Avant hier, vous les avez peut-être vus dans la ville ou peut-être pas. Et pour cause.
Dans ma ville, la manifestation régionale pour soutenir le mariage lesbien n’a regroupé que quelques centaines de personnes. Ils étaient si peu nombreux que le journal télévisé n’en a même pas parlé, certainement par honte de révéler le pot aux roses :
Les pro-mariages lesbiens sont des groupuscules qui essaient de manipuler l’opinion publique mais qui n’ont aucune assise dans la société française. Bien entendu, une grosse minorité serait encore prête en France à enlever un père ou une mère à des enfants. Mais comment pourrait-il en être autrement quand des journaux font leur « une » pour soutenir le sujet (Inrockuptibles, Elle (la rédaction a choisi deux mannequins et non un vrai couple par peur de choquer ses lectrices sur la réalité lesbienne…) ,
quand les principaux partis politiques encore unis soutiennent le projet (et quand les autres sont divisés sur le sujet), quand des syndicats comme Sud éducation appellent à manifester, en somme quand tout ce que la France compte de raclures libérales s’allient entre elles ?
Malgré tout cela, ils n’étaient pas nombreux.
Et pourtant quelle débauche de moyens ! Une sono, des affiches placardées dans toute la ville, de larges pages dans les journaux locaux, des affichettes pour les passants…
Mais qui a payé la propagande de tous ces manipulateurs ? Certainement pas eux puisque le nombre de personnes présentes ne pouvait suffire à cela.
Le mariage de la carpe et du lapin ?
Il faudra en conclure qu’en pleine période de crise, notre Etat de gauche a largement dépensé l’argent public avec l’alliance des ultra-libéraux de publicis (Mme Badinter en tête).
Cette minorité qui échoue en tout, persuade de moins en moins de gens. En tous les cas, de moins en moins de gens les suivent dans la rue même s’ils sont toujours prêts à répondre à des sondages d’opinion sans regarder plus que cela aux réponses qu’ils donnent.
Le calvaire du bon sens ne fait que commencer.
Au lieu de faire des coupes claires dans les associations nocives de notre pays, l’orientation des fonds publiques prend, de plus en plus, une tournure dictatoriale, qui sert à soutenir un dirigisme de l’opinion publique fabriqué de toute pièce par des élites dégénérées, qui agissent particulièrement auprès des jeunes. Loin de s’occuper de loger les gens, notre gouvernement a préféré subventionner des associations de déviants pour propager un message déviant dans toute la société.
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