Ils disent qu’ils me cherchent, mais c’est faux. S’ils me cherchaient vraiment, ils m’auraient trouvé depuis longtemps. Mais du plus profond de leur être, ils ne veulent pas me voir. Ou plutôt non. Ils ne veulent pas m’entendre. Il suffirait qu’ils veuillent m’entendre et ils me trouveraient. Or voilà qui leur est impossible. Je le savais d’ailleurs. Voilà pourquoi j’ai réussi à les tromper. Je voulais qu’ils m’entendent. Et je les forcerai à m’entendre malgré eux, s’ils veulent vraiment me voir. Alors la tromperie sera révélée, mais pas tant qu’ils refuseront de se mettre à ma place, dans ma tête, pas tant qu’ils seront incapables de compassion envers le père/le mari que j’ai été, et que je suis toujours, quoi qu’ils en pensent.
Je suis comme les lunettes que vous cherchez partout et qui se trouvent sur le dessus de votre crâne. Au plus proche. Je vous parle depuis des années et vous dîtes : « les propos de cet homme ne me concernent pas. Cette cause n’est pas la mienne. » ou bien « C’est perdu d’avance » ou bien « Cela ne nous fera que du mal ». Chaque jour, ici-même, je vous ai pourtant prouvé le contraire ! J’ai vaincu la mort. Je vous ai vaincu. J’ai survécu tandis que toute votre société me poussait au suicide ou voulait me condamner par avance.
Vous croyez qu’un homme qui crie si fort que Dieu pourrait s’en émouvoir, cela ne vous concerne pas, bien entendu. Vous ne croyez pas à la punition divine qui s’accomplit sous vos yeux. Evidemment. Vous ne voulez pas croire à votre propre esclavage que mon évidente liberté vous révélerait. Et puis, vous ne voulez pas voir le monstre que je suis, celui qui vous ressemble tant. Le monstre… le monstre… il va chaque jour à son travail et veille plus que tout, à préserver son image sociale. J’en suis. Et vous, jusqu’où iriez-vous pour la préserver, cette image sociale ? Vous aimez bien vous dire « si ça allait trop loin, je réagirais » ou « c’est pour le bien commun ». C’est exactement le genre d’idées qui m’est venu en tête lorsque j’ai appuyé sur la gâchette.
Vous vous dîtes aussi « Moi, je n’ai encore tué personne contrairement à des types comme ce Dupont de Ligonnès »…, « je n’ai pas les mains pleines de sang »…, et pourtant je vous fascine depuis plus de dix ans maintenant. Vous êtes vous seulement interrogés sur l’objet de votre fascination ? Vous êtes vous seulement dit une fois : « C’est bizarre, à chaque fois qu’une actualité concerne Xavier Dupont de Ligonnès, je suis à l’affût, je tremble, j’ai envie de savoir ». Avez-vous plongé dans les racines de votre propre fascination morbide ? Certes non. Car je vous connais. Il faut que l’histoire vous parle mais indirectement. Il faut que ce grand cinéma à ciel ouvert ne vous concerne pas derechef. Il faut qu’on vous parle de vous sans vous parler de vous, tristes menteurs. Et après vous voudriez savoir la vérité ! Cherchez la dans vos vie avant de la demander à la justice !
Et si je vous la disais la vérité ? Est-ce que cela changerait quelque chose ? Peut-être… ou pas. Je la dis depuis des années et vous n’écoutez pas. Mais comme je suis joueur, allons un peu plus loin. De toutes les manières, je vous échapperai quoi qu’il arrive parce que je vous suis supérieur. Allez, vous voulez vraiment me retrouver ? Eh bien, attachez-vous à chacun de mes mots au travers desquels je vous livre des indices déterminants ! Prêtez-y attention au lieu de vous précipiter sur la nouvelle actualité qui n’a aucun intérêt !
Faisons un tout petit détour par l’actualité d’ailleurs, le plus petit possible, seulement pour que vous compreniez. Nous avons un nouveau premier ministre et cette nouvelle n’a absolument aucun intérêt. Et pourtant, que de lignes écrites, que d’entrevues publiées pour nous expliquer la situation et nous faire croire au changement. Le monde politique évolue au gré d’une météo qui se transforme pour en revenir toujours à des états identiques. Après la pluie, le beau temps. Et inversement. Croyez-moi, les occasions de changement vrai se trouvent ailleurs. Tout d’abord chez vous, au sein de votre foyer. Mais là, on n’entre pas ! Car vous voudriez que le monde change alors que vous êtes incapable de vous changer en vérité. Donc le monde reste ce qu’il est, rempli de corruption, de meurtriers aux mains immaculées et d’actualité insignifiante.
Vous voyez par exemple, l’idée que j’aie pu abattre froidement ma femme et mes quatre enfants, vous émeut. Mais qu’une industrie pharmaceutique, des labos de recherche et des gouvernements tuent des millions de personnes, et vous voilà indifférents. C’est le progrès ! « Un mort, c’est un drame. Des dizaines de milliers de morts, c’est une statistique ». Je suis ce drame qui vous tient tant à coeur tandis que vous laissez crever des millions de personnes. Et après, vous voudriez peut-être que je sois arrêté, et que je me traîne à la barre du tribunal en avouant tous mes crimes, au milieu d’un torrent de larmes ? Même si vous me retrouvez, cela n’arrivera jamais. Je ne vous laisserai jamais une telle occasion de vous payer une bonne conscience sur mon dos en me punissant. Au contraire, depuis des années, je travaille à vous l’enlever cette bonne conscience, en secret, à l’abri des regards, amusé de me voir toujours plus écarté, tandis que les services de police me traquent toujours plus ardemment. La clef pour me retrouver est donc celle-ci : détournez-vous de tous les discours médiatiques insignifiants, et vous y verrez plus clair sur mon cas. Qui sait ? A force de lucidité, vous pourriez même découvrir mon lieu d’habitation ?
Oh que j’ai rigolé lorsque j’ai été diffamé puis mis à la marge de l’internet, méprisé puis ignoré, tandis que tous les services de police du monde étaient mobilisés pour m’attraper. J’étais là, et au lieu de me cueillir, ils m’ont offert un doux asile, fait d’exclusion sociale. J’ai pu prospérer allègrement grâce à eux, et même, commenter ma propre affaire en usant de l’anonymat le plus complet qui soit. Il aurait suffi qu’un seul comprenne, pour que la vérité soit révélée. Mais rien ! Nada ! Et je continue puisque vous le voulez tant ! C’est un bon arrangement entre nous. Je vous offre une forme d’évasion. Xavier Dupont de Ligonnès court toujours ! Pendant ce temps, je jouis de ma liberté pour écrire ! Je vous laisse votre bonne conscience. Vous me laissez ma plume. Mon absence augmente mon aura, et détruit cette société, aussi bien que mes écrits anonymes, pendant que vous passez à côté de l’essentiel.
De toutes les manières, je suis un spécialiste de l’internet et des fausses identités. Bien avant le « drame », j’ai acquis ces compétences dans le cadre de mon travail et qui me protègent désormais. C’est important le travail. C’est encore plus important de réussir ! Finalement, même si l’un d’entre vous avait compris, il n’eut rien pu faire car je maîtrise le jeu de bout en vous. Et je l’ai toujours maîtrisé, jusque dans ce message.
Vous me direz que je ne l’ai pas tant maîtrisé que je n’aie pu éviter ma faillite financière et la mort de ma famille. Et pourtant, j’ai connu une forme de rédemption et je prospère. Même concernant ma vie passée, vous ne savez rien de moi, et de ce qui s’est réellement déroulé. Vous en êtes contraints à vouloir me retrouver pour que la vérité soit faite tandis que moi, je vis bien, tout en sachant quelle est l’exacte vérité. Je vous ai échappé et je vous ai berné si facilement, que j’en suis presque désolé pour vous et pour votre système.
Votre système médiatique, politique et judiciaire, il veut vous faire croire, qu’il maîtrise tout, qu’il est capable de tout contrôler. Et vous vous gargarisez de sa force tandis que vous ne voulez surtout pas envisager votre aliénation. Mais qu’est-ce que peut votre système contre un seul homme décidé ? Rien du tout. Il a suffi qu’un tout petit trublion, en faillite personnelle, le décide, pour tenir tête à toute une collectivité. Ce groupe, si fort, qu’a-t-il pu m’obliger à faire ? Rien. Il n’arrive même pas à me mettre la main dessus, alors que je peux continuer à lui cracher à la gueule, ici-même.
Oh vous n’imaginez pas la haine qui me tient. Vous n’en imaginez rien. Cette haine, j’ai fini par comprendre qu’elle prenait sa source dans votre médiocrité, et aussi, je l’avoue, qu’elle est le résultat de ma propre médiocrité qui se regarde en miroir avec la vôtre. Mais comme vous m’avez forcé à réagir, vous êtes encore plus coupable que moi. N’appartenez-vous pas à cette société qui ne juge que par la réussite sociale, puis qui vous parle de tolérance et d’inclusion, puis qui taxe et décourage toute entreprise un tant soit peu innovante ou risquée. Je la conchie cette société pleine de contradictions imbéciles, qui vous demande quand elle vous rencontre : « Quel est votre travail dans la vie ? ». Là, pris sur l’instant, je répondrais : « Mon travail c’est de vous emmerder, et c’est une réussite totale. »
Mais en vérité, mon travail c’est d’être Xavier Dupont de Ligonnès, l’homme de vos fantasmes, que vous voulez excuser ou accuser, un homme qui travaille à rester quelqu’un de bien dans l’imaginaire collectif ou un monstre, selon vos penchants. Et vous voyez à quel point, c’est une réussite complète. Autant mes affaires passées ont connu quelques déboires. Autant j’ai atteint tous mes objectifs présentement. Aristocratie mondialiste oblige.
Ah cet argent ! Si au moins nous pouvions nous retrouver à l’époque médiévale et embrocher quelques impies pour régler la crise du logement. Je n’appartenais pas à notre époque. J’ai voulu m’y adapter cependant, mais je me suis aperçu trop tard qu’entre elle et moi, il n’y avait pas de compromis possible. J’étais trop chevaleresque. Trop dans l’idéalisme. Je voulais vivre des temps aventureux. J’ai mené mes affaires ainsi. Mais ce pays et cette époque n’aiment pas l’aventure. Faire des enfants ? Les laisser se tromper sur cette société et reproduire tous ses écueils ? Pas de ça chez moi. J’ai compris mon erreur un peu tard, mais il n’est jamais trop tard pour bien faire. Et je l’ai rectifiée à ma manière. Dieu m’en est témoin, je demande pardon si j’ai commis quelques ratures. Mais je réussirai à corriger le brouillon de ma vie et à créer une vraie, une grande œuvre, que tous reconnaîtront à ma mort. Je veux dire ma vraie mort, quand il sera temps.
Sachez que je vous méprise bien de devoir attendre que le soufflet de votre orgueil retombe pour pouvoir comprendre, et de légitimer une société dite de la liberté, où rien n’est autorisé, sauf sous caution, même respirer, une société tellement bête qu’elle m’a laissée me promener en tout impunité avec un masque inutile sur le nez, mais qu’elle a déclaré obligatoire sous peine de sanctions légales. Là aussi, j’ai bien rigolé que vous me permettiez de vivre tranquillement, à si bon compte. Car même si j’étais fermement opposé à une telle mesure, derrière mon masque, j’ai pu sortir dans vos rues, voyager et vous observer en toute liberté, sans frayeur. Ce fut un des moments les plus savoureux de mon existence depuis la bascule.
Vous devez savoir aussi que je ne me sens coupable de rien. Que vous vouliez l’entendre ou pas, vous m’avez armé. Vous m’avez forcé à appuyer sur la détente. Mes enfants ne m’appartenaient plus. Je les ai récupérés dans la mort. Comme vous, eux-aussi ne me jugeaient qu’en termes de réussite sociale. Eux-aussi ne voulaient voir en moi que l’honnête travailleur qui ramenait la pitance à la maison. J’ai été élevé ainsi par des femmes. En relief, et sans le vouloir, elles m’ont inculqué l’appât du gain, seul moyen pour moi de me réaliser en tant que petit garçon au milieu de leur orgie sentimentale, justifiée par un délire mystique.
J’ai malheureusement transmis ce désir de réussite matérielle à mes enfants comme un herpès familial qui passe de génération en génération par des embrassades, surtout en épousant Agnès, qui ressemblait tant à ma mère, ma mère et ses révélations, et sa religion personnelle. Combien j’ai réalisé ses prémonitions en m’attaquant à ses délires ! En suivant ses préceptes, j’ai mis en oeuvre cette fin du monde qu’elle espérait tant. Et j’en suis arrivé à la conclusion que si j’ai sacrifié, je n’ai pas fait pire que Dieu qui a envoyé Son Fils ou Isaac à la mort. Je n’ai fait que rétablir mon rang réel dans la lignée des patriarches. Le Dieu de ma mère, s’Il le veut, dans son infinie miséricorde, les accueillera au paradis. Les catholiques le disent. Mais il n’en sera pas de même pour vous avec vos condamnations péremptoires, votre moraline de bas étage, vos silences meurtriers. Vous ne comprenez rien et vous ne voulez rien comprendre. S’il y a bien un Dieu, vous serez punis pour votre ignorance, et l’ignorance que vous laissez en partage, c’est tout. Car si je n’ai pas la foi, je crois. Ca peut vous paraître étrange, mais il en est ainsi.
Agnès, oh Agnès, voilà que je pense à Agnès, si dévouée tant qu’elle avait l’espoir de voir m’en sortir, tant que j’affichais quelques signes de vie, jusqu’à accepter mes liaisons avec d’autres femmes. Agnès, tu connaissais quel était mon besoin de conquête, et tu l’admirais en secret. Je t’ai initiée sur ce chemin. Ce n’est pas toi qui me reprochera la mort des enfants. Toi aussi, tu l’as voulu cette vie de rêve, aventureuse, mais sécurisée. Sais-tu désormais Agnès que tout se paye ?
Déjà ton regard avait changé les derniers temps. Je crois que tu t’étais aperçue de ton erreur, que tu te maudissais, car tu étais assez intelligente pour comprendre. Comme nous tous, au moment de changer, tu avais choisi de reproduire ton erreur. Tu avais quitté un aventurier pour en prendre un autre, mais qui accepterait les enfants et qui travaillerait gentiment à votre bonheur. Tu croyais que c’était là l’essentiel désormais. Alors tu l’as voulu ce mâle bien intégré socialement, gentil con, bon vivant. Et combien je t’ai punie pour ta bassesse en t’ignorant, parfois involontairement, parce que j’avais cru qu’il te suffisait que je sois moi. Au début, tu désirais seulement me prendre dans tes filets, et tu étais prête alors à tous les compromis. Puis tu as pris en compte tes besoins, toi aussi, et ton niveau d’exigence s’est élevé. Et ni moi, ni ton Dieu, ne se sont révélés capables de les combler. Voilà aussi pourquoi tu ne m’en voulais pas réellement. Tu m’as trompé tout bonnement, pour continuer l’aventure qui te tenait au ventre, plus que moi, plus que ton Dieu. C’était pas une question de ressentiment. Même si tu rejetais la faute sur moi en m’accusant d’être incapable “d’évoluer”, tu sentais que tu étais entièrement responsable de cette situation. Tu avais voulu ignorer ta vénalité en m’engageant, et elle t’a rattrapée sans qu’il ne te soit possible d’en réchapper. Nos contradictions ont fini par t’emporter. Laisse-moi le regretter.
Oh Agnès, bien des malheurs nous sont arrivés parce que tu n’as jamais vécu ni assumé tes propres désirs. Comme toutes les autres, tu les as envisagés de loin, à travers un compagnon, avant de prendre des amants pour te croire encore humaine, mais tu n’étais qu’un ventre depuis le début. Tu ne m’aurais jamais aimé réellement. J’ai mis fin à notre mirage familial car toujours ton ventre aurait repris le dessus. Jusqu’au bout, je n’ai fait que le satisfaire pour que tu ne sortes pas de ton rêve éveillé, ce rêve qui te tenait tellement à coeur. Prends-le en compte là où tu es. J’ai appuyé sur la gâchette par fidélité, à toi, à nous, à notre relation. Elle ne pouvait s’arrêter qu’ainsi.
Malgré tout, j’ai appris de nos erreurs. J’en ai conclu qu’il ne faut jamais écouter les psys ou les curés qui vous encouragent au matérialisme sous couvert de sentiments. Ce genre de clercs ne sont que des pharisiens qui ne se préoccupent pas des brebis dont ils ont la garde. Ils veulent seulement survivre en cautionnant le groupe, cette société qui les fait vivre. Pauvres bêtes. Tu les a trop écoutés. Mais ne t’inquiète pas. S’ils ont tué nos enfants, ils tuent tous les autres aussi, sans exception. Cela se règle moins brutalement. Il faut 2 ou 3 générations pour que cela arrive, mais ils les tuent aussi sûrement avec leurs peurs, leurs silences, leurs paroles convenues, leur manque de religion, leurs idées toutes faites sur la « bonne intégration sociale », ce même matérialisme dont j’ai épousé la logique jusqu’au bout. Pour échapper à l’omnipotence féminine dans notre famille, j’ai voulu me construire une croyance sur mesure, et c’était vraiment idiot. Mais beaucoup moins qu’eux qui vivent encore sous l’ancien régime catholique, quand bien même ils sont laïcards. Jamais au présent. Trop difficile le présent. Qui supporte le présent de nos jours ? Alors ils s’en dépossèdent, et le confient aux clercs menteurs, au scénaristes veules, en attendant la crise. Ils l’auront amplement méritée.
Voilà, vous êtes au courant de ce que vous devez savoir. Le reste vous sera révélé plus tard, quand j’en déciderai. En attendant, essayez de comprendre combien il était nécessaire que j’exerce mon autorité paternelle avec intransigeance, pour le bien de tous, que c’était le seul moyen qui m’était laissé, que cette société m’a laissé. Dès à présent, je vous mets en garde, n’essayez jamais plus d’enfermer un homme ou vous en payerez le prix. Je suis la preuve vivante que votre contrôle est un échec, que votre police vous protège faussement, qu’elle n’est même pas capable de retrouver un brave citoyen isolé depuis plus de 10 ans. Vous avez voulu vous mesurer à moi, mais vous n’êtes pas de taille. Cette société m’a renvoyé l’image d’un raté incompétent, tandis que j’ai su la blouser de bout en bout, preuve s’il en était, que toutes mes faillites passées, ont été organisées et voulues par ce système socialiste. J’étais bien meilleur que la moyenne, et en retour, j’ai subi l’opprobre et le rejet en france, ou au sein de ma propre famille. Depuis, me voilà à la tête d’une entreprise en pleine expansion, de subversion gigantesque et dont vous n’apercevez ni les tenants, ni les aboutissants. Je me suis donné les moyens de réussir, et personne dans cette société ne pourra m’arrêter. D’ailleurs, j’ai publié cet article en toute impunité et vous pouvez compter sur moi pour continuer à vivre comme je l’entends, sans tenir aucunement compte de votre morale coercitive de bas étage, qui ne rassure que les braves poulets citoyens à la veille de se faire plumer.
Arrêtez également de vouloir faire éduquer des garçons par des femmes. Cela ne marche pas. Le masculin se transmet d’homme à homme, et non comme une décalcomanie en relief d’un vécu féminin. Surtout si vous voulez voir vivre vos enfants. A bon entendeur.
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