Dans « on n’est pas couché », l’émission de Laurent Ruquier d’actu-humour du samedi soir sur France 2, les chroniqueurs Eric Zemmour et Naulleau, l’un tendance droite et l’autre de gauche, ont été remplacés il y a plus d’un an, pour les mêmes motifs de représentation politique, respectivement par Natacha Polony et Aymeric Caron. Et ce dernier, gauchiste, écologiste dans ce qu’il y a de plus caricatural (végétarien), est bien entendu, également, féministe. Tout le progrès dans un seul et même homme. La perfection diraient certains. D’ailleurs il le porte sur lui : propret, sec comme la justice, raide sur son derrière, l’oeil pétillant, le poil lustré, beau et superficiel, quand je tombe sur lui à la télévision, il me semble que le réalisme soviétique n’a pas connu de fin, si ce n’est qu’il est barbu. Et cet homme féministe comme tous ces hommes féministes, ne manque pas de mettre en pratique ses belles leçons, en direct. A l’image d’un Vincent Cespédès (1), ce monsieur coupe la parole systématiquement à son alter égo féminin sur le plateau de télévision, et ne lui laisse jamais finir un développement.
Et comme il méprise l’humanité entière, celle qui n’est pas de gôche entendons-nous bien, ses mauvaises manières doivent en être la conséquence. La politesse, la galanterie, des concepts réactionnaires…
Une envolée qui laisse encore Natacha dubitative.
Aymeric Caron, phallocrate féministe.
Cependant, je ne suis pas si certain que ses mauvaises manières envers Natacha Polony n’aient pas quelque chose à voir avec une forme de phallocratie, typique de ces hommes féministes. Ceux là sont souvent féministes, jusqu’à découvrir qu’une femme peut non seulement les dépasser, et de loin, mais aussi les écraser. Ici, il est évident que Natacha Polony le dépasse intellectuellement même si elle est restée très gentille avec lui, et qu’elle n’a été obligée de lui répondre sèchement qu’après de nombreuses provocations. Ses raccourcis flagrants, ses préjugés intellectuels, les mauvaises habitudes de toute une vie, le ramènent systématiquement à une forme d’impuissance quand il débat face à Natacha Polony, impuissance qu’il est bien incapable de gérer sans avoir recours à des moyens déloyaux. Comme s’il ne pouvait supporter que quelqu’un le contredise, en particulier une femme. Un homme est féministe jusqu’à ce qu’il accepte que les autres femmes ne se résument pas à l’image de sa mère. Espérons que Natacha Polony réussisse à l’éduquer sur ce point, même si ce n’est pas son rôle. Cependant sans sacrifice, rien n’est obtenu, et si Natacha ne s’en occupe pas, Aymeric Caron risque de ne pas beaucoup progresser dans l’échelle de l’évolution. Il continuera alors à refuser de manger de la viande tout en déployant une agressivité sans fin
Natacha Polony, par pitié, déniaisez-le !
1 Vincent Cespédès dans Ce soir ou jamais en 2012.
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En ce qui concerne les femmes pilotes d'avion, c'est du détail mais je suis ok avec vous sur cette histoire de méthodes et process dont les hommes sont a l'origine dans la quasi totalité des cas. Mais piloter un avion n'est pas une performance au contraire d'une formule 1.
Une anecdote me revient assez amusante, et j’espère ne pas être l'objet d'un biais : je travaille en ce moment dans une entreprise constituée d'un personnel à 80% féminin. Une catastrophe : process flou ou absent, discussions personnelles au milieu de mails pros, termes flous qui me laissent pantois à chaque fois : c'est un oui ou c'est un non ? Je n'attend plus que de partir et c'est pas ma présence de filles minijupees qui va me retenir.
En ce qui concerne la galanterie je vois que vous nuancez et établissez des limites mais peut être ne parlons nous pas de la même chose : en quoi ouvrir la porte d'une voiture ou d'un appartement à une femme est une quelconque protection ? Lui donner préséance au restaurant (paiement de la note), se lever dans le métro (hormis les femmes enceintes ? mais je fais ça avec les vieilles personnes aussi), être particulièrement poli et courtois quelque soit son attitude. S'effacer pour madame la princesse. En 2018, le risque d'effacement de la race humaine n'est plus vraiment une question de reproduction.
Mon père ne m'a jamais appris a avoir accès aux femmes en le sens ou il désirait que j'optimise mon attitude, il s'en moquait assez royalement d'elles en fait (peut être est ce excessif) alors qu'il était le clone de James Dean (lol) : au contraire des le début mais je ne voulais pas l'entendre, il m'a annonce la couleur (sans irrespect et sans haine) et je comprends désormais qu'il avait tout capté.
Bien à vous
Les propos de Chen sont quasiment les mêmes que ceux d'Otto WEININGER dans son oeuvre Sexe et Caractère. O. W. illustre parfaitement le manque d'empathie des femmes en observant que la profession d'infirmière est majoritairement féminine. Il explique ensuite que l'homme, doté d'empathie ne supporte pas de voir autrui souffrir sans pouvoir rien y faire. En cela, prodiguer des soins palliatifs lui est plus dur que chez la femme, qui peut être longtemps confrontée à la souffrance d'autrui sans en être véritablement affectée.
Mon dernier article sur l'insertion professionnelle des femmes devrait vous parler...
Je pense que les termes de la galanterie ont changé. Aujourd'hui la galanterie, et excusez-moi d'être si frontal, c'est de considérer les femmes comme les hommes, du moins la galanterie recherchée par les féministes, alors qu'il n'y a rien de plus faux. Les hommes doivent assumer une préséance aux femmes, une forme d'attention désintéressée et distante particulière. Cette attitude permet de régler les rapports entre les sexes. Il faut absolument éviter de considérer les femmes comme des trous à remplir (femme moderne stérile), ou comme des êtres supérieurs (galanterie du faible). Dans le premier cas, une femme pourrait vous accuser faussement d'abus sexuel parce qu'elle se sentira déconsidérée. Elle vous trompera, sera hystérique, malheureuse et rendra malheureuse son entourage, si vous la prenez pour femme. Dans le second cas, elle vous méprisera et quand elle aura des enfants de vous, vous serez cocu voire quitté. La galanterie, c'est reconnaître le besoin d'attention des femmes. En tant qu'hommes, cela nous permet de nous élever à des considérations plus personnelles auxquels, il faut le dire, nous ne sommes pas très sensibles naturellement. Ainsi les femmes nous élèvent. Vous me répondrez que nous favorisons leur narcissisme. Mais les femmes ne peuvent sortir de leur narcissisme que par amour. Et il faut bien se rappeler que si elles nous élèvent personnellement, nous les élevons moralement. Nous sommes dépendants les uns des autres. Refuser cette interdépendance, c'est refuser le couple. Refuser de se laisser toucher par une femme, c'est en avoir peur, ce n'est pas être grand.
hum je crois commencer à comprendre ce que vous dites. Peut être la difficulté à cerner ce concept réside t'elle dans le fait que ce concept est étranger, à ma connaissance, à ma culture d'origine.
Les arguments utilitaristes, qu'il m'a semble que vous utilisiez (faiblesse de la femme, sécurisation de sa personne pour optimiser la reproduction) se sont effondrés à mes yeux pour deux raisons dont une au moins invalide le concept :
Nous devons le respect et une forme de "galanterie" envers les vieux (femmes et hommes) : il n'y'a pourtant rien a voir avec la reproduction car ils sont hors du marche sexuel si j'ose m'exprimer ainsi ( et en fait c'est moins vrai pour les vieillards). Il s'agit juste d'empathie, dont je suis désormais persuadé que les hommes en sont plus pourvus que les femmes (je ne parles pas de savoir reconnaître une attitude ou lire une émotion, les femmes sont en effet largement supérieures à nous, mais d'altruisme notamment en dehors des relations interpersonnelles)... C'est l'invalidation dont je parlais.
l'argument de faiblesse commence à bien faire à mes yeux : il est utilisé d'ailleurs par les femmes en général et très peu par les féministes. Il suppose toutes les compromissions, toutes les soumissions. C'est une sorte de couteau de poche efficace dont tantôt on fait sortir la lame tantôt on l'escamote, au gré des situations ou des débats. Et comme vu sur le site "hommes d'influences", lors de l’étude de texte du livre "l'homme subjugué" : il n'arrive jamais a un homme de comparer sa force à celle d'un éléphant, de s'en plaindre et de l'utiliser comme justificatif et pourtant il fera tout ce que cet animal ne sera jamais capable de faire.
Enfin au final, loin de sous estimer la femme, je ne peux m’empêcher d'y voir "un doigt dans l'engrenage" : on commence a clairement circonscrire le concept et à la fin le bras tout y entre. Car les femmes c'est comme les allemands : à la fin elles gagnent toujours :p)
vous dites : "Si vous saviez ce que ça me fait du bien de voir qu’il y a d’autres qui s’y mettent."
réjouissez vous Durandal : le message diffuse petit à petit, et j'en suis un des très humbles contributeurs.
Il semblerait que le nombre de sites explose et en regard le nombre de requêtes google. On commence à en parler même dans la presse de ces "abjects" anti féministes et ça commence à rendre bien nerveuses les feminazies.
Des personnes célèbres, qu'on les apprécie ou non, commencent a s'en faire de modestes, pour le moment, portes drapeaux.
La féministe est redoutable (et la femme en général) : elle n'y oppose pour le moment que l'opprobre, l’émotion, la complainte, les arguments honteux ("t'as un petit sexe"," tu sais pas t'y prendre avec les femmes", "tu es un frustré", "t'as pas réglé ton probleme avec ta mère", "t'es un gay refoulé" etc etc) . Sa puissance n'est pas à négliger vous avez tout à fait raison. Je reste persuadé qu'un travail de sape, déterminé, mais rationnel et bienveillant finira par porter ses fruits. Sinon ce sera la catastrophe : l'effondrement total de la civilisation. Mais comme il y'a un "éternel féminin", il y'a un "éternel masculin" : l'homme reconstruira.
Bonsoir
Oui votre idée d'agir en nœuds multiples et incontrôlables, formant un réseau est une méthode efficace il me semble : c'est bien celle qui a fait véritablement fait trembler le régime macron.
Sans vouloir être hors sujet on lisait quasiment la peur sur le visage de nos "dirigeants".
Ça commence je crois : les sites, blogs et forums se multiplient. Traînant mes guêtres en ce moment sur E&R par exemple je vois que le message prend petit à petit (bon Soral ça fait un bon moment qu'on connait sa pensée aussi).
J'y pense...
sinon ne pas négliger des domiciliations sur des serveurs russes ou autres qui se contrefichent de la censure et informer sur l'usage de vpn's.
Mon problème n'est pas (encore) d'être hébergé. Mais plutôt le réseau de lien, la diffusion de l'information, la visibilité sur le world wild web. Vous pouvez produire ce que vous voulez, si vous n'avez pas accès à une forme de diffusion, c'est comme si rien ne se faisait.
"La dictature c'est ferme ta gueule et la démocratie c'est cause toujours"
A mon avis, il va falloir faire un peu comme les gilets jaunes puisque ces gens là nous y poussent : des représentants partout avec plus ou moins le même discours, car si l'un d'entre nous perce, il sera censuré. Hier soir au moment où je vous écrivais, il se produisait une énième fois un de ces phénomène de contrôle que je subis depuis des mois :
En 1h, 94 lecteurs s'intéressent brutalement au site. Normalement, la courbe devrait s'aplatir lentement. En fait, elle devrait même suivre une courbe montante avec un pic avant de retomber. C'était comme cela que ça marchait avant le renforcement de la censure. Quelqu'un a transmis l'article, l'article était intéressant, il a commencé à se diffuser, mais le réseau social concerné a bloqué sa diffusion. Même avec la coupure de la nuit, la courbe aurait dû reprendre sa progression ou son aplatissement au matin. Là, rien de tel. Les réseaux sociaux comme Facebook font semblant de faire leur travail pour mieux contrôler l'information et faire croire à leur public qu'il y a une liberté d'agir chez eux. Il va falloir trouver des procédures innovantes de diffusion des articles, car sous peu, la machine sera sous cloche, même pour des gens comme les gilets jaunes qui passent pour l'instant sous le radar.
C'est quand même drôle, beaucoup de points de vue qui viennent en commentaire sur ce site, le sont de la part de personnes étrangères qui tentent de clarifier ce qui vient de leur propre pensée de ce qu'ils ont hérité. Je suis comme une sorte d'étalon or, français de souche (hihihi). Et c'est vrai que parmi mes ancêtres, il n'est pas d'étranger connu à l'état civil, même pas un putain de rital au début de l'autre siècle. Du coup, j'ai l'impression de servir parfois à démêler le faux du vrai. Et comme moi aussi, je suis un sorte de déraciné de l'intérieur, le lien peut se faire.
Une fois, j'écoutais à la télévision une négresse mariée à un blanc qui disait que se relation mixte avait suscité le respect de la part des autres femmes blanches qu'elle côtoyait. Arriver à séduire un homme blanc, était pour elles, une sorte de certificat, de capacité à s'intégrer, ou quelque chose comme cela.
C'est étonnant comme ce genre de point de vue met en relief le fonctionnement de notre culture.
J'ai bien compris votre démarche et elle est louable.
le terme beta n'a mais alors aucune connotation péjorative dans ma bouche et d'ailleurs je ne me considére meme pas comme un alpha (j’étais hyper timide adolescent et j'en ai garde des restes). Je leur reproche juste d’être les faire valoir de ces dames lors de leur période de carroussel, et d'arriver au bon moment quand le mur approche, ce qui permet à ces dernières de ne jamais se remettre en question.
Pour ma part : je suis un célibataire invétéré, je n'ai jamais eu gout de la vie en couple (tout du moins sous le même toit), je suis trop occupé, sans parler de ma totale absence d'envie d'enfant. Il ne s'agit donc pas de jalousie je crois.
D'autant plus que les questions sur ma vie de mes collègues mâles ou amis, l'air gourmand, me font dire que finalement n'est ce donc pas le contraire ?
Tout le monde jalouse quelqu'un à un moment ou à un autre. Mais c'est vrai que cette situation de femmes qui se casent avec le premier mou venu a un côté enrageant, ce besoin maladif de dominer le couple pour se rassurer...
Après chacun fait ses choix. Moi, j'en suis arrivé à la conclusion catholique qu'un homme ne pouvait pas spirituellement renoncer au couple. Et pourtant combien je serais plus tranquille si je n'avais pas ce poids. Mais je hais la facilité plus que tout, le laisser aller. Et pour moi, renoncer au couple, ce serait renoncer à trouver les moyens de m'améliorer. Cela m'a permis de bien progresser déjà, en devenant assez chaste. Et je compte bien aller où Dieu veut que j'aille. Nous avons l'air différent sur ce point. J'ai une utopie folle en moi, un désir d'inassouvi très puissant, qui ne peut pas se contenter de ce qu'il a, qui veut aller toujours plus loin. Ecrire, me permet d'aller toujours plus loin d'ailleurs, de voir si j'ai encore un peu de moelle en moi. Bien heureux le temps où je serai plus calme, où je pourrai lire toute la journée au coin du feu, quand je serai trop vieux. J'imagine ça, plus tard, quand je serai bien fatigué, comme d'une époque de félicité. En attendant, j'ai une rage de vérité et de justice en moi qui demande à être assouvie.
Je ne sais pas si le terme "clarifier" est le bon. Quoiqu'il en soit, et sans prétention, et je me répète sans trop vouloir m'attarder sur mon cas, j'ai beaucoup de succès avec les femmes, ce qui m'a permis d'en rencontrer beaucoup.
Je n'en suis pas fier mais pas honteux non plus. Par contre j'ai détecté chez elle un continuum, je me suis assez vite aperçu qu'elles n’étaient pas exactement ce qu'elles disaient être, que les mots et les actes n'ont rien à voir chez elles, de leur hypergamie, de leur propension à se coltiner des bad boys pendant leur phase de carrousel pour ensuite trouver un bon "beta bucks" à l'approche du mur, de leur solipsisme invétéré, qu'elles n'ont jamais tord, de leur surinvestissement en amour, et pourtant elles n'aiment jamais vraiment (leur amour est conditionnel quand celui de l'homme est idéaliste, je crois avoir trouvé cela sur votre site et c'est tout à fait vrai), que leur empathie est toute relative (je pense même que l'homme en a plus en fait), qu'il n'est jamais possible de répondre à toutes les demandes (un puits sans fond, un tonneau des danaïdes). Bon bref je vais pas refaire toute la liste mais en effet je crois que comme tout homme qui a connu un certain nombre de femmes, ça fait quand même pas mal descendre de son piédestal l'objet de la "convoitise". Comme j'ai une tendance au rationalisme j'ai voulu voir si je n'avais pas tord dans mes constatations et il est vrai que votre site (et d'autres) structurent la pensée à ce niveau. Vous vous rendez compte aussi que ça a même quasiment été théorisé et que vous n'est plus seuls.
Si vous saviez ce que ça me fait du bien de voir qu'il y a d'autres qui s'y mettent. A part quelques initiatives isolées, de mouvements de pères, d'artistes, d'essayistes, presque 10 ans tout seul, vous ne pouvez pas vous imaginer. En plus, j'arrive en bout de course, j'ai été censuré de partout sur internet, et mes capacités à m'étendre sont désormais presque nulles. Il est temps que la relève arrive.
Les pires des antiféministes sont ceux qui ont connu beaucoup de femmes. Plus un homme est antiféministe plus il est beau, et plus il plaît. Ou plutôt l'inverse. Comment aimer le féminisme qui est la laideur absolue chez les femmes, tout ce qu'une femme peut avoir de plus moche. Par contre, j'insiste sur le fait qu'il y a un bon côté à l'éternel féminin, et que personne ne peut se dire antiféministe sans réussir à le percevoir. Un antiféministe ne doit pas être un simple misogyne.
D'ailleurs renversons un peu le problème. Et si nos problèmes avec les femmes venaient parfois de ce que nous plaisons. Le bêta n'a pas le même rapport aux femmes, finalement qui le lui rendent en bien. N'y-a-t-il pas de la jalousie de votre part envers ces tocards qui accèdent aux femmes ? Aujourd'hui, je prends le problème à l'inverse : j'aide les bêtas à se faire respecter un peu dans leur couple. Les aider, c'est nous aider, c'est être solidaires. D'ailleurs ça marche autant que la femme en question sent un contrepoids à sa toute puissance. Et je peux vous dire que si les hommes étaient vraiment solidaires entre eux, le problème des putains serait réglé à 90%. Mais bon, c'est vrai que je ne voudrais pas trop m'étaler ici sur ces questions hommes femmes, même si parfois j'aime bien détailler les liens entre féminisme et féminité. Un antiféministe doit avoir encore une forme d'espérance en lui, sinon il passe du pick up artist au mgtow. Conceptuellement, l'antiféminisme est la clé de sortie du marasme que nous connaissons. L'antiféminisme est le seul mouvement qui se réserve une forme d'empathie vraie envers les femmes. Nous n'avons pas le droit de nous laisser aller, car nous aussi, nous les hommes, nous avons bien merdé ces dernières années. Nous avons laissé grandir un démon. Ce n'est pas de la faute aux femmes si nous avons été aussi bêtes. Et c'est une erreur collective qu'il va nous falloir régler. Comment, je ne sais pas encore. Mais nous devrons en passer par là. Le travail d'un Jordan Peterson est un début de réponse à ce problème.
Je suis français de parents étrangers mais qui sont nés français :)
C'est complique n'est ce pas ahaha
parfaitement intégré pour ne pas dire assimilé et me sens français jusqu'au bout des doigts :)
Tout ca pour dire que finalement je suis assez d'accord avec vous quasimar. Cette femme est bien plus dangereuse car au elle se donne des airs anti féministes tout en voulant perpétuer une domination feminine, l'ai de rien et probablement sans en etre consciente. Ce qui d'ailleurs met en doute sur ses capacités intellectuelles (Aymeric Caron ne constituant pas un étalon dans ce domaine)
" "On n'est pas couché": Aymeric Caron vs Natacha Polony", NDF du 15/12/2014
Aymeric Caron va quitter l'émission, au moment où il commence à faire preuve d'une sorte de vraie rigueur intellectuelle. C'est un peu dommage. Sinon, le couple infernal a encore frappé. Je me demande s'ils fantasment l'un sur l'autre...
Mmmh si vous comptez sur Natacha Polony pour fermer le clapet à cet olibrius.Dois-je vous rappeler que cette femme prétends que les psy se plantent lorsque ces derniers affirment (eux seuls sont bien placés pour le savoir)que le gosse a besoin de l'affection de sa maman jusqu'à six ans ? Elle a également affirmé que les femmes pouvaient faire pilote d'avion ... ce qui est moins débile que de vouloir s'opposer à des gens qui connaissent leur métier alors que ce n'est qu'une polémiste de première.Croyez-moi cette Polony est encore plus dangereuse qu'une Belkacem, elle beaucoup plus sournoise.
Bonjour à tous
je ne vois rien de choquant à avoir des femmes pilotes d'avion. L'une d'elle a sauve récemment toute une cargaison humaine avec un sang froid que beaucoup d'hommes envieraient.
Pour le reste je ne comprend pas Durandal dans sa défense de la galanterie. Il me semble que cette dernière est l'une des causes du malheur des hommes en occident. Donner préséance à une femme sur des questions de politesse ne fera rien pour oblitérer leur sens profond du sollipsisme, leur impression de "a qui tout est du".
Assez curieusement ça me rappelle la dernière phrase que j'ai entendue de cette dame justement lors d'un débat chez ruquier je crois concernant le féminisme : certes elle le rejetait, du moins dans sa version "hard" mais se targuait d'enseigner, pour participer à sa lutte contre cette doctrine, la galanterie a son fils
bref soit un bon chevalier blanc, sert ta maman et les femmes et tout ira mieux. Toujours ce service rendu on ne sait plus pourquoi aux femmes. Or c'est justement l'une des raison de l'affaissement des hommes en occident.
C'est aussi cette galanterie qui a fait que tout est passe comme une lettre a la poste.
évidemment elle n'a jamais parlé d'enseigner a sa ou ses filles (si elle en a) comment bien respecter les hommes, leur être serviables, les comprendre et tout et tout. Quel courage. Et évidemment aucune féministe ne lui est jamais tombé sur la tronche et pour sur : tout ce qui conforte la domination de la femme est bon a prendre.
Je n'ai pas du fils mais je sais d'avance que lui enseigner de telles choses est la pire erreur possible à mon sens : vous l'envoyez au monde sans armement. Pourquoi en pas enseigner la politesse et le respect du a tout etre humain, quelque soit son sexe sa religion sa couleur de peau, tout simplement ? Pourquoi faire de la femme encore une fois une spécificité ?
Mon père ne me l'a jamais enseigne (par contre le respect "asexué", le "civisme" la politesse oui) et je lui en suis gre !
Bonjour M. Chen,
La galanterie, il le faut, SAUF si madame ne le mérite pas. Auquel cas, une remarque de nature misogyne, une gifle ou une remarque de nature mafieuse suffiront à la calmer. Si elle est outragée, elle partira… et c'est tant mieux. Vous vous serez évité bien des malheurs avec une femme qui n'en vaut pas la peine.
Cordialement,
Cyrus
Vous le faites remarquer : vous avez appris un respect "asexué". Mais en réalité, nous sommes sexués. Nous avons aussi une culture d'hommes et de femmes différentes, qui en découle. Il est évident que les règles entre hommes et femmes ne peuvent être les mêmes. S'il y a disparition de ces règles, c'est au profit des féministes qui veulent imposer l'idée qu'hommes et femmes sont identiques (notamment dans l'aviation pour reprendre votre exemple : avez-vous songé qu'aucune pilote de course ne s'est jamais imposée à haut niveau, mais par contre, nous confions des avions à des femmes en pensant qu'elles auront forcément le même niveau. Si les femmes pilotent des avions, c'est surtout grâce aux automatismes inventés par des hommes).
Le respect particulier des femmes est lié à la perpétuation de l'espèce. Sans cela, si nous mettons en danger les femmes à égalité d'avec les hommes, nous risquons de ne plus pouvoir nous reproduire. D'ailleurs, c'est bien ce qui est en train de nous arriver si vous y songez : les femmes jouent au mec, et finissent féministes sans enfant avec leur chat ou leur chien si elles sont lesbiennes.
L'intégration de la galanterie ne veut pas dire que nous devions laisser faire tout et n'importe quoi à une femme. Mais pour dépasser les règles, il faut au moins les connaître.
Aujourd'hui, ce sont les femmes qui n'autorisent plus la galanterie, parce qu'elles sont malades. Vous n'avez pas vraiment le choix. Votre père vous a peut-être seulement appris les nouvelles règles qui ont cours aujourd'hui pour que vous puissiez avoir accès aux femmes. Nous avons perdu un immense pan de notre culture humaine.
Bonjour M. Durandal,
J'espère que vous allez bien. Vous dîtes la chose suivante : Aujourd’hui, ce sont les femmes qui n’autorisent plus la galanterie, parce qu’elles sont malades. Néanmoins, dans un Québec ultra-féministe, je remarque que bien des femmes québécoises et étrangères ne sont pas insensibles à la galanterie, à la condition que l'homme dégage une grande virilité (souvent des hommes immigrants sachant aborder les femmes). Le problème n'est pas la galanterie. Il est quadruple. D'abord, les hommes ne sont plus des hommes (incitant les femmes à ne plus être des femmes). Deuxièmement, le féminisme a pourri les relations entre les hommes et les femmes. Troisièmement, la religion catholique ayant disparu des esprits et des mœurs, les femmes ne sont plus dans le devoir, notamment d'obéissance. Enfin, les changements technologiques survenus au XXe siècle ont achevé de rendre les femmes très libres de leur dépendance d'autrefois.
Si, comme au Moyen-Âge, surtout à partir du XIIIe siècle, la galanterie se conjuguait avec une société d'hommes virils et non féminisée comme c'est le cas présentement, il n'y aurait aucun problème.
Cordialement,
Cyrus