L’argent. Notre cupidité. Notre féminisme. Ces questions obnubilent notre monde. « Elle », « Marie-Claire », « Sciences-Po » organisent des tribunes pour les candidats, pour que les intérêts « des femmes » soient défendus. Elles veulent croquer dans la tarte, toujours plus, même en période de crise. L’économie, la famille, le bon fonctionnement de la société ne les intéressent pas.vraiment. Pour que la société fonctionne bien, il suffit de continuer à leur faire des courbettes, à les gaver de subventions, à flatter leur toute-puissance. Elles ont droit à leur égalité. Elles ont droit à leur omnipotence. Elles ont le droit de diriger la famille, la société, les enfants comme elles le veulent, mais surtout, sans en assumer les responsabilités. Elles ont le droit de tout détruire sur leur passage puisque nous sommes égaux et que c’est bon pour tous. Ne sommes-nous pas riches ?
Et puis, un jeune garçon arrive. Il prend une arme. Tue, tue, tue, tue, tue, tue, tue. Il se filme en héros en train de commettre ses atrocités. Puis il est tué.
La comédie féministe ne s’arrête même pas. Cela ne la concerne pas. Cela concerne les hommes politiques, c’est la question du fanatisme religieux, ces religions d’ailleurs, qui oppressent les femmes. Les fanatiques sont croyants, « extrémistes » et finissent par tuer tout le monde à cause de ça. Les féministes, elles, luttent contre le fanatisme !
La majorité, satisfaite, se contente de cette explication.
Cependant, d’autres, qui ne sont pas féministes, de vilains petits réactionnaires en mon genre, doutent que cette réponse soit suffisante. Ils désirent aller plus loin. De manière un peu provocante, ils osent asséner un :
« Comment naissent les fanatiques ? »
On leur répond que les fanatiques religieux, c’est bien connu, regardent des vidéos « d’extrémistes » sur internet, fréquentent de vilains imams, et qu’il y en a autant chez les chrétiens que chez les musulmans.
Cette explication politique satisfait tous nos petits athées français féministes. Le monstre, c’est pas eux. Ce sont les fanatiques musulmans et les chrétiens. Eux, ils sont normaux. Ils sont pour l’égalité entre l’homme et la femme.
Toujours plus satisfaits, ils regardent la télévision, des émissions super intéressantes où ils accumulent plein de détails sur les motivations politiques du monstre, des émissions très intelligentes, presque scientifiques, où des gens très cultivés donnent leur avis. On y parle bien, de géopolitique internationale, de banlieues, de mouvements (salafistes), d’Afganisthan, de Pakistan, de renseignements, de mamans, beaucoup de mots en « an », et le téléspectateur moyen finit par se croire encore plus « intelligent » que la moyenne, tout en demeurant aussi perplexe au début qu’à la fin.
Cependant il faut bien qu’il en arrive à une conclusion ? Nos spécialistes ont bien décrit le phénomène. Au citoyen de se donner une explication avec ce qui lui reste de logique. Perdu dans toutes ces descriptions sans modèle, il en arrivera à la conclusion que c’est de la faute à tout le monde sauf… à lui. La morale n’existe plus dans notre société ? Facilement il s’assènera un : c’est la faute à l’Islam ! Ou c’est la faute à « pas de chance » ! C’est la faute d’un fou ! C’est un antisémite. Il a été manipulé ! C’est la faute de tout le monde, ou plutôt, c’est la faute de personne…
La réflexion est vaine sans morale. Ce que nous voudrions savoir nous est caché. Ce qui est visible, nous ne voulons pas le voir. Ce qui est caché n’existe pas. Ce qui est caché, nous nous le cachons.
Ici, loin des mensonges, osons enfin lever le voile social. Cette burqa occidentale, aucune loi française n’interdit de la porter en public. Au contraire, elle est devenue le seul habit que notre République moderne connaisse. Voyons ce jeune garçon issu de l’immigration, chercher des repères. Voyons-le chercher son père à travers la religion. Voyons les journaux sous-entendre que le père de cet enfant aurait lâchement abandonné sa famille pour retourner en Algérie. Et dénonçons, oui, dénonçons tous les mensonges, ceux-là même qui nous ont conduit à la situation actuelle.
Mohamed Merah était le fils de la France et de l’Algérie. Il était l’enfant de l’espoir algérien et de la volonté française. Mohamed Merah aurait pu devenir un homme soumis à Dieu dans l’Islam, respectant sa croyance et la situant bien au-delà des velléités terrestres, et de sa propre volonté. Il aurait pu devenir un musulman honnête et pratiquant. Mohamed Merah aurait pu devenir un adulte, un soldat de l’armée française, il en avait le désir. Il aurait pu être heureux, avec l’âge, et l’expérience.
Loin de cela, il sera mort, abandonné de tous. Nous l’aurons abattu avant qu’il ne nous tue. L’Algérie ne donnera pas un dinar pour récupérer son corps. La France ne sait pas trop que faire de sa mémoire, le traitant de monstre, satisfaite de l’avoir tué.
Nous ne devons pas nous contenter des explications simplistes et politiques des féministes sur le cas de M.Merah comme ailleurs. Il en va de la survie de nos sociétés occidentales malades.
Qui a empêché Mohamed Merah de devenir un bon musulman, un patriote, un croyant ? Pas l’Etat qui était prêt à l’accueillir. Pas l’école qui était prête à l’instruire. Pas l’Islam qui était prêt à l’éduquer. Alors qui ?
Les fanatiques ne naissent pas de la liberté de conscience. Ils naissent des souffrances familiales.
LE CAS DE M.MERAH :
A 24 ans, Mohamed Merah est encore un enfant. Comme de nombreux enfants de divorcés, il est resté immature. Enfant d’une désunion, déchiré par le grand mal de notre époque, il n’a eu que l’exemple de la haine autour de lui. Dans notre société, ce sont les enfants qui assument les décisions des parents. N’ayant pu supporter le divorce des siens, l’éloignement de son père, l’acculturation occidentale, Mohamed Mérah devient ingérable. Il est ballotté de familles d’accueil en familles d’accueil. Il cherche un amour plus grand que la violence qu’il a subie, mais il ne le trouve pas. Cet amour qu’il cherche, il veut aussi l’offrir à sa patrie en s’engageant comme légionnaire. Cependant, si Mohamed Merah sait où se situe son salut, il n’a pas assez de force pour croire en son destin. Il quitte la légion dès la première nuit.
Avec un instinct aigu du bien, le diable ne s’attaque pas aux méchants, il les vainc, Mohamed Merah tente de se rapprocher de Dieu. Mais souffrant plus que de raison, préférant désormais l’au-delà, il ne laisse pas à Dieu le temps d’agir en lui. Mohamed Merah renonce avant d’avoir connu Son amour infini. Il préfère suivre les serviteurs du mal. Les chemins de vérité sont parsemés d’embûches. La vérité même peut être un frein à la vérité. Et si Mohamed Merah a découvert la vérité dans la religion, il en est écarté par la religion, par sa vie religieuse, par les gens qu’il fréquente, par le désespoir de ne pas être aimé, tout en cherchant la justice, par l’absence de son père. Pour s’en sortir dans la vie, il faut tout sacrifier à l’amour de la vérité, ses amis, sa famille, son cercle de croyants. Ce sacrifice, Mohamed Merah est incapable de l’accomplir. Pour donner un sens à sa vie, au lieu de sacrifier à Dieu, il préfère sanctifier une communauté idolâtre et lui donner en holocauste une existence remplie de contradictions. Avant de finir sur la croix du non-sens, il y placera auparavant 7 autres personnes.
LE PERE DE M.MERAH :
Le père de Mohamed Merah n’a pas abandonné sa famille. Il n’a pas abandonné son fils. Il a abandonné la France. Il a abandonné un système oppressif contre les hommes et contre les pères. Il a préféré retourner vivre dans la pauvreté plutôt qu’ici. Est-ce notre extrême droite qui le lui reprochera ? Ici, les hommes n’ont aucune autorité dans leur famille. Ici, on donne de l’argent à des filles-mère pour qu’elles pondent. Quand elles sont dépassées, on leur retire leurs enfants. Mais on continue à les subventionner. Quant aux hommes, beaucoup n’ont plus les moyens d’entretenir leur famille.
Ce père, lui, s’oblige à dealer de la drogue. Voilà une des réalités de l’immigration. Il est évidemment arrêté et perd, évidemment sa femme, ainsi que tout statut social. Privilégiant son honneur à la mendicité, il retourne vivre dans un environnement acceptable. Il revient en Algérie. Sans autorité sur sa famille, éloigné, impuissant, il voit l’inévitable se produire sous ses yeux, la déchéance de ses enfants, leur adhésion au système de consommation ou leur folle révolte religieuse. Il fera entendre sa voix de père bien tard, quand son enfant aura été exécuté.
LA MERE DE M.MERAH :
Si en France on donne toute autorité aux mères, rien ne leur est demandé en termes de responsabilités. Ainsi, la mère de Mohamed Merah refusera de sauver son fils sans en être inquiétée. Alors qu’elle est invitée à le raisonner, elle déclare n’avoir aucune influence sur sa propre chair. A ce point dépassée, elle n’essaye rien. Elle a honte de son enfant.
L’histoire entre la France et l’Algérie a souvent été violente. Jamais elle ne le fut autant qu’à cet instant : il ne lui en coûtait rien d’intervenir, mais déjà habituée à son irresponsabilité d’occidentale subventionnée et fraîchement installée, elle préférera laisser son enfant mourir sous ses yeux plutôt que d’intervenir. Et elle n’aura pas été la seule à l’abandonner.
LA DCRI
Les services de renseignements intérieurs avaient misé sur le petit apatride. Ils comptaient bien s’en servir pour leurs opérations de renseignement. S’ils avaient bien perçu l’intérêt que représentait Mohamed Merah, ils ne prirent pas en compte assez sa souffrance. Ils le prirent pour un jouet, et il se joua d’eux. Quand il fut retranché dans son appartement, il était déjà bien tard.
LE DENOUEMENT
Les décisions politiques suivantes, n’allaient pas se révéler être meilleures. Mohamed Merah avait-il choisi le temps des élections présidentielles pour commettre son forfait ? En tout cas, cela causera sa perte irrémédiable. En effet, il est devenu le petit caillou qui dérange monsieur Sarkozy dans sa campagne présidentielle, et ce petit caillou doit être bien vite éliminé.
On demande alors aux services de police d’agir rapidement, dans la précipitation diront certains. Et le travail que la gendarmerie aurait pu exécuter proprement, les services du GIPN le salopent. Je n’imagine pas non plus qu’on leur ai demandé de faire dans le détail. Mohamed Mérah gêne et les renseignements intérieurs, et M Sarkozy, et la police à laquelle il a échappé durant plusieurs semaines. Il est temps de traiter l’affaire avec autorité ! Elle est traitée avec autorité mais surtout avec tout le cynisme ou toute l’incompétence dont notre démocratie moderne est capable. Mohamed Mérah est exécuté pour ses crimes, sans jugement. Tout le monde s’en réjouit. Le monstre est hors d’état de nuire. Que les victimes n’aient pas leur procès, que les Français ignorent à jamais la vérité, que l’incompétence ou les erreurs de nos services ne soient pas jugées, est aujourd’hui considéré comme un détail. Pas étonnant que nous nous donnions de tels dirigeants avec une mentalité aussi médiocre.
Seul un père, qui a été reconnu comme délinquant en France, tente de donner faiblement de la voix de l’autre côté de la méditerranée. On dit qu’il veut attaquer l’Etat français. Si c’était dans le domaine du possible, il aurait pu nous rendre un bien grand service, même si cela ne manquait pas de toupet :
Seulement l’Etat algérien se charge bien vite de lui faire entendre raison diplomatique. Et ce père doit se rétracter rapidement pour se concentrer, uniquement, sur une demande de rapatriement du corps de son fils :
http://www.bfmtv.com/interview-exclusive-du-pere-de-mohamed-merah-actu25535.html
L’Etat algérien ne le lui accordera même pas cette dernière faveur. L’Algérie ne veut pas se disputer le corps d’un martyre avec la France, martyre qui pourrait réveiller les tensions religieuses sur son propre sol. L’Etat français oblige alors les instances de la région toulousaine à faire enterrer Mohamed Merah. Dans un océan de retenue hypocrite de la part de nos hommes politiques, une seule phrase émerge avec raison de la bouche de M.Sarkozy. Mohamed Merah est Français. Il sera enterré en France. Dans un accès mitterrandien bien étrange pour lui (il doit le comrpendre de plus en plus avec l’âge), M Sarkozy a eu raison de nous rappeler l’importance de l’état de droit, et d’étouffer ainsi une situation diplomatique un peu honteuse pour nous. Nous ne devrions jamais renier nos enfants. Un enfant ne cesse pas d’être Français parce qu’il a accompli quelque monstruosité. Nous avons accueilli sa mère, nous l’avons subventionnée, nous lui avons vendu un système qui ne nous convenait pas plus à elle qu’à nous. Au moins, admettons que ces enfants sont aussi les nôtres. Assumons enfin.
CONCLUSION :
Beaucoup de gens croient que le divorce est une bonne solution pour régler leurs problèmes de couple. Pour eux, c’est un moindre mal. Si c’est un moindre mal pour eux, cela ne l’est pas pour leurs enfants. Les parents divorçant font payer le prix de leur choix à leurs enfants. Et ils sont d’autant plus sûrs de leur position qu’ils n’ont pas à en subir les conséquences. Immatures, ils se séparent de manière immature, et fabriquent des enfants immatures, qui se sépareront de manière immature. Subventionnées et encouragées par le féminisme, de nombreuses femmes en occident s’attachent à « l’amour », plus qu’à leur famille. Elles se croient indépendantes, tandis qu’elles sont irresponsables. Elles sont à l’origine de 80% des séparations. Elles s’accouplent le temps d’avoir des enfants tout en sachant qu’elles pourront profiter de tout le système social en cas de pépin.
Quant au système social, il se préoccupe des enfants quand il est trop tard (pour rappel 150 000 enfants sur 800 000 sortent sans diplôme chaque année en France).
Si vous rajoutez à cela les questions d’acculturation d’immigrés venant d’une société où les rapports entre hommes et femmes sont mieux réglés, la situation sociale devient explosive.
Ainsi, il a fallu en arriver à des extrémités pour que notre pays connaisse un Mohammed Merah. La plupart des familles en difficulté font bien moins de bruit, mais elles sont également beaucoup plus nombreuses et presque tout autant en souffrance.
Nos penseurs, journalistes et philosophes, ne veulent pas aborder la thématique du divorce sous l’angle d’un réel problème social parce qu’ils le perçoivent comme un droit. Et le mensonge perdure.
En écho à nos journalistes et à nos philosophes, M Sarkozy a décidé de renvoyer les méchants imams hors de France, mesure à ce point ridicule qu’elle traite dans l’urgence d’une partie superficielle du problème sans en aborder la problématique de fond : quid des féministes qui ont propagé l’idéologie de la séparation ? Encore une fois, nous n’en entendrons pas parler, jusqu’à la prochaine guerre civile peut-être…
La France et l’Algérie, elles, ont divorcé en mars 1962. Les rejetons de ce divorce se sont perdus, et nous continuons à en expier une faute que nous voulons ignorer. La séparation était-elle la seule solution ? En tout cas, elle est là. Nos harkis, nos immigrés d’Algérie, nos pieds noirs, ont trouvé une place dans la difficulté, et parfois, ils ne l’ont pas trouvé du tout. Nos relations avec l’Algérie, restent « particulières ». Et surtout, nous ne voyons pas bien où notre histoire commune brisée nous mène.
50 ans après, exactement, l’ironie inconsciente des êtres et de l’histoire étant souvent mordante, l’affaire Mohamed Merah nous a rappelé une de ces nombreuses fractures. L’enfant maudit aura été rejeté de tous. A l’image du couple de ses parents, il restera l’enfant mort-né d’une union de nations immatures, qui, 50 ans après, n’ont pas résolu tous leurs différents. Nations qui auront cru pouvoir passer d’une communauté d’intérêt à une autre sans amour, ni bon sens.
Les destinées individuelles croisent parfois celles des nations. Elles nous donnent à réfléchir sur notre monde, si nous nous en donnons la peine. Ne favorisons pas des systèmes où aucune entente n’est possible entre hommes et femmes, entre nations, entre étrangers et nationaux. Évitons tous ces systèmes idéologiques utopiques qui ignorent les intérêts des uns et des autres, les bassesses des êtres et des nations. Abordons avec un grand respect, la rencontre, mettons de la distance pour aimer et prendre en compte. Le bonheur est rare et fragile. Il n’est que le fruit de la morale. Il est à l’opposé de la « libération » dite féministe. Il est respect pour la tradition et la culture. Il freine la folie plutôt que de l’exalter.
A chaque défaite de la gauche, à chaque frustration, ce sont les mêmes images qui…
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A contre-temps. Je crois qu’il n’y a pas de meilleur mot pour désigner l’action politique…
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monsieur Durandal a tout dis mais néanmoins je vais quand même répondre à vos attaques autant insensées qu' infondées :
Mais le rôle de l'homme et de la femme c'est écrit où? Non parce que ça m'intérésse, y'a-t-il des tablettes cosmiques où c'est écrit?
Le rôle de mère et de père est naturel n'en déplaise à toute la connerie de la théorie du genre. Celà a été démontré scientifiquement depuis longtemps et je n'y reviendrais pas. Un homme a la fonction de père et la femme fonction de mère, c'est comme celà que nous avons été créé, pourquoi vouloir changer ?. Pourquoi croyez-vous qu'il y a très peu d'hommes dans les milieux de la petite enfance, sinon des effeminés ? Les rôles sont naturels et c'est celà qui échappent à des féministes de votre acabit, vous voudriez en réalité avoir les avantages et non les inconvénients d'être un homme. Comme dirais monsieur Durandal, vous enrager de ne pas posséder un pénis, c'est votre côté lesbienne qui prend le dessus, mais bon on peut pas vous en vouloir, la nature fait des exceptions de votre genre, à moins que vous ayez eu un problème avec les hommes dans votre vie. Votre supercherie ne trompe personne pas moi non plus.
Interchanger les rôles en plus de faire tomber le masque du féminisme chevalier de l'égalité des sexes en domination féminine, est stupide, inutile et rend la vie de couple inintéressante, car une femme qui ne veut pas participer aux tâches ménagères est une macho qui veut exploiter les hommes et ne mérite certainement pas de vivre en couple. De toute façon ce genre de femmes ne trouvera jamais un domestique en guise d'époux, il reste fort heureusement encore des hommes bien virils , même si ils sont en voie de disparition à cause de la promotion du féminisme dans les médias.
En attendant les oracles sexuels je tiens à vous rappeller que c'est pas parce que c'était avant que c'était mieux! Si nos ancêtres qui n'étaient pas homo sapiens s'étaient dit "nan mais jvais pas me mettre debout ni manger de la viande je suis pas fait pour ça" bah on y serait encore.
Je ne vois pas le rapport mais je n'adhère pas à la théorie de ce cher darwin, père de tous les marxistes : athéistes, féministes et autres cependant, il faut savoir que si les homo-sapiens existaient réellement, c'était leur rôle d'aller à la chasse au mammouth et gibier et aux femmes de pratiquer la cueillette et activité artistique, du fait de la force physique de ces premiers. Au moins nous savons que le partage des tâches en dehors du ménage qui n'existait pas en ces temps-là, étaient fait de façon organisées.
Prenez garde à ne pas trop renier votre nature madame persephone, vous ne finiriez pas heureuse.
La caractéristique principale de l'humain c'est l'adaptabilité. A moins que vous ne souscriviez pas au Darwinisme mais à d'autres thèses plus...théologiques? Si ce n'est le cas je ne plus rien ajouter la religion bride beaucoup le débat.
Nous souscrivons chacun à une thèse ou une théorie, que ce soit le darwinisme, le marxisme, ou la théologie qui elle aussi en est une malgré le discrédit que la bien pensance lui jette, mais c'est peut-être votre féminisme hyper-égocentrique, théorie aussi légère qu'un ballon de baudruche, qui bride en réalité le débat et pire le décrédibilise. Ma religion me permet de vivre ma vie sereinement sans un être prisonnier d'une idéologie divisant les hommes et les femmes pour le plus grand bonheur de la bourgeoisie et jouant ainsi le jeu en étant l'idiot utile du capitalisme. Je suis peut être un idiot utile de la religion, mais je ne l'impose pas aux autres moi contrairement au féminisme qui en plus a détruit tout harmonie au nom d'un combat aussi injuste qu'insensé.
Ma religion je la pratique intelligemment dans les respects des valeurs de la République, je ne tomberais pas dans le piège de SOS Racisme comme vous êtes tombée dans celui du féminisme.
Encore un petit effort pour être moins HS
Vous savez 100ans de féminisme ça commence à en faire de la culture. Arretez de crier sur tous les toits que vous êtes le seul à avoir de la culture. Surtout quand on voit la façon donc vous l'interprétez! De plus les traditions c'est sympas tout ça, mais si ça convient pas à la moitiée de l'humanité...bah faut en changer et puis la peine de mort c'était une tradition aussi bon une tradition c'est pas un truc immuable et absolu. C'est vous qui ne voyez pas l'histoire dans ça globalité, les choses changent, accrochez vous. Je ne jalouse pas votre "zizi" (faut toujours que vous rendiez le débat plus primaire qu'il ne l'est, serez vous à cours d'arguments?), vous vous jalousez mes 7ans de vie en plus et ma capacité a faire dans des enfants ça vous demander votre avis.
Mais le rôle de l'homme et de la femme c'est écrit où? Non parce que ça m'intérésse, y'a-t-il des tablettes cosmiques où c'est écrit? En attendant les oracles sexuels je tiens à vous rappeller que c'est pas parce que c'était avant que c'était mieux! Si nos ancêtres qui n'étaient pas homo sapiens s'étaient dit "nan mais jvais pas me mettre debout ni manger de la viande je suis pas fait pour ça" bah on y serait encore. La caractéristique principale de l'humain c'est l'adaptabilité. A moins que vous ne souscriviez pas au Darwinisme mais à d'autres thèses plus...théologiques? Si ce n'est le cas je ne plus rien ajouter la religion bride beaucoup le débat.
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(suite)
En conclusion : l'avenir des couples n'est certainement pas dans le modèle occidental, pourri par toutes ces idéologies polluantes de la société.
Le couple devient moribond c'est un fait.
J'ai remarqué une chose également à cause de ce féminisme puant :
hier des jeunes des cités un peu troubleurs avec les secousses du train ont bousculé sans faire exprès une femme qui devait à peu près avoir mon âge dans les trente : "Excusez moi Madame"
Dans le bus cette fois-ci j'entends un début de querelle entre deux adolescentes et une femme d'une certain âge : 40/50 : "Vas y là parle pas avec nous" "Ferme ta gueule" La femme réplique au moment où elle s'en va "sale pute" une des deux ados répond "sale pute va !" "batarde!" léger ricanement avec sa copine
Ce qui est bien est qu'à la sortie du bus elles ont eu des ennuis avec des médiateurs ou contrôleurs, au moins y a eu justice.
Ceci est un témoignage personnel, libre à chacun d'y croire ou pas, mais j'ai donné à peu près la version : ma conclusion sans vouloir être misogyne, les femmes sont bien moins respectueuses que les hommes de nos jours et celà nous pouvons le constater à travers les couples contemporains.
La faute au féminisme ou les associations "touche pas aux femmes" et autres conneries du même acabit.
Je lis déjà ce que certains répondront : oui mais les hommes agressent ... celà fait 10 ans que je vis en banlieue, j'ai jamais vu un jeune homme agresser des gens qui sont bien plus âgés qu'eux, même s'il arrive des agressions lorsque ces derniers sont ivres, mais celà est bien moins pire que chez les petites demoiselles.
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La comédie féministe ne s'arrête même pas. Cela ne la concerne pas. Cela concerne les hommes politiques, c'est la question du fanatisme religieux, ces religions d'ailleurs, qui oppressent les femmes. Les fanatiques sont croyants, "extrémistes" et finissent par tuer tout le monde à cause de ça. Les féministes, elles, luttent contre le fanatisme !
Oui enfin faut reconnaître une sacrée hypocrisie du féminisme tout de même, car en luttant contre le patriarcat socle des traditions religieuses, contre l'homme et en émancipant les femmes elles ont contribué par conséquent à la destruction des valeurs morales de la famille qui en réalité est l'objectif final de tout être humain qui se respecte. Or, sans le père pas d'autorité sur les enfants afin de s'occuper de donner une limite et des principes aux enfants.
En dehors de tout contexte religieux ou moral, l'enfant a besoin d'un modèle sur lequel s'identifier (ça me rappelle une chanson de Rohff qui est l'exemple ? ah nostalgie de la petite jeunesse), la mère représentant le penchant affectif des parents et celle à qui l'on doit beaucoup : vie, affectivité et prise en charge d'une partie de sa vie.
Vouloir les remettre en question est totalement absurde, car la nature nous a créé différent et la femme a été créée pour ses fonctions maternelles.
Seulement voilà, dans une société où on encourage les femmes à renier leur richesse naturelle pour les pousser à la consommation, à la jeunesse éternelle a,ti-rides et à avoir des relations sexuelles en grand nombre(c'est pas pour autant que je cautionnerais celles de l'hommes puisque c'est la même chose), on leur a longtemps fait croire que leur nature, leur rôle familial étaient des chaînes dont il fallait se libérer. Sans parler de celles qui veulent le beurre l'argent du beurre et le cul du crémier : qui veulent avoir un boulot et une famille sachant que les deux sont incompatibles. On va me répondre que oui mais l'homme le veut bien lui aussi, j'anticipe et je rétorque : l'homme a toujours été fait pour travailler et travailler == plaisir (sortir en boîte et laisser sa femme) ce qui n'empêche toutefois pas la femme de travailler pour aider dans ces temps de crise. Mais bon je constate que de plus en plus de femmes voudraient des hommes au foyer, donc des femmes qui militent pour l' "égalité" voudraient avoir le rôle de l'homme dans la famille.
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Laissez moi ajouter une dernière chose persephone, ce n'est pas plus facile pour les hommes que pour les femmes d'accéder au pouvoir ou même d'être simplement chef de projet, car nous ne sommes pas en concurrence par rapport à simplement nos compétences, mais aussi de notre personnalité : charisme, autoritaire ...
Regardez les annonces concernant ce métier ou ce que vous voulez et renseignez-vous sur le nombre de candidature pour ce seul poste.
J' ai moi-même essayé de postuler pour des postes bac + 2 sans responsabilité, malgré mes compétences, quelqu'un de plus valeureu(se/x) que moi l'a eu.
Les postes de cadres ou de responsabilité ne sont pas une partie de plaisir et à mon avis on a intérêt à ne pas aimer ses loisirs du week-end pour être responsable.
Pour info, une amie à ma soeur s'est faite virée à cause de l'austéritéde son poste de directrice commerciale qu'elle occupait depuis trois ans, (son patron était une femme)
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La comédie féministe ne s'arrête même pas. Cela ne la concerne pas. Cela concerne les hommes politiques, c'est la question du fanatisme religieux, ces religions d'ailleurs, qui oppressent les femmes. Les fanatiques sont croyants, "extrémistes" et finissent par tuer tout le monde à cause de ça. Les féministes, elles, luttent contre le fanatisme !
Oui enfin faut reconnaître une sacrée hypocrisie du féminisme tout de même, car en luttant contre le patriarcat socle des traditions religieuses, contre l'homme et en émancipant les femmes elles ont contribué par conséquent à la destruction des valeurs morales de la famille qui en réalité est l'objectif final de tout être humain qui se respecte. Or, sans le père pas d'autorité sur les enfants afin de s'occuper de donner une limite et des principes aux enfants.
En dehors de tout contexte religieux ou moral, l'enfant a besoin d'un modèle sur lequel s'identifier (ça me rappelle une chanson de Rohff qui est l'exemple ? ah nostalgie de la petite jeunesse), la mère représentant le penchant affectif des parents et celle à qui l'on doit beaucoup : vie, affectivité et prise en charge d'une partie de sa vie.
Vouloir les remettre en question est totalement absurde, car la nature nous a créé différent et la femme a été créée pour ses fonctions maternelles.
Seulement voilà, dans une société où on encourage les femmes à renier leur richesse naturelle pour les pousser à la consommation, à la jeunesse éternelle a,ti-rides et à avoir des relations sexuelles en grand nombre(c'est pas pour autant que je cautionnerais celles de l'hommes puisque c'est la même chose), on leur a longtemps fait croire que leur nature, leur rôle familial étaient des chaînes dont il fallait se libérer. Sans parler de celles qui veulent le beurre l'argent du beurre et le cul du crémier : qui veulent avoir un boulot et une famille sachant que les deux sont incompatibles. On va me répondre que oui mais l'homme le veut bien lui aussi, j'anticipe et je rétorque : l'homme a toujours été fait pour travailler et travailler == plaisir (sortir en boîte et laisser sa femme) ce qui n'empêche toutefois pas la femme de travailler pour aider dans ces temps de crise. Mais bon je constate que de plus en plus de femmes voudraient des hommes au foyer, donc des femmes qui militent pour l' "égalité" voudraient avoir le rôle de l'homme dans la famille.
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A vérifier.
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Bien que M. Durandal le nie farouchement, les hommes ont oppressé les femmes
http://www.aimeles.fr/refhis.html
D'ailleurs on le voit tous les jours que des voix s'élèvent contre des acquis féminins comme l'avortement par exemple :
Si tuer est une forme d'acquis pour les féministes, c'est une forme de recul pour la société.
je trouve ce blog intéressant pour des pistes de réflexions que je n'avais pas envisagé ou exploré notamment le droit des pères
flagornerie
et les quotats sur le sexe.
Bientôt la suppression des quotas sera une demande féministe (comme en Suède où les femmes se jugent maintenant discriminées par les quotas égaux).
Rappellons-nous que les gens qui dirigent le monde, chef d'état, grands patrons, magna de la presse sont encore majoritairement des hommes!
Le vieux coup de nous faire croire que nous sommes dominants, à d'autres.
Mais au final le but visé n'est ni le bien-être des femmes, ni celui des hommes.
Pour une fois que nous sommes d'accord.
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Les allocs c'est une fabrique à enfants non désirés.
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Dénigrement général hors de propos.
Si ce que je dis est vrai, il faut le prendre comme une vérité.
Par contre vous avez une fâcheuse tendance à caricaturer mes propos, à les résumer à votre façon qui fait peu honneur à votre sexe.
EX : je n'ai jamais dit que les femmes étaient pourries jusqu'à la moelle. Les féministes oui, par contre. Je dénonce des faits précis, je montre justement en quoi, de manière précise, les féministes agissent. Vous n'avez pas le droit de faire des généralités sans avancer des faits précis comme vous le faîtes pour justifier une idéologie que vous ne voulez pas abandonner et qui sert vos intérêts.
Evidemment que ce que je dis sur Mohamed Merah est vrai, évidemment que ce que je dis des familles monoparentales est vrai, évidemment que ce que je dis du féminisme est avéré. Le féminisme nous a conduit ici. Assumez votre histoire, au moins. Et n'essayez pas de fuir dans des faux-semblants. Vous êtes une bourgeoise, vos parents ont profité de ce système. Cela ne veut pas dire que vous êtes dans une vérité. Cette vérité ne vous est que personnelle. Plus en avant, vous disiez que les subventions favorisaient les femmes pauvres. Des gens comme vous on créé un système pour les faire pondre, puis elles se sont retrouvées dans des ennuis sans fin. On leur avait raconté des balivernes, les mêmes que vous racontez ici. Je ne leur raconte pas de balivernes. On se sert de leur corps pour nourrir un système de bourgeois avides de conserver leur position. Et quand on veut éduquer NOS enfants, les bourgeois nous l'interdise par leur système social (interdiction de la fessée, assistantes sociales, justice...), c'est très grave. Quand on est dominant, il est facile d'interdire aux opprimés leur culture, puis de s'étonner de leur dégénérescence, parce qu'ils ne sont pas comme les bourgeois le désireraient. Le mal que des féministes comme vous ont fait, est sans fond. Vous devriez vous excuser pour avoir massacrer des millions de gens. Au lieu de cela, vous désirez réhabiliter le féminisme!!!!!! Baisez votre cul 4 fois et demandez pardon pour des siècles d'oppression, et après j'étudierai la possiblité de discuter sérieusement avec des féministes.
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Vous résumez si bien ma pensée !
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merci Thanatos
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Je ne jalouse rien du tout, mais chacun à sa place et les vaches seront bien gardées.
Quant aux traditions, elles doivent évoluer et non pas changer. Le changement c'est fait pour les tueurs, les sociopathes et bon nombre de personnes dérangées. Tous ceux qui ont massacrés des millions de personnes au 20ème siècle, prônaient le changement. Personne n'a jhamais rien changé sans massacrer son prochain, et les féministes pas plus que les Kmhers rouges, communistes et autres nazis.
Je suis contre le changement et pour l'évolution. Les gens qui veulent "changer" les choses sont soit des orgueilleux, soit des psychopathes, et au final, ils tuent des millions de personnes dans leur sillage.
Quant à la pseudo "tradition" de la peine de mort, elle est bien récente à l'échelle de l'histoire. Quant bien même, nous avons pris quelques milliers d'années pour comprendre, cela ne fut pas inutile. Il n'y a que les gens éclairés comme vous qui sachiez toute la vérité en un clin d'oeil. Installez vous comme prophète, vous aurez de l'avenir. Le féminisme n'est qu'un culte à la déesse mère, il a besoin de rituels, d'une église et de sacrifices. Installez-vous comme prétresse chez les féministes, parce que jusqu'à ce que la tradition ait évoluée, les catholiques n'acceptent pas les femmes pour ce genre de ministère.
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Ca me fait penser au travail que je suis en train de faire en ce moment sur des hommes qui ont joué le jeu du féminisme et qui en ont été récompensé comme il se doit : par la rupture d'avec leur compagne.
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Vous bridez le débat vous-même en refusant la culture, en faisant comme si c'était anecdotique. C'est le système féministe qui a tout à prouver. Pour le reste nous avons vécu jusque là avec des rôles bien marqués, ce qui nous a permis de survivre bien mieux qu'aujourd'hui (eh oui, la bonne natalité française vient des sociétés traditionnelles étrangères, pas du système féministe qui est stérile).
Maintenant si on raisonne dans le vide, on peut tout inventer, tout imaginer, mais il faut faire de la SF, pas réfléchir à l'avenir de l'humanité. L'avenir de l'humanité c'est la réalité, c'est la culture, le passé, et les traditions. Vous confondez depuis le début les plans imaginaires et réels, voilà pourquoi nous avons tant de problème à discuter. Les féministes sont dans un monde imaginaire, les hommes y sont comme ci ou comme ça, et les femmes sont de petites saintes (en fait, les féministes sont plus ou moins immatures mais se croient plus évoluées que le reste).
Les rôles des hommes et des femmes, c'est aussi de la culture. Vous avez si peu de culture ou si peu conscience de l'importance de la culture, que vous croyez pouvoir tout faire, tout mélanger, et vous appelez cela désir individuel.
Vous n'avez pas de zizi. Vous en enragez, mais c'est ainsi.