Marcela Iacub : une société de violeurs ?

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4ème de couverture :

Ce qui s’est joué en France autour de l’affaire du Sofitel de New York, c’est moins la vérité des accusations contre un homme promis à la magistrature suprême que le procès de l’impunité du viol dans notre pays. Pourtant, depuis le début des années 1980, la France est, avec les États-Unis et la Grande-Bretagne, l’État démocratique qui réprime le plus sévèrement et le plus efficacement ce crime. Alors, que réclament donc les mouvements féministes concernant le droit du viol ? À travers une lecture décapante et implacable des interprétations de l’affaire du Sofitel qu’ont livrées ces mouvements et les médias, Marcela Iacub analyse le contenu de ces nouvelles revendications juridiques ainsi que les risques qu’elles font peser sur nos libertés, les rapports entre les sexes et l’émancipation des femmes. C’est parce que le viol est un crime particulièrement grave qu’on ne peut pas accepter qu’il soit instrumentalisé par une idéologie faisant de la haine des hommes et de l’horreur du sexe ses principaux objectifs politiques. Il est peut-être temps d’entendre une voix féministe alternative pour tenter de comprendre ce qui s’est réellement joué en France à l’occasion de cette affaire.

  EMISSION REPLIQUES d’ALIAN FINKIELKRAUT AVEC MARCELA IACUB ET MURIEL SALMONA du 21/04/2012 :

www.franceculture.fr/player/export-reecouter?content=4409267  

5 réponses à “Marcela Iacub : une société de violeurs ?”


  1. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Peine de mort obligatoire à la suite d’un viol entraînant la mort ou un état végétatif de la victime :

     

    Article du point du 02/02/2013


  2. Avatar de Léonidas Durandal
    Léonidas Durandal

    Condamné pour « détention d’images pédophiles » tandis qu’il avait visité des sites pornographiques et qu’il avait effacé de son disque dur les images « suspectes » :

     

    Article du Sud-ouest du 29/12/2012 


  3. Avatar de fraerk
    fraerk

    989e1dbc58ccd32a18e23278bb47772c

    Marcela Iacub a été violée (pas étonnant lorsque l’on connaît les statistiques) et s’en est bien sortie.

    Pourquoi alors, ne pas se contenter de proposer des interprétations les moins traumatiques possible de cet acte si fréquent, au lieu de vouloir polémiquer bêtement et inutilement en axant son livre sur le nombre de violeurs.

    Il y a peu de violeurs et beaucoup de violées. Peu d’abuseurs qui abusent de beaucoup de monde, et pas seulement sexuellement.

    Syndrôme de Stockholm ou incapacité de prendre en compte la réalité quantitativement ?


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