Suite aux études menées par le professeur Baron-Cohen, il semblerait qu’une partie des individus ayant des centres d’intérêts masculins alors qu’ils seraient nés filles, et inversement, auraient un système endocrinien (testostérone) perturbé dans leur toute petite enfance, voire dans le ventre de leur mère.
Comme le professeur Baron-Cohen l’explique dans ce reportage, une trop grande production de testostérone chez les filles, les amèneraient à développer des centres d’intérêts masculins. Cette absence de testostérone développerait chez des garçons, des centres d’intérêts féminins.
Dès lors pourquoi ne pourrions pas imaginer des traitements pour les enfants ayant des perturbations endocriniennes et ceci afin de les guérir de leurs pulsions homosexuelles et leur donner un développement plus harmonieux ?
S’il est difficile de prévenir les maltraitances psychologiques de parents qui briment la sexualité de leur enfant, par contre, de simples tests sanguins permettraient de repérer les enfants à risque, et de leur donner un traitement efficace.
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