Puisqu’il semble nécessaire d’effectuer un petit rappel à la loi : Art 225.1 du code pénal :
Constitue une discrimination toute distinction opérée entre les personnes physiques à raison de.. leurs mœurs… de leurs opinions politiques
Constitue également une discrimination toute distinction opérée entre les personnes morales à raison … des mœurs… des opinions politiques. »
Punition prévue par la loi à l’article 225-2 du code pénal :
La discrimination définie aux articles 225-1 et 225-1-1, commise à l’égard d’une personne physique ou morale, est punie de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende
Or Osez-Le-Féminisme qui se fait fi de lutter contre le harcèlement des femmes, vient justement de se permettre l’inadmissible. Aller, en toute connaissance de cause, contre la loi française, harceler hommes et entreprises en raison de leurs opinions (les opinions, c’est encore légal en France).
Pratiquement
Depuis le 14 octobre, il s’agit d’exposer publiquement les hommes politiques et les entreprises qui ne respecteraient pas leurs canons de la communication et qui auraient fait des distinctions entre hommes et femmes dans leur discours. Cette stigmatisation publique n’étant pas suffisante, le site macholand.fr se propose des les inonder de messages de contestation par le biais de leur site. Ici, une attaque contre une marque de lessive :
Là, une attaque personnelle contre un homme politique du PS :
Défendre Mme Najat Vallaud, n’est sans doute pas innocent. Non seulement ces féministes comptent bien profiter de leurs appuis politiques pour leur donne un blanc-seing dans leur action illégale. Mais en soutenant l’une des leurs contre un autre élu PS, elles favorisent en interne la montée politique d’une défenderesse du genre. L’attaque mêle grossièreté et vice, mais elle est devenue parfaitement acceptable dans un monde qui glorifie toutes les actions immorales ou illégales tant qu’elles proviennent d’une femme.
A noter que l’action illégale du site macholand.fr a été relayée en fanfare par une grande majorité de journaux complices (Les Inrocks, Le Nouvel Observateur, L’Express, Metronews , Midi Libre, Le Parisien, TF1, France Info, France Inter, Le Mouv’, Closermag, I télé, DH.be, La Provence, France24en Anglais SVP, Elle.fr, href=”http://www.canalplus.fr/c-infos-documentaires/pid1828-c-l-actu-avec-i-tele.html?vid=1148333″ target=”_blank”>Canal +, Figaro Madame etc.. etc…) avec même pour Rue89, un suivi en temps réel qui a permis de couvrir le retrait de documents encore plus outrageants sous la dénonciation de hacking (les contructeurs du site n’ayant pas été assez professionnels, en plus du reste, pour assurer la charge du réseau à l’heure H du lancement). L’action illégale a aussi pu bénéficier d’appuis politiques tels que ceux de Mme Duflot (EELV) et Clémentine Autain (Parti de gauche) .
Cette curée n’a connu que deux exceptions notables : celles du Figaro.fr et de Marianne. Pour le premier, la démarche étant abjecte moralement (délation) et le féminisme devrait parler d’autre chose (de quoi?). Le second assimilant la démarche à une action passéiste anti-hommes. Mais nul n’a soulevé le principal (le caractère délictueux de l’affaire) excepté les premiers concernés qui alertés par Rue89 se sont adonnés à une contorsion communicationnelle :
L‘action en pause parce que la messagerie des députés aurait bloqué le site (???). Disons plutôt que ça barde à l’arrière des lignes.
Dans le suivi en temps réel des journaux et en réponse aux accusations de harcèlement que j’avais soulevées dès le début, Caroline de Haas et son équipe reconnaissent les faits. Au courant de l’illégalité de leur action mais la minorant, les membres de l’équipe décisionnelle ont décidé jusqu’ici de conserver la majorité de leurs accusations en ligne. Ce faisant, ils se mettent gravement en faute. Devant un tribunal, cela pourrait être retenu comme une volonté délibérée d’outre-passer les lois. Une habitude féministe qui finira peut-être par agacer un jour les détenteurs de l’autorité ? En tout état de cause , les pères humiliés par la justice aux affaires familiales, ne devraient pas être les seuls à être obligés de respecter la loi. C’est pourquoi, dans un soucis du maintient du contrat social, Aimeles, demande la fermeture immédiate et sans condition du site Macholand.fr, un site illégal en plus d’être abject, immoral, anti-hommes, anti-mères et anti-humour.
Les féministes voulaient changer leur image et passer pour de joyeuses activistes pour la justice. C’est encore raté. Derrière la mince couche geek impertinente, pointe toujours le mal être d’une génération de femmes inconséquentes.
Laisser un commentaire