Merveilleux outil que celui d’internet qui permet de savoir les questions que les internautes se posent avant d’arriver sur votre blog. Entre les recherches philosophiques comme « homme qui se fait enc…. et qui leche une femme », et les questions plus existentielles du genre « fille grosse en short moulant », ou les traditionnels « petite pute, lesbienne attachée, vidéo de femme violée dans la rue et qui aime sa, histoire d’agression viol x gay » (j’ai laissé les erreurs d’orthographe), il arrive parfois qu’un(e) internaute me surprenne. Souvent, cette personne a trouvé la réponse en venant sur mon blog. Mais parfois comme ici, il me semble que son questionnement mériterait un article complet tant je n’y ai pas encore répondu précisément. A toi, internaute anonyme qui est arrivée sur mon site en te demandant
« pk les hommes détestent les femmes intelligentes »,
je t’adresse mon humble contribution.
Une femme intelligente est la chose du monde la plus détestable qui soit pour un homme car elle cumule toutes les tares. Mais la pire de toutes est qu’une femme intelligente est une femme qui se croit intelligente. En fait, c’est souvent une femme incapable de faire preuve de cet esprit propre aux femmes, cette espèce de mélange fait d’accueil fragile et de confiance. Elle semble ignorer que l’homme est là pour son corps. Elle veut entretenir une conversation logique d’égal à égal avec lui, tandis que l’homme la surpassera toujours en ce domaine. Quand elle persiste en croyant tenir la route, elle se dévalorise d’autant plus. Une femme intelligente est donc une femme ridicule au possible. Elle est souvent orgueilleuse et au moment où elle est persuadée que son intelligence peut lui servir dans la vie, elle ne sera qu’un poids pour sa famille. Car on sent bien, qu’entre son travail et sa famille, la femme intelligente, en particulier moderne, aura vite fait de choisir son camp, celui où elle se sentira le plus à l’aise et qui la fera briller. Et comme ce ne sera pas dans le cadre de relations humaines affectives et familiales, tous les hommes qui la côtoieront se poseront la question de devenir homosexuel avant d’entamer une relation avec l’une de celles-là. C’est la raison pour laquelle la femme intelligente restera plus souvent célibataire qu’une autre : les hommes à pulsions homosexuelles restant encore une minorité dans notre société.
La femme intelligente n’apporte rien à l’humanité.
Car la femme intelligente est surtout une handicapée des relations humaines. Elle cache sa blessure narcissique par des études poussées et refuse de prendre en compte sa réalité finie. Elle ne sait pas que la femme est par essence mortelle, et que son temps est compté, plus que celui d’un homme. Elle vit comme si son horloge biologique ne devait pas s’arrêter autour des 40 ans. Une femme qui poursuit ses études jusqu’à 25 ans, puis stabilise sa vie professionnelle vers les 35 ans et qui croit pouvoir ensuite construire un cadre familial stable comme elle a construit son plan de carrière, est une abrutie sans nom, une handicapée affective. Elle a fait passer la charrue avant les bœufs, et n’a pas investi dans les compétences qui aurait fait d’elle, une bonne épouse et mère. Elle ne sera d’ailleurs jamais l’une de celles-là, parce qu’elle ne sait pas comment faire. Elle est et sera toujours complètement paumée par rapport aux attentes d’un homme et/ou de sa famille.
La femme intelligente est un poids pour sa famille.
Tandis que l’homme aura besoin d’une personne capable d’abnégation pour accueillir les souffrances de chacun chez lui, pour adoucir la vie de son foyer, pour prendre soin de ses enfants, il pressent bien que la femme intelligente n’arrivera jamais à se réaliser dans ce cadre. Imaginez un peu celle qui commande toute la journée au bureau, et qui à la maison doit donner son corps, son temps, son attention aux autres pour qu’hommes et enfants vivent (ou même simplement naissent). C’est parfaitement contre nature et l’homme aura l’impression qu’elle ne remplit pas son rôle tout en le privant du sien. Voilà pourquoi hommes et femmes intelligents ne se rencontrent jamais dans la pratique. La femme intelligente se retrouve le plus souvent avec un déficient affectif, comme elle. Et c’est le mieux qu’elle puisse espérer. S’il est intelligent lui aussi, c’est le marasme assuré.
La femme intelligente vit au-dessus de ses moyens affectifs.
Seulement, en plus du reste, la femme intelligente a tendance à ne pas se prendre pour de la merde. Elle rêve du grand amour, d’un homme puissant, aussi bien socialement que physiquement, et qui saura la rassurer face à toutes les peurs qui sont les siennes. Le soir, seule, en voyage, loin de son appartement coquet de centre-ville plein de DVD de séries télévisées pour adolescents et de livres écrits par des pseudos intellectuels pour l’aider à trouver un sens à sa vie, elle rêve de former le couple idéal avec son prince charmant, viril, rencontré au hasard d’une aérogare et qui saura l’hypnotiser et lui faire la cours à l’ancienne. Personne ne lui a raconté de vrais contes traditionnels dans son enfance. Elle ne sait pas que les histoires de princes et de princesses sont parsemées de difficultés, de remises en questions personnelles, de symboliques sexuées et entremêlées. Elle ne sait pas que l’amour se décide autant qu’il se reçoit. Cette intelligence, elle ne l’a pas, car la femme intelligente a été méséduquée, souvent par abandon.
Les cas cliniques de femmes intelligentes.
Au mieux, elle deviendra thérapeute car dans ce cas, elle aura à cœur de soigner la blessure des autres, et en fait, de soigner inconsciemment la sienne et celle de sa famille. Si elle n’échoue pas.
Intellectuelle souvent minable, elle se masturbera la cervelle toute la journée en fac de sociologie en repensant les relations hommes-femmes tandis qu’elle reproduira sans le sentir tous les rapports sexués dont elle croyait pouvoir se départir. Dans le cas où elle n’entrerait pas en révolte, elle entretiendra sa dépression en accusant les conditions matérielles dans son métier de prof d’être la cause de l’échec de l’institution, et donc, de son propre échec. Car peu d’entre elles auront la chance de finir caissière dans cette société où l’hyperinflation de notre Etat bureaucratique donne de folles illusions à tous et à toutes.
Avocate, elle essaiera de sauver la demi-crevure qu’elle a eue comme père du regard de sa demi-crevure de mère, si elle ne devient pas comme sa mère. Animée par de bons sentiments, elle pourra être intérieurement attirée par les criminels de la pire espèce. Mais les femmes intelligentes avocates ne feront jamais mieux que les femmes ingénieures et commerciales.
La femme intelligente ingénieure sera une fausse matérialiste complètement inadaptée au monde qui s’apercevra plus ou moins tard qu’elle fait un boulot de merde en vendant de la merde. Contrairement à son collègue masculin, elle ne le supportera peut-être pas jusqu’à la retraite, et partira en vrille en fantasmant sur des brutes (le prototype étant le rugbyman telle qu’elle se l’imagine et non tel qu’il est dans la réalité) ou en devenant « artiste ».
Ingénieure dans l’industrie agroalimentaire avant
Ingénieure dans l’industrie agroalimentaire après
La femme intelligente commerciale (j’entends sortie d’une école de commerce) quant à elle, poursuivra des chimères et deviendra une arriviste ratée avant de se caser avec n’importe qui après une longue succession d’aventures creuses.
Sans parler de la chargée de com, publicitaire et autre, qui elle, sera toujours à la limite du lesbianisme et cherchera la domination dans ses relations amoureuses. Ne me demandez pas pourquoi, je n’ai pas d’explication précise sur ce point. Peut-être un surinvestissement maternel doublé d’un complexe de castration mal résolu.
Les signes de débilité profonde de la femme intelligente.
Un des signes de la profonde débilité d’une femme intelligente est qu’elle n’a pas senti jeune que toute la société lui mentait. Elle a cru que tout était possible dans le cadre d’une insertion professionnelle. Et tandis que les vraies bourgeoises n’ont jamais cessé de poursuivre le mari idéal dans leur milieu de riche dès le plus jeune âge, et qu’elles sont revenues rapidement au foyer après quelques expériences professionnelles formatrices en termes humains, la femme intelligente croit toujours pouvoir se hisser à leur niveau en travaillant de manière salariée. Une femme intelligente n’a pas encore senti que la société consumériste-féministe voulait l’exploiter en tant que sous-homme tout en l’entretenant dans ses chimères ambitieuses et en jouant de ses complexes (1), elle n’a pas senti en quoi les hommes la détesteraient pour toutes ces raisons, elle ne s’est même pas aperçue que son corps vieillissant rapidement ne ferait jamais d’ombre aux plus jeunes. Elle n’a non plus intégré qu’elle resterait d’autant plus bête qu’elle ne deviendrait jamais mère. Toutes ces raisons expliquent que la plupart des hommes préféreront presque toujours une handicapée mentale à une femme intelligente, et pourquoi les femmes soit-disant intelligentes finiront très souvent par se faire faire un gosse dans n’importe quelle condition.
Une femme intelligente ne devrait jamais avoir ni enfant, ni mari.
Finalement, une femme intelligente est une femme qui a peur d’être émue quand elle en a les moyens émotionnels. Elle croit aimer les hommes tandis qu’elle s’aime elle-même et il est souvent préférable qu’une femme intelligente reste seule et continue de se poser éternellement la question « Pourquoi les hommes détestent les femmes intelligentes ? ». Seulement dans son absence de conversion, elle se croit normale et en veut tout autant que les autres alors qu’elle n’est même pas capable de maîtriser ses pulsions sexuelles. Elle pourra donc en arriver à se faire féconder par le premier alcoolique venu qui voudra économiser une fois l’argent des putes avec elle.
Une femme réellement intelligente n’est pas une femme intelligente et surtout pas intellectuelle, mais une femme sensible.
Une femme sensible se défie de l’intelligence telle que la conçoivent les hommes. Elle travaille professionnellement à mi-temps pour privilégier sa famille, voire ne travaille pas du tout, ou devient fonctionnaire pour en foutre le moins possible, ce qui pose évidemment d’autres problèmes de type sociétaux. Dans tous les cas, la femme sensible a compris ses limites et ne cherche pas à les dépasser en entrant sur le terrain de son homme. Elle essaie de faire toujours mieux, avec les autres, dans sa famille mais se contre-fout de son métier. D’ailleurs, il fallait bien qu’elle finisse par faire plus ou moins bien, ce pour quoi elle n’avait aucun goût. A l’opposé, la femme intelligente, elle, n’ayant jamais su suivre ses aspirations profondes, s’enfermera dans la performance professionnelle et sera payée en retour par un ratage complet. La femme sensible s’est choisie un mari qu’elle respecte humainement, tandis que la femme intelligente a choisi un partenaire pour se rassurer en le contrôlant. La femme sensible si elle prend jamais un amant, personne n’en saura rien, tandis que la femme intelligente multiplie les aventures en revendiquant le droit de ne pas être prise pour une salope, ce qui n’arrivera jamais, bien entendu. La femme sensible reste avec son mari qui l’a trompée mais se fait reconquérir après, suite à un mépris qui durera toujours, tandis que la femme intelligente quitte son mari pour vivre des aventures sans lendemain. La femme sensible respecte son mari, alors même que c’est le pire des caves, parce qu’elle sait que destituer son homme se révélera toujours beaucoup plus catastrophique pour elle, ses enfants, sa famille que le fait de le soutenir en toutes circonstances. A l’inverse la femme intelligente ne respectera jamais que ses propres compétences et elle ne verra jamais que les défauts de son compagnon, quand bien même il serait le meilleur des hommes. Les femmes intelligentes pondent des femmes intelligentes qui seront encore pire qu’elles. La femme sensible, si elle tombe sur un mari valable, donne naissance à une génération heureuse qui comble la société.
Une femme sensible
Une femme ouverte.
Une femme intelligente
Une bourgeoise
La femme intelligente est une ratée qui doit apprendre à assumer sa faiblesse.
Pour toutes ces raisons, un homme qui se respecte fuira comme la peste les femmes intelligentes. Entre une bimbo et une femme intelligente, il préférera systématiquement la cruche. La femme intelligente si elle était si intelligente que ça, l’aurait d’ailleurs compris depuis longtemps et aurait essayé de faire des efforts en ce sens, afin de se délester de son excès de graisse morale. Mais elle préfère continuer à vivre dans l’horreur de son matérialisme. Elle est tout ce que notre société a de plus haïssable. Elle est un repoussoir au bonheur, une erreur de la nature, une catastrophe de l’esprit. La femme intelligente est inutile à notre monde mais elle n’en a pas conscience. Lui donner du pouvoir social, c’est risquer de faire sombrer toute la société. Le mieux qu’elle puisse devenir, c’est l’amante de son chef. Le mieux qu’elle puisse accomplir, c’est faire découcher un mari attentionné en jouant sur son temps de présence au bureau. Elle fait pitié plutôt qu’envie à l’image parfois d’une anorexique, et cette posture morale est bien le seul atout qui lui restera jamais pour appâter quelqu’un de sérieux, personne sérieuse qui s’en mordra les doigts le restant de son existence s’il cède à son désir de sauver ce résidu d’humanité. Autant la femme aux cuisses ouvertes suscitera son lot de passion avec tout ce qu’il engendre de mortifère, autant la femme intelligente ne sera même pas capable de ça. Elle est autant éloignée de la femme sensible et morale que notre soleil l’est du big bang. Sa seule et unique chance dans la vie pour se sauver de son destin cruel sera de me lire scrupuleusement et d’apprendre sa leçon par cœur. Ce faisant, lors de sa prochaine aventure sans lendemain, si elle est encore consommable, voilà ce que je lui conseille comme exercice : d’abord, se mettre aux pieds de son amant, la première raclure venue bien entendu, baisser la tête comme la chienne fidèle qu’elle rêverait d’être au plus profond d’elle, et lui lécher le bout des pieds en priant qu’il la guérisse de son orgueil. S’il lui met une bonne raclée par dessus le marché, qui sait, ça pourrait peut-être déboucher sur une relation sérieuse.
1 « Pourquoi les hommes aiment-ils les femmes qui réussissent ? », Marie-Claire de novembre 2012.
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