se consacrent entièrement au monde de la performance ou à cette nouvelle société crée de toute pièce et pour laquelle elles ne sont pas faites ?

Cette folle course les amène à copier toujours plus les hommes pour toujours moins obtenir de résultats. Car pendant ce temps, elles détruisent le monde masculin et elles ne cultivent pas le leur.

Ainsi ont-elles abandonné, la cuisine, l’allaitement, la culture du soin notamment par les plantes, leurs connaissances sur les enfants en bas âge, l’architecture d’intérieur, la fabrication des vêtements, leurs compétences affectives et psychologiques dans les relations inter-personnelles. Et elles ont réinvestit ces compétences pour le pire dans le monde du travail salarié. Par exemple, dans une classe, les institutrices savent très bien gérer le facteur humain, mieux qu’un homme, mais elles n’ouvrent pas les enfants au monde. Au mieux elles leur font découvrir leur intériorité par le biais de langage par exemple. En France, nous avons plusieurs générations d’enfants qui savent s’exprimer sur une feuille blanche ou qui savent lire un récit passionnel, mais qui ne sont passionnés par rien, sinon par eux-mêmes. Ceci explique pourquoi les mathématiques qui étaient une des grandes forces de notre système scolaire, soient devenues en quelques décennies l’un des domaines d’apprentissage où nous avons des résultats de moins en moins bons au niveau international (2). Ceci explique également pourquoi notre ministre de l’éducation nationale actuelle n’a qu’une ambition : favoriser l’interdisciplinarité au détriment de l’excellence des matières.

L’interdisciplinarité est le pendant d’un monde de communication au féminin où il n’est nul besoin de savoir pour exister, mais où il faut manier les outils de langage afin de pouvoir comprendre les autres et le corollaire de cette proposition : se comprendre soi-même. Le monde des personnes s’adresse à lui-même et devient incapable de s’ouvrir à la nouveauté. Féminisation du monde des hommes donc, mais aussi abâtardissement de la culture féminine dans un domaine où elle n’a aucun sens. L’homme en vient à devoir allaiter l’enfant de manière artificielle, pour que la femme puisse aller travailler de manière salariée. Il se maternise sans jamais pouvoir accéder à sa propre culture, prisonnier d’un mode de vie qu’il a accepté. La femme, elle, rêve de passer plus de temps avec son enfant. Elle s’aperçoit au détour d’un regard que celui-ci ne le reconnaît pas comme mère. Et quand elle le comprend c’est une grande blessure. Cependant, elle sait aussi combien elle est responsable de cet état de fait et combien elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même d’avoir eu des désirs fous de féminisme. Elle-aussi est prisonnière des manques d’une culture qu’elle a volontairement choisi de négliger.

Parfois, la femme se rebelle individuellement. Elle va élever des chèvres dans les Alpes, elle se tourne vers la naturopathie, elle pratique une écologie de la déesse mère gaïa. Seulement, elle s’engage bien souvent dans ce retour à sa culture de femme, en ayant toutes les peines du monde à retrouver une altérité. Dans ce mouvement, elle importe d’abord son déni de la masculinité. Il lui faut du temps pour réapprendre, autant de temps perdu à réinventer le fil à couper le beurre qui l’éloigne toujours plus du monde moderne. La bipolarité du monde féminin sans homme est alors complète. Soit perdre sa culture et travestir le monde. Soit retrouver sa culture et favoriser une forme de désintégration sociale par la création d’une société parallèle ayant peu à voir avec la réalité. Il est bien beau de vouloir devenir naturopathe ou prof de yoga tandis que dans le monde réel, le système d’imposition des filles-mères laisse peu de place à la redistribution de revenus en dehors de l’État, et où les femmes salariées n’ont plus vraiment le temps de s’investir dans leur développement personnel si ce n’est quand elles sont vieilles et fripées à la retraite. Ainsi avons-nous une cohorte de femmes qui voudraient retrouver une insertion sociale en développant enfin leur culture de femme, tandis que les progrès du féminisme empêchent toujours plus ce retour en confondant les rôles, en taxant les personnes productives au-delà de toute mesure, en favorisant une culture de la séparation etc.

Or, les femmes qui ont abandonné leur pouvoir dans leur famille se retrouvent face à un pouvoir autrement plus coercitif désormais qu’elles ont féminisé l’esprit de notre appareil démocratique. En effet, ce système là autant capitaliste que bureaucratique, a les moyens financiers d’empêcher la dissidence féminine en matière de pensée. Les femmes s’imposent aux femmes pour en imposer aux femmes. Ce système féminisé produit désormais toute une éducation qui pousse à l’indifférenciation, qui dévalorise donc et toujours plus, la culture proprement féminine. Ainsi voit-on des femmes dans des séries télévisées endossant le rôle traditionnel d’hommes ou les remplaçant carrément.

Star wars 7 : des archétypes décrits par Joseph Campbell aux revendications progressistes

Les manuels scolaires doivent être expurgés de toute différence notable dans les représentations féminines et masculines. Sans parler du diktat que les professeurs femmes imposent aux garçons qui ne rentreraient pas dans ce cadre etc. etc. Le féminin quand il se masculinise est valorisé. L’homme qui se féminise est valorisé. Mais la femme qui voudrait poursuivre des études pour accéder à une culture proprement féminine, celle-là se trouve jugée sous le regard culpabilisateur de la société qui n’acceptera pas de dépenser de l’argent dans la formation d’un petit robot qui ne lui rapporterait pas directement de l’argent. L’hypocrisie est complète. Les femmes se dirigent vers des métiers de fonctionnaires en ayant fait des études littéraires et ceci dans l’espoir d’avoir du temps pour leur famille. Ou bien, elles investissent des métiers traditionnellement féminins. Elles se retrouvent en butte à un monde salarié qui ne peut vivre que de rentabilité. Leurs espoirs de conciliation sont rapidement déçus tandis que les féministes les poussent à abandonner carrément leurs aspirations personnelles pour se réaliser autrement. La guerre est là, elle ne se dit pas, et ce sont les hommes qui financent ces errements.

 

Pourquoi ne pas miser sur une culture féminine indirectement liée au marché du travail ?

Personnellement, je ne comprends pas pourquoi la société ne financerait pas des études féminines supérieures aux futures mères de familles dans l’optique d’en faire de meilleures éducatrices, mieux formées, plus intelligentes et sources d’innovation dans notre société. Car ce qui est donné à quelqu’un n’est jamais perdu, qu’il soit homme ou femme. Bien entendu, nous n’en aurions pas de bénéfices directs, et cela nous engagerait directement en tant qu’hommes, mais alors combien notre société pourrait y gagner en harmonie. Les études masculines et féminines recevraient autant d’argent. Dans un second temps, les épouses et mères de familles seraient confortées dans leur statut tandis que les pères de familles pourraient se réaliser professionnellement sans avoir à faire avec des milieux salariés gangrenés par la féminisation. Il n’est pas dit que le monde de l’ entrepreneuriat ne se réinvente pas dans ces conditions. Combien de femmes ouvriraient ainsi leur petite boutique comme cela s’est fait au 19ème siècle avec le filet de sécurité du revenu du bon père de famille (3) et pourraient ainsi développer une culture qui leur serait spécifique ? Combien de femmes travailleraient à mi-temps sans devoir subir un sous-salariat issu de l’obligation des femmes actuelles de tout accepter et n’importe quoi à temps complet pour pouvoir survivre ?

Car ce monde du parasitage des sexes est une impasse pour tous. Les êtres humains ont peu de goût pour ce qu’ils font mal, hommes ou femmes confondus. Les hommes singent alors les femmes dans le maternage pour tenter de les soutenir et se valoriser. Et les femmes pillent la culture des hommes en croyant pouvoir s’en sortir. Elles sont soutenues en cela par une cohorte d’hommes féminisés, et puissants de leur maladie, qui pensent que leur culture d’homme est supérieure à celle des femmes, ou qui calculent leur intérêt monétaire. Ainsi, partout où les hommes innovent, les femmes arrivent dans un second temps pour parasiter ces milieux performants, aidées par des hommes aussi complexés d’avoir réussi. Le dernier exemple en date est celui des jeux vidéos (4) et de l’industrie des hautes technologies. Un monde quasi-exclusivement masculin a dû subir les revendications féministes au fur et à mesure qu’il a gagné de l’argent. Les femmes n’ont contribué à rien ou si peu à l’élaboration de ce monde. Pourtant nombre d’entre elles veulent désormais se gaver au nom de l’égalité. Elles sont en train de pourrir ces secteurs, la patronne de Yahoo n’étant que le dernier exemple en date d’une liste de ratées déjà longue en proportion de leur représentation. Personnellement, je ne comprends même pas comment la loi peut autoriser une telle malade à avoir des enfants dont elle ne s’occupera pas alors que dans le même temps, son unique résultat professionnel aura été de vendre au meilleur prix une entreprise défaillante. Pourtant elle est encensée, tout comme la patronne d’Areva l’aura été avant de couler son entreprise.

Seulement à force de parasitage, la maladie gagne. Les analystes économiques estiment qu’il faudrait faire ceci et cela pour que nous nous en sortions. Ils n’introduisent jamais dans leurs calculs le facteur humain et la science du mérite. Notre pays ne survivra pas au parasitage des femmes dans les secteurs salariés et risqués. Tout comme notre famille ne survivra pas à la féminisation des hommes. Seule la manne pétrolière et la performance masculine nous ont permis de vivre jusque là au-dessus de nos moyens. Ces temps se terminent doucement et laissent place à un désert culturel. Les films, les livres qui promeuvent une place des femmes qui serait identique à celle des hommes, finissent le travail de suicide qui a été entamé il y a bien longtemps (1) .

Dans Hunger Games, l’héroïne soldatesse dépasse tous les autres concurrents dont son piètre compagnon qu’elle protège physiquement tandis que lui use de manipulation pour s’en sortir…

Ce fut tout d’abord un suicide de notre imaginaire. Une société ne peut jouer éternellement sur les complexes de castration mal assumés des femmes et l’immaturité de ses hommes pour compter créer un environnement plus harmonieux. Au contraire, elle a objectivement accouché d’une société de la dépression, impitoyable envers les plus faibles. Nous ne survivons aujourd’hui qu’en euthanasiant nos vieux et en avortant nos filles-mères. Cette mécanique de mort avalera tout le monde sur son passage, et ne laissera derrière elle que quelques survivants dégénérés. Et pourtant, cette évolution semble nous réjouir. Beaucoup s’en satisfont et peu imaginent faire autrement. Par définition, les immatures féminisés sont incapables de voir leur environnement tel qu’il est et de s’adapter…

Un monde différencié et pacifié n’est pas une option. Aujourd’hui, l’immigration de masse favorisée par ces mêmes progressistes qui ont stérilisé notre société se révélera une impasse. Les êtres humains ne sont pas interchangeables. Seuls les robots le sont. Et par définition, les robots ne peuvent faire humanité. Soit nous arrivons à créer une société harmonieuse entre hommes et femmes et donc garante de la complémentarité et de notre culture humaine. Soit nous finirons pas saborder définitivement ce qui reste de notre civilisation au profit d’une élite dégénérée qui survivra dans les pires conditions humaines tout en écrasant le petit peuple.

1 « Nous devons sauver nos femmes de ce suicide collectif », Aimeles du 07/12/2010.

2 « Evaluations internationales PISA : une machine à détruire les mères. » Aimeles du 06/12/2015.

3 « Mythologie féministe : la famille bourgeoise du 19ème siècle », Aimeles du 15/06/2015.

4 « Il fallait bien qu’elles pourrissent aussi le milieu de jeux vidéos », Aimeles du 26/09/2014.

Léonidas Durandal

Antiféministe français, j'étudie les rapports hommes femmes à travers l'actualité et l'histoire de notre civilisation.

View Comments

  • On devrait apprendre aux filles à cuisiner à l'école (de la vraie cuisine par contre, pas apprendre à monter des verrines!) plutôt que de nous faire faire de la soudure en technologie, ou bien à coudre aussi ça serait très utile au moins. Cela plairait aux filles j'en suis certaine.

    • Cela en est à un tel point dans mon entourage que c'est moi qui donne des leçons de cuisine aux femmes (quand elles veulent bien en discuter). Le nouveau outil dangereux et sur lequel les femmes devraient réfléchir, ce sont ces robots qui semblent faire la cuisine à leur place. Ce n'est pas du tout cela la cuisine bordel. C'est de l'amour. Maintenant si ça peut leur réapprendre quelques bases...
      Et puis tous ces outils technologiques dans la cuisine qui sont censés augmenter le confort mais qui multiplient surtout les maladies. Bon sang, mais où sont les ustensiles en fer inusables et qui font de bon plats... seulement il faut apprendre à s'en servir et comme vos mères se sont mises au téfal juste avant d'attraper un bon cancer, et aussi aux couteaux qui se brisent comme du verre, plus beaucoup sont capables de les utiliser. Avec un peu de recul, le tableau est sidérant.
      Où sont passées les bonnes grosses femmes de Lyon et d'ailleurs qui ouvraient des restaurants étoilés ? Aujourd'hui, elles ne vendent plus leur cuisine mais leurs fesses à la télévision. Au-delà de cette perte de culture, je pense que bon nombre de femmes sont complètement paumées. Si on leur proposait des cours de cuisine, elles ne sauraient si elles doivent aimer ou pas. Par contre, il est certain qu'il y aurait une troupe de harpies féministes pour leur dire quoi penser. Cela m'énerve parfois à quel point les femmes ont besoin de hommes. Mais je suis trop égoïste. Moi-même j'ai bien besoin de femmes (quand elles ne prennent pas toute la place) et il faut que nous acceptions de nous regarder les uns les autres.

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