Pourquoi le progressiste nous montre toujours des tarés en exemple

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Le taré soulage la conscience du progressiste qui peut se dire qu’il accepte les différences, tandis qu’en vérité, cela lui évite une bonne introspection. Le taré lui permet de se dire que « nous sommes tous pareils dans nos différences » mais ce « nous sommes tous pareils », il le confond avec « nous sommes tous différents », ce qui fait qu’à la fin, il ne distingue plus ni bien ni mal. Le progressiste a donc de grandes chances de devenir un taré, de propager la souffrance et de faire de ce monde un véritable cloaque.

TF1 janvier 2016 à une heure de grande écoute : Jean-Jacques est devenu Mathilde
TF1 janvier 2016 à une heure de grande écoute : Jean-Jacques est devenu Mathilde

Ainsi peut-on voir à la télévision, à une heure de grande écoute, alors que les enfants sont devant le grand écran, un homme ayant la prétention d’être femme, nous expliquer sa mutilation génitale avec tout le glamour que cela comporte quand on imagine l’action telle qu’elle a dû se pratiquer dans la réalité. Les enfants en pleine construction sexuelle et identitaire qui auront regardé cette séquence comprendront bien qu’il faut faire preuve de tolérance, si cela ne leur donne pas des cauchemars, et ne les rend pas toujours plus instables dans cette société maltraitante.

De toutes les manières si l’un de celui-là devient taré, il accédera au statut supérieur de victime, et les progressistes auront tout loisir de nourrir leur usine à malades avec son cas personnel. Une société malade qui se nourrit du nombre de malade qu’elle réussit à faire grandir, il fallait l’inventer. Le progressisme l’a fait.

 

La personne équilibrée est tarée pour le progressiste

Bien entendu, le taré va finir par être heureux si on le laisse faire, et seuls les réactionnaires fascistes, catholiques intégristes comme moi n’ont rien compris à la tolérance et à la charité chrétienne. La seule explication au plus grand nombre de suicides de tarés, ce n’est donc pas leur tare, c’est à cause des idiots qui ne comprennent pas le taré, et que sans eux, le monde serait plus tolérant, et qui y-aurait plus aucun malheur. Précédemment, le taré servait de bouc émissaire à la société progressiste (darwinisme), désormais la personne qui essaie de mettre des limites entre le bien et le mal, entre le normal et le pathologique, entre le permis et l’interdit, est devenu sa nouvelle cible. Cela ne l’empêche pas de continuer à exterminer en masse, certaines personnes qu’il juge improductives et qui sont pourtant des humains à part entière (personnes trisomiques, vieux abandonnés…) parce que leur richesse éclatante n’arrive pas à émouvoir son âme. oz

 

Quand il s’agit de ses opposants affirmés, il ne rechignerait pas à passer au stade supérieur, non plus seulement en se contentant d’organiser leur mort sociale. Mais ils sont encore trop nombreux et trop forts.  Avant, il faut les affaiblir jusqu’au moment où ils ne seront même plus capables d’auto-défense.

 

L’idéologie tarée : bientôt la tare pour tous

Progressivement, l’idéologie du taré gagne, et ce qui paraissait complètement taré au début, devient progressivement admis, jusqu’à ce que toutes les limites tombent. La dernière qui tient encore debout est celle de la pédophilie parce que les victimes de l’idéologie progressiste des années 60 ont fini par parler. Bien entendu, le progressiste essaie toujours d’accuser l’Église catholique pour se dédouaner de son immense responsabilité (Rue89). C’est faire peu de cas de la réalité :

pedophile eglise

A l’inverse en matière de zoophilie, de polygamie, d’homosexualité, et même d’inceste, le progressiste avance (1)

Le trouple à BFMTV, la dépénalisation de l’inceste, les débats sur la zoophilie, sans parler de toutes les vidéos sur le net qui justifient cette pratique et qui ne sont pas censurées malgré leur évidente illégalité et tandis qu’à mon simple niveau j’ai été censuré pour des propos qui ne sortaient pas du cadre légal…

Mon compte youtube a été clôturé en toute illégalité, par contre ce genre de vidéo circule toujours...
Mon compte youtube a été clôturé en toute illégalité, par contre ce genre de vidéo circule toujours…

 

Pour le taré, la vie se résume à un concept obscur : l’amour

Le progressiste se pose pourtant certaines questions. Il a aussi un cerveau. Par exemple il se demande parfois pourquoi l’homme et la chèvre n’auraient pas le droit de copuler s’ils s’aiment ? Et là, à l’avenir, je suppose qu’il faudra éclaircir le consentement de chacun pour éviter les viols, et certainement mener des procès contre celui des deux qui aura mis à mal la protection animale de l’autre. En attendant pour toute réponse à ses nombreux questionnements, le progressiste l’affirme : « c’est l’amour qui compte », amour qu’il confond avec les relations sexuelles. Nos pulsions nous mèneraient vers le bonheur. J’ai envie d’enculer un autre homme ? Réponse : c’est normal, c’est l’amour qui compte. J’ai envie de me constituer un harem ? Réponse : c’est normal, c’est l’amour qui compte. J’ai envie de me faire baiser par mon chien ? Réponse : c’est normal c’est l’amour qui compte. J’ai envie de tromper mon meilleur ami avec sa femme et de les faire divorcer ? Réponse : c’est normal c’est l’amour qui compte. J’ai envie de violer ma sœur ? Réponse : c’est normal, c’est l’amour qui compte. J’ai envie de me faire baiser par le chien de ma belle-mère tandis que j’enculerai son fils, et donc mon beau-frère, qui enculera sa sœur et ma mère ? Normal ! Car c’est l’amour qui compte. Qu’il doit être bon d’être progressiste et de pouvoir se dire que le monde n’est pas si complexe que cela, de ne pas voir tous les dégâts que ce genre d’enfermement produit.

 

Misère du progressiste et de ses tares

Car en libérant la sexualité, en fait, le progressiste l’a enfermée dans des pratiques étroites. Le taré libéré sexuellement, n’a pour autre alternative que de baiser ce qu’il a à côté de lui, son chien, sa sœur, une personne du même sexe que lui, et qui saura le rassurer. A l’occasion, il aura honte. Mais s’il éprouve de la culpabilité, ou s’il constate que sa vie est misérable, il pourra toujours se répéter une autre des phrases magiques du progressiste : « c’est à cause de la culpabilité judéo-chrétienne ».

Nano, Novégienne de 20 ans a découvert qu'en réalité, elle était un chat. Cela fait 4 ans qu'elle est toujours en liberté.
Nano, Novégienne de 20 ans a découvert qu’en réalité, elle était un chat. Cela fait 4 ans qu’elle est toujours en liberté.

Or contrairement au réactionnaire forcément judéo-chrétien, il restera inapte à aimer et à avoir des relations sexuelles avec une personne réellement différente et pleinement consentante, raison pour laquelle il jalousera celui qu’il critique. La jalousie se justifiant parce qu’elle existe, il restera bien enfermé dans ses raisonnements mortifères. Ainsi peut-on dire que l’idéologie progressiste est une fabrique à tarés tous plus malheureux les uns que les autres, et qui n’ont pour seul horizon que de baiser avec d’autres enfermés.

 

Les mots qui rendent tarés

Le progressiste ne malmène pas seulement la pensée, mais ce qui va avec : les mots. Il parle de libération là où l’aliénation moderne n’aura jamais été aussi grande. Il parle de tolérance quand il faudrait parler de maladie mentale et sociale. Il parle d’amour en lieu et place de relations sexuelles. Tout est bas chez le progressiste et de plus en plus bas, et entraînant tout le monde vers le bas, si bien qu’à la fin, la personne mentalement équilibrée en vient à se demander si ce n’est pas elle qui aurait un problème. Ainsi le progressiste est capable de rendre taré même quelqu’un qui était normal de prime abord. Une personne normale est d’ailleurs tarée pour lui. Il l’affuble de tous les qualificatifs que j’ai déjà décrit plus haut : catholique homophobe etc… et lui met donc une pression difficilement supportable. Car il est plus facile d’inviter tout le monde au laisser-aller, que d’encourager aux épreuves.

 

Difficultés à vivre dans un monde de tarés

Dans le monde progressiste, la personne saine ne trouvant plus d’aide, ni de repères, est faible, car elle n’est pas soutenue dans sa moralité. Il faudrait être saint, alors il lui arrive souvent d’abdiquer, de regarder de la pornographie, de se masturber, et bien pire encore. Parfois traumatisé dès l’enfance, il grandit handicapé et se débat dans les mensonges qui lui ont été transmis comme des évidences. Il croit qu’être taré est normal, et qu’il ne peut en être autrement. Les liens de l’abomination sont si forts, ou ont été enfoncé si profond en lui, et à un âge si précoce, qu’en effet, il faudrait un miracle pour qu’il puisse s’en sortir. D’où l’intérêt pour le progressiste de détruire la religion catholique, seule apte à lui faire comprendre qu’il peut se sortir de sa misère. Il se fait donc un devoir de la détruire de l’intérieur en lui faisant suivre le monde sur son chemin de perversité, et de l’extérieur, en l’attaquant à la moindre de ses imperfections. Il n’a rien de mieux à proposer, loin de là, mais qu’importe, le but est de détruire « l’autre » qui est un méchant, pas de se remettre en question.

 

Le progressiste, un inquisiteur sans règle

Enfin pour éviter d’être contredit, le progressiste persécute tous ceux qui dénoncent les comportements tarés (Raphael Zacharie de Izarra ). Il se justifie en se disant qu’il combat la haine et le mal, que le monde n’est pas devenu plus taré avant ou après son action. En vérité, il permet que tout le monde s’enfonce dans le mal sans n’avoir aucun recours pour pouvoir s’en sortir. Car si tout le monde a une tare, tout le monde a besoin d’être aidé par la société, pour progresser, pour dépasser ses tares, voire pour qu’elles lui soient interdites. Poursuivre la tare n’est pas forcément faire preuve de haine. C’est même parfois miséricorde. D’ailleurs une loi anti-tarés doit absolument être élaborée dans un esprit de miséricorde. Le progressiste n’est pas miséricordieux en permettant tout. Au contraire, il développe la souffrance sociale au nom de son combat contre l’hypocrisie. Les pauvres gens ont besoin de bons exemples qui s’amendent, et non de personnes qui se disent parfaites dans leurs péchés comme aujourd’hui, ou dans leurs qualités comme par le passé. Car le progressiste d’aujourd’hui qui se roule dans sa merde fait résonance au bourgeois d’hier qui se roulait dans sa vanité. Ce sont les mêmes. Ils sont seulement passés d’une extrémité à une autre. Ils font d’ailleurs partie des mêmes castes, ont tous une même origine sociale, un même vécu, et sont tous aussi ratés les uns que les autres. Le bobo d’aujourd’hui regarde le bourgeois d’hier avec horreur sans songer qu’il contemple son double.

La tare doit être dénoncée comme tare. Le taré ne doit plus être donné en exemple. Arrêtez de nous montrer dans vos médias pervers des tarés pour nous pervertir. Ce n’est pas bien.

179 réponses à “Pourquoi le progressiste nous montre toujours des tarés en exemple”


  1. Avatar de Léonidas Durandal

    « Le député Raphaël Gérard fait son coming out médiatique », 20minutes du 21/06/2018.

    Donc aujourd’hui, nous devons être au courant de combien de députés se font enculer et combien d’autres se font brouter le minou.

    Si nous ne sommes pas certains des chiffres, par contre, nous savons combien d’électeurs se font prendre par derrière, notamment grâce à ce genre d’article.


  2. Avatar de Léonidas Durandal

    « Ils veulent se suicider, ensemble », L’Express du 05/06/2018.

    Cet article me donne envie de leur tirer dessus moi-même. Florilège de phrases cultes pour être certain d’avoir bien raté sa vie et d’être passé à côté de l’essentiel :

    Ce couple suicidaire a bien quelques amis, mais pas d’enfants. Juste des frères et soeurs à qui ils pensent ne pas beaucoup manquer. De toute façon, « ce sont des salopards », grommelle l’homme en ramassant les miettes de son gâteau.

    …on a tout vu…

    -Expatriés de France jusqu’il y a un an, ils n’ont vécu que pour eux et n’ont rien fait pour leur pays. Le résultat : « Il pleut tout le temps, les hivers sont déprimants, ça pue la bouse »

    ils pensent ne plus rien avoir à faire sur cette planète qu’ils estiment à la dérive, si ce n’est alerter sur l’impossibilité de mourir dans des conditions « dignes ». (c’est certain, leur suicide va améliorer l’ambiance générale)

    On peut quand même choisir (profiter !)

    Ses parents ne souffraient pas d’une pathologie incurable lorsqu’ils se sont donné la mort… redoutant d’être une charge pour leurs enfants. La logique est exactement la même pour Margot et Claude (voir l’humain comme une charge !!!)

    Ils se disent simplement convertis au bouddhisme depuis plusieurs décennies (ceci expliquant cela)


  3. Avatar de Léonidas Durandal

    (Vidéo) « Sexe sans consentement – INFRAROUGE », 02/03/2018.

    Heureusement il y a le témoignage des garçons.
    Il faut dire aussi que quelques années plus tard, elles auront leur revanche, elles leur feront un enfant dans le dos, et ils seront violés les 25 prochaines années suivantes en devant payer des pensions alimentaires à une inconnue.


  4. Avatar de Léonidas Durandal

    « Dans leur vie (comme dans leur lit), ils n’ont eu qu’un partenaire », L’Obs du 04/04/2018.

    Si l’Obs se met à faire dans le réactionnaire, mais où va-t-on ?


    1. Avatar de immoral@enfer.org
      immoral@enfer.org

      Monsieur Léonidas,

      Cher Léo,

      Pour info : https://www.nouvelobs.com/rue89/notre-epoque/20180228.OBS2850/vous-n-aurez-rien-quand-les-peres-desheritent-leurs-enfants.html

      Intéressant le lien entre ce phénomène de déshériter ses enfants et les PA abusives ou séparations qui se sont mal passées pour le père.

      A priori immoral pour l’enfant…. mais à y réfléchir pas tant que ça dans une vision patriarcale. Si il n’y a plus de famille, mais une famille monoparentale pourquoi pas un mono-héritage….

      C’était mon point de vue immoral du jour.


        1. Avatar de immoral@enfer.org
          immoral@enfer.org

          A relire la parabole de l’enfant prodigue…. sous cet angle…


          1. Avatar de Léonidas Durandal

            Imaginez. avant le père avait le droit de reconnaître ou non l’enfant à la naissance. Tout dépendait de sa volonté. Aujourd’hui, il est désigné plus ou moins arbitrairement, il doit fermer sa gueule sil est maltraité etc…
            Si de nos jours, les pères pouvaient déshériter leurs enfants, ils le feraient massivement, comme d’un moyen de ne pas reconnaître ces enfants, qui en fait, leur ont été imposés pas des femmes toutes puissantes.
            Donnez nous votre opinion sur l’enfant prodigue, car je n’ai pas compris le raprochement que vous vouliez faire.


          2. Avatar de immoral@enfer.org
            immoral@enfer.org

            Voilà tant d’années que je te sers, et jamais je ne suis passé à côté d’un commandement de toi, et à moi, jamais tu n’as donné un chevreau pour qu’avec mes amis je festoie !

            L’héritage ou le comportement du fils ne sont pas importants.

            « Enfant, toi, tu es toujours avec moi, et tout ce qui est à moi est à toi. »

            Le déshéritage peut signifier, sans toi à mes coté je n’avais rien, et ce n’est pas parce que je ne te donne pas que je ne t’aime pas.

            En d’autres termes ces pères qui déshéritent peuvent faire là la preuve d’un très grand amour (paradoxal mais….. les paraboles sont à méditer).


          3. Avatar de Léonidas Durandal

            Je pense que ne pas vouloir être résumé à un portefeuille est certainement une preuve d’amour, mais qu’un enfant aura du mal à la comprendre.
            Je pense aussi que beaucoup de pères sont animés par un sentiment de revanche à cause de toutes les injustices qu’ils ont subi au cours de leur vie.
            Je me demande si tout est blanc ou tout est noir. Souvent la revanche se mêle à l’amour, et l’indifférence n’est-elle pas le pire des sentiments ?

            Votre explication sur le fils prodigue est intéressante. Ce fils qui maugréait dans son coin, son sentiment m’échappait un peu. Je n’avais pas pensé à le mettre en corrélation avec l’autre enfant, comme les deux faces d’une même pièce. La suite de votre raisonnement, c’est que le fils qui se départi de toute revendication et de toute velléité, est comblé, alors qu’il ne touchera jamais plus rien. Par contre, le fils qui est objectivement riche, se sent abandonné parce que l’inégalité de traitement l’horripile.
            Laura Smet doit être dans ce cas.


    2. Avatar de niblanc@ninoir.org
      niblanc@ninoir.org

      Monsieur Léonidas,
      Cher Léo,

      Rien n’est jamais blanc ou noir. Se serait trop simple. Je ne sais pas si le lien que vous avez mis dans votre réponse renvoi à un article autobiographique. Je dois dire que je ne l’avais pas lu est que c’est un magnifique texte. Il est dur et en même temps plein d’amour. J’eu aimé que mon père eut écrit un tel texte si il avait subi ce traitement. Ce père c’est battu. Il est digne.

      Beaucoup de pères confronté à ses problèmes sont dépassés et finissent par se noyer. Ils ne comprennent pas qu’ils sont en territoire ennemi et qu’ils boxent une main attaché dans le dos. Pour ceux qui résistent sans être informés, le KO est obligatoire, les autres perdront aux points.

      C’est un problème sociétal et un combat culturel a mener, à l’heure actuel les combats individuels sont risqués car déséquilibrés. Il est important que les pères les plus intelligents et habiles mènent ce combat pour les autres. Votre site participe de ce combat. Il diffuse des idées. D’autres s’en saisissent et diffusent à leur tour. ça bouge, la manosphère n’a jamais été aussi active. On verra ce que ça donne.

      Le combat des pères et plus généralement autour des politiques de la masculinité est un combat majeur. Il est systémique et civilisationnel et rejoint nombre de problématiques sociétales contemporaines. C’est donc un combat long et difficile. Nous pouvons aussi bien le gagner que le perdre. Je n’arrive pas à trancher, les paramètres et les inconnues sont trop nombreux. Faisons le pour les générations suivantes. Sinon qui ménera ce combat ?

      Les sociologues commencent seulement à conceptualiser le phénomène des « hommes en colères ». L’élection de trump est un premier avertissement (voir Mickael Kimmel pourtant gauche-proféministe). Comp. cette vidéo .

      Combien de points de PIB toutes ces familles nonoparentales (plus pauvres), ces pères désabusées qui refusent d’être productifs dans la plantation (e.g travailler pour PA), ces enfants à l’avenir définitivement changé. Combien en prestation sociales, en logement sociaux etc…. Personne ne parle jamais de ces coûts. Se sont pourtant entre 1,6 et 2 millions de familles concernées. Combien de suicides, de dépressions, pour ceux soumis au chantage de l’enfant préfèrent rester et se soumettre, combien de violences conjugales etc… Le coût social est énorme.

      Le droit des pères doit changer.

       


  5. Avatar de Léonidas Durandal

    « Le mouvement trans expliqué à vos parents qui regardent « Plus belle la vie » », L’Obs du 02/04/2018.

    En supprimant l’évidence de la masculinité et de la féminité, leurs raisonnements sont tellement brouillés qu’ils sont incapables de produire une pensée cohérente. La maladie mentale.


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