Au moins, les antifas, ils se rallient au féminisme ouvertement. Comme les hystériques qu’ils défendent, le féminisme c’est bien, le patriarcat, c’est mal. Pas beaucoup de réflexion, cela évite les trop longues lignes. Dans le clan nationaliste, c’est plus compliqué. Le natio voudrait bien convertir la gauchiste. Car il en a besoin pour reconstruire le pays. Autant l’antifa vit intellectuellement sur l’image d’une mère à défendre. Autant le natio prospère sur l’idée de cheptel. Si la femme recevait ses lumières, elle comprendrait que son intérêt, c’est aussi le sien. Un pays fort, ce serait plus d’argent pour elles, de pouvoir, de reconnaissance. En s’y prenant bien, il réussira à les mettre de son côté. Et pour les convaincre, il essaie d’éveiller leurs peurs. Il joue les protecteurs. Par exemple, pour lui, les femmes fragiles auraient besoin de son aide pour se protéger des méchants immigrés. Lui, il sera toujours là, implacable chevalier maman pour protéger la veuve et l’orphelin. S’il est à la justice, il sanctionnera. S’il arrive au pouvoir, les policiers seront intraitables avec les bougnoules et les négros. S’il a en charge les frontières, rien ne passera, et il foutra les immigrés dehors. En fait, il est à côté de la plaque pour plusieurs raisons.
Une majorité de femmes a cautionné l’immigrationisme
Beaucoup de femmes ont compris que l’immigration, c’était de petits esclaves pour le mondialisme en place. Plus dépendantes du système, en haut de la hiérarchie sociale, elles ont encore intérêt à ce que la machine continue à tourner comme elle tourne, comme aujourd’hui les vieux soixante huitards. Avec d’autres, ils forment une majorité écrasante en France, son ventre mou. Si pour la plupart de ces femmes, les questions de politique générale les dépassent, par contre, elles sentent très bien de quel côté balance le pouvoir. Elles voient tous les jours la culture nationale se déliter, la faiblesse du Français moyen face à tous ces mouvements, sa servilité qui est devenue maladive. Elles sont donc une majorité à refuser de miser un kopeck sur le cheval perdant du héros nationaliste. Elles attendent l’effondrement, au pire, duquel elles sortiront toujours en meilleure position que les hommes, ces idiots qui croient les dominer.
Les femmes demandent de la force
Les féministes n’arrêtent pas de dire aux hommes qu’elles ne veulent plus de machos. Mais il y a une catégorie d’hommes qui n’a pas encore compris et ce sont les natios. Ils croient encore que le machisme est attrayant, que l’homme proche de sa maman ou déçu, saura combler une femme moderne. Or la femme moderne est généralement une harpie à la limite de l’hystérie. Elle n’en a que faire des machos. Pire, ils la dégoûtent. Ces hommes psychologiquement faibles, prêts à leur trouver tout un tas d’excuses à la moindre occasion, prêts donc à encourager leur hystérie, elles savent qu’ils ne leur apporteront rien. Elles préfèrent encore la carpette antifa qu’elles pourront contrôler à ce genre d’olibrius mué par des règles d’handicapé affectif.
Les femmes savent quand on les prend pour des connes
Jouer sur les peurs des femmes pour arriver à ses fins, pourquoi pas, mais aussi maladroitement, cela laisse pantois. Comme si les femmes ne les voyaient pas venir avec leurs gros sabots. Quand une féministe, une gauchiste, se fait violer dans un camp d’immigré, ils pensent avoir partie gagnée. Il faut les voir commenter les articles sur le sujet sur leurs comptes personnels en croyant que c’est dans la poche, parce qu’en plus, la fille qui est morte était jolie ce qui est émouvant. Et puis, ils sont toujours surpris de la réaction des militantes qui selon eux, devraient se sentir les premières concernées. Elles excusent leur bourreau, elles continuent à militer, elles ne portent pas plainte.
Une fois, deux fois, trois fois, le natio s’entête. Elles vont comprendre. Mais seulement, c’est lui qui est trop sensible et qui ne comprend rien. Les femmes se sont intoxiquées gravement le corps avec des pilules contraceptives pour pouvoir dominer les hommes, elles ont autorisé les infanticides dans leur ventre simplement pour contrôler leurs couples, elles ont sacrifié la vie affective de leurs enfants au nom de leur insertion sociale, mais là, elles hésiteraient pour le viol de quelques unes d’entre elles ? Voilà qui est d’une naïveté. A la rigueur, les personnes âgées reculeront, mais certainement pas elles. Au contraire, elles persisteront en signifiant une fin de non recevoir à tous les hommes qui croiront les manipuler ainsi. Elles voudront préserver leur pouvoir dans la société tout en accueillant leurs nouveaux petits esclaves. Et si elles ne réussissent pas à canaliser leur désir, il y aura toujours des millions d’imbéciles antifas ou natios pour vouloir les déresponsabiliser. Elles peuvent déjà compter sur leur allégeance.
Quelques exemples
- La vidéo du lapin taquin illustre parfaitement cette démarche. Sur celle-ci, une fémen veut rembarrer un « jeune de l’immigration » qui tente de la draguer. Elle sait qu’elle peut abuser pour deux raisons : elle est en train de filmer, la police n’est pas loin. Quant au Marocain, il ne parle pas le même langage de soumis que la plupart des féminisés de France. Le clash est donc inévitable (compte youtube censuré; il devrait republier la vidéo sur son nouveau compte youtube puisqu’il croit encore à ce genre de système; en attendant, elle est disponible sur Facebook)
Le lapin taquin et le gentil policier natio viendront à la rescousse des manipulatrices qui ne méritaient pas plus de respect que ces deux malpolis. Il est d’ailleurs étonnant de constater comment ces deux attitudes reflètent une même volonté de domination sur l’autre sexe.
- Au Parti de la France composé d’ex-membres du Front National, il y a plein d’hommes qui veulent retrouver leur pays d’avant. Pour cela, ils sont prêts à excuser toutes les réactions de femmes qui légitimeraient leur démarche. Une de celles-là jette à terre un pauvre type bourré, SDF, puis le roue de coups à la tête sans explication, le blesse gravement, mais c’est très bien. Cette pauvre femme a voulu se défendre de l’immigration. Un des articles le plus partagé du blog de Thomas Joly à plus de 2300 fois montre que l’abus des femmes, légitimé en toutes circonstances au nom du manque de sécurité, a de l’avenir devant lui, quitte à bouleverser le rôle traditionnel dévolu à chaque sexe. Les femmes natios qui ont probablement contribué à relayer l’article, veulent qu’un chèque en blanc leur soit donné contre les hommes quoiqu’elles puissent faire. A mon, avis, elles abusent déjà beaucoup trop de leurs prérogatives dans notre société, raison qui nous a mené au chaos qui est le nôtre.
- Dans cet article de Suavelos, site pro-européen dans le style natio, l’auteur accuse les hommes français de ne plus désirer les femmes françaises, d’être lâches en somme, et de se trouver des excuses pour ne pas les aborder. Il faudrait baiser avant le mariage, avoir de multiples expériences pour être expérimenté avec elles, et mieux s’en sortir. Comme si nombre d’entre nous, nous n’avions pas déjà essayé. Comme si l’échec de la famille en France, était toujours de la faute des hommes. L’envers de cette attitude, c’est la fuite prônée par Daniel Conversano, également auteur sur ce blog. Les femmes françaises seraient irrécupérables, il faudrait aller voir des femmes qui seraient encore des femmes :
Disons-le clairement, entre une attitude de rejet compréhensible de femmes paumées et endosser entièrement toute la culpabilité en cas d’échec, il y a peut-être une autre voix, celle d’un antiféminisme exigeant avec nos femmes ?
Sans soulèvement des hommes, la fuite ou l’excès de confiance naïf ne seront jamais que des solutions ponctuelles.
- Enfin, dernier exemple avec Alain Soral qui après avoir connu l’affaire la plus compromettante de sa vie de dissident, vient d’en excuser la principale actrice : Binti. La fille l’aurait contacté, ils auraient entretenu une relation épistolaire, puis elle aurait vendu une photo de lui nu au lobby sioniste avec la complicité de deux escrocs. Elle aurait également porté plainte pour harcèlement parce que déçue amoureusement (je résume). Une femme éconduite, telle serait l’explication. Il ne faudrait pas s’acharner sur elle selon Alain Soral.
Or, cette victime née, est surtout une ancienne convoyeuse de drogue, qui l’a faussement accusé et dont il ne pourra jamais savoir si elle ne le manipulait pas depuis le début. De plus, elle était la seule et unique personne dont il savait pertinemment qu’elle était coupable. Sans elle, il n’y aurait jamais eu d’affaire. Par esprit chevaleresque, il a voulu l’excuser. A mon avis, si nous tapions très fort sur ce genre de criminelles, en commun, quand il nous en était donné l’occasion, ce signal agirait sur toutes les autres. Nous leur rendrions même service, en nous rendant service.
Le macho essaye d’échapper à l’idée que des femmes puissent être machiavéliques, surtout si cela ne porte pas trop à conséquence. Il tente de dominer la situation. Pourtant, jamais sans cette femme, il n’aurait été mis gravement en danger. Or celle-ci a pu compter sur la culpabilité qu’elle avait su faire naître chez Alain Soral pour qu’il l’épargne. Personnellement, je n’excuserai plus jamais une femme qui joue sur mes faiblesses. Car cette attitude peut avoir de graves conséquences, beaucoup plus graves qu’ici, comme lorsqu’un père est répudié devant un tribunal. Si chaque natio voulait du bien à ce pays, il devrait y penser au moment où il a envie d’excuser une femme individuellement, par une faiblesse qu’il chérit.
Notre faiblesse actuelle d’hommes français est trop flagrante. Elle se voit de partout et les femmes la sentent bien. Nous n’avons pas à choisir entre puérilité et machisme. La troisième voie est celle de l’antiféminisme, d’hommes assurés de leur masculinité et vigilants face au pouvoir des femmes.
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