L’instabilité homosexuelle en statistiques

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L’être humain est fait pour la monogamie. Alors même qu’il entreprend des relations sexuelles régulières avec une personne qui ne lui convient pas, il finit par s’y attacher. Profondément, il désire trouver l’âme sœur et construire sa vie, même dans une société libertaire comme la nôtre. Dans le cas contraire, il multiplie les relations sexuelles, sans réussir à se fixer. Vivant d’instabilité, il fera de ce choix par défaut, une règle. Il pourra à l’occasion attraper des maladies physiologiques, s’il ne contracte pas la pire de toute : celle du laisser-aller et du renoncement. Une vraie sexualité est féconde, c’est à dire qu’elle permet de grandir en humanité. Grandir en humanité, c’est approcher la différence de l’autre sexe, et s’engager. La famille humaine en découle. La civilisation ne se développe qu’à ce prix. Dans les sociétés primitives féminisées où les partenaires s’échangent au bon vouloir des femmes, l’élite finit par devenir monogame comme chez les Mosos. Certains l’expliqueront de manière naturaliste : les femmes s’approprient ainsi les bons partis. Les hommes peuvent acquérir une descendance reconnue. Mais finalement qu’importe, car la loi naturelle va de pair avec la loi de Dieu. La différence sexuée est aussi païenne que chrétienne, la monogamie un principe d’évolution universel.

Une étude récente parue en Irlande nous montre ce que nombre d’entre nous savions de manière empirique : la pulsion homosexuelle s’accompagne de comportements sexuels plus instables. Qui a fréquenté la communauté gay, sait à quel point le passage à l’acte y est favorisé. Les hommes entre eux, leurs pulsions de désir fortes, se laissent aller plus souvent que d’autres quand ils en ont l’occasion, et cela durant même les périodes de l’histoire qui se sont révélées soit-disant oppressives à leur égard. Pour vous illustrer ce phénomène, j’ai recompilé sous forme de graphiques les données de cette étude irlandaise. Ils font apparaître que la pulsion homosexuelle masculine et féminine agit en forme d’instabilité quant au nombre de partenaires et à la qualité de ceux-là. Le but de ce travail n’est pas de stigmatiser une communauté ou des gens parmi elle. Que la malédiction homosexuelle soit tout autant le fruit d’un environnement malsain, que d’une fragilité génétique, n’a guère d’importance. Les personnes ne sont pas responsables de leurs pulsions désordonnées. Par contre, désormais qu’elles pourraient être guéries par des médications adaptées pourquoi ne pas envisager une prise de conscience générale sur ce sujet, afin d’identifier le problème et le traiter autrement que par des efforts personnels ? En effet, ces personnes à pulsions homosexuelles dépensent souvent beaucoup d’énergie pour reconquérir une stabilité que leurs envies les engage à détruire. Ainsi pourraient-ils concentrer leurs efforts sur ce qui préoccupe le tout à chacun. Certes, notre société perdrait en diversité. Cependant, elle gagnerait en unité, je pense notamment aux revendications récentes de cette communauté qui participe à faire voler en éclat l’entente entre les hommes et les femmes voire la notion de couple à travers la théorie du genre.

 

Sur la méthodologie :

Certains échantillons ne sont pas assez importants pour pouvoir être significatifs statistiquement. Cela veut dire que les résultats qui les concernent s’ils ne sont pas faux, ne peuvent assurément être considérés comme indiscutables. Il s’agit du groupe des bisexuels hommes et femmes, et du groupe lesbien. Cependant, il est à noter que ces résultats présentent une forme de cohérence comme je vais l’expliquer par la suite, et que donc, ils ont de fortes chances d’être représentatifs. Sur les autres biais, il est à penser que dans une société de libération sexuelle comme la nôtre ou celle de l’Irlande qui vient d’autoriser les unions de duos par référendum, les réponses ont été données sans ambages. Le dernier biais difficilement évaluable provient du fait que les personnes n’ont pas été choisies au hasard. Elles ont répondu de leur propre initiative. Cela devrait renforcer la crédibilité des résultats tout en majorant peut-être un peu les chiffres. En effet, des personnes libres de leur paroles, moins pudiques diraient d’autres, ont plus de chance d’avoir des comportements sexuels dits « libérés ». De même, l’absence de prise en compte des « vierges » permet de penser que le nombre de partenaires et de relations sexuelles pour les personnes dites à pulsions hétérosexuelles a été exagéré, puisque même sans cela, ce groupe a déjà moins de relations que les autres. Enfin, le lecteur du Irish Times étant jugé plus progressiste et libéral que la moyenne, cela jouerait aussi pour une surévaluation des chiffres.

En somme une réalité plus exacte devrait faire apparaître des chiffres minorés pour toutes les catégories, mais en particulier pour le groupe dit « hétérosexuel ». Ceci ne ferait que renforcer mes conclusions.

Les graphiques :

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Le graphique se lit ainsi : le nombre de femmes ayant des relations dites hétérosexuelles suit une courbe normale dite gaussienne autour de 5 à 10 partenaires. C’est à dire que le nombre de femmes « hétérosexuelles » est de plus en plus important au fur et à mesure qu’il s’approche de 5 à 10 partenaires, puis que ce nombre de femmes se met à décroître. La courbe est en dos de chameau. Pour les personnes « bisexuelles » et « homosexuelles », les courbes ne sont pas « normales ». Si elles ont une forme gaussienne au début, il s’avère qu’à la fin, le nombre de femmes à pulsions homosexuelles ayant de très nombreux partenaires remonte. Cela signifie qu’il existerait une catégorie de femmes particulièrement troublées dans ces catégories là, et qui se serviraient plus que les autres, de leurs partenaires comme d’objets sexuels. De même, les courbes de ces femmes « homosexuelles » partent de plus bas et finissent plus haut. Le dos de chameau est plus prononcé. En clair, cela veut dire que les relations sexuelles dans ces catégories là sont d’autant plus instables au début et à la fin : ces femmes sont moins nombreuses à avoir peu de partenaires sexuelles, et plus nombreuses à en avoir beaucoup, par rapport au groupe des femmes à pulsions hétérosexuelles.

Mais le résultat le plus étonnant d’entre tous, est celui de la plus grande instabilité des bisexuelles femmes par rapport à tous les autres groupes. En psychanalytique, cela pourrait très bien s’expliquer par le rapport immature qu’entretiendrait la bisexuelle avec sa mère et avec les hommes. Pour elles, le flou de l’enfance n’aurait jamais été dépassé, ce qui provoquerait une identité plus instable que toutes les autres catégories de femmes. Ainsi auraient-elles une sexualité plus débridée parce qu’elles seraient recluses à un stade où leurs pulsions était moins bien contenues.  A l’inverse, la femme uniquement à pulsion « homosexuelle », de type Q (plus masculine) comme l’ont définie les études sur le sujet se comporterait plus comme un homme en multipliant le nombre de partenaires mais dans la limite où les femmes à pulsions homosexuelles de type R (plus féminines) les « adouberaient ». C’est à dire qu’un nombre plus limité d’entres elles auraient accès aux femmes, tout comme les hommes sont sélectionnés selon les dispositions de ces dames.

 

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La lecture pour les hommes est plus facile. Les hommes à pulsions hétérosexuelles ont moins de partenaires en moyenne, mais il existerait dans toutes les catégories d’hommes une proportion de « baiseurs », excusez-moi du terme , qui vivraient dans l’instabilité affective la plus complète. L’homosexualité agit ici en forme de démultiplicateur : elle accentue les tendances. Moins de personnes à pulsions homosexuelles avec peu de partenaires. Plus avec beaucoup de partenaires. Ici, la bisexualité n’est pas révélatrice d’instabilité. Au contraire, le type Q (plus assumé, plus féminin), baise plus par rapport au type R (celui qui semble hétérosexuel). Ainsi, la plus grande instabilité se rencontrerait chez celui qui se serait le plus écarté de sa masculinité et qui serait le plus fasciné par les hommes.

A noter qu’en superposant les courbes des hommes et des femmes, seules les femmes attirées par des hommes ont une courbe gaussienne « normale ». Les différences sexuées persistent donc malgré la « libération sexuelle ». Celles-ci se traduisent par un comportement plus normé des populations de femmes. Trivialement, on pourrait le résumer par « chez les femmes, il y a moins d’excentricité ».

 

 

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Ici peu de différences avec les graphiques précédents. Sinon que les hommes sont moins nombreux pour les coups d’un soir, ce qui est logique puisque cette courbe est forcément inférieure à la précédente (le nombres de partenaires différents sur toute une vie incluant le nombre de partenaires d’un soir); et puis que les différences s’accentuent entre groupes hétérosexuels et homosexuels, les hommes hétérosexuels étant ici beaucoup plus stables que les groupes homosexuels (forte proportion avec peu de partenaires, moins de « baiseurs »). Cependant, il est à imaginer que les femmes qui disposent des hommes dans ce cas, sont certainement cause de ce moindre accès à la sexualité d’un soir, celles-ci privilégiant les relations longues. Ceci expliquerait cette courbe presque gaussienne des hommes quasi-identique de celle des femmes, contrairement à la précédente courbe masculine.

 

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Aucune surprise ici. Le groupe des femmes « homosexuelles » possède moins d’individus qui ont peu de partenaires d’un soir, et plus parmi les filles volages, excepté que le groupe des lesbiennes de type Q (plus masculines) connaît une moindre représentation pour les nombreux coups d’un soir que toutes les autres catégories, celles-ci subissant certainement la double contrainte d’être identifiées à des hommes sans en être vraiment.  Là encore, les bisexuelles forment la catégorie de femmes le plus instable à tous les niveaux de sexualité.

En comparant les deux derniers graphiques hommes-femmes, il est intéressant de noter la forte disparité des courbes pour le « très grand nombre » de « partenaires d’un soir ». La proportion de femmes est faible dans ces catégories là, tandis qu’elle remonte chez les hommes. Le cliché de l’homme volage n’en est donc pas un. Le cliché de la salope non plus, puisque cette proportion d’hommes dits « hétérosexuels » qui se situe à un niveau de 10% concernant 20 partenaires ou plus d’un soir, rencontre une proportion de femme dites « hétérosexuelles » de 5% pour la même catégorie. A peu de choses près, les femmes volages coucheraient avec deux fois plus d’hommes de la même catégorie. Et du point de vue masculin, les chauds lapins se repasseraient les mêmes femmes qui seraient deux fois moins nombreuses qu’eux. A bon entendeur.

18 réponses à “L’instabilité homosexuelle en statistiques”


  1. Avatar de Cyrus
    Cyrus

    Bonjour M. Durandal,

    Voici l'instabilité homosexuelle en image : Quand Un Religieux Croise Une LGBT – YouTube

    Ouais…ça résume plutôt bien l'Occident actuel.

    Merci, chers Occidentaux, de ne JAMAIS arrêter d'être aussi COMIQUES.

    Cordialement,

    Cyrus


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