Pourquoi la france féminisée reste quand même un grand pays ?

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Celui qui observe notre pays peut s’en étonner. Nous sommes actuellement à la pointe en matière de féminisation, de dérives morales et sexuelles, d’annulation des pères dans les familles, de perméabilité et d’excuses envers les femmes les plus nulles qui soient. Et ce n’est pas la première fois dans l’histoire. Pourtant, à chaque fois, notre pays s’en sort, et redevient un grand pays. Il redevient viril. Comment ? Pourquoi ?

Dans ses mémoires Charles de Gaulle dénonce l’insupportable oscillation de la france entre « drame et médiocrité ». Nos grands hommes le comprennent. La france, un coq plastronnant sur un tas de fumier. L’image n’est pas si orgueilleuse que ça. Elle dénote du mécanisme qui nous anime en tant que peuple. Nous penchons vers la corruption généralisée, mais il y a en nous, la survivance d’une mémoire où les hommes régnaient pour le meilleur sur la société et où le pays était mieux administré. Cette glorieuse mémoire n’est pas attaquée pour rien par l’école de la république actuelle. Seulement, nos médiocres ont beau cherché à nous imposer leur histoire faussée de partout, il n’est pas si facile de la déloger des inconscients collectifs. Certainement ils la pourchasseront à l’intérieur même des esprits, dès qu’ils en auront les moyens. En attendant, ils échouent encore et toujours (go woke, go broke). Les gens du commun perçoivent toujours un comportement médiocre le cas échéant, quand bien même ils y participeraient.

Le peuple sait, sent, ce ce qui se passe actuellement, ce n’importe quoi, porté par une élite corrompue, qu’il légitime pourtant. Il attend la crise, patiemment, incapable de se révolter au milieu du confort ambiant. Cela est-il possible d’ailleurs ? Ne faut-il pas des conditions terribles, même créées artificiellement, pour édifier un peuple ? Lycurgue, le grand réformateur de sparte, le pensait. Notre histoire récente, depuis Brennus, nous le prouve encore. Les hommes n’arrivent pas à jouir d’un confort de vie absolu sans se féminiser, et donc, entrer en décadence. 

Autour de -390, la france n’est pas la france, mais elle est déjà un confetti de peuples tribaux, attirée par des chefs qui la guériraient de sa médiocrité. Précédemment la venue des Celtes procédait déjà de ce mécanisme, d’intégration/domination des peuples autochtones. Ce processus se répétera avec la venue de la minorité romaine, de la minorité catholique, de la minorité franc, et désormais de minorités venues du monde entier. La france est une femme aux cuisses ouvertes qui attend le viol pour paraphraser D de Villepin. Elle ne respecte que la force, tandis que ses hommes ne vivent que d’honneur. Lorsque les autochtones ne sont plus capables de la forcer, qu’ils sont devenus trop perméables à leurs femmes, elle se tourne vers l’étranger, et excite les jalousies, jusqu’à la crise, et l’inévitable grandeur qui s’en suit. Les Celtes l’ont donc fécondé virilement, et il est à penser que si nous pouvions remonter dans notre histoire plus en arrière, nous retrouverions déjà de tels phénomènes. L’assimilation de néandertal sur tout le territoire européen, a dû procéder de la même logique. Les populations néandertaliennes étaient déjà sur le déclin lorsque les populations cromagnon sont arrivées sur son territoire.

Mais ne croyons pas que l’image de l’homme viril se soit imposée dans notre inconscient depuis toujours. Elle s’est patiemment construite au cours de l’évolution comme le dénote E Todd dans son livre. Et cette évolution se poursuit encore de nos jours. Le tribal, à l’origine, n’est qu’un macho, une espèce de brute épaisse mal dégrossie, issue du pouvoir de ces femmes qui désirent le progrès. Vous en connaissez. C’est un invariant civilisationnel à la Gugulanna. Là où les Perses ont dépassé ce stade voilà plus de 5000 ans, en -390 en gaulle, nous en sommes toujours aux prémices de ce processus évolutif.

Pour être plus précis, nous suivons un parcours beaucoup plus violent que là-bas, mais qui alimente également notre progrès. Chez nous, les femmes réussissent à déstabiliser la société fortement, avant que les hommes n’apportent des réponses toutes aussi violentes, quand bien même ces hommes viendraient de l’étranger et seraient mohamétans par exemple. Toujours cette oscillation entre drame et médiocrité, et la grandeur qui en est issue comme d’une réponse miraculeuse lorsque le pays est en péril. A chaque fois, il y a eu miracle pour la france, ou plutôt, les peuples de france. La complexité nourrit le conflit, qui nourrit à chaque fois, des réponses plus adaptées, plus intelligentes, après la décadence, processus qui doit être commun à tous l’occident. Sinon, comment expliquer par exemple, que les populations blanches aient ensemencé le monde entier depuis la renaissance, alors que notre QI moyen était pourtant inférieur à celui des Asiatiques ?

Chez nous, les femmes tirent le QI alternativement vers le bas et vers le haut, vers la violence et la régression, tandis que les hommes autochtones ou étrangers tentent de s’adapter à ce comportement, ce qui produit des écarts fantastiques et des situations inédites qui peuvent seules expliquer notre domination intellectuelle, culturelle, scientifique ou même militaire, ces siècles derniers. Nous sommes violents et nous nous adaptons à nos femmes qui nous poussent constamment à lutter contre la régression qu’elles ont provoqué dans un mouvement hystérique. Prenons les usa. Ce pays n’est pas doté des individus les plus intelligents au monde, ni des plus civilisés. Mais ils les attirent à eux, ils les promeuvent, parce qu’ils aiment la force, parce que leurs femmes aiment la force et que le souvenir des premiers pionniers est encore inscrit en elles :

 

 

Comment des femmes hypergames pourraient-elles tirer le QI vers le bas, me direz-vous ? Même aux usa ? Réponse : toujours à cause de la force. En période de prospérité, les femmes sélectionnent les hommes les plus médiocres qui leur procurent une horrible sécurité. Elles oublient le respect qu’elles doivent aux hommes. A ce stade de réussite masculine, la force pour les femmes, c’est la médiocrité. Nous le voyons de nos jours. La civilisation féminisée fait alors baisser le QI. La plupart des hommes mariés sont gentils. Quand la crise de légitimité masculine progresse, ou que les femmes se lassent de leurs manipulations qui ont réussi, l’homme violent et macho est de nouveau promu, surtout s’il vient de l’étranger. L’immigration de masse est encouragée, jusqu’à la sodomie et la contamination par quelque maladie vénérienne, avec les pleurs qui s’en suivent. Ce pauvre homme venant de l’étranger n’avait pas les repères culturels, il faut le comprendre, pour contaminer plusieurs Ânne françaises.

Au milieu de ce foutoir, car il faut bien l’appeler ainsi, de grands hommes autochtones peuvent apparaître chez nous, ni machos, ni faibles. Mais si le pays n’est plus capable de les accepter en son sein, voire de les générer lorsque la décomposition est totale, des envahisseurs prennent la place vacante. Ces machos rééduquent alors les hommes autochtones dégénérés/féminisés, et les autres.

Un président de la république française comme V Giscard qui annonce durant son mandat que la france est un petit pays devant s’adapter à sa nouvelle place dans la monde moderne, acte le renoncement des hommes autochtones à leur grandeur. La perte de légitimité des hommes qui s’en suit est obligatoire. L’élite, déjà corrompue, car il fallait bien qu’elle le soit pour élire un tel homme, poursuit son ouvrage de destruction du pays au nom d’une promotion de nos petits conforts individuels. Les restes d’une civilisation passée n’y font rien. Ils retardent seulement l’inévitable chute et l’arrivée d’un pouvoir étranger, l’europe, les usa, les mohamétans en ce moment.

La france est-elle capable de générer ou de promouvoir de grands hommes actuellement ? C’est à en douter. Quand bien même, nous n’aimerions pas J M Le Pen, ses adversaires en dansant sur sa tombe, n’ont fait que souligner l’aura d’un tel homme. Or s’il vient de mourir, nous ne voyons pas de politique actuel lui arriver à la cheville. Retiré depuis 10 ans du sérail, son image pleine de défauts, s’impose pourtant, et souligne notre grande vide, même et surtout chez ses ennemis.

Récemment, durant la crise covidienne, nos plus grands scientifiques, reconnus dans le monde entier, ont été ostracisés par une population jalouse de leur force et de leur pouvoir de mâle blanc de plus de 50 ans, nouvelle dénomination moderne de notre jalousie. Le professeur Montagnier est mort sans hommage national. Le professeur Raoult a été ridiculisé par des insignifiants. Le communisme mental a fait des ravages :

 

 

C’est un invariant de l’histoire. La jalousie détruit les peuples lorsqu’ils se laissent aller à ce comportement. Seules les crises majeures rétablissent les grands hommes dans leurs fonctions quand leur peuple se laisse aller à de tels sentiments. Et c’est un progrès par rapport aux tribus qui ne peuvent même pas laisser place à de tels hommes. La liste historique des parias écartés pour leurs talents dans tout l’occident, est sans fin. Alcibiabe, Thémistocle, Churchill, De Gaulle pour ceux qui me viennent à l’esprit à l’instant. Je ne sais pas pour le reste du monde, mais chez nous, c’est une histoire sans fin. 

Juste avant d’être écarté, De Gaulle reconnaissait qu’il était absurde de donner ce choix au peuple. Etait-il si absurde de croire que ce peuple allait lui renouveler sa confiance à un âge si avancé et dans une telle situation politique ? Il nous signifiait par là qu’il faut une forme de foi pour aspirer à la grandeur. Ce sera sa leçon finale donnée aux Français, un legs spirituel, que ses successeurs mettront des décennies à détruire, tant ce personnage était au-dessus d’eux. Et pourtant, Dieu sait que je ne suis pas étatiste. Ou peut-être que les temps ont changé tout simplement, et que je me suis adapté comme ce grand homme n’aurait pas manqué de le faire.

Pour l’heure, la france va peiner à faire émerger de grands hommes. De Gaulle n’était qu’un héritier de notre ancien régime disparu depuis longtemps. Il était l’émanation d’une france catholique qui ne l’est plus. A son allure, il est facile de voir qu’il possédait des gènes néandertaliens, gènes qui sont en train de se diluer sous l’effet de la mixité raciale. Il était militaire d’un pays avec des restes guerriers. Tout cela n’existe plus. Minutieusement détruit par des barbares de l’intérieur. Seuls quelques réflexes paysans nous font encore tenir debout, et des machos venus de l’étranger, pour le pire et le meilleur. Reste encore la volonté indéfectible du croyant qui se révolte contre l’inévitable chute, qui pratique l’ascèse envers et contre ses concitoyens et qui ne se laisse pas déstabiliser par leurs critiques. Je suis de cette race. Et vous ? 

Notre histoire regorge de tels miracle de la foi, et alternativement, de chutes. Je l’ai déjà écrit, nous pouvons remonter vers -390 pour retrouver les premières traces de notre gloire. Brennus, chef d’un peuple populeux, qui a donc réussi à croître, s’en va du côté de la très future italie pour « exploiter » des terres qui ne le sont pas assez. Durant le siège d’une ville de la péninsule, un ambassadeur romain, au mépris de toutes les règles de la diplomatie passée, s’engage dans le combat et tue un Gaulois. Le forfait découvert, ces Celtes s’énervent, tant et si bien qu’ils décident de marcher sur Rome ! Ils laissent toutes les autres villes intactes et soumettent cette cité. Ils seront délogés par un autre paria masculin, Camille, que les Romains, la queue entre les jambes, supplieront de revenir après l’avoir ostracisé (comme tous les français auraient supplié le professeur Raoult à genoux si le covid avait été aussi létal que la peste). Si les Gaulois avaient poursuivi les Romains après le premier choc, ce n’est pas la gaule qui eut été romaine, mais rome qui eut été gauloise ! Ce souvenir mordra au sang les Romains durant des centaines d’années, nourrissant ainsi leur gloire future.

350 ans plus tard, les Gaulois ont quant à eux, cédé à la féminisation, comme le fait remarquer J César dans la guerre des gaules. Ils sont envahis, il écartent les cuisses et accueillent l’homme fort romain, de l’époque. Puis 400 ans plus tard, rome a déchu, la féminisation y est latente. Il est loin le temps où ces paysans pragmatiques, enlevaient les sabines. Or si rome n’en a pas compris toute l’importance, la chrétienté est déjà en train de la féconder en son sein. Cette religion patriarcale venue d’orient lui donnera de nombreux enfants. Alors que les Francs remplacent rome, et prennent le pouvoir dans ce qui va devenir la france, que les Gallo romains écartent une nouvelle fois les cuisses, des hommes religieux structurent la société en sous-main avant et après la chute, puis civilisent ces machos tribaux sans éducation. Ce sont les saint Hilaire, saint Martin, saint Benoît, saint Grégoire, et plus généralement tous les Evêques catholiques qui dominent encore la moitié dans grandes cités françaises autour de l’an mille. Les rois barbares peuvent bénéficier de la richesse des bons peuples de france et guerroyer à l’envie. L’Eglise fait le vrai boulot. Cette période se termine à la renaissance avec les chevaliers qui seront moqués pour leur image idéalisée de la femme, tiens tiens, qu’un Cervantes immortalisera avec son Don Quichotte. La fin du moyen-âge catholique avait vu les femmes commencer à s’imposer…

Je passe sur bien des fécondations intermédiaires, notamment celle des protestants, pour insister seulement sur celle des Normands qui fonderont l’angleterre moderne, rien que ça. A ce point qu’autour de 1400, le royaume de france sera menacé par ses propres descendants. Une femme rétablira un homme aux commandes. C’est Jeanne d’Arc. Car Dieu et les femmes ont leur rôle à jouer dans l’histoire de ce pays. Mais voilà que je m’emporte.

Cette recherche de l’homme fort continuera par la suite même si Charles VII, a priori, n’était pas fait pour incarner un tel rôle. La monarchie chutera à cause des salons de bonnes femmes et de tous ces poudrés qui n’étaient plus capables de faire preuve de la moindre virilité, se perdant en petites phrases piquantes. Le retour de bâton sera brutal. Le Corse saignera la france, lui redonnant de grands objectifs au passage, mais surtout, instituera le code civil en forme de limitation du pouvoir féminin dans la famille. La bourgeoisie de gauche en tirera sa force jusqu’à son progressif affaissement après la première guerre mondiale, les années folles et une nouvelle féminisation ambiante. Corruption, médiocrité, en quelques années la décadence fera son œuvre, et le général de Gaulle apparaîtra au milieu de ce tableau comme une énième intervention divine qui nous sauvera de justesse de nos très mauvais penchants. Notez combien ce gouvernement corrompu/raté/perdant/collabo du front populaire est de nos jours encensé par les nouveaux médiocres.

A notre époque moderne, la richesse a fait son œuvre. Surtout le confort, qui nous a plongé dans un état de décadence rapide et que nous n’avons jamais atteint. Alors que le nombre d’écoles n’avaient cessé de croître depuis que les religieux les avaient faites prospérer, alors que l’agriculture n’avait cessé de produire toujours plus et de nous nourrir toujours mieux depuis que les moines avaient défriché les terres d’europe, alors que les hôpitaux n’avaient pas cessé de mieux nous soigner depuis que les bonnes sœurs infirmières les avaient dirigés, alors que les familles n’avaient pas cessé de se structurer depuis que la théologie catholique les influençait en bien, désormais, la baisse du QI est acté, les petits français sont des les tréfonds des classements européens en mathématiques ou en langue, les agriculteurs sont réduits à la portion congrue dans un pays qui était le grenier de l’europe de l’ouest, nous sommes devenus stériles à force de « libération sexuelle » et nos hôpitaux ferment un à un, tout en ne pouvant plus accueillir ni soigner correctement les populations. Richesse = féminisation = socialisme = décadence. Nos femmes demandent toujours plus de sécurité au milieu d’un confort effrayant, précipitant ainsi notre chute et notre aliénation aux puissances étrangères. Impossible de les mettre à la raison, parce que les hommes actuels, vous comprenez, veulent les défendre les pauvres. Une bonne raclée ne leur serait pas inutile de temps en temps, quitte à provoquer quelques injustices à la marge. Oups, voilà que je ne suis pas très inclusif.

 

(Le commandement des pompiers de los angeles juste avant les immenses feux qui ont ravagé la ville. Excusez moé, ji mi souis trompé, les feus c’est à cause du richo ffe ment clime atique. )

Vous voyez en gros, comment un peuple féminisé comme le nôtre, peut toujours prétendre à la grandeur. Voire comment ce mouvement atteint pas mal de peuples en occident, sans toutefois qu’ils s’y adaptent de la même manière que nous. Notre pays lui, reste grand grâce aux mâles supérieurs formés en son sein quand ils sont acceptés par la masse, malheureusement trop souvent tolérés dans les périodes de crise, ou bien ils viennent de l’étranger et le fécondent en machos quand cette masse est devenue trop féminisée. Pour prospérer en évitant ce genre d’alternance chaotique entre machos et féminisés, il suffirait de confier aux hommes forts autochtones le destin de nos enfants, et de s’attacher à les éduquer, eux et la masse, au vol, au travail, au combat et à l’ascèse. De grands réformateurs ont changé le destin de leur peuple, à chaque fois que les dits peuples les ont accueillis, révérés, et leur ont demandé humblement pardon pour tout l’égoïsme dont ils avaient fait preuve. Ces hommes sont capables de les mener à la victoire, crise ou pas. Mais il faut leur en donner les moyens, ou bien, accepter que des barbares mal dégrossis s’imposent encore une fois de l’étranger chez nous, avant d’être civilisés après un long processus qui risque toujours de se terminer dans une effrayante féminisation totalitaire lorsque la majorité se laisse aller à la jalousie…

Notez ainsi que l’immense progrès accompli en occident par rapport au reste du monde, est essentiellement lié au christianisme qui a pourvu les peuples croyants de moyens efficaces pour lutter contre la jalousie. C’est l’affaiblissement de cette chrétienté qui nous met au niveau des autres peuples, et qui bientôt nous mettra tout en dessous si nous ne revenons pas au Christ et si nous ne revirilisons pas la chrétienté.  

2 réponses à “Pourquoi la france féminisée reste quand même un grand pays ?”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    "L’éloge posthume qu’aurait aimé prononcer Bruno Gollnisch conformément à la volonté de Jean-Marie Le Pen exprimée en public comme en privé" MPI du 16/01/2025.

    Ces femmes au RN ne respectent rien. Remarque, c'est un "patriarche" qui les a promues. Voilà sur quoi débouche le machisme. 


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    "Les femmes dans la société celtique : une place de choix révélée par l’archéologie" breizh du 18/01/2025.

    Donner en exemple des fins de race à jamais disparues car remplacées par des sociétés masculines plus puissantes…


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