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« Christine Le Bozec (Les femmes et la Révolution) : « Aucune volonté de militantisme féministe mais un travail d’historienne » » Breizh du 07/04/2019.
Jolie forme de révisionnisme historique expliquant la société passée par un individualisme et une revendication par sexe. Elle appelle cela un travail d’historienne, mais elle n’est qu’une propagandiste comme les autres, qui de surcroît, l’ignore. Le niveau de la recherche en France…
Vous avez été traumatisé par Docteur Queen femme médecin c’est ça?
Sans rire, vous n’imaginez pas ce que certaines femmes rejetées et qui n’assument pas leurs désirs, sont capables de mettre en oeuvre. Nombre de fausses accusations viennent de là par exemple. Tenez, regardez en ce moment Jhonny Depp. Si ce n’est pas un harcèlement violent qu’il subit, faudra qu’on m’explique. Quant à docteur Goueen, c’est pour les filles.
oh que si j’imagine parfaitement vous savez moi aussi je connais les femmes par cœur (sans prétention) et j’en suis une donc imaginé ma bipolarité…
Manuela, si vous connaissez les femmes par cœur, vous savez qu’une femme sur deux est harcelée au travail par une autre femme. Une peste sur deux en fait. Ça fait beaucoup !
Je vais vous dire, pour l’instant elles surfent encore sur le désir d’un masculin bien tolérant et compréhensif exclusivement en fonction de ce sentiment. Il s’estompe et la lucidité va leur revenir. Ce ne sera pas la première fois dans l’histoire.
J’aimais beaucoup ce qu’incarnait du féminin cette femme qu’est le Dr Queen. J’ai un grand respect pour cet « homme acteur » qu’est Johnny Deep qui ne s’est jamais commis dans des films scabreux ou salaces, et je n’ai aucun mal à comprendre que sa compagne actuelle (a laquelle il a eu la sagesse de ne pas s’attacher par les liens d’un piège/mariage financier) est une vraie salope.
En fait je reste persuadée qu’une féministe est avant tout une femme qui envie les femmes qui ne lui ressemble pas, qui ne pense pas comme elle, et elle reproche aux hommes d’aimer ces femmes, d’être attaché au mythe de la femme au foyer etc… Nous avons un très bon exemple avec l’humoriste Florence Foresti qui d’ailleurs le dit elle-même dans un sketch sur « les filles douées pour la vie à deux » qu’elles fait passer pour des cruches, elle avoue être jalouse de ces femmes.
Oui vous avez raison le masculin est bien tolérant mais quand un « macho » point de vue de M. Soral est dans les parages elles font moins les malignes, en fait les femmes détestent les hommes féminisés sauf les cinglées et encore elles arrivent à reprocher à leurs mari de ne pas avoir de virilité, alors qu’elles les ont justement choisit pour cette raison… c’est pour dire à quel point elles sont folles. J’ai un homme dans mon entourage qui est célibataire et ses parents très âgés sont un peu frustrés de ne pas avoir de descendance, un jour sa mère me dit : c’est dommage qu’il n’ai pas trouvé de femme parce qu’il aurait rendu heureuse, il sait cuisiner, faire le ménage… ah ah sans commentaire.
J’aime aussi le personnage du docteur Queen parce qu’elle comprend que c’est difficile de concilier vie de famille et carrière professionnelle, par contre je n’aime pas le personnage de Sully. On ne peut pas être carriériste à deux surtout quand on fait le choix d’avoir des enfants, j’ai vu trop d’enfants de ces femmes carriéristes ou égoïstes très malheureux. Les femmes entre elles c’est comme des poules dans une basse-cour sans coq… c’est réalité, et pour finir Johnny Depp que j’apprécie également, ne s’attendait pas à « ils vécurent heureux jusqu’à la fin des temps » j’espère parce qu’avec ce genre de nana faut vraiment être désespéré!
L’égalité des sexes est une occurrence de la culture hors-sol! Elle est malheureusement une réalité dans la société du spectacle. Là est la nuance qui entraine la dichotomie du sexué en une valeur refuge ( pot de fleur) qui se miroite intrinsèquement en une concurrence fratricide. Jeu de miroir… La culture hors-sol, politisation de la communauté de l’être en société de l’avoir, mime la pérennité de l’être par des apports d’artifices ( engrais culturels) sans disposer de la capacité de reproduire les influences subséquentes au socle vivant commun qu’est le sol. Ainsi, dans cette culture hors-sol, la lutte pour la domination est juste verticale! C’est le soleil qui est recherché et lui uniquement. Ca va monter, monter, monter, répandre ombre, étouffer les plus lents et petits, et retomber comme une longue merde molle. Puis, plus tard, bouffée par les vers et mise à mal par les collembolas de la sous-culture de classe mécaniste, la culture hors-sol, société du spectacle, retournera au spectacle de la société humique. Pouarf!!! C’est écrit dans l’eau des rivières à qui sait la lire.
Il est inutile d’avancer que l’homme et la femme ne sont pas égaux dans la société du spectacle! Cela ne tient pas la route…Enfin…L’autoroute…De l’auto-engendrement culturel hors-sol… Dans la société de l’avoir bien sûr que l’homme et la femme sont égaux! Il n’y a pas de guerres au sang dans les supermarchés, pas de ronces pour atteindre l’agneau égarée, pas d’ ôgres et pas de sangsues dans les waters! Pas de loups que des caniches abricots, pas de chevaux à atteler et à ferrer de nouveau rien que des citrono pipo! bip bip! » Oui maman attends!! Connard!!! lance-t-elle en direction du routier maladroit, « oui maman?.. ». La justesse est partout, bien civilisée, je donne ma pièce servilement en évitant la chasse éreintante sans abîmer souliers.
« Le pouvoir joue aux échecs et le peuple aux dames » dixit le vent . Reste à déterminer si cette vision est le réel du milieu cosmique ou la réalité de la société du spectacle, fétichiste de sa marchandise. La critique à ce niveau devient difficile: est-ce une analyse marxiste ou marxienne??? Dois-je m’énoncer ses maux en y prenant partie ou m’y tenant au dehors…
Le vent souffle dehors. Pourtant il ne sert à rien ici. Sifflements…
« Après avoir croquer dans une pomme, mieux vaut voir un ver entier que la moitié d’un ver » Charles Ingalls.
Renée : « Les femmes quivivent en grande difficulté au sein de la famille »… Peut être ne faudrait-il pas en rajouter accréditant une posture victimaire dans laquelle elles se complaisent ; s’en servant pour condamner un masculin stigmatisé systématiquement violent à leur égard. A ma connaisssance, pour ne se servir que de cet indicateur, sur les 4,4 millions du veuvage en France, 3,7 millions sont des veuves… Le rôle des femmes reste sans doute à faire, mais il ne semble guère dissociable dans sa pratique, sur le plan économique, du secteur tertiaire. Sur le plan sociétal, le secteur tertiaire est l’équivalent de ce que fut la Domus dans laquelle elle avait tout pouvoir de gestion. Pour ce qui est de la création, de l’innovation comme de la production, l’égalité comme la parité restent de l’ordre du fantasme. Sauf à réclamer une équivalence dans les organes de décision au seul motif de l’égalité des sexes, cette absurdité. Egalité des droits, no problem !
Il existe un site très intéressant appelé « Angry Harry » qui a publié une étude sur la catastrophique croisade des femmes menée par Aliénor d’Aquitaine. On y voit, encore une fois, que les bonnes intentions pavent souvent le chemin de l’enfer. Ce proverbe est valable pour les 2 sexes, mais je crois que l’approche émotionnelle des femmes et leur influence sur les hommes ont des conséquences graves sur la société, surtout quand elles interdisent toute critique, comme c’est le cas actuellement. Cela fut le cas à toutes les époques et peut-être faut-il y voir l’explication de la pomme tendue à Eve par le Serpent et ses conséquences gravissimes. Il est absolument nécessaire d’étudier toutes les manifestations successives de la mainmise sociale des femmes, leurs conséquences et le processus de mise en oeuvre.
Et surtout arriver à les distinguer des phénomènes non sexués.
Disons qu’il ne faut pas trop généraliser mon propos ici. J’ai voulu simplement démontrer quel avait été le rôle catastrophique des femmes concernant la prohibition.
Mais c’est vrai que je crois que l’histoire du rôle des femmes reste à faire. Je crois aussi que même les sociétés traditionnelles ont souffert de certaines velléités de la part des femmes, à toutes époques. C’est mon hypothèse de travail. Maintenant qu’on me démontre l’inverse. J’attends avec impatience en fait, le débat. J’ai des arguments et toutes mes recherches concordent.
Cher Léonidas,Autant je vous suis sans difficulté sur les résultats catastrophiques de la prohibition, autant je suis en désaccord sur le tôle des femmes.Les femmes -qui vivent les grandes difficultés au sein de la famille- ont lutté pour le « progrès » humain au cours de siècles. Cette lutte pour le progrès n’a rien à voir avec les folles de notre époque : ne mettons pas face à face la « lutte contre l’alcoolisme » et « osez le clitoris »; ou les militantes US du XIXème et les Caroline (Fourest, Haas), Femens et autres.Un dernier mot, le PROGRESSISME est un fantasme prométhéen (et masculin) sans rapport avec le combat pragmatique de femmes du siècle dernier. Evidemment, le progressisme fascine aujourd’hui les femmes autant que les mâles : cela résulte tout naturellement de l’égalité effective des mœurs, quel que soit le sexe !
Combat pragmatique des femmes du XIXe siècle?
Je viens de voir une vidéo qui nuance cette affirmation:
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