Dans les milieux masculinistes américains mgtow, l’accès au sexe auprès de multiples partenaires est étudié sous toutes ses coutures. Les attirances de femmes y sont décortiquées et esquissent le portrait d’êtres qui seraient excités par l’argent, la violence, le mâle blanc puissant, maintenant ignorantes de leur horloge biologique, promptes à se jeter dans les bras du meilleur parti venu, puis à le trahir pour un autre. Pour ces hommes, le sexe et l’inconscient féminin semblent être l’alpha et l’oméga des relations hommes femmes modernes. Les femmes répondraient à des impératifs matérialistes de reproduction, théorie de l’hypergamie assise sur une explication biologico-darwinienne du monde.
Or, modernité ou pas, l’humanité se reproduit tout à l’inverse de ce genre de considérations. Les humains qui ont de multiples partenaires sexuels ont moins d’enfants que la moyenne. Chez les femmes, la multiplication des partenaires les confine à la stérilité biologique, leur corps étant programmé pour accepter préférentiellement la reproduction avec un partenaire régulier, à cause de questions immunitaires notamment. L’expérience de pas mal de couples le confirme. Nombre de femmes doivent « s’habituer » au corps de leur mari avant de pouvoir tomber enceintes, des fois plusieurs mois après le premier rapport sexuel. Sans même parler de questions psychologiques qui semblent surdéterminer cette question immunitaire.
L’homme qui a accès aux femmes sexuellement parlant, ce fameux mâle alpha maître du troupeau, ou cet oméga au-dessus de la masse, ne survivra pas forcément, dans le sens où il n’aura pas de descendance. Dès lors comment expliquer une telle contradiction dans les explications que notre société matérialiste se donne concernant l’évolution des espèces ? Car la théorie animaliste plaquée à l’être humain ne fonctionne plus du tout ici. A ce point que les pays les plus riches, et les individus les plus riches et les plus puissants de ces sociétés, semblent être devenus proprement stériles jusqu’au remplacement par des immigrés venus de pays pauvres. Comment expliquer qu’une théorie qui énonce à tout va « que le plus fort survit » ait généré des individus forts comme jamais, une société forte comme jamais, et cependant incapable de se reproduire ? Ici, loin de survivre, le plus fort semble être éliminé impitoyablement. Ou plutôt, comme je vais le développer, le plus fort selon des critères strictement matérialistes, s’élimine de lui-même parce qu’il se donne une explication matérialiste du monde.
Mais revenons à nos hommes américains perdus et qui cherchent à relativiser leur rapport aux femmes. Leur obsession du sexe, et leur vision même des rapports hommes femmes, en dit long sur leur stérilité. Si par miracle, ils finissent par comprendre que l’accès au sexe n’améliorera en rien leur rapport aux femmes, ils ne voient plus que par leurs échecs et les raisons matérialistes qui les ont conduit à cet échec, objectives il est vrai. Ils ne tournent pas leur regard vers les couples qui survivent, eux, ou sur ce qu’ils sont et d’où ils viennent pour pouvoir s’améliorer. Dans leur idéal, s’améliorer signifie devenir une sorte de monstre froid, pour coller aux attentes de ces dames, car ce sont encore les femmes et ce qu’ils supposent d’elles, qui définit la manière dont ils devraient agir, jusqu’à abandonner l’idée de former couple puisque les femmes sont ceci ou cela.
Comme je l’ai déjà évoqué, ils viennent d’une société qui idéalise le matérialisme, qui assimile la vie à la réussite matérielle, raisonnement animal s’il en est. Tout dans la société leur dit « Trouve un bon métier, devient un bon citoyen et le reste suivra ». Or voilà que rien ne suit. Ce type a un bon métier, c’est un bon gars et il ne trouve pas de partenaire stable. Dès lors, doit-il trouver des explications à cet échec, et ceci afin de tenter de survivre, de redevenir fécond. Eduqué comme tel, son premier réflexe va être de se tourner vers une explication matérialiste du monde qu’il a héritée de ses ancêtres. « Si j’ai échoué, je le dois à ces femmes qui sont vénales, qui sont allées voir ailleurs, ou qui n’ont pas été à la hauteur de mes attentes, qui sont déréglées à cause de leur hypergamie, à cause de la société, à cause de leur héritage biologique et inconscient. » Ainsi, ne va-t-il pas s’apercevoir qu’en raisonnant ainsi son matérialisme se regardera en miroir avec celui de ces femmes, qu’il aura choisi cette femme vénale ou insignifiante sur des critères matérialistes qui devaient nécessairement le faire échouer. Puis il observera son entourage, et il constatera qu’il n’est pas le seul. Il en conclura que ses théories sont valides, sans imaginer une seule seconde que tout le troupeau a commis la même erreur.
Si hommes et femmes pratiquent ce matérialisme, la responsabilité de l’échec social est à imputer aux hommes. Les hommes et les femmes pourraient s’accuser sans fin. Les uns finiraient par porter un doigt accusateur en direction de leurs mères en leur disant : « Vous nous avez donné un mauvais exemple. Vous êtes responsable de ma situation« . Et les filles pourraient faire de même avec leurs pères (féminisme) : « vous avez fabriqué une société matérialiste (hétéro-patriarcale) invivable où notre désir d’aimer ne peut s’exprimer. » Tous, pourraient accuser le partenaire qu’ils ont rencontré, puis en déduire que sa rencontre était logique étant donné l’éducation qu’ils ont reçue, raisonnement scientifique implacable, mais attitude stérile au possible. Pour sortir de cette impasse ne serait-ce pas aux hommes de prendre en main la situation et d’élever l’humanité, eux, le principe d’évolution biologique par excellence ? Les femmes reproduisent au mieux un état d’humanité. Il revient aux hommes de la faire avancer en prenant l’initiative du changement. Tel est le sens profond du symbole phallique : pénétrer et aller toujours de l’avant, faire avancer le monde. Si le monde ne va pas de l’avant, si les couples dépérissent, il revient aux hommes de le faire avancer. Sinon, les femmes finissent par lâcher le morceau et dégénérer dans la reproduction intime.
Or comment le faire avancer avec des visions matérialistes de l’avenir et finalement dépressives ? De surcroît, l’espace public est particulièrement du domaine du masculin. Croire que nos problèmes ne se régleraient qu’en envisageant nos rapports intimes, qu’en décortiquant nos rencontres, ne serait pas très viril comme approche du monde. Surtout que nous sommes handicapés en tant qu’hommes dans ce domaine. Nous mettons des décennies à nous soustraire de l’influence de notre mère avant de pouvoir ne serait-ce que comprendre ce que nous avons vécu et par qui nous avons été attirés. Nous sommes tous des chevaliers maman au début, prompts à défendre n’importe quelle pute parce qu’elle aurait le pouvoir d’engendrer et que nous sommes tentés de vouloir nous approprier ce pouvoir par leur biais. Les femmes sentent d’ailleurs souvent l’insignifiance d’un tel raisonnement, et elles n’y souscrivent qu’en état d’insécurité absolue, situation sociale que ces hommes rêveraient de voir réapparaître pour avoir, enfin, de nouveau une place dans la société. En vérité, ces hommes qui appellent de leurs voeux une société instable pour pouvoir exister, sont médiocres dans leur essence même. Car finalement, ils cherchent à ne plus faire d’efforts, pouvoir revenir à l’état d’enfance, ou tribal si vous voulez, et vivre dans l’inconscience la plus crasse. Normal que les femmes soient généralement défiantes quant à une telle attitude, et leur demandent d’aller les défendre ailleurs, les femmes plus évoluées je m’entends.
Au lieu de nous en référer à des visions matérialistes du monde qui n’ont qu’un seul but -rassurer l’enfant que nous sommes encore- et les plaquer dans le domaine de l’intime, ne serait-il pas préférable d’accepter qu’il existe dans l’intime, un monde des sentiments dont les règles sont diamétralement opposées à l’idée que nous nous faisons du monde social, ici un monde du personnel où la faiblesse gagne, où le temps ce n’est pas de l’argent, où l’inutile règne en maître ? En somme laisser une place à Dieu dans notre vision de l’intime et même de la société, une part inaccessible et qui échapperait toujours à notre maîtrise ? Question de survie si l’on songe que sans, nous devenons incapables d’envisager le progrès. L’humanité l’a constaté depuis bien longtemps : un homme qui ne se conçoit que par lui-même, qui se définit par lui-même, de manière matérialiste donc, est incapable d’avancer, stérile au possible, finalement dépressif (l’adage populaire dit « l’argent est un bon serviteur et un mauvais maître »). Rien que ce constat devrait l’amener à la religion. Mais l’humain cherche à se défiler avec sa tête bien dure d’imbécile scientifique orgueilleux tourné vers son invincible malheur. Il tente d’envisager un monde sans Dieu, sans religion qui le dédouanerait de réfléchir, qui lui éviterait de s’affronter à une altérité omnipotente, pour ne pas avoir à lutter contre un ange de la nuit.
Or observons l’humanité et allons à l’essentiel. Cet homme sans Dieu, que génère-t-il comme descendance ? Et qui survit donc si ce ne sont les croyants ? Qui survit donc si ce ne sont les personnes qui ont nourri une religion en leur sein ? Tous ne survivent pas il est vrai. Pas mal s’effondrent dans une vision médiocre de la religion. Par contre seuls ceux-là sont aptes à survivre. Les autres ? Des bonobos qui baisent pour oublier la fatuité de leur existence, des bonobos qui ont des enfants avec de cheveux bleus ou rouges, des piercing plein le nez, incapables d’avoir des enfants, qui retournent à l’état tribal sans toutefois pouvoir engrosser pacha mama, pratiquant les infanticides par avortement, des résidus d’humains en dessous du règne animal pour avoir refusé de prendre en main leurs responsabilités d’hominidés.
L’humain qui survit est encore en dialogue avec l’autre sexe, et avec ses désirs comme ceux de son partenaire. Car si je ne l’ai pas encore écrit explicitement, la pourriture engendre la pourriture. Personne n’a envie de perpétuer un modèle de malheurs. Il faut avoir encore du beau en soi pour avoir des enfants, surtout dans une société de l’abondance. Sur un forum catholique, une épouse lançait un appel désespéré à d’autres femmes parce qu’ils ne se supportaient plus avec son mari. Elle cherchait des solutions auprès de ses sœurs, s’éloignant d’autant plus de l’élément masculin vers qui elle aurait dû se tourner pour comprendre son mari, comportement régressif et immature au possible qui devait être à la source de ses problèmes. Elle était en train d’échouer parce qu’incapable de se dire qu’elle avait fermé la porte à l’autre sexe. Et elle obérait l’avenir de ses enfants, ce dont elle avait d’ailleurs parfaitement conscience sans pouvoir l’empêcher. Elle était croyante mais ne devait pas avoir une idée de Dieu le Père très précise. Encore une de ces pratiquantes vouant un culte à pacha mama Marie tout en se disant catholique, générant bientôt dans sa famille le refus de se reproduire.
L’humain qui survit (je ne parle pas de l’humain-bête qui se reproduit) génère encore de l’amour en se confessant, en se mettant devant Dieu, tel qu’il est, sans essayer de tricher. Il fait au mieux au lieu de se croire le meilleur et de salir son entourage pour survivre psychiquement dans l’abus. Il cultive l’amour qui vient de Dieu. Voilà celui qui a des enfants qui donneront des enfants : l’humain qui trouve un juste équilibre entre sa vie familiale et la société, mais qui rejette tout de la société quand elle est matérialiste. L’humain qui ne croit rien de la société administrative athée et tout de Dieu. Quand la société lui dit qu’il ne faut pas avoir d’enfants, ou très peu, ou à un âge avancé, cet humain rigole et dit à la société en son for intérieur « cause toujours avec tes mensonges, je vais faire ce qui me chante ». Et quand la société lui dit de faire des enfants car la société en a besoin, pour faire la guerre, pour avoir de bons petits travailleurs productifs, pour servir le roi (la société a l’imagination fertile en ce sens), l’humain qui survit se dit « Je vais faire des enfants, et je vais faire croire à la société que je les fais pour elle, mais je les ferai pour Dieu, et je leur apprendrai tout le sens contraire de ce qu’elle cherche à leur transmettre. Je dirai à mes enfants qu’ils doivent échapper aux guerres absurdes, qu’ils doivent travailler pour leur famille d’abord et pour la société ensuite, et ne suivre que des chefs intelligents.»
Sans parler d’échapper à notre égoïsme intrinsèque, il faut avoir une religion pour avoir du recul sur la société et son pouvoir social, raison pour laquelle les sociétés passées ont si souvent tenté de corrompre la religion en confondant le pouvoir social et le rite. La hyène sociale a besoin de la religion pour légitimer ses tentatives d’abus sans quoi elle apparaîtrait immédiatement pour ce qu’elle est : le diable. Car sans la religion, les institutions sociales appartiennent au prince de ce monde et dépérissent comme les humains. Il n’y a pas que les individus qui deviennent stériles par manque de religion. Les sociétés aussi disparaissent dans la mécréance et en croyant se reproduire par elles-mêmes, nous le voyons en ce moment.
L’erreur matérialiste en est arrivé à ce point que le seul horizon de cette génération de macaques, est de se reproduire grâce à des utérus artificiels et de générer un « homme augmenté », eux qui n’arrivent même pas à vivre en tant qu’humain doué de biologie. Ils sont si évolués et si profonds qu’ils ne veulent pas penser à leur propre mort et évacuent l’idée en se disant qu’un jour, la science leur permettra de vivre éternellement, et jeunes. Des robots les remplaceront, et ils pourront fabriquer un humain de toute pièce. Pourquoi faire ? Ils sont bien incapables de répondre à cette question, si ce n’est par un « c’est le progrès », définissant ainsi le progrès par la disparition pure et simple de l’humanité, remplacée par des robots qui devront singer leur comportement actuel. De leur aveu même, qu’est-ce que ces personnes et cette génération ne génèrent, si ce n’est un formidable suicide ? Ils disparaîtront mais entre temps, il est à regretter que nos sociétés aient consacré de formidables moyens humains et matériels dans le but de fonctionner sans êtres humains, c’est à dire de disparaître purement et simplement.
Car l’humain qui survivrait de son propre chef, est comme « l’organisation mondiale » qui serait sensée répondre à tous nos problèmes collectifs : une vaste fumisterie créée par des cerveaux malades d’enfants handicapés, individus tellement orgueilleux et imbus de leur fausse puissance qu’ils n’arrivent pas à accepter leur disparition. Or comme tous ces grands hommes qui les ont précédées, il ne restera rien d’eux, absolument rien, au mieux deux lignes dans les livres d’histoire, peut-être pour dire combien ils nous ont menés à l’abîme, comme tous les autres fous sans religion qui les ont précédés. Deux lignes, et encore… ces personnes se gargarisent des quelques noms qui sont restés dans l’histoire, elles promeuvent d’ailleurs toute une mythologie autour de ceux-là (Louis XIV, Napoléon…), sans songer à l’immense majorité dont il ne reste rien, et dont elles feront certainement partie. Voilà comment elles se rassurent psychologiquement ces pauvres petites bêtes apeurées par la mort… encore plus pitoyables que l’être humain ne l’est en général, elles qui ont la prétention de vouloir choisir pour « les autres » et de faire leur bonheur malgré eux, alors qu’elles ne sont même pas capables de se prendre en charge. Nous sommes seuls responsables de notre bonheur, les saints et les martyres nous le prouvent assez.
Dans l’histoire humaine, si la biologie darwinienne avec toutes ses incohérences ne doit prouver qu’un seul fait historique avéré, c’est la survivance de l’humain uniquement religieux, sur toute la terre et à toutes les époques. L’athée est une anomalie de la reproduction des espèces, un monstre comme il en existe tant d’autres et dont la nature n’est pas avare, qu’elle élimine impitoyablement après s’en être servie. L’athée est stérile, nous le voyons dans nos familles, jusque chez les peuples fourmis. Mais encore, il pourrit la société précédemment religieuse qu’il investit, comme il a finalement pourri la nôtre, implacablement. Rien ne lui échappe, l’école, l’hôpital, l’armée. Alors que nous crevons de richesses, que nous sommes à la tête du développement humain, nous les blancs, nous ne sommes même plus capable de mettre un vis dans une chatte. Voilà le terrible bilan de l’athée qui eût la prétention de libérer sexuellement les foules (voir le roman « Le parfum » de Süskind). Sans religion ou sans Dieu, pas de code, pas de contrat de mariage, pas de dialogue entre les sexes, une défiance généralisée masquée bien mal par une solidarité sociale qui a remplacé l’amour individuel, un retour à l’inconscient tribal de la forêt, et au pire, une volonté de stérilisation.
Les organisations d’hommes auront beau retourner le problème dans tous les sens, elles n’arriveront jamais à rien tant qu’elles n’inciteront pas leurs membres à se sacrifier pour Dieu, à plier un genou devant Jésus, à faire un effort pour lever leurs gros culs de leur lit le dimanche matin et aller prier à la messe, en somme à chercher à s’améliorer personnellement avant d’aller chercher noise à des femmes qui n’ont jamais respecté que la force sociale ou celle des sentiments. Hommes, commencez à vous remettre en question. Le monde actuel crève de votre manque de réactivité, de toute l’énergie que vous dilapidez en vous branlant par corps interposés grâce à des applications de rencontre, de votre fainéantise morale et spirituelle. Si votre horizon, c’est d’avoir accès à une chatte, normal que vous n’obteniez rien dans la vie et normal que la société se meure. Vous êtes nés pour fourrer votre femme et lui faire un paquet d’enfants. Et si ce n’est pas possible, changer la société pour que d’autres hommes puissent le faire. Voilà comment un homme survit, même sans avoir accès à la reproduction. Sinon, ce que les socialistes ont bien compris, il est préférable qu’il soit remplacé par un tribal venu d’ailleurs.
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Enfin selon son propre graphique, les pauvres (jusqu'à - de 1000 euros) font toujours plus d'enfants que les riches. Et ils sont beaucoup plus nombreux. Et les personnes qui ont investi dans l'or, ont actuellement de grosses couilles en or, et la terreur climatique nous est revendue par les riches. M Léo donne l'impression de vouloir nous vendre un modèle happy qui favoriserait son activité, comme s'il avait peur que les hommes ne veulent plus se tourner vers les femmes, et donc vers ses services. Il veut aussi donner envie en utilisant la fascination des imbéciles pour ceux qui réussissent monétairement.
(Vidéo) "A 18 ANS, ILS RENONCENT A L'AVORTEMENT" Amen du 12/05/2024.
"Physionomie intégrale : la main, la beauté et la religiosité." Les 3 étendards du 14/03/2024.
Ahahah, j'ai toujours su que les gauchistes étaient laids.
"Au Japon, la ville de Nagi, pleine d’enfants, fait exploser le taux de fécondité" RITV du 12/09/2023.
(Film) "Le menu" 2022.
"STATUT SOCIAL ET SUCCÈS REPRODUCTIF." les 3 étendards du 06/01/2023.
Alors que nous sommes remplacés par des familles pauvres étrangères qui font beaucoup d'enfants, alors que les familles pauvres se reproduisent plus et que c'est cela qui définit la notion même de transition démographique, il y en a encore pour propager le mythe qu'une bonne réussite sociale définit le succès reproductif (d'ailleurs défini comme "potentiel" dans l'article, ce qui ne veut absolument rien dire). Ca rassure notre société en pleine faillite.
Bonsoir M. Durandal,
Je sais que ce message ne sera pas publié, mais je tenais à vous soumettre cet article fort bien écrit sur un sujet sérieux que l'on aborde pas souvent : la conscience.
Voici le lien : «Malaise dans la civilisation»: portrait d’une humanité inconsciente (msn.com)
Cordialement,
Cyrus
Bonjour M. Durandal,
Qui survit ? Celui qui peut se défendre. Aussi, lorsqu'un peuple le soutient dans sa démarche :
'He shot my arm off': Store owner shoots would-be robber - YouTube
'This isn't a good place to pick': Norco store owner speaks after fighting off would-be robber - YouTube
La ville de Norco est dans la région métropolitaine de Los Angeles, en Californie.
Ça, c'était plutôt à Las Vegas, dans le Nevada : un gars d'origine vietnamienne : images très violentes, âmes sensibles s'abstenir : WATCH: Las Vegas shop owner stabs would-be thief multiple times - YouTube
Maintenant, au tour de New York : United Bodegas of America rallies behind Manhattan worker accused of murder - YouTube
'The Five' react to NYC DA charging a store clerk with murder over self-defense - YouTube
Les Français ne peuvent pas faire ces choses-là, sans avoir de gros ennuis avec l'État, pas vrai ? De plus, comme vous l'avez vous-même remarqué, compte tenu du fait que le peuple français n'est plus catholique (et que le discernement a foutu le camp) et qu'il débat toujours de tout et même surtout de ce qui n'est pas nécessaire, une telle réaction entraînant la mort ou de lourdes blessures, risque de susciter beaucoup de division et de el famoso '' controverses ''.
Il est vrai, comme vous l'avez déjà dit, que les États-Unis ont la vertu de faire se sortir de leur torpeur les Français. Les Américains brassent les Français...et les Français n'aiment pas du tout cela.
Cordialement,
Cyrus
M Cyrus,
Beaucoup de Français sont devenus des adorateurs des USA. J'ai découvert cela tard. Mais c'est le cas. Et ils votent souvent à gauche. Allez comprendre.
M.D
Je vais te dire franchement, j'ai essayé, et j'essaie encore de faire abstraction de tous mes préjugés, notamment envers les femmes.
J'essaie, dans mes relations sociales, de considérer l'autre comme un humain à qui je dois donner toutes ses chances.
Récemment j'ai déménagé après des années de solitude, et j'ai décidé de penser que PERSONNE ne me connaissait ni ne pouvait préjuger de quoi que ce soit. Et donc que je pouvais être qui je voulais, personne n'en saurait rien.
J'ai donc pu expérimenter beaucoup de choses en une année, et j'en conclu assez simplement, que beaucoup de femmes ne me donnent pas vraiment de chance. Dans le monde réél, elles peuvent m'aborder de façon "relou" genre j'y comprends rien. Ou elles peuvent se montrer très aguicheuses, à outrance, c'en est gênant. Quand c'est moi qui aborde, même pour un motif anodin et sans arrière pensée comme demander mon chemin, il y a souvent un mec qui rapplique comme "protecteur", peut être un petit ami ou que sais-je, mais même une simple volonté de dialogue amène des mecs à accourir comme s'il se passait quelque chose.
Aussi dans un groupe, je n'ai pu que constater à quel point les femmes sont menteuses, manipulatrices, et terribles. Je n'ai même pas les mots pour expliquer une expérience récente dans laquelle un groupe de filles m'a mis la misère à partir de faits totalements imaginaires, répétés, déformés, amplifiés, jusqu'à ce qu'elles me harcèlent, une étant même tombée "amoureuse" de moi, et m'ayant pris la tête comme pas permis. Je rappelle que j'ai peu l'habitude du lien social donc j'ai été très étonné par ce comportement, savoir qu'elles jugent et mentent et changent d'avis n'importe qui et sont téléguidées plus par leurs émotions que par autre chose. Dans le cadre d'un groupe de filles, ça donne un immense n'importe quoi qui se répercute sur ma santé mentale.
Aussi j'ai pu constater que beaucoup de clichés sont néanmoins vrais, par exemple les femmes frustrées parce qu'elles sont pas jolies ou vieilles et mal payées, me le font payer par des gestes, regards ou paroles méprisantes. Exemple : la caissière qui va refuser de me toucher la main pour rendre la monnaie comme si j'allais lui transmettre la pire des choses rien que comme ça.
J'ai eu le malheur de me laisser tenter par une femme en couple de longue date, à qui j'ai accordé ce bénéfice du doute, de me dire que si elle trompait son conjoint, c'était par malheur, néanmoins elle m'a rapidement fait la même chose sur la base d'un je ne sais trop quoi. Deux semaines avant elle me harcelait de mots d'amour jour et nuit, jusqu'à ce qu'elle me trompe et, peut être pour soulager sa conscience, sourit en me souhaitant la mort. Que lui avais-je fait ? Pas grand chose, mais elle avait un égo démesuré je crois.
Quant aux sites de rencontres, j'ai pu expérimenter que globalement, les femmes se focus sur le physique en premier lieu, tout en disant le contraire. Et aussi qu'elles adorent les bobards des mecs qui font comme si ils étaient tolérants de tout et heureux de ça. Beaucoup de ces femmes se mettent en couple avec ces types et ensuite racontent qu'elles ont été séquestrées, violentées, etc etc...
J'en suis venu à me dire qu'en fait, il y avait une forme de complémentarité entre l'homme et la femme, ainsi que des différences fondamentales avec lesquelles on n'a pas le choix que de composer, et que tenter de les rationnaliser sert pas forcément.
Exemple, parce qu'une femme est un être humain, je suis convaincu que 100% des femmes sont sexuellement infidèles. Parce que ce sont des humains avant d'être des femmes et que tous les humains sont corrompus.
A quelques exceptions près, mais bon, ce sont des exceptions donc je mise pas trop trop dessus.
Pas faute pourtant d'essayer d'effacer de mon cerveau tous mes préjugés et de pas avoir de réflexe pavlovien avant d'agir ou répondre à une femme, pourtant rien n'y fait.
J'ai l'impression que ce qui peut m'attendre de mieux, c'est de rencontrer une femme dans la vie réelle, et d'accepter que j'y comprendrai rien à rien, et que quoi qu'il en soit, jamais elle ne m'aimera, et me trompera, et respectera les règles de chaque humain de base : abuser, mentir, tromper, exagérer, etc... enfin voilà.
Je vois pas quoi bien dire de plus.
Bonjour monsieur,
Merci de votre témoignage.
La première chose qui me saute aux yeux c'est : vous choisissez une femme volage (vous choisissez donc la facilité), déjà placée avec un autre homme, et vous attendez que cette femme volage, cette femme dont vous avez fait une pute, vous traite bien ??? Vous ? Parce que ce serait vous ? Mais qu'est-ce que vous avez de spécial par rapport à un autre homme ? Pas votre moralité en tout cas.
En tant qu'homme, vous êtes garant de la moralité de votre couple. L'homme est celui qui doit donner l'exemple. Et là, vous ne l'avez pas donné. Comment une femme saine pourrait vous faire confiance ? Tant que vous ne changerez pas, ce ne sera pas possible. Vous rencontrerez alors sur votre chemin, uniquement des femmes promptes à se protéger de vous en groupe et à vous faire souffrir (c'est comme ça que les femmes contrôlent en groupe les débordements des hommes). Si vous n'êtes pas jugé comme un homme crédible, toutes les femmes vous laisseront à part, ou profiteront de vous. Les femmes sont comme ça et personne n'y changera rien. Et elles ont raison. Alors oui, elles aiment les beaux parleurs (mais il faut voir quelles femmes aiment les beaux parleurs aussi). Mais vous ne devriez pas trop vous préoccuper de leurs défauts avant d'avoir progressé un peu et de vous comporter de manière honorable, comme un homme doit toujours le faire.Après seulement, si vous vous tenez debout tout seul, vous pourrez avancer.
M.D