J’entends déjà les complotistes répondre qu’ils cherchent à détruire l’humanité parce qu’ils sont méchants, et qu’ils veulent la mort des gens.
Cependant, la vérité est autrement plus simple : le puissant est un crétin qui veut faire le bien de l’humanité. Et si son discours porte autant, c’est qu’il rencontre la bêtise et la faiblesse des populations dominées.
Quand à l’ONU, le puissant favorise la stérilisation des populations par la contraception, l’avortement, la scolarisation ou le travail des femmes, à aucun moment, il ne se dit qu’il va stériliser les populations. Il pense tout simplement que nous sommes trop nombreux sur terre, et que les populations sont incapables de se réguler elles-mêmes. Le pauvre pense-t-il, doit devenir riche, et si pour ce faire, il continue à avoir 10 enfants par femmes, il n’y arrivera pas. Il faut donc l’aider en lui donnant accès à la contraception, à l’avortement et en sortant les femmes de leur foyer par des études longues et une priorisation de l’insertion professionnelle. Lui, il sait comment devenir riche et heureux. La preuve, il l’est. Donc il veut absolument donner sa recette aux autres. Cependant, il est complètement à côté de la plaque en pensant que les populations ne vont pas se réguler naturellement. Et son intervention artificielle, loin de participer à l’équilibre de la planète, la dérégule complètement.
Prenons le cas de la France par exemple. Il lui a fallu presque mille ans pour doubler et passer de 20 à 40 millions d’habitants en 1950, tandis que la richesse faisait bien plus que décupler. Ainsi, malgré les progrès de la science et de l’hygiène, les peuples français ont su grandir de manière intelligente pourrait-on dire, en respectant les ressources disponibles. Ils ont su minorer leur développement démographique par rapport à leur développement économique.
Si après la guerre, la natalité a été forte, c’est parce qu’il fallait rattraper des années de retard, mais aussi parce que nos pays recevaient les fruits d’années de progrès technique et qu’ils pouvaient se développer. Loin de nous aider en favorisant les infanticides par avortement, ou la baisse du nombre d’enfants par femmes, le puissant de nos contrées a amplifié des mouvements de restriction qui n’avaient pas besoin de l’être. Très vite, d’ailleurs, en même temps qu’il favorisait la stérilisation des populations françaises de souche, il a fait appel à l’immigration en toute bonne conscience. Car les gens, loin d’être trop nombreux, lui manquaient ! Mais le riche ne s’est pas posé plus de question que cela. Faisant fi des erreurs du passé, il s’est dit qu’un pauvre de France valait bien un autre pauvre d’ailleurs, et qu’en important de nouveaux pauvres dans les pays riches, il faisait d’une pierre deux coups. Il permettrait aux pays pauvres de se délester de leur trop plein de population et de les faire entrer dans un système qui abaisserait leur niveau de fécondité. Il croyait aussi permettre à l’Occident de survivre. Seulement, les populations ne se remplacent pas comme cela. Et conséquence de ce raisonnement bête : les populations du tiers monde ne se sont pas régulées ; et nos populations de souche se sont stérilisées. Désormais, le riche doit cacher son échec complet en truquant les statistiques. Il y arrive de moins en moins bien, tant la réalité finit toujours par s’imposer.
Le riche veut faire le bien de l’humanité
Au 19ème siècle, il est de gauche, et colonise l’Afrique pour la civiliser, car il se croit supérieur. Il n’a plus besoin de la religion, bien entendu. Il apporte les progrès de la technique à des pays qui ne peuvent se l’approprier et crée ainsi des distorsions gigantesques dans leur natalité. Par la suite, alors qu’il a créé artificiellement une augmentation de population dans ces régions, il cherche à les stériliser comme il a fait en Occident. Et comme il sait très bien qu’il est responsable de la situation, il veut aussi accueillir toute la misère du monde sur son territoire. C’est une idée complètement absurde, mais comme il est riche, il se croit tout puissant, et à l’égal de Dieu. Et au lieu de se mêler de ses affaires, il détruit le système qui a permis à quelques pauvres de s’en sortir chez nous. Dans ce cadre, le féminisme est au croisement de la propagande des riches et des complexes féminins. Cette idéologie agit comme un amplificateur des mécanismes de contrôle de population par les riches et de domination des femmes sur les hommes.
Un riche souvent sous emprise féministe
Par définition, le riche est souvent une personne avide qui a consacré sa vie à accumuler de l’argent. Cela lui donne une psychologie bien particulière. Les freudiens diraient qu’il a plus de chance d’en être resté à un stade oral, d’être sous l’emprise de sa maman et de fait, d’être complètement immature. Mais comme il a des chances d’être aussi très narcissique, il a du mal à s’en apercevoir. Regardez un Georges Soros par exemple, parangon du féminisme. Vous avez ici l’archétype du riche qui finance la destruction des populations en soutenant les femmes sous des prétextes pour le moins absurdes : une liberté qui nous asservit, une égalité qui consacre la domination des femmes, la libre circulation des biens, des gens et des marchandises en toutes circonstances, synonyme d’un monde de cuisses ouvertes au tout venant qui ne profite qu’à quelques mâles alpha et à leurs femelles. A l’inverse, nous n’avons jamais vu un riche financer l’antiféminisme. J’en sais quelque chose. Pourtant n’est-il pas censé être le représentant de la « domination hétéro-patriarcale » ? Or les puissants de l’ONU sont pléthore à défendre le féminisme, tous comme les milliardaires, tout comme les hommes politiques. Cela ne peut se comprendre qu’en intégrant ce en quoi les féministes et les puissants agissent en fonction d’une carence affective qui se font écho, les uns en se donnant bonne conscience, les autres exerçant leur narcissisme.
La féministe veut faire le bien des femmes
La crétinerie du riche rencontre à un niveau individuel, le narcissisme et les complexes de femmes malades. Ces féministes puisqu’il s’agit d’elles, veulent défendre « leurs droits ». Elles justifient cette guerre d’intérêt en se positionnant en tant que victimes, sinon, elles apparaîtraient pour ce qu’elles sont : complices des riches et des puissants. Leur profil psychologique bien particulier a déjà été étudié par d’autres. Dans l’ensemble disons qu’elles souffrent de complexes d’infériorité et qu’elles ne sont capables de voir le monde qu’à leur avantage, c’est à dire de dénoncer tout ce qui ne leur convient pas, sans prendre en compte ce qui leur revient déjà, ou ce dont les autres souffrent s’ils sont hommes. Cette incapacité à voir le monde de manière globale, et pourtant à vouloir faire de la politique, s’appelle féminisme. Ainsi, une féministe est toujours plus bête que le puissant qu’elle défend quand il est homme parce que ce dernier à au moins la capacité de voir le monde de manière générale. Difficile de faire comprendre à ces femmes des raisonnements qui les dépassent parce qu’elles ne jugent que par le rapport de force qu’elles peuvent imposer au monde. Souvent chez elles, la religion n’existe pas, sauf comme moyen de pression, car la vérité n’existe pas, et qu’elles voient le monde avec la même avidité que le riche trop proche de sa maman le voit. Ces deux là sont les deux faces d’une même pièce, souvent aussi perturbés l’un que l’autre. Ils sont nés l’un de l’autre, comme la maladie se transmet au corps sain.
Bref aperçu de la maladie féministe
Dans sa bêtise, la féministe est capable de mettre en œuvre son intelligence de femme. Ainsi, réussit-elle à se faire passer pour victime alors que ses congénères finissent moins à la rue, ont été particulièrement protégées par la société en tous temps, moins exposées aux guerres, favorisées à l’école, bénéficiaires de la manne financière de la société, et désormais même moins au chômage que les hommes dans de nombreux pays occidentaux ! (surtout en période de crise).
La liberté individuelle, c’est son intérêt, sinon elle exige que l’État intervienne. Pour reprendre l’exemple des infanticides par avortement, elle ne peut pas y voir un moyen de stériliser les populations ou une forme de crime à un niveau individuel. Non, pour elle, il s’agit seulement d’exercer une forme de pouvoir personnel. Tout comme le puissant pense à tout vouloir diriger dans le monde, la féministe pense à tout vouloir diriger dans l’intimité des gens, pour le bien de tous. Mais dans son raisonnement, les autres n’existent pas. Les autres c’est l’enfer. Pour le puissant, les voir se multiplier l’angoisse. Pour la féministe, l’autre (l’homme) est une atteinte à sa liberté.
Culpabiliser les hommes des pays riches
Dans ce combat, la clef de voûte, c’est de bien contrôler les hommes des pays riches. Pour ce faire, ils doivent avoir honte d’eux, de leur civilisation, d’être plus riches que les hommes des autres pays. Ainsi la féministe doit-elle empêcher toute solidarité de sexe entre les hommes, en favorisant la mixité à l’école, la confusion des « genres » dans la loi, par un discours les délégitimant en tant qu’hommes, en tant que pères auprès de leurs enfants, devant la justice etc. Au même moment, elle joue la solidarité à fond entre femmes. Elle sert alors de relais à un niveau personnel de la maladie de quelques puissants. Ceux-là déplacent les populations comme des pions sur un échiquier, et se libèrent de l’influence de leurs compatriotes, tandis que la féministe est ordonnatrice dans l’intimité des couples. Dans ce cadre, la démocratie est doublement soumise au pouvoir majoritaire des électrices et aux puissances d’argent qui la réseautent. La propagande sur la stérilisation des populations et l’accueil des clandestins, est relayé dans la société par le discours féministe sur l’avortement et l’obligation d’humanité envers les « immigrés », jusqu’à accepter ou favoriser l’agression sexuelle de certaines femmes. De toutes les manières, le féminisme n’est-il pas depuis toujours un appel au viol ? Que des hommes les désirent, les réjouit intérieurement, tout simplement. Cela les rassure sur leur subordination aux femmes, car un homme qui fera passer son désir de femme avant les affaires du monde, leur sera toujours soumis. C’est une des conditions pour régner, qui explique la « libération » sexuelle. Cette dernière n’a pourtant été qu’une aliénation pour les hommes, avant d’atteindre les femmes.
La libération sexuelle, une aliénation
Le rapport du riche à la libération sexuelle est clair. Cela lui permet de vivre son immaturité aux yeux de tous. De plus, en engageant les pauvres à jouir, il limite ainsi leur reproduction. En jouant sur leurs plus bas instincts, il retarde l’âge du mariage et du premier enfant, détruit les engagements, incite à la désunion des couples. D’ailleurs, les lois qui facilitent le divorce, ou les tromperies, ou qui reculent l’âge de la majorité sexuelle tout en favorisant l’hypersexualisation des enfants et en avançant la majorité légale, sont plébiscitées par les féministes, tout cela au nom de la défense du droit des femmes bien entendu. Le riche, lui, ne se dit pas qu’il détruit la société, mais qu’au contraire, il donne toujours plus de pouvoir à l’individu, pour son propre bien, pour le sien en fait.
La liberté individuelle sans limite c’est le retour au droit du plus fort
Les peuples ont toujours été plus religieux que leurs élites pour une bonne raison. La religion est toujours venue interférer dans le pouvoir des puissants pour le limiter. Pas étonnant que le peuple ait été plutôt catholique et les princes commerçants plutôt protestants. Pas étonnant que les massacres de la saint Barthélémy aient été autrement plus terribles dans la population que parmi les élites. Pas étonnant encore que la chasse aux sorcières ait été organisée par des villageois et qu’elle ait été limitée par l’inquisition. La pauvreté ne veut pas dire vérité non plus… par contre la richesse facilite l’ensauvagement, et il est logique que cette chasse aux sorcières ait fait un plus grand nombre de morts parmi les populations qui doutaient déjà de la foi catholique.
Aujourd’hui, la richesse s’est diffusée, et avec elle, sa cohorte de morts liée à la religion individualiste. Au nom du bien des peuples, la stérilisation de l’Occident est actée. Notre remplacement par des populations venues de n’importe où, encouragée, tandis que l’intégration n’est plus possible, ceci risquant de mettre en faillite ce même système individualiste. La religion catholique n’est plus qu’un lointain souvenir. Elle qui a fait naître le concept même de conscience individuelle, empêcherait l’individu de s’épanouir…
Pourtant, collectivement, nous ne devrions pas laisser l’individualisme agir comme une manière d’asservir le peuple. Il est facile d’isoler l’individu d’une société, d’en faire appel à sa liberté individuelle, et en même temps d’agir comme s’il était trop bête pour décider de son sort en agitant la propagande. L’individualisme a aujourd’hui privé l’individu de l’exercice de sa liberté. Il ne la retrouvera que dans la religion qui par définition, fait lien entre les gens. Notre Eglise catholique a trop favorisé l’individualisme en se dissolvant elle-même dans la modernité. Elle est en partie responsable de ces débordements, et l’urgence pour elle, est de réfléchir sur ces questions de manière responsable, ceci afin de limiter le chaos.
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