(Psychologie de femme) Pourquoi des mères encouragent les abus sexuels sur leurs enfants

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Il y a peu, j’ai croisé une femme sur mon chemin qui m’a invité à abuser d’elle. Je ne vous dirai pas comment, ni en quelles circonstances, mais cette invitation m’est restée en mémoire. En y réfléchissant plus profondément, je me suis rappelé que ce n’était pas la première fois. En fait, je n’avais jamais pris au sérieux ce genre de proposition, raison pour laquelle je n’en avais jamais fait grand cas dans mes articles. Mais un énième fait divers m’a éclairé.

Le fait divers

Une mère prend comme nouveau compagnon un demeuré à 45 de QI et pendant qu’il viole son garçon de 4 ans, celle-ci le maintient fermement par les poignets. Les scènes de viol se seraient répétées durant plus de 3 ans. Devant la gravité des faits, les jurés ont décidé de condamner la mère à une peine de prison du double de l’homme, 12 ans. La position de victime adoptée par la mère n’a pas tenu, surtout face à l’horreur d’un comportement dévoilé aux yeux et aux vues de tous.

Evidemment, peu de femmes en arrivent à de telles extrémités. Mais il existe un sadisme tout féminin qui peut conduire à un tel comportement et qui est volontairement ignoré par notre société misandre. Et celui-ci est très répandu. Je vais expliquer pourquoi et comment.

Cette violence, vous pouvez la voir au travers de faits divers qui nous sont rapportés régulièrement, comme dans l’affaire de la petite Fiona. Une mère folle, quitte son compagnon. Les enfants lui sont confiés car sinon selon la juge, elle irait plus mal encore. Puis cette mère passe d’hommes en hommes jusqu’à trouver celui qui martyrisera sa progéniture. Le plus souvent les enfants sont battus, maltraités, et à la marge, ils sont tués et violés. L’immense majorité des cas passe inaperçue, car ce sont les services sociaux qui s’en occupent et qui n’en font pas la publicité.

En sus, il y a toute cette maltraitance du quotidien qui elle, n’est jamais remise en cause, par aucune institution, en particulier parmi les familles insérées socialement. Dans ces cas là, la violence s’exerce de manière indirecte par une mère sadique qui dirige la violence de son compagnon, et plus rarement de son mari, contre ses enfants, mais juste ce qu’il faut pour que cette violence reste uniquement psychologique et ne marque pas la peau des petits.

En soi, ce genre de comportement n’est pas logique. Cette femme dépend socialement de ses enfants. Elle risque de perdre son statut social d’assistée, d’être dénigrée par la société si elle ne joue pas les mères courage. Il faudra donc en conclure que si de nombreuses femmes se permettent d’agir ainsi, c’est parce qu’elles savent qu’elles seront prises très rarement la main dans le sac, et/ou que de nombreux comportements déviants leur sont tolérés. Dans une société comme la nôtre, si vous pouvez divorcer après avoir martyrisé votre mari en passant pour une sainte, obtenir la résidence principale des enfants, voire exclusive, alors que vous êtes objectivement reconnue comme perturbée psychiquement, et à l’extrême tuer votre mari tout en en étant glorifiée, c’est que la société est prête à excuser tous vos comportements de psychopathe.

En rendant les mères irresponsables, notre société encourage la maladie. Pour autant, cela n’explique pas d’où vient ce comportement de femme et pourquoi cette forme de violence est si ancrée chez elles.

Ici comme ailleurs, faire face à la réalité, c’est s’extraire de tout réflexe féministe. Ces femmes jouissent d’un grand pouvoir, totalitaire, que personne ne semble pouvoir arrêter. Il ne peut s’exercer qu’à cette condition. Mais cette latitude ne peut expliquer pourquoi certaines femmes sombrent tandis que d’autres se maintiennent à l’intérieur des limites du raisonnable.

 

Parcours abusif 

L’enfant pour la mère est celui qui la réalise mais aussi celui qui la contraint. Si une femme est sans limite, notamment parce qu’elle ne respecte pas les hommes de son entourage, elle percevra son enfant comme la raison de son malheur ou son entière raison de vivre. Cette ambivalence la plongera dans les affres d’une affection incestueuse ou d’un sadisme sans borne à l’égard de sa progéniture. Des fois, elle passera alternativement de l’un à l’autre.

En parallèle son partenaire sera vécu comme la condition de sa libération de son statut de mère, ou comme celui qui la privera de ses enfants.

Instable, et passant d’hommes en hommes, elle sera parfois effrayée de sa propre inconstance et de l’abîme de possibilités qui sera le sien. Elle choisira alors de se garantir la fidélité de son homme par l’abus. 

 

De la normalité à l’abus

Dans un parcours normal, pas mal de femmes sélectionnent leur partenaire en lui demandant de réussir des épreuves. Grâce à celles-ci, le prétendant pourra prouver, non pas sa force comme l’imaginent beaucoup d’hommes, mais la force de son amour.

Les hommes aigris s’expliquent que les femmes les quittent à cause d’une hypergamie qui serait souvent liée à des questions matérielles. C’est plaquer un raisonnement d’hommes sur des femmes.

Les hommes qui divorcent d’une femme le font parce qu’ils ont trouvé une nouvelle partenaire (souvent plus jeune). L’inverse est beaucoup moins vrai comme le prouvent les dernières statistiques en la matière : les femmes ne reprennent pas nécessairement un partenaire après un divorce, en tous cas beaucoup moins que les hommes. Dans le cas le plus crucial qui soit, le divorce, il n’y a donc aucune hypergamie : une femme ne se sépare pas d’un homme en général parce qu’elle en a trouvé un de mieux.

Nul  besoin de vaincre pour une femme. La notion de force lui est étrangère, si elle n’est pas mise à son service. La force pour une femme, c’est de se montrer capable de surmonter toutes ses peurs par amour pour elle. Si tel n’était pas le cas, si les femmes n’avaient pas une tendance prononcée à ne voir que par l’amour, voilà d’ailleurs quel est leur vrai défaut, il y aurait une polygamie généralisée qui remporterait un franc succès depuis toujours, car elle serait constituée d’une alliance entre les mâles les plus puissants et toutes les femelles de la société. Or la tendance polygame semble ne s’être mise en place qu’avec l’effet conjugué du développement de l’agriculture et la prise de conscience du rôle de l’homme dans la procréation, il y a 10 000 ans.  Et encore, celle-ci a été battue en brèche, rapidement, notamment grâce au christianisme, et à l’influence des femmes (et d’une majorité d’hommes du bas peuple) qui ont réintroduit la question de l’amour dans les alliances procréatives. Le concept d’hypergamie tel qu’il s’est développé dans la manosphère en provenance du monde anglo-saxon est donc pour moi une erreur. Elle devrait se corréler avec une forme de polygamie. Or ce sont plutôt les femmes qui ont été le fer de lance de la monogamie en Occident. Et des mâles dominants qui la réintroduisent avec des mères toutes puissantes de pays pauvres. 

Beaucoup d’hommes de la manosphère plaquent leur vision de l’amour sur les femmes alors qu’ils envisagent le couple en termes d’alliance. Ils feraient mieux de prendre du temps pour essayer de comprendre pourquoi les femmes cherchent l’amour jusqu’à la bêtise, comment une femme peut donner son coeur au vaincu et son cul au vainqueur, sans que ce genre de comportement ne soit seulement une aspiration française. Ne voir la femme que par le pot au feu qui l’agite, est une triste réduction. Il y a aussi une rose qui sommeille en son âme. Cette ambivalence n’est contradictoire que pour un homme.

La plupart des femmes sont attirées par l’argent d’un homme, comme nous aimons les courbes d’une femme. Cela ne veut pas pour autant dire que nous nous marierons avec la première pétasse venue. Au contraire, cette belle femme qui se donne, nous fait peur, et nous la méprisons. Eh bien dîtes vous qu’il en est de même pour les femmes avec les hommes riches. Ils les attirent. Mais elles les méprisent plus que d’autres, justement parce que personne n’a envie d’être réduit à un/une prostituée.

Cela me rappelle ce pauvre type qui avait gagné au loto et qui s’était retrouvé tout seul avec les cadeaux qu’il voulait faire à sa femme. Avoir beaucoup d’argent ne résoudra aucun de vos problèmes existentiels, et en particulier, aucun de vos problèmes de couples. 

Les tournois de chevalerie de l’ancien temps remplissaient un rôle de sélection normal parmi l’élite. Les hommes croyaient y montrer leur force. Les femmes cherchaient à y déceler de la valeur. Quiproquo ancien. Aujourd’hui, ce tournois existe toujours à travers les rendez-vous, les manipulations (« shit test » disent par exemple les anglo-saxons) et autres méthodes de sélection que les femmes font passer aux hommes. Ici, le prétendant doit montrer qu’il a les qualités requises, le dépassement étant l’une de celles-là, pour emporter le coeur de la belle (plus souvent son cul de nos jours).

Mais plus que toutes ces contorsions, un homme qui désirera une femme, finira par trouver les moyens de la convaincre. Telle est la vraie ardeur à laquelle peu de femmes résistent. Ainsi les épreuves peuvent-elles être longues pour certains et bien courtes en d’autres circonstances selon les sentiments qui animent l’homme et qu’immanquablement, une femme perçoit.

Un homme imperméable devra montrer qu’il est porté par de hautes valeurs, tandis qu’un homme amoureux et complètement soumis passera l’épreuve sans ambages. Une femme doit nécessairement admirer l’homme dont elle partage le quotidien. L’amour ou les qualités intrinsèques d’un individu peuvent y pourvoir, cette seconde option étant de nature a faire durer le couple plus longtemps que la passion seule (si tant est que l’amour ne puisse être de temps en temps en Occident une reconnaissance de qualités évidentes). 

La pute et le cochon. Personne n’a envie de finir comme ça.

La manière sexualisée que les femmes ont actuellement de traiter la rencontre cachent leur aspiration de toujours à l’amour. Et cette manière vénale d’acquérir de nombreuses femmes à la suite, ne peut satisfaire aucun homme, si ce n’est quelques animaux de l’élite. La multiplication des partenaires sexuels apparaît de nos jours pour les hommes, et pour les femmes, comme une manière de s’exclure de la vie, de la reproduction. Mais ceci est une autre histoire. 

Plus difficiles à rassurer, certaines femmes demandent à l’homme qu’elles ont choisi de tout plaquer pour elles. L’exemple de cet ancien professeur d’université qui a été « dragué » par une de ses anciennes élèves et qui a dû quitter son travail pour vivre son amour, n’est pas rare, et est assez éloquent (« Corée du sud, la tournée de l’oncle Jo »). Dans l’affaire Bérenger Brouns, sa maîtresse qu’il a assassiné lui avait formulé une demande similaire, à laquelle il a signifié une fin de non recevoir… Quitter la femme de votre vie pour une maîtresse. Quitter vos enfants pour cette dernière. Abandonner votre patrie, un travail rémunérateur. Ce qui vous tient le plus à coeur en général. Tous ces sacrifices et bien d’autres encore, sont le seul moyen de rassurer certaines femmes perdues et perclues d’un romantisme sensé les sauver de leurs fragilités. Bien entendu, ces fragilités se retrouveront plus tard, et le sacrifice de l’homme ne suffira peut-être pas.

Approchons-nous encore du centre de la nébuleuse de la maladie féminine. Dans les cas les plus extrêmes, la femme malade sélectionnera son partenaire afin de pouvoir exercer un contrôle sans faille sur lui. L’amour est une forme de contrôle pour la femme. Toutes ces lois sur le mariage ou la jurisprudence concernant les séparations, lui permettent d’exercer un contrôle sur l’homme. Mais je ne veux pas parler ici du contrôle habituel que les femmes tentent d’exercer sur les hommes par l’intermédiaire des lois, mais d’une volonté psychologique poussée à son paroxysme. 

Or comment s’attacher quelqu’un au mieux, sinon en en faisant le complice d’un de ses crimes, ou mieux, en l’incitant à devenir un criminel et en apparaissant à ses yeux comme la simple complice de ses actes.

Quand une femme vous propose d’abuser d’elle, et pire, si elle vous propose d’abuser d’un de ses enfants, c’est pour vous attacher. Elle sera alors sûre d’une loyauté qui se terminera pour vous en prison si vous n’y souscrivez pas.

Nombreuses sont les femmes battues qui agissent ainsi dans notre société. Battant votre femme, vous vous mettrez en position d’être sanctionné par la loi, en particulier si vous décidez de quitter cette femme. En position d’être haï aussi, par vos voisins, par vos enfants, par votre entourage, par votre compagne même. Votre partenaire prendra ainsi de l’ascendant sur vous. Ceci explique pourquoi une extrême minorité de femmes battues porte plainte contre leur compagnon. Loin de vouloir se séparer de leurs hommes, se faire battre est un moyen de les attacher, et accessoirement de sentir son totalitarisme féminin contrebalancé par un pouvoir masculin. Dans les couples violents, c’est l’homme qui devrait être le plus souvent écarté des agissements de sa femme. Dans notre société, c’est lui qui est stigmatisé.

Cette forme de manipulation se développera aussi dans une société particulièrement libérale, raison pour laquelle de l’aveu même des féministes, les violences conjugales augmentent dans notre société, tandis que le divorce n’a jamais été autant facilité. Car la permissivité légale quant aux séparations insécurise les plus fragiles qui, en réaction, se protègent par des moyens déloyaux au niveau personnel.

Le plus terrible sera de voir les féministes militer en même temps pour faciliter les divorces, et en même temps contre les violences conjugales, sachant que l’un alimentera souvent l’autre. Car loin de la contenir, la précarisation des unions augmentera la violence dans les couples qui seront incertains d’avoir à composer toute une vie avec l’autre.

A noter qu’il ne faut pas croire que ces séparations se déroulant sans violences physiques seront meilleures. Leur contrepartie sera l’inceste maternel des femmes sur leurs enfants, femmes à jamais prisonnières de leur progéniture, et donc distantes de leur père, dans le cas où elles auront choisi ou provoqué cette séparation.

Heureusement, le vécu de ces couples malades n’arrive pas toujours jusqu’à la rubrique des faits divers. Il n’imprime pas moins des tendances à la maltraitance qui se retrouvent dans ces unions bancales, la volonté totalitaire de la mère ou de l’épouse écrasant un père institutionnellement affaibli (et souvent moralement faible).

Là encore, le travail des féministes pour dénigrer les hommes sous couvert de défendre le droit des femmes, multiplie les conséquences néfastes d’une impunité complète. Les femmes devenues totalitaires sombrent dans la folie. Les hommes écrasés s’épanouissent rarement.

 

Résumé d’un cas assez banal

Au début, une femme faible qui veut des enfants, offre souvent à un homme un cadeau empoisonné qui renforcera son attachement. Qui de jouer à la maman dans les débuts, qui de jouer à la partenaire sexuelle ouverte, qui de jouer à la femme dominatrice, qui de jouer à la femme fragile, qui de jouer à l’enfant, ou encore à la progressiste prête à accueillir toute la misère du monde.

Si le respect ferme de son homme n’est pas ancré en elle, quand elle sera installée, elle exigera que « ses » besoins soient satisfaits . Les règles du jeu changeront alors dans son couple, sans que l’homme ne comprenne pourquoi. S’en suivra disputes, rupture et un abîme où les enfants serviront à cette femme de monnaie d’échange, devant le juge, face au père, dans sa famille, pour obtenir une situation sociale avantageuse.

Si elle est peu encline à l’inceste, si elle désire vivre libre, elle cherchera un nouveau compagnon. Mais dévaluée sur le marché de la rencontre, vieille avec enfants, elle aura aussi la tentation d’avoir recours à des moyens déloyaux pour stabiliser sa nouvelle union. Passer sur tous les désideratas de son nouveau compagnon violent sera une option pour elle, en particulier si elle a peur de sa propre inconstance. En faire un délinquant en sera une autre encore meilleure. Cela dépendra de la propension de ce dernier à rentrer dans une telle combine.

Evidemment, cette femme ne remettra jamais en cause le travail médiatique des féministes qui la fera passer pour une sainte innocente. Ainsi d’un côté les féministes couvriront les pires criminelles de nos temps modernes, de l’autre ces criminelles jouiront de l’impunité offerte par les féministes. Et cerise sur le gâteau, plus une femme sera malade, plus elle aura des enfants féministes qui allongeront le cortège des revendications ubuesques et totalitaires dans notre société. Car sans père, les petits garçons ne pourront se construire une identité stable. Quant aux filles, elles chercheront longtemps à s’affronter à la réalité sans comprendre la nature de leurs échecs.

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