Notre société occidentale est en train de s’éteindre sous nos yeux, et nous le sentons. Les grandes catastrophes ont ceci de commun qu’on les voit arriver de loin mais qu’il n’y a personne, ou peu de gens, pour imaginer qu’elles se réaliseront bientôt. Enfin personne ne veut y croire. Chacun essaye de se persuader que le système a bien vécu jusqu’ici et qu’il n’y a pas de raison objective pour qu’il ne continue pas. Et dans cette cohue, il y en a même pas mal, qui tirent d’autant plus la couverture à eux. Effectivement, quoi qu’il arrive, le système continuera, mais cette fois, que nous soyons arrivistes ou pas, il devra continuer sans nous.
Non personne ne veut croire que des féministes, malgré tout le mal objectif qu’elles ont fait à notre société, personne ne veut imaginer qu’elles ont entamé un processus de suicide collectif et que ce processus est presqu’arrivé à son terme. Personne ne veut imaginer que des femmes aient été capables de faire cela. Et pourtant, il n’y a pas de journées ou ne découvrons pas le mal qui nous mine et qu’elles ont propagé de manière insidieuse: violence des femmes à l’identique de celle des hommes, indifférenciation violente de notre société, meurtre des enfants, lesbianisme (haine ou incompréhension totale des hommes), mort généralisée de la féminité et de ses valeurs morales, décès du père, destruction de la famille par le biais des « structures » dîtes monoparentales… toutes ces violences qui pour notre propre malheur s’entretiennent les unes les autres.
Après avoir tué la virilité, notre société féminisée est en train de s’effondrer lamentablement, emportant ses beaux rêves de voir les femmes prendre la place des hommes, en devenant elle-même asexuée. Malgré ce nihilisme moderne, il n’en reste pas moins qu’il n’y a pas de femmes sans hommes, et qu’il n’y en aura jamais (et réciproquement). Cette dure interdépendance, cette règle vitale qui permet à tout élément biologique de survivre dès qu’il ambitionne de s’élever dans la hiérarchie de la conscience divine est pourtant battue en brèche par notre société. Dans cette société sans homme, il y a des réalités et des limites qui deviennent difficiles à accepter, des feux au milieu de la tempête qui précipitent le navire sur les falaises sans que les vigiles n’aient les moyens de se faire entendre. Beaucoup d’entre vous croient que les civilisations disparaissent généralement dans le chaos. Pourtant l’histoire vient souvent démentir cette idée commune. Les plus grandes catastrophes surviennent dans un silence étouffant qui réduit les paroles au néant.
Il n’y aura pas de grandes révoltes, il n’y aura pas de guerres spectaculaires, il n’y aura peut-être même pas de guerres civiles, non. N’imaginez pas que vous aurez la chance de vivre la fin de ce monde en ayant au moins le plaisir d’assister à un beau feu d’artifice. Malheureusement cela n’arrivera pas comme cela. L’enfer que nous vend cette société féministe, c’est le prozac, une belle et lente dépression vers l’anéantissement de chaque individu puis du corps social dans son ensemble. A la fin, vous serez même trop mous pour pouvoir encore réagir.
Cependant je ne veux pas écrire dans le vent: l’espérance est là. Désormais, beaucoup de femmes ont senti, peut-être avant beaucoup d’hommes, que quelque chose était allé de travers, qu’elles ne pouvaient plus continuer dans la surenchère haineuse et égalitaire, comme auparavant. Cela ne s’est pas déroulé comme elles l’avaient imaginé, et leur inconscient collectif puissant prend maintenant le chemin de la remise en question, même si cela ne concerne qu’une infime partie de la communauté.
Les meilleures d’entre elles avaient imaginé qu’elles seraient enfin aimées pour leurs qualités et qu’elles pourraient s’affranchir de la domination que l’argent et le pouvoir exerçait sur leurs propres désirs. L’expérience a mal tourné. Il leur a fallu des 100aines d’années pour imposer leurs valeurs à toute une civilisation mais en 50 ans d’expérimentations diverses et variées, l’histoire tourne désormais au cauchemar: le matriarcat auto-défensif est désormais incapable de gérer la masse de folles qu’il est en train de générer. Ces femmes qui ont engagé notre société dans un processus d’autodestruction collectif, ces féministes qui ont décidé de sacrifier toute la société occidentale à leur petit désir individuel, celles qui en majorité sont de plus en plus paumées dans un environnement où elles se sentent étrangères, ne renonceront pas facilement à leur folie. Mais celles-là mêmes qui sont nos femmes, nos soeurs, nos mères, nos filles, faudra-t-il nous résigner à les abandonner au sort pitoyable qu’elles se sont fabriqué parce qu’elles l’ont choisi ou qu’elles se laissent entraîner par les plus dérangées d’entre elles ? Certainement pas. Quand bien même, elles auraient décidé de cette folie, qu’elles désireraient malgré tout continuer en renonçant à la voie du couple, et que nous n’aurions pas les moyens de les arrêter, nous nous devons de nous opposer à ce suicide collectif. Nous le devons parce que nous sommes des hommes qui, en plus de protéger nos femmes et d’y trouver notre honneur, avons le courage de nous opposer à leurs pulsions de mort du moment qu’elles prennent des décisions suicidaires. Ces femmes échouées sur le rivage, autrement appelées féministes, qui tentent d’attirer le bateau du couple sur les récifs, nous nous devons de combattre leurs idées de toutes nos forces:
_ Contre la perte des identités sexuelles: nous éduquerons nos filles différemment de nos garçons, en apprenant pour les unes à cultiver leur féminité et pour les uns leur virilité.
_ Contre le lesbianisme: nous donnerons à nos enfants une image de pères courageux et volontaires quitte à nous opposer à nos compagnes.
_ Contre l’individualisme et à l’opposé des féministes: nous essaierons de faire passer le couple avant nos petits désirs.
_ Contre l’égalité hommes-femmes: nous serons galants et ne considérerons jamais en amour un homme égal à une femme.
_ Contre la mort du père: nous ferons valoir notre vision d’homme dans le couple, et en particulier en ce qui concerne l’éducation des enfants, terrain privilégié des hommes.
_ Contre la culture de mort: nous éviterons de mettre une femme en position d’avorter de nos enfants.
_ Contre la destruction des familles: nous aurons le plus grand mépris pour ces femmes qui suffisamment engrossées, évincent leur compagnon pour se servir de leurs enfants comme d’un faire-valoir.
_ Contre le suicide collectif actuel de notre société occidentale: nous nous battrons contre le féminisme.
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