L’incapacité des femmes modernes à faire vivre leur culture/le parasitage de la culture masculine

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Le constat :

Nos femmes semblent aujourd’hui incapables de créer leur propre culture. Depuis plus de cent ans, elles singent celle des hommes et la parasitent, devenant de plus en plus stériles socialement.

En matière d’habillement, les femmes occidentales ont récupéré nos pantalons. Ce faisant, elles ont abandonné la pudeur qui était l’apanage de leurs mères. Elles ont préféré miser sur la vulgarité d’un vêtement qui faisait appel aux plus bas instincts de l’homme, se soumettant ainsi à l’appel du mâle en rut. Au début, elles ont parlé du côté pratique du pantalon. Aujourd’hui, cet habit leur moule le cul, mettant en avant leurs appareils génitaux primaires (vulve) et secondaires (cul, hanche, jambes). L’imagination a laissé place à la pornographie, culture proprement masculine. Le psychisme de l’homme en a été appauvri d’autant.

En jouant de leur corps, les femmes se sont mises en concurrence les unes avec les autres pour savoir lesquelles d’entre elles seraient les plus performantes sur le marché de la baise. Ce mouvement se solde aujourd’hui par la mise à poil des femmes militantes. Avant, elles revendiquaient le pantalon « pour se libérer ». Aujourd’hui leur revendication prend la forme d’une exhibition de leurs organes sexuels secondaires dans la rue (seins)femen seins nus ny. Il est à gager que bientôt, entraînées dans cette surenchère par le mouvement féministe, elles désireront nous montrer leur clitoris comme un homme pourrait exhiber son phallus en signe de provocation (doigt d’honneur).

doigt dhonneur2

 

Toutes leurs revendications sont en fait calquées, non seulement sur la culture masculine dans la forme, mais aussi dans le fond.

Les féministes leur disent de vouloir le travail salarié à temps complet, enfant ou pas, comme un homme. Et les femmes suivent, tout au moins en France. Les féministes les encouragent à devenir soldat, pilote de chasse, sportives de haut niveau, pompier, capitaine d’industrie, cadres supérieures, mathématiciennes. Et les femmes suivent, autant qu’elles le peuvent. Dans ces métiers où rien ne leur a été transmis, elles se sentent parfois à l’étroit. Deux options s’offrent alors à elles : féminiser ou accepter de se soumettre à la culture dans laquelle elles entrent. Cependant la performance étant la performance, elle ne peut être féminisée. Les voilà donc à saborder des pans entiers de la société (justice, éducation, santé) ou bien devenir des hommes comme les autres et perdre ainsi toute culture. D’ailleurs, quel temps leur reste-t-il pour alimenter leur culture historique dès lors qu’elles se consacrent entièrement au monde de la performance ou à cette nouvelle société crée de toute pièce et pour laquelle elles ne sont pas faites ?

Cette folle course les amène à copier toujours plus les hommes pour toujours moins obtenir de résultats. Car pendant ce temps, elles détruisent le monde masculin et elles ne cultivent pas le leur.

Ainsi ont-elles abandonné, la cuisine, l’allaitement, la culture du soin notamment par les plantes, leurs connaissances sur les enfants en bas âge, l’architecture d’intérieur, la fabrication des vêtements, leurs compétences affectives et psychologiques dans les relations inter-personnelles. Et elles ont réinvestit ces compétences pour le pire dans le monde du travail salarié. Par exemple, dans une classe, les institutrices savent très bien gérer le facteur humain, mieux qu’un homme, mais elles n’ouvrent pas les enfants au monde. Au mieux elles leur font découvrir leur intériorité par le biais de langage par exemple. En France, nous avons plusieurs générations d’enfants qui savent s’exprimer sur une feuille blanche ou qui savent lire un récit passionnel, mais qui ne sont passionnés par rien, sinon par eux-mêmes. Ceci explique pourquoi les mathématiques qui étaient une des grandes forces de notre système scolaire, soient devenues en quelques décennies l’un des domaines d’apprentissage où nous avons des résultats de moins en moins bons au niveau international (2). Ceci explique également pourquoi notre ministre de l’éducation nationale actuelle n’a qu’une ambition : favoriser l’interdisciplinarité au détriment de l’excellence des matières.

L’interdisciplinarité est le pendant d’un monde de communication au féminin où il n’est nul besoin de savoir pour exister, mais où il faut manier les outils de langage afin de pouvoir comprendre les autres et le corollaire de cette proposition : se comprendre soi-même. Le monde des personnes s’adresse à lui-même et devient incapable de s’ouvrir à la nouveauté. Féminisation du monde des hommes donc, mais aussi abâtardissement de la culture féminine dans un domaine où elle n’a aucun sens. L’homme en vient à devoir allaiter l’enfant de manière artificielle, pour que la femme puisse aller travailler de manière salariée. Il se maternise sans jamais pouvoir accéder à sa propre culture, prisonnier d’un mode de vie qu’il a accepté. La femme, elle, rêve de passer plus de temps avec son enfant. Elle s’aperçoit au détour d’un regard que celui-ci ne le reconnaît pas comme mère. Et quand elle le comprend c’est une grande blessure. Cependant, elle sait aussi combien elle est responsable de cet état de fait et combien elle ne peut s’en prendre qu’à elle-même d’avoir eu des désirs fous de féminisme. Elle-aussi est prisonnière des manques d’une culture qu’elle a volontairement choisi de négliger.

Parfois, la femme se rebelle individuellement. Elle va élever des chèvres dans les Alpes, elle se tourne vers la naturopathie, elle pratique une écologie de la déesse mère gaïa. Seulement, elle s’engage bien souvent dans ce retour à sa culture de femme, en ayant toutes les peines du monde à retrouver une altérité. Dans ce mouvement, elle importe d’abord son déni de la masculinité. Il lui faut du temps pour réapprendre, autant de temps perdu à réinventer le fil à couper le beurre qui l’éloigne toujours plus du monde moderne. La bipolarité du monde féminin sans homme est alors complète. Soit perdre sa culture et travestir le monde. Soit retrouver sa culture et favoriser une forme de désintégration sociale par la création d’une société parallèle ayant peu à voir avec la réalité. Il est bien beau de vouloir devenir naturopathe ou prof de yoga tandis que dans le monde réel, le système d’imposition des filles-mères laisse peu de place à la redistribution de revenus en dehors de l’État, et où les femmes salariées n’ont plus vraiment le temps de s’investir dans leur développement personnel si ce n’est quand elles sont vieilles et fripées à la retraite. Ainsi avons-nous une cohorte de femmes qui voudraient retrouver une insertion sociale en développant enfin leur culture de femme, tandis que les progrès du féminisme empêchent toujours plus ce retour en confondant les rôles, en taxant les personnes productives au-delà de toute mesure, en favorisant une culture de la séparation etc.

Or, les femmes qui ont abandonné leur pouvoir dans leur famille se retrouvent face à un pouvoir autrement plus coercitif désormais qu’elles ont féminisé l’esprit de notre appareil démocratique. En effet, ce système là autant capitaliste que bureaucratique, a les moyens financiers d’empêcher la dissidence féminine en matière de pensée. Les femmes s’imposent aux femmes pour en imposer aux femmes. Ce système féminisé produit désormais toute une éducation qui pousse à l’indifférenciation, qui dévalorise donc et toujours plus, la culture proprement féminine. Ainsi voit-on des femmes dans des séries télévisées endossant le rôle traditionnel d’hommes ou les remplaçant carrément.

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Star wars 7 : des archétypes décrits par Joseph Campbell aux revendications progressistes

Les manuels scolaires doivent être expurgés de toute différence notable dans les représentations féminines et masculines. Sans parler du diktat que les professeurs femmes imposent aux garçons qui ne rentreraient pas dans ce cadre etc. etc. Le féminin quand il se masculinise est valorisé. L’homme qui se féminise est valorisé. Mais la femme qui voudrait poursuivre des études pour accéder à une culture proprement féminine, celle-là se trouve jugée sous le regard culpabilisateur de la société qui n’acceptera pas de dépenser de l’argent dans la formation d’un petit robot qui ne lui rapporterait pas directement de l’argent. L’hypocrisie est complète. Les femmes se dirigent vers des métiers de fonctionnaires en ayant fait des études littéraires et ceci dans l’espoir d’avoir du temps pour leur famille. Ou bien, elles investissent des métiers traditionnellement féminins. Elles se retrouvent en butte à un monde salarié qui ne peut vivre que de rentabilité. Leurs espoirs de conciliation sont rapidement déçus tandis que les féministes les poussent à abandonner carrément leurs aspirations personnelles pour se réaliser autrement. La guerre est là, elle ne se dit pas, et ce sont les hommes qui financent ces errements.

 

Pourquoi ne pas miser sur une culture féminine indirectement liée au marché du travail ?

Personnellement, je ne comprends pas pourquoi la société ne financerait pas des études féminines supérieures aux futures mères de familles dans l’optique d’en faire de meilleures éducatrices, mieux formées, plus intelligentes et sources d’innovation dans notre société. Car ce qui est donné à quelqu’un n’est jamais perdu, qu’il soit homme ou femme. Bien entendu, nous n’en aurions pas de bénéfices directs, et cela nous engagerait directement en tant qu’hommes, mais alors combien notre société pourrait y gagner en harmonie. Les études masculines et féminines recevraient autant d’argent. Dans un second temps, les épouses et mères de familles seraient confortées dans leur statut tandis que les pères de familles pourraient se réaliser professionnellement sans avoir à faire avec des milieux salariés gangrenés par la féminisation. Il n’est pas dit que le monde de l’ entrepreneuriat ne se réinvente pas dans ces conditions. Combien de femmes ouvriraient ainsi leur petite boutique comme cela s’est fait au 19ème siècle avec le filet de sécurité du revenu du bon père de famille (3) et pourraient ainsi développer une culture qui leur serait spécifique ? Combien de femmes travailleraient à mi-temps sans devoir subir un sous-salariat issu de l’obligation des femmes actuelles de tout accepter et n’importe quoi à temps complet pour pouvoir survivre ?

Car ce monde du parasitage des sexes est une impasse pour tous. Les êtres humains ont peu de goût pour ce qu’ils font mal, hommes ou femmes confondus. Les hommes singent alors les femmes dans le maternage pour tenter de les soutenir et se valoriser. Et les femmes pillent la culture des hommes en croyant pouvoir s’en sortir. Elles sont soutenues en cela par une cohorte d’hommes féminisés, et puissants de leur maladie, qui pensent que leur culture d’homme est supérieure à celle des femmes, ou qui calculent leur intérêt monétaire. Ainsi, partout où les hommes innovent, les femmes arrivent dans un second temps pour parasiter ces milieux performants, aidées par des hommes aussi complexés d’avoir réussi. Le dernier exemple en date est celui des jeux vidéos (4) et de l’industrie des hautes technologies. Un monde quasi-exclusivement masculin a dû subir les revendications féministes au fur et à mesure qu’il a gagné de l’argent. Les femmes n’ont contribué à rien ou si peu à l’élaboration de ce monde. Pourtant nombre d’entre elles veulent désormais se gaver au nom de l’égalité. Elles sont en train de pourrir ces secteurs, la patronne de Yahoo n’étant que le dernier exemple en date d’une liste de ratées déjà longue en proportion de leur représentation. Personnellement, je ne comprends même pas comment la loi peut autoriser une telle malade à avoir des enfants dont elle ne s’occupera pas alors que dans le même temps, son unique résultat professionnel aura été de vendre au meilleur prix une entreprise défaillante. Pourtant elle est encensée, tout comme la patronne d’Areva l’aura été avant de couler son entreprise.

Seulement à force de parasitage, la maladie gagne. Les analystes économiques estiment qu’il faudrait faire ceci et cela pour que nous nous en sortions. Ils n’introduisent jamais dans leurs calculs le facteur humain et la science du mérite. Notre pays ne survivra pas au parasitage des femmes dans les secteurs salariés et risqués. Tout comme notre famille ne survivra pas à la féminisation des hommes. Seule la manne pétrolière et la performance masculine nous ont permis de vivre jusque là au-dessus de nos moyens. Ces temps se terminent doucement et laissent place à un désert culturel. Les films, les livres qui promeuvent une place des femmes qui serait identique à celle des hommes, finissent le travail de suicide qui a été entamé il y a bien longtemps (1) .

Dans Hunger Games, l'héroïne soldatesse dépasse tous les autres concurrents dont son piètre compagnon qu'elle protège physiquement tandis que lui joue de manipulation...
Dans Hunger Games, l’héroïne soldatesse dépasse tous les autres concurrents dont son piètre compagnon qu’elle protège physiquement tandis que lui use de manipulation pour s’en sortir…

Ce fut tout d’abord un suicide de notre imaginaire. Une société ne peut jouer éternellement sur les complexes de castration mal assumés des femmes et l’immaturité de ses hommes pour compter créer un environnement plus harmonieux. Au contraire, elle a objectivement accouché d’une société de la dépression, impitoyable envers les plus faibles. Nous ne survivons aujourd’hui qu’en euthanasiant nos vieux et en avortant nos filles-mères. Cette mécanique de mort avalera tout le monde sur son passage, et ne laissera derrière elle que quelques survivants dégénérés. Et pourtant, cette évolution semble nous réjouir. Beaucoup s’en satisfont et peu imaginent faire autrement. Par définition, les immatures féminisés sont incapables de voir leur environnement tel qu’il est et de s’adapter…

Un monde différencié et pacifié n’est pas une option. Aujourd’hui, l’immigration de masse favorisée par ces mêmes progressistes qui ont stérilisé notre société se révélera une impasse. Les êtres humains ne sont pas interchangeables. Seuls les robots le sont. Et par définition, les robots ne peuvent faire humanité. Soit nous arrivons à créer une société harmonieuse entre hommes et femmes et donc garante de la complémentarité et de notre culture humaine. Soit nous finirons pas saborder définitivement ce qui reste de notre civilisation au profit d’une élite dégénérée qui survivra dans les pires conditions humaines tout en écrasant le petit peuple.

1 « Nous devons sauver nos femmes de ce suicide collectif », Aimeles du 07/12/2010.

2 « Evaluations internationales PISA : une machine à détruire les mères. » Aimeles du 06/12/2015.

3 « Mythologie féministe : la famille bourgeoise du 19ème siècle », Aimeles du 15/06/2015.

4 « Il fallait bien qu’elles pourrissent aussi le milieu de jeux vidéos », Aimeles du 26/09/2014.

63 réponses à “L’incapacité des femmes modernes à faire vivre leur culture/le parasitage de la culture masculine”


  1. Avatar de Marie
    Marie

    Bonjour Léonidas

    Vous dites : " En France, nous avons plusieurs générations d’enfants qui savent s’exprimer sur une feuille blanche ou qui savent lire un récit passionnel, mais qui ne sont passionnés par rien, sinon par eux-mêmes. Ceci explique pourquoi les mathématiques qui étaient une des grandes forces de notre système scolaire, soient devenues en quelques décennies l’un des domaines d’apprentissage".

    Ne serait-il pas judicieux d'avoir des salles de classe avec un instituteur ET une institutrice afin d'avoir des enfants bon en maths et sachant bien s'exprimer ? A mon avis l'éducation est aussi une vocation de femme.

    Sur le reste de votre article : pour faire avancer leur culture les femmes ont besoin d'incorporer les découvertes masculines. Par exemple, j'ai appris le code HTML parce que je voulais des bannières à paillettes sur mon blog de mode…Et puis est ce que ça a du sens aujourd'hui de faire de la déco d'intérieur sans avoir un concept de la modélisation 3D ? Donc il y aura toujours une certaine forme de parasitage…Bon je préfère le mot "collaboration". 

    Bien cordialement,

    Marie


    1. Avatar de Léonidas Durandal

      Bonjour Marie,

      Il faudra que je fasse avancer cette idée un jour, pour mieux comprendre les interactions entre culture masculine et féminine. C’est marrant parce que l’actualité m’en fournit un nouvel exemple que je voulais rajouter sur cet article même : la série wednesday où l’héroïne et l’histoire, voire l’univers est plaqué sur celui de Harry Poter, lui-même créé par une femme. Je trouve les deux fades à vrai dire. Mais je n’avais pas 8-10 ans quand ces livres sont parus. JK Rowling a écrit pour son fils. Et Tim Burton réalise en mettant en scène une fille. Peut-être un signe de notre époque où les transmissions croisées se multiplient jusqu’à obérer les transmissions du même sexe. Je ne sais pas. Il y a vraiment ici un champ d’études immense, en particulier pour l’anthropologie. Je n’ai pas encore trouvé la clef. J’ai parlé de « parasitage » à escient. Le parasitage peut supposer une interaction. Ce n’est pas forcément négatif. Ca l’est souvent, mais pas toujours. Il se mélange à ce que vous dîtes, la jalousie des femmes envers les hommes qui leur fait copier les modes masculines au lieu de créer les leur. C’est plutôt ça que je voulais dénoncer. Qu’une femme s’approprie des outils masculins pour développer sa culture, je trouve cela plutôt positif. On les voit sur les forums d’informatique par exemple. Elles sont très bien accueillies, contrairement aux hommes dans les milieux féminisés. C’est peut-être propre aux milieux de femmes cette défiance. L’homme aime briller aux yeux des femmes. Les femmes se protègent du regard des hommes.

      A voir.

      M.D


      1. Avatar de Marie
        Marie

        Bonjour Léonidas,

        Pour Harry Potter, moi aussi j'étais trop agée pour apprécier la magie du bouquin mais je comprends l'intérêt si je peux dire ;: le monde est bien construit et l'amitié des 3 personnages fait rêver à une époque où les relations se désagrègent. Trois personnages se sentant pour différentes raisons à l'écart de leur famille et qui créent donc la leur de subtitution (d'ailleurs ils se marient tous entre eux à la fin et deviennent une famille pour de vrai). Les péripéties sont anecdotiques. Il y a quelque chose de très chrétien  et traditionnel dans le livre aussi : le père de Harry qui se jette devant sa femme pour la protéger et la mère de Harry qui aurait pu être épargnée mais qui refuse catégoriquement de voir son enfant tuer. Sacrifice et acte d'amour maternel qui le protège à vie de Voldemort (le diable).  Le sacrifice de Harry à la fin a également quelque chose christique. Et puis tous les personnages féminins sont puissants tout en étant réaliste : Hermione la studieuse pleine de bon sens qui manque du sens du risque qui fait les génies, Mme Weasley l'adorable mais irritable femme au foyer, redoutable quand on ose s'attaquer à ses enfants, Mme Dursley cette vilaine bourgeoise coincée,Mcgongall la digne intelectuelle un brin rebelle…

        A côté, il n'y avait pas grand chose qui poussait à s'élever. 
        Quand à Wedsnesday…une fille un peu autiste et inconventionelle qui se sent rejetée dans un environnement faussement d'avant-garde…Bien sur qu'un GenZ va s'y identifier ! 

        "Elles sont très bien accueillies, contrairement aux hommes dans les milieux féminisés."

        C'est que les femmes savent mieux comprendre les cultures étrangères et faire semblant d'y adhérer avant de s'imposer tout doucement. Je remarque aussi que les hommes tolèrent mieux les "écarts" de bienséance si la personne tient des propos pertinents par ailleurs. Dans les milieux féminins, l'homme arrive avec ses gros sabots et son franc parler et s'imagine que parce qu'il est compétent il peut se permettre certaines remarques : ce n'est pas comme ça que ça marche. Il y a des codes à respecter, compétent ou non. Et puis ils veulent tout rendre "efficace" ce qui n'a aucun sens dans l'intimité. Une relation efficace et productive ce n'est plus une relation. 

        Ex : Mon frère qui aime cuisiner( et qui cuisine très bien d'ailleurs) avait suggéré que nous travaillions en silence pour les préparatifs de Noel car nous "serions plus efficaces comme ça"… Nous l'avons chassé de la cuisine. Déjà, il était inconvenant qu'il nous dise quoi faire dans un domaine où il venait à peine d'être admis. Par ailleurs, nous ne sommes pas un restaurant ni un service de boniches. Travailler en silence signifie factuellement : ne pas profiter du Noel car en plus de la cuisine, le service, l'accueil des invités etc, c'est nous qui devions l'assurer aussi. L'emploi du temps d'une maitresse de maison n'est pas nettement séparé entre temps de repos  et temps de travail. Enfin, la cuisine est un moment de convivialité ou nous pouvons raconter nos derniers potins ce qui nous permet de rassembler des informations précieuses pour la survie sociale de la famille. Les hommes n'ont pas à venir nous dire que c'est "inconvenant" tout ça parce qu'ils trouvent les jugements sur autrui trop violent à entendre. Et ne parlons pas de leur tendance à tout transformer en compétition qui est juste fatigante en tant que femme. "Je coupe mes lamelles plus rapisement que toi"…Complètement ridicule dans ce contexte. 

         


      2. Avatar de Marie
        Marie

        Mon intervention sur votre autre article m'a fait pensé à ceci :

        Il se mélange à ce que vous dîtes, la jalousie des femmes envers les hommes qui leur fait copier les modes masculines au lieu de créer les leur. 

        Je pense surtout, que les nouvelles inventions modernes ont fait que les femmes occidentales ont eu peur un temps de devenir obsolète : vous parler de :

        soins par les plantes mais la médecine moderne semble plus efficace.

        Connaissance de la petite enfance mais vous avez des écoles maternelles qui se targuent de pouvoir mieux éduquer vos gosses

        la confection de vêtements mais vous avez la fast fashion

        la cusine mais il y a uber.

        Sauf que maintenant on se rend compte que la médecine moderne a ses limites et qu'il vaut mieux prévénir que guérir (importannce de la naturopathie), que l'éducation nationale n'est pas si performante, que la fast fashion pollue et que rien ne vaut mieux pour la santé que les plats maison. 

        Je suis d'avis que ce petit séminaire au pays des hommes va bientôt s'arrêter et qu'il y aura une meilleure harmonie entre les sexes maintenant que les femmes savent que le salariat c'est chiant et que les hommes apprécieront les femmes à leur juste valeur. 

        Elles s'immergent don


        1. Avatar de Léonidas Durandal

          Bonsoir Marie,

          C’est exactement ce qu’essayait de me dire une femme : « Depuis la machine à laver etc… nous n’avons plus rien à faire à la maison ». Ce propos me semblait complètement absurde. Et il l’est bien. Beaucoup de femmes se sont vues comme des machines, c’est à dire d’un point de vue masculin. Oui, je suis très content que cette période se termine, même si beaucoup de femmes sont encore complètement paumées et que les hommes féminisés qu’elles ont éduqués ne sont pas prêts à pouvoir les aider.

          Cordialement.

          M.D


          1. Avatar de Marie
            Marie

            Bonsoir Léonidas,

            Il semble qu'au final, vos femmes avaient juste besoin d'être rassurées et que vous n'avez pas voulu/pu le faire.

            Qu'est-ce que vous avez répondu à cette dame ?


          2. Avatar de Léonidas Durandal

            Bonjour Marie,

            Cette femme m’a raconté sa vie passée, sans espoir de retour pour elle, car trop âgée. Elle voulait me délivrer son témoignage et j’ai fait ce que je devais faire : surtout me taire, et l’écouter. Elle ne désirait certainement pas que j’en rajoute une couche en termes de culpabilité, en lui expliquant comment elle était passée à côté de sa vie, ce qu’elle sentait de manière diffuse. Voilà en tout cas comment je le concevais à l’époque. Désormais, j’aurais les mots pour lui répondre en lui parlant d’avenir. Mais à l’époque je ne les avais pas. Et aussi malhabile que j’étais, je ne me serais certainement pas permis d’intervenir dans sa vie intime comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Sa conception me semblait complètement absurde, mais je ne savais pas pourquoi. Certaines personnes ont misé tout sur une conception matérialiste de la vie. Et l’écart est bien grand avec la vision d’une personne qui a répondu à l’appel de Dieu. Et l’écart est encore plus grand puisqu’il faut bien des années à une personne qui a répondu à l’appel de Dieu pour comprendre ce qu’il reçoit et le redonner aux autres sous le prisme de ses propres péchés et en interrogeant la volonté divine. Mais vous savez, le simple fait de poser des mots pour elle, était déjà le signe d’une personne qui s’était interrogée sur sa vie et son sens. Je crois qu’elle avait fait le plus dur du chemin, et je suis certain qu’elle a trouvé depuis, tout au moins je l’espère. Le plus difficile m’appartenait et m’appartient encore quand ce genre de situation se présente : lui parler de Jésus. « Marthe Marthe, ton esprit est asservi à bien des futilités, et Marie aura la meilleure part. » Oh, il ne faut pas toujours rassurer les femmes pour leur rendre service. Il faut parfois leur dire qu’elles se sont trompées complètement de voie. Voilà de quoi elles ont besoin à l’occasion. Mais peu de gens atteignent un niveau d’empathie suffisant pour trouver les mots dans ces moments là, ou pour débloquer les personnes par leur seul exemple. « Rassurer une femme », c’est le tonneau des Danaïdes. Non, il faut être soi-même proche de Dieu pour la faire sortir de son narcissisme, tout l’inverse de vouloir la rassurer. Le désir d’être rassuré d’une femme est à l’origine de son problème. Elle ne doit pas être rassurée, elle doit devenir adulte en se soumettant à son mari. Et ça se passe d’autant plus facilement que son mari est légitime et admirable. Mais beaucoup d’hommes le deviennent en vérité, s’ils sont investis en ce sens par les femmes de leur entourage. Les hommes n’ont qu’un mérite : celui d’ouvrir la voie, là où précédemment il n’y avait rien. Une femme qui ne donne rien à son entourage masculin ne changera pas si un homme ne la guide pas. Par contre, un homme qui ne reçoit rien, peut changer le monde par la grâce de Dieu, et guider bien des hommes et surtout, bien des femmes qui guideront bien des hommes sur ce chemin. N’est-ce pas ce que je fais ici même ? Un homme est rare. Les femmes sont nombreuses. Et inversement en matière biologique.

            Vous savez ce que je pense désormais. Vous voilà rassurée ?

            M.D


        2. Avatar de Marie
          Marie

          Bonjour Léonidas (Il doit être tard chez vous ceci dit),

          Je ne m'attendais pas à ce que vous rassuriez les femmes. C'est trop tard maintenant. Je voulais dire au moment de l'industrialisation, il aurait fallu un fort message des hommes je pense "nous  aurons toujours besoin de vous".

          Pour la dame qui s'est confiée à vous, vous avez raison c'était trop tard pour elle pour revenir sur ses choix.

          Je n'ai pas besoin d'etre rassurée sur ce point, c'est une peur européenne ça. Liée à votre manière de réfléchir. C'est très bizarre d'associer le fait "de se penser en machine" à la masculinité pour moi par exemple. Nos hommes ne voient pas comme des machines. Et du coup, nous non plus.


          1. Avatar de Léonidas Durandal

            Bonjour Marie,

            Rassurer les femmes durant l’industrialisation en mode « nous avons besoin de vous », est un anachronisme. C’était une période où les gens sont devenus fous, littéralement fous. En lieu et place d’industrialisation du 19ème siècle, qui a été un ravage complet pour les familles de prolétaires chez lesquelles la solidarité entre hommes et femmes était une obligation pour ne pas finir mort et/ou dégénéré et/ou dans la rue, vous voulez certainement parler de l’avènement de la société de service/consommation après 1968. Durant cette période de maladie mentale, les hommes et femmes ont cru que la richesse allait régler tous leurs problèmes. Ils ne se sont pas posés la question de se rassurer les uns et les autres, parce qu’ils étaient excessivement sûrs de l’avenir. Cette femme, qui m’a exprimé son désarroi, a certainement refait l’histoire. Il n’y avait plus rien à faire à la maison selon elle, à cause des machines à laver et tout le toutim. Mais je crois plutôt que sortir de la maison était vécu comme d’une libération, par les femmes elles-mêmes. Et puis objectivement, la structure traditionnelle explosant de partout, les femmes se retrouvaient isolées à la maison. C’est d’ailleurs encore le cas de nos jours, même pour celles qui ont pris conscience du manque de chaleur humaine. Avant les familles se sont mises à regarder la télé chacun chez soi. Fini le quartier/le village. Désormais, l’internet obsède les individus qui ne se réunissent même plus en famille. Vous devez bien comprendre que nous sommes très loin de comprendre l’idée « nous aurons toujours besoin de vous », même de nos jours. L’idée d’amour christique s’est effacée avec la modernité. Comme le prélat le dit dans le parrain « le christianisme est un torrent qui a poli le galet de la société sans pénétrer en profondeur dans les individus ». Ils ont gardé leur coeur de pierre, ou plutôt ils l’ont retrouvé à la première occasion. Devant le désastre, les gens reviendront au christianisme. En attendant, ils errent, comme cette femme, qui essaie de comprendre son histoire, qui refait l’histoire, qui plaque sa déception sur ses certitudes passées, et qui tente de lui trouver un sens en l’exprimant. L’idée de « nous aurons toujours besoin de vous », se cogne à la brutalité européenne, dans laquelle les questions de survie sont omniprésentes, où les individus et leur travail sont rationalisés jusqu’au suicide. Ce combat contre la matérialité, vous avez du mal à en comprendre la difficulté pour nous, parce que l’afrique n’a pas connu ces épreuves. Elle se retrouve de nos jours en avance sur le plan humain, pour avoir été en retard sur le plan matériel. Ô ironie de l’histoire humaine. Ce que ça donnera chez vous, je n’en sais rien. Chez nous par contre, je sais ce qui se déroule : un combat titanesque entre le bien et le mal concernant la primauté du matériel ou du spirituel, un combat où nous catholiques, semblons avoir perdu dans tous les secteurs de la société. Le « nous aurons toujours besoin de vous », est une déclaration de confiance que nous sommes à des milliards de kms de pouvoir proférer, malgré/à cause de nos échecs récents en matière spirituels.

            En ce qui vous concerne, et votre propension à vouloir vous rassurer, je voulais dire que comme toutes les femmes, au lieu de vouloir savoir ce que je pensais, vous vouliez savoir mon opinion sur les personnes, et que vous avez posé une question de manière indirecte pour connaître mon niveau d’empathie réel. Cette manière de procéder est insupportable à un homme. A mon niveau d’expression, j’aurais très bien pu vous mentir et me présenter comme quelqu’un d’empathique envers cette femme alors que je ne l’aurais pas été du tout. Vous auriez pu me poser la question directement : « Avez-vous eu de l’empathie pour cette femme/pour les femmes que vous rencontrez ? » cela m’aurait moins hérissé le poil. Cette manière indirecte de s’exprimer des femmes suggère à l’homme, que j’aurais eu la volonté de vous cacher la vérité, que je ne vous parlerais pas franchement. Vous êtes à des milliers de kms, nous n’avons pas d’intérêts familiaux en commun, ni de relations personnelles, vous pouvez donc abandonner ici cette manière féminine de procéder. Les femmes qui maîtrisent mieux le langage que les hommes en général, s’en servent pour connaître les pensées cachées des uns et des autres, et dominer leur environnement. Mais les hommes qui connaissent ce jeu là, sans toutefois pouvoir le pratiquer, n’aiment pas en être l’objet. En général, les femmes ne veulent pas connaître mes idées. Elles veulent savoir si je vais porter tort aux femmes en général, et dans quelle mesure, effet ruche oblige. Pour elles, de mes intentions, découle la validité de mes idées. Or je vous le redis, pour des hommes de mon espèce, les hommes à haut niveau, l’intention est facilement simulable et le plus beau cadeau que je fais aux femmes sur ce site, c’est de ne pas les ménager. Je vous demande donc, si c’était possible, de ne plus essayer de sonder mes intentions, mais de vous concentrer sur la validité de mes idées. Vous me ferez immensément plaisir. Ca vous amoindrie en tant que femme, mais n’oubliez pas que ici, nous ne sommes pas dans un salon de thé. Nous sommes dans la zone obscure du dialogue entre hommes et femmes, qui a besoin des lumières masculines (comme d’autres endroits, plus psychologisants, ont besoin des lumières féminines).

            Cordialement.

            M.D


          2. Avatar de Cyrus
            Cyrus

            Pourtant, M'sieu Durandal, le thé, c'est bon.

            OK, je sors.

            Cyrus


          3. Avatar de Marie
            Marie

            Bonjour Léonidas,

            Merci pour vos précisions, Je me disais bien que l'industrialisation était trop ancienne, mais je savais que c'est le moment où l'europe est vraiment devenu riche…Mais oui maintenant que vous le dites 1968 fait sens. Pour ce qui est du pb "avancée matérielle/spirituelle' vous me faites comprendre pourquoi les occidentaux me paraissent toujours stressés pour rien et pourquoi ils nous trouvent indolents. Il y a une grosse différence de priorité dans nos visions du monde. 

            La question n'avait pas d'intention indirecte. Je ne me suis pas posée la question de votre capacité d'empathie à vrai dire. Il n'est pas très compliqué de constater en vous lisant que vous êtes plus empathique que la moyenne des hommes.  Empathique mais maladroit. Et comme j'ai ressenti cette maladresse chez vous, je me suis demandée comment vous avez géré cette situation délicate. Sinon vu votre expérience (je viens de lire votre article "On m'a fait croire que j'étais père"), sans empathie, vous seriez devenu un Andrew Tate…Ou un incel aigri. Et je ne me serais pas fatiguée à écrire sur votre site. Ces personnes doivent crever en silence. Intéragir avec eux, c'est améliorer leur visibilité et référencement. 

            Je ne me pose pas la question de savoir si vous avez l'intention de nuire aux femmes non plus parce que la réponse est évidente à mes yeux : vous n'avez pas envie de leur nuire, vous voulez créer la société qui aurait permis de vous  à vous et d'autres hommes de créer des familles stables. Cette intention ne nuit pas nécessairement aux femmes mais elle ne leur est pas forcément bénéfique non plus.

            Pour cela, nous  femmes, devons être très méfiantes des hommes comme vous et exiger des gardes fous qui préserveront notre liberté. Je connais beaucoup d'hommes vous qui flirtent avec l'idée de créer un "Afghanistan chrétien" pour le "bien des femmes" contre elles-mêmes. Vous avez peut-être senti cette méfiance et c'est probablement pour ça que vous croyez que je pose des questions indirecte pour sonder votre âme. Mais je n'ai pas besoin de ça ; vous avez des pages de texte écrits par vous même et des centaines de commentaires où vous échangez avec vos lecteurs. Il y a matière à sonder, comme en cours de littérature haha. 

            Cordialement,

            Marie

             


          4. Avatar de Léonidas Durandal

            Bonjour Marie,

            « Je connais beaucoup d’hommes vous qui flirtent avec l’idée de créer un « Afghanistan chrétien » « 
            Je connais encore plus de femmes qui ont ce désir en elles. Elles s’appellent « féministes ».

            Cordialement.

            M.D


          5. Avatar de
            Anonyme

            Je ne pense pas que ce soit ce à quoi rêve les féministes…Et puis, dans les deux groupes nous savons qui est plus susceptible de faire arriver ce califat chrétien.

            Marie


          6. Avatar de Léonidas Durandal

            Bonjour Marie,

            Vous n’êtes pas encore tombée sur mon article « le féminisme est un appel désespéré au viol », ni les nombreux commentaires d’exemples que je donne en dessous de cet article. Les femmes n’agissent jamais directement. Elles forcent les hommes à aller dans telle ou telle direction. Et les féministes appellent à être plus que soumises : asservies. Vous n’avez qu’à voir la tolérance qu’elles ont envers l’islamisme le plus dur pour le comprendre. Mais il y a bien d’autres exemples. Peu d’hommes résisteront à cet appel. D’ailleurs, ça a déjà commencé. Dans l’article « le mariage ou la prison », vous voyez comment la libération sexuelle des années 68 initiée par les femmes, est en train de se transformer en le plus pur puritanisme. Nous ne sommes qu’aux débuts d’un mouvement très réactionnaire, dans lequel je passerai bientôt pour quelqu’un de trop mesuré. C’est déjà le cas sur certains sujets, comme sur la banlieue, ou même concernant cette répression sexuelle sans limite.

            Cordialement.

            M.D


          7. Avatar de Marie
            Marie

            Bonjour Léonidas,

            Ah si je l'ai bien lu cet article. Je ne suis pas convaincue. L 'Islam n'asservit pas nécéssairement les femmes et je dirais même que l'Islam a quelque chose de très féminin dans sa logique. Les plus actives militantes féministes en Afrique sont musulmanes… C'est aussi chez eux qu'il y a le plus de consommateurs de porno gays.

            Les exemples que vous donnez, sont effectivement des situations extrêmes mais en faveur des femmes. Mon analyse de tout ça, c'est que vos femmes ont décidé de faire de vous des dhimmis, par vengence de les avoir fait sentir inutiles en tant que femmes. Leur statut de femme blanche désirable et mariable une fois convertie leur garantira de prestigieux mariages. Les musulmans de France, ils font les gros bras dehors, mais ils sont très soumis à leurs femmes comme tous les machos. 

            Ce n'est pas de cela dont je parle quand je dis "Afghanistan chrétien". Les mots me manquent pour m'expliquer. Mais Marie vierge et mère à la fois est problématique et la source de nos problèmes de féminisme et de féminité chez les cathos.

            Cordialement,

            Marie


          8. Avatar de Léonidas Durandal

            Bonjour Marie,

            Je n’ai pas voulu écrire que l’islam asservissait les femmes, mais que les femmes occidentales le fantasmaient ainsi.

            Cordialement.

            M.D


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    "On va monter un fight club" : Gal Gadot, Brie Larson et Sigourney Weaver mettent les points sur les i aux Oscars" L'Obs du 10/02/2020.

    Ridicule et terrifiant à la fois. Seule notre maladie sociale a pu promouvoir de tels exemples de femmes obsédés par la culture masculine. 


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    "Sexualité et cinéma : ces réalisatrices qui veulent changer l’image des femmes à l’écran" Figaro du 24/01/2020.

    Même la photo pue le plaquage du féminin sur des attitudes masculines. Des malades incapables de s'épanouir en tant que femmes. 


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    « Pas encore sorti, « Captain Marvel » déjà la cible de critiques négatives », Le Point du 20/02/2019.

    Encore une pleine de gratitude d’avoir pu spolier la culture masculine à bon compte.


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