Considérant qu’elles doivent être toujours prises en charge affectivement, et considérées, nombre de femmes ne veulent pas qu’on leur parle crûment. Or il est des domaines comme celui de la médecine où la parole doit être avant tout scientifique. C’est une question de vie ou de mort. Cependant, au lieu de comprendre ce point de vue masculin, celles qui n’acceptent plus la moindre autorité et qui pensent que tout leur est dû, font pression pour que les médecins ne fassent plus leur métier et les prennent surtout en charge psychologiquement. Enfin, quand cette prise en charge psychologique échoue, elles le reprochent au médecin.
Cette majorité de femmes qui se croient tout permis, a pourri la pratique médicale. Les médecins, majoritairement des femmes aujourd’hui, ont d’autant plus permis l’instauration d’une concurrence compassionnelle. A la fin, médecins hommes ou médecins femmes, ne savent plus s’ils doivent faire confiance à leurs connaissances scientifiques, ou bien s’ils doivent jouer sur le plan affectif avec leurs patients.
Du coup, nous sommes très mal soignés en France, et de plus en plus mal si l’on rajoute à cela la volonté gouvernementale d’économiser indistinctement sur la santé et le bien-être. L’argent est gaspillé pour éviter aux travailleurs de perdre du temps avec les leurs s’ils sont malades, ou bien dans des projets déments sur des enfants que l’on fait mourir pour cela. Par contre, le mal au dos des gens n’est toujours pas soigné correctement. Et pour des maladies comme celle de Lyme, les scientifiques n’ont toujours pas été foutus de trouver un test fiable pour détecter la présence des bactéries incriminées dans le corps humain. Vous me direz, cela ne touche que quelques dizaines de millions de personnes en France, qui non soignées, font exploser les dépenses sociales de santé. Ceci expliquant cela.
Si j’ai l’occasion de parler de ce sujet, c’est parce que j’en ai trouvé l’illustration dans un article de l’Obs : « Quand les gynécos sont brutaux ». Vous pouvez le consulter si vous voulez voir plus en avant comment des femmes hésitent entre une demande compassionnelle et une demande de soins, et combien cet imbroglio est inextricable (rien que dans le titre). A travers cet exemple qui touche au plus crucial d’une vie, vous comprendrez aussi combien il est souvent inutile de dire la vérité à une femme car cela lui est étranger, en particulier dans notre société sans père. Car bien souvent, comme dans cet article, elles préfèrent le mensonge à la responsabilité, alors même que leur vie en dépend. Pour illustrer un peu cette débâcle féministe, voici les photos de propagande tirées de cet article :
Question : en quoi les rapports sexuels de la dame concernent le médecin ? Ma prescription : un peu de vaseline.
Question : pourquoi un médecin devrait-il rappeler à sa patiente la définition d’un rapport sexuel ? Ma prescription : demander à papa comment on fait les bébés.
Question : y-a-t-il une meilleure contraception que de fermer les cuisses ? Ma prescription : 1 pilule debonsens avant le coucher.
Question : être gros est-il parfois mauvais pour la santé ? Ma prescription : une séance chez le psy afin d’assumer son état.
Question : la douleur peut-elle être entièrement psychologique ? Ma prescription : endormir systématiquement la patiente avant chaque auscultation.
Question : peut-il être dangereux d’avoir des enfants surtout à un âge où bonne maman était déjà grand-mère ? Ma prescription : 2 pilules retouralaréalité matin midi et soir.
Ma question : les femmes qui veulent être prises en charge affectivement, induisent-elles de faux diagnostiques envers celles qui sont vraiment malades ? Ma prescription : 1 bonne grosse pilule antiféminismesituationdurgences concentrée à 200mg.
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