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Répudiation des pères : opposer la politique de la terre brûlée

Au vu de la situation sociale, j’ai peut-être tardé à écrire cet article. Mais j’étais terrorisé. Car comme vous allez le découvrir en me lisant, notre société possède des moyens de contrition infinis pour mettre les récalcitrants au pas. Et écrire cet article, c’était m’exposer inutilement.

J’ai changé d’avis parce que de nos jours, l’urgence est partout, et que très bientôt, un article comme le mien n’apparaîtra plus comme factieux, mais comme d’une évidence. Les services de l’état auront d’autres chats à fouetter.

Pour comprendre cette terreur qui est la mienne, il faut que vous ayez intégré que notre société socialiste châtie sans pitié les inconscients qui croient vouloir lui imposer les notions de justice, de liberté ou d’égalité qu’elle promeut pourtant. Ce genre de contestataires, désirant être rétablis dans leurs droits, elle les juge idiots parce qu’ils s’obstinent à croire que l’esprit de la loi s’imposerait à elle. Or plus une société est corrompue, ce qui est le cas de la nôtre à un stade avancé, plus elle se considère capable d’engendrer le droit de manière immanente. De nos jours, vous entendez parler de « valeurs de la république » comme d’une religion. Les mohamétans sont sommés d’abandonner l’idée qu’il n’y a pas de lois supérieures à celles créées par notre parlement, parlement dont tout le monde peut constater le ridicule lorsqu’il légifère sur le prix de l’essence au nom du réchauffement climatique pour mieux se remplir les poches. Et ce n’est qu’un exemple pris parmi des milliers d’autres tant nos codes législatifs se sont emplumés de manière inutile, clientéliste ou vicieuse. Pourtant notre population laïcisé/socialiste adhère : il n’y aurait pas d’autres lois que celle de sa propre oppression. Mais où est le dieu de cette religion ? Qui la dirige ? Sait-elle même où elle va ?

Cependant, il faut le reconnaître, notre société a raison sur un point : il est véritablement imbécile de s’affronter directement à elle en en ignorant les risques. La société est du côté du manche. Les pères répudiés qui croient obtenir justice pour leur cas personnel en montant sur une grue sont d’une naïveté confondante, et ils sont punis en proportion.

Les antisionistes qui dépassent les lois ouvertement en croyant que notre société hésitera à les sanctionner, tout en imaginant profiter de leur notoriété de contestataire, ou pire, que la justice n’a pas les moyens de les atteindre, valident les balivernes que cette même société propage à son sujet pour légitimer l’augmentation d’impôts « utiles » mais en vérité de plus en plus injustes.

Les catholiques ou les identitaires qui imaginent rétablir le bon droit du peuple français à prier ou à avoir des frontières étanches, en usant de notre justice socialiste, sont le jouet d’intérêts politiques qui les dépassent : la lutte contre l’islamisme au nom de la laïcité en particulier. Ils obtiennent raison devant les tribunaux après avoir été épuisés financièrement, dénigrés médiatiquement, ou juste pour montrer au bon Français de souche qu’il peut encore croire en sa justice et surtout, démontrer aux sceptiques qu’ils valent bien un mohamétan par leur acharnement à vouloir influer sur les lois de la république.

Nous en sommes déjà à mener un combat clandestin et ces personnes là ne l’ont pas compris. Le socialo/communisme, ou l’idéologie d’état, restera à jamais un moyen de contrôle des individus par la masse. Ces contestataires s’épuisent inutilement en y cherchant leur bon droit individuel, et ne peuvent tenir sur la longueur. Ou pire, ils assèchent financièrement et moralement, une frange large des sceptiques de notre pays, sans obtenir de résultats, et avant de devoir reculer dans de mauvaises conditions.

Combien pourtant tous à leur niveau, n’ont-ils pas voulu me donner des leçons de combat. Toujours cette erreur de Français naïfs qui montent au front en 1914 avec leur pantalon garance, parce que leur honneur de soldat est en jeu, qu’il faut opposer à l’ennemi des certitudes supérieures, en le terrassant par sa seule primauté morale. Après quelques dizaines de milliers de morts inutiles, le folklore est rangé au placard. Reste l’erreur ontologique de croire que le courage se paye de vanité. Il est suicidaire pour le panache d’exclure toute forme de pragmatisme.

Pour être juste, il faut que je rajoute que moi-aussi, j’ai commis beaucoup d’erreurs. Combattre c’est commettre des erreurs. Devenir un grand guerrier c’est s’en corriger avant qu’elles ne nouent tuent. Par exemple, mon identité est malheureusement connue des services de renseignement nationaux. Loin d’avoir été trop lâche en travaillant sous pseudonyme, comme je l’entends encore de temps en temps dans la dissidence (mais de moins en moins), je n’ai pas été assez prudent en tout début de combat. J’étais emprunt d’une telle naïveté moi-aussi, sur la bienséance des institutions… presqu’à l’égal d’un lecteur du figaro. C’est dire.

Dès le début, j’aurais dû domicilier tous mes sites à l’étranger, utiliser un VPN et il leur aurait été impossible de me localiser, ni même de savoir si j’étais un citoyen français. Cela ne m’aurait pas évité d’avoir à subir la censure des femmes, ou de nourrir des systèmes comme youtube/facebook qui allaient me censurer. Mais cela m’aurait donné un peu plus de confort pour pouvoir m’exprimer librement.

Car malgré mon anonymat public, ces gens là, parce qu’ils connaissent ma réelle identité, sont en mesure de me harceler quand ça leur chante. Rares sont les personnes qui n’ont rien à perdre dans leur vie et peuvent leur échapper. Voilà ce que sait n’importe quel fonctionnaire. Voilà ce qu’ignorent les naïfs. Ces derniers croient être protégés par le système, parce qu’ils veulent son bien, ou parce qu’ils ont réussi dans la vie, et qu’ils sont devenus des sommités dans leur domaine. J’espère que la crise sanitaire actuelle aura eu le don de leur ouvrir les yeux. D’autres, ignorants des pratiques judiciaires de leur propre pays, ne s’imaginent pas que les lois françaises peuvent tout. Ils fantasment un état faible, fable qu’ils se racontent pour valider leurs théories sur un changement de personnel politique qui résoudrait tout. Tout reviendrait à la normale si l’un d’entre eux avait le pouvoir…

Non, le problème c’est aussi l’état, un ogre que personne n’a jamais réussi à dompter quelles qu’aient été les époques, ou les personnes, et sauf dans des périodes où la chrétienté a su contrebalancer son oeuvre. Un ogre qui se mange lui -même, tendant vers son propre effondrement. Les mohamétans ont résolu la question de manière insatisfaisante en confondant loi et religion. Dans des pays comme la Chine, l’individu n’est même pas encore né. Par le plus grand des paradoxes, et quand bien même nous connaîtrions une période de décadence incroyable, l’occident chrétien reste seul à la pointe du progrès humain. Et il le restera tant qu’aucun autre état dans le monde n’aura fait aboutir cette idée chrétienne. 

Pour en revenir à notre décadence, certes la loi ne condamne plus à mort chez nous. Elle a trouvé beaucoup mieux, beaucoup plus efficace : la mort sociale, la mise à la rue, l’ostracisation, et pire : vous faire admettre que cette petite mort se fera dans la plus grande indifférence et qu’elle n’aura servi à rien. Ainsi réussira-t-elle à retirer au dissident ce que certains recherchent plus que tout : la reconnaissance de leur martyre. Le progrès spirituel chrétien côtoie ici le raffinement du diable à tromper les âmes. 

Pour entrer dans ce combat, il faut donc se préparer à ce qu’il ne serve à rien, qu’il soit perdant, et ne soit qu’un chemin de souffrances. Seul un catholique peut mener ce combat. Les autres oscillent entre suicide et résignation. Les pères désespérés se suicident. Les identitaires païens à bout de souffle se suicident, parfois à Notre Dame. Les mohamétans qui ne croient plus qu’en la vie céleste deviennent fatalistes, terroristes et se suicident dans ce qu’ils appellent un martyre ! Martyre, c’est donner sa vie pour les autres, quitte à être tué. Martyre ne veut pas dire se soulager sur les autres pour leur imposer des désirs d’enfant capricieux. Et puis, si je dois porter un regard critique sur ma propre chapelle, en matière de suicide, les catholiques renfrognés prient le chapelet.

S’il y a bien des raisons de se suicider, il y en a encore plus de se résigner. Allez, tu retrouveras une femme. Allez, ta fille viendra te voir quand elle aura l’âge. Allez, Dieu les punira. Allez, quand nous aurons touché le fond, ça remontra automatiquement. Pour éviter d’avoir à regarder la réalité bien en face, beaucoup préfèrent entretenir leurs illusions. Ils prennent sur eux, cherchent désespérément un confort, ailleurs, ne le trouvent jamais bien entendu. Mais tant qu’ils peuvent éviter d’avoir à se remettre en question… Plus que les suicidaires, ceux-là sont directement responsables de la décadence actuelle, car ils légitiment tous les abus. Ainsi, les catholiques renfrognés que j’ai évoqué plus haut, ne devraient pas tant condamner le suicide de Judas Iscariote. Lui au moins, a pris conscience de ses péchés.

 

La politique de la terre brûlée

Les Russes n’ont pas donné une leçon militaire à Napoléon et à Hitler, mais une leçon d’humanité en plaçant leur liberté au-dessus de leur survie. Nos deux tyrans, habitués à faire régner leur tyrannie, s’étaient persuadés qu’aucun peuple ne leur résisterait, surtout ce peuple là, que l’un considérait comme attardé, et l’autre comme dégénéré. Ils l’asserviraient puisque la liberté n’existe pas et qu’elle découle d’une soumission au chef. Pourtant ce peuple les a vaincus. Car le diable laïc ne peut rien et ne pourra jamais rien contre un peuple de croyants convaincus, pour qui la vie ne vaut la peine d’être vécue que dans des conditions acceptables.

En France, et je crois pouvoir dire, dans de nombreux pays occidentaux, les pères se suicident ou baissent les bras. Collectivement, nous avons envoyé ce signal au système, que nous étions prêts à renoncer à des conditions acceptables de vie. Evidemment, le tyran a avancé en tyrannie et nous ne serons bientôt plus rien dans nos familles. Les hommes ont honte d’être des hommes, d’affirmer qu’ils sont des hommes, d’avoir des désirs d’hommes. Ils sont devenus de secondes mamans qui baisent le cul des féministes juste par peur d’apparaître comme de « méchants machos ». Et après avoir déchu, ils se félicitent encore d’être galants. 

Refusant d’être victime d’une telle débâcle, de pleurnicher sur une égalité dévoyée, d’attendre qu’une femme fasse le travail qui est le mien (Jeanne d’Arc), j’ai choisi une 3ème voie, celle de la terre brûlée. J’ai tout brûlé derrière moi, je n’ai rien cédé à la génitrice de ma fille, j’ai exigé le respect, quitte à ne pas obtenir les quelques miettes que le système judiciaire me promettait, et je me suis engagé politiquement, dans la rue, puis ici-même, pour combattre un tel système, longtemps seul.

Tout d’abord, j’ai renoncé à une résidence inégalitaire, quitte à ne plus revoir mon enfant. J’ai aussi fini par renoncer à voir mon enfant dans un milieu carcéral appelé « point de rencontre » quand il a été clair que ce genre de moyen servait de caution à l’institution judiciaire pour légitimer l’élimination du père. J’ai aussi renoncé à voir mon enfant tout court quand il fut temps. Et enfin point central de ma contestation j’ai refusé de servir de vache à lait à une fille-mère en lui payant une pension alimentaire. Le respect ne se quémande pas. 

Il faut bien que vous compreniez que notre système de fille-mères n’en a cure de voir un enfant privé de père, de voir un père qui se résigne ou qui se suicide. Mais un père qui refuse de payer, voilà qui lui pose un problème beaucoup plus important. L’argent est le nerf de la guerre, et ces gens là mènent une guerre. Une guerre contre les hommes et qui ne se dit pas.

Officiellement, il faut que les pères « assument », qu’ils assument leur propre répudiation de leur famille, qu’ils assument d’être traités comme des sous-parents, qu’ils encouragent la forfaiture de putains déséquilibrées le cas échéant. Pour ce faire, ils doivent 1 : continuer à payer des impôts. 2 : payer pour la coucherie d’un soir et soulager la société de ses propres choix.

En s’attaquant au père, la société avait bien conscience qu’elle permettrait la multiplication des filles-mères qui se croiraient tout permis. Mais ainsi cette nouvelle société, prendrait-elle la place des pères déchus et profiterait des enfants pondus, qu’elle éduquerait dans ses écoles. Et puis, en obligeant les pères par la pension alimentaire, et l’impôt, elle réglerait le point épineux du financement de leur répudiation.

Comprenez bien, il suffit de condamner un père à payer une pension alimentaire, pour l’esclavager à vie, par la loi, ou plutôt, durant les 25 années les plus fructueuses de sa vie. A cause de la force publique, s’il refuse, il n’aura d’autre choix que d’aller en prison et de connaître la misère.

Mais sur quoi se base l’obligation de payer pour des enfants qui ne sont plus les siens, ou plutôt pour une mère toute puissante qui souvent, ne veut plus que vous soyez un modèle pour vos enfants et qui a décidé de vous quitter en les emmenant ? Sur rien. Une personne qui veut briser une union, quelle est sa légitimité à emmener les enfants d’ailleurs ? Elle n’en a aucune. D’où souvent les fausses accusations envers le père pour appuyer une décision maternelle toute bancale, pour éviter à la dite femme d’apparaître pour ce qu’elle est : une déséquilibrée qui ne devrait surtout pas avoir la charge du moindre enfant, en général.

Si les naïfs s’imaginent qu’une pension alimentaire est toujours proportionnée à une situation financière particulière, ils se bercent d’illusions. D’ailleurs, elle n’est même pas envisagée ainsi. La pension alimentaire est faite pour vous obliger à travailler, quelque soit son montant, même lorsqu’il est défini de manière assez juste. Si vous devez la payer, vous devez trouver les moyens de la payer et donc, trouver par tous les moyens un travail, et donc continuer à payer des impôts, quand bien même la loi se serait arrogée le droit de vous priver de famille. La boucle est bouclée.

Ainsi le système peut se nourrir de votre propre asservissement. En règle général, c’est d’ailleurs une finesse de nos systèmes d’oppression modernes. Vous payez pour vous faire asservir, vous payez pour les infanticides par avortement, pour tuer des enfants que vous ne voudriez pas voir tués, pour toutes ces lois sociétales illégitimes qui dépassent entièrement le cadre d’un système légal juste et raisonnable.

Il y a quelques années, j’entendais Alain Escada nous affirmer que nous étions obligés de participer à un tel système à cause de l’impôt et parce qu’il fallait bien travailler. J’inverserais la proposition : donner de l’impôt dans ce cadre, c’est nourrir la décadence, notamment de nos milieux professionnels, et favoriser notre propre asservissement. Les grandes entreprises qui fuient comme la galle les systèmes socialistes, participent à l’éclatement de nos bureaucraties totalitaires. Difficile de leur reprocher. Seuls des malades mentaux n’en feraient pas autant à leur place. 

L’impôt juste (défense, police, justice), c’est la responsabilité. L’impôt injuste (lois sociétales, subventions, allocations), c’est l’asservissement. Or l’impôt juste ne peut en aucun cas légitimer l’impôt injuste, car dès lors, la police et la justice servent de relais à l’injustice, et même l’impôt juste devient alors injuste. Vous n’êtes pas obligés de vous résigner, à être de bons citoyens catholiques honnêtes quand votre argent sert à tuer des enfants. Dans ce cas, et dans bien d’autres, tous les moyens possibles et nécessaires doivent être mis en oeuvre pour arrêter le massacre. Le temps où les états devaient plier face à la force de notre croyance est révolu. Depuis l’avènement de la revendication protestante, nous voyons bien que les princes ont obtenu, à cause de notre manque de foi, leur émancipation. Comme par le passé, ils tentent de s’ériger en dieux. Rien de neuf sous le soleil de pharaon ou de césar. Et les lois redeviennent toutes plus illégitimes les unes que les autres. L’état de droit s’efface. La corruption grandit.  Le retour des tribus est encouragé. Tel est l’inévitable aboutissement du retour du laïcisme en terre catholique. 

Face à cette décadence, en excluant cette politique de la terre brûlée, la position éthique la plus tenable serait de donner au moins autant à cet état assassin, qu’aux causes que nous défendons. Mais voilà qui est devenu presque impossible, tant la pression fiscale a augmenté, et laisse peu d’argent au travailleur ou à l’entrepreneur. Et pour cause, l’oppression se nourrit d’oppression. L’autonomie financière des individus est une menace pour un état socialiste. Bientôt, nous n’aurons plus que le choix de la pauvreté. Autant nous habituer dès à présent à lutter en pauvres. Voilà en tout cas, ce qui m’a semblé logique et naturel bien avant que les crises économiques et sanitaires se multiplient.

Plus particulièrement concernant l’oppression sur les pères, l’état a pris conscience de l’importance de les contrôler d’autant qu’il leur faisait vivre une situation injuste. Il s’est donc accaparé le recouvrement des pensions alimentaires. La CAF a désormais toute latitude pour récupérer l’argent, comme si les moyens disproportionnés déjà présents dans notre droit n’eussent pas été suffisants. Et sous la pression des féministes, le trésor et le recouvrement des pensions alimentaires se confondront bientôt. Fin de l’hypocrisie. Qu’importe. En optant pour une politique de terre brûlée, vous détruirez tout au fur et à mesure des avancées de l’ennemi. La CAF veut saisir vos revenus ? Arrêtez de tra…… La CAF veut saisir les allocations auxquelles vous avez droit en tant que pauvre ? Refusez de toucher ces allocations et trouvez le moyen de vivre à moins ou différemment. Il vous est impossible de travailler au noir ? Vivez de troc. Acceptez aussi les condamnations à de la prison avec grande joie, car dès lors, vous coûterez à l’état, en plus de ne pas lui rapporter. Le respect ne se quémande pas, bis repetita. 

Notez que l’état peut vous mettre en prison pour deux raisons dans une telle situation et qu’il ne se prive pas de le faire : pour non paiement de la pension alimentaire (abandon de famille), et pour « organisation d’insolvabilité » le cas échéant.

« Abandon de famille », cela veut dire que vous n’avez pas pu ou voulu payer pour une famille à laquelle vous êtes de toutes les manières, étranger.

« Organisation d’insolvabilité », cela signifie que vous serez coupable d’être sans revenus. Car vous n’avez pas le droit de renoncer à travailler dans notre pays. Et si vous ne voulez plus participer à ce système imbécile ou si plus prosaïquement, vous êtes licencié pour x ou y raison, le système judiciaire sera chargé de sonder vos reins, d’estimer si vous avez volontairement renoncé ou non. Suicide social interdit. Epée de Damoclès aussi.

Si vous ne comprenez pas la leçon, si vous affichez une once de révolte, il pourra vous envoyer en prison. Bien entendu, ne comptez pas conserver un quelconque patrimoine si vous refusez de payer la dite pension. Même si de nos jours, il existe encore des barrières à la mise à la rue, il n’est pas dit que ces dernières persisteront tant la féminisation progresse. Nous en voyons déjà les prémices dans notre société qui préfère éliminer les gens plutôt que de les soigner quand les moyens lui manquent un peu (utilisation du rivotril dans les ehpad durant la crise du covid).

Pour échapper à cette tendance, vous avez encore la possibilité de déménager à l’étranger. C’est la solution de facilité, la terre brûlée sans contact avec l’ennemi, un suicide identitaire national assumé, un déplacement de la ligne de front très loin, à un niveau civilisationnel. Dans nombre de pays occidentaux, il suffit encore de travailler pour être laissé tranquille, et certaines législation protègent même les pères ! Vous pourriez ainsi envisager de fonder une famille. 2 millions de Français, surtout des Français de souche, se sont déjà enfuis de notre pays, ce qui n’était jamais arrivé dans notre histoire. Il faut les comprendre. Ici en France, en plus du servage fiscal, il serait suicidaire de vous marier sans que la pratique religieuse de votre femme ne soit fermement assise. A l’étranger, par contre, quelles que soient vos croyances, vous revoilà souvent dépendants l’un de l’autre, notamment à cause de l’absence de système social. Du coup, chacun doit faire plus d’efforts et les chances pour cette union de tenir, augmentent dans le temps. Quant aux croyantes en France, ce genre de femme est devenu plus rare qu’un glaçon au milieu d’une fournaise. Si vous tombez amoureux de l’une de celle-là, bénissez le ciel. 

Beaucoup de pères répudiés que j’ai connus ne voulaient même plus travailler à l’idée d’une relation durable. Ils entretenaient des relations sexuelles épisodiques pour se soulager, et se délestaient de leur partenaire à partir du moment où celle-ci cultivait l’ambition folle de se faire supporter. De mon point de vue, en dehors d’une chasteté bien comprise, cultiver de telles relations, même épisodiques, c’est se priver d’une énergie de combat précieuse. Une femme moderne n’a aucun intérêt réel pour un homme, même pas sexuel. Car dès lors, elle s’accaparera votre vitalité pour rien et tentera-t-elle, peut-être, de vous faire culpabiliser en sus, à l’occasion. Il sera donc préférable de transcender votre sexualité en la déployant dans le combat. Maintenant, si vous avez choisi de vous battre et qu’elle veut bien vous entretenir, ou vivre pauvre, peut-être sa proposition d’union mérite-t-elle d’être étudiée ? Il faut laisser aux femmes de ce pays, une chance d’évoluer.

Si vous restez vous battre en France, vous bénéficiez encore légalement d’une somme insaisissable de l’ordre de 500 euros. Le mobilier d’occasion a une valeur quasi nulle et rapporte peu aux huissiers de l’état, qui comme les autres services de notre monstre bureaucratique, commencent à être débordés par les résultats de l’incurie généralisée. S’ils sont partie prenante de cette curée, faites leur perdre le plus de temps possible, à eux comme aux contrôleurs des impôts. Notez que dans ce cas, ils sont tellement bêtes et endoctrinés, qu’ils s’acharnent souvent pour des sommes dérisoires, et que leur travail coûte à l’état beaucoup plus qu’il ne rapporte. Tant mieux.

Si votre environnement socialiste vous pousse à vous désocialiser, sachez que vous n’avez besoin de rien ou de pas grand-chose pour vivre. Si vous possédez votre maison d’habitation, et que vous l’habitez, elle est protégée dans une certaine mesure si le juge estime que les sommes à recouvrer sont disproportionnées par rapport au montant de la dire maison. Mais le mieux étant encore de vivre dans un logement social aux frais de l’état, et de le choisir dans une toute petite ville de province tranquille pour ne pas avoir à subir les résultats du socialisme, ou même de le choisir dans un village, avant que ces logements ne soient définitivement investis par tous ces migrants que nos idéologues de Paris ont décidé de nous refourguer.

Vous avez aussi la possibilité de vous payer un terrain et de vivre sur ce terrain en vous construisant votre propre habitat. Il existe beaucoup de solutions pratiques et pas chères en se renseignant bien (il faudra alors fréquenter des gauchistes), en imposant votre présence là où l’on ne pourra rien faire pour vous déloger. Pour vous assurer un meilleur train de vie et pour vous protéger, videz vos comptes bancaires bien entendu, payez en liquide le plus possible, travaillez au n… si vous aimez l’argent, le fin du fin étant de bénéficier de l’appui d’une personne intégrée par qui transitera toutes vos opérations bancaires. Sachez toutefois que si vous résidez chez elle, les huissiers auront la possibilité de saisir ce qui lui appartient en arguant que cela vous appartient en fait. Et une personne intégrée ne comprendra pas forcément le sens de votre combat, ne voudra pas souffrir les affres qui sont les vôtres…

En matière de débancarisation, pour vous vexer ou vous mettre la pression, les services de l’état n’hésiteront pas à tenter de vider vos comptes en générant des frais bancaires parfois supérieurs aux sommes récupérées ou demandées, à organiser des ventes dans votre habitation qui ne rapporteront rien, ou à vous envoyer en prison pour la forme. C’est de bonne guerre. Il faudra plier comme le roseau, sans rien céder. Ils peuvent tout et selon les circonstances, sont prêts à tout. Vous devez devenir pire qu’eux. N’oubliez pas que vous avez la possibilité d’ouvrir des comptes à l’étranger de plus en plus facilement  depuis quelques temps, mais que vous avez l’obligation légale de déclarer ces comptes aux impôts sous peine d’amende. Je dirais pour l’occasion : pas vu, pas pris. Sachez en outre que nombre d’établissements bancaires à l’étranger doivent désormais vous dénoncer auprès des services fiscaux français si vous détenez un compte chez eux. La fenêtre de liberté s’est restreinte dernièrement. A vous de magouiller pour atteindre votre but. Combien ceux qui ont des attaches en Afrique ont de la chance… 

Au bout du bout de cette politique de terre brûlée, un Frédérik Limol a été contraint d’abattre 3 gendarmes. Voilà un homme qui n’a eu qu’un seul tort : se suicider. Pourquoi culpabiliser d’avoir tué ces représentants de l’état ? Certes, à titre personnel, ils étaient innocents. Mais combien de petites mains sont envoyées pour faire le sale boulot et collaborent avec zèle à cette politique de contrôle des hommes, sans se poser la moindre question. La prochaine fois, quand ceux-là viendront frapper à la porte d’un tel homme qui entend rester maître chez lui, ils y réfléchiront à deux fois dans la région, je vous le garantis. Peut-être se diront-ils aussi que les disputes de couple ne les regardent pas et qu’une femme devrait partir au lieu de se servir d’eux. Ou bien se diront-ils que les mesures politiciennes et démagogiques prises en haut lieu par des décérébrés socialistes ne méritent pas qu’on donne sa vie pour elles. Ou peut-être préféreront-ils continuer à servir d’inspecteurs aux impôts bis. Ce sera moins risqué. Tout comme ils ont renoncé à intervenir en banlieue parce que ça ne rapporte plus grand chose, même à l’administration.

En matière de politique de la terre brûlée, j’ai ici envie de m’adresser aux forces de l’ordre qui peuvent également y participer à leur manière : « vous êtes concernés par votre propre protection. J’ai d’ailleurs senti les prémices d’une telle compréhension de votre part. Continuez sur ce chemin. Même si vous ne pouvez pas désobéir aux ordres, arrêtez de soutenir une telle mécanique. Plus personne bientôt n’y croira. Et les derniers à y croire seront les dindons de la farce. Ne cautionnez plus les démarches suicidaires de nos différents responsables socialistes. « 

Quant aux indécrottables collabos de notre pays, à jamais perdants de l’histoire, quand ils auront mis des millions de gens à la rue, n’attendez pas qu’ils changent d’idée. Vous les entendrez dire : « nous avons fait le maximum pour que le système tienne. Nous avons joué notre rôle de fonctionnaires. », sans envisager leur responsabilité d’être humain. La notion de clause de conscience leur est étrangère, du fait qu’ils estiment l’électeur entièrement responsable des choix légaux pris en démocratie. Toutefois, cela n’empêchera ces mêmes socialistes, de mettre en oeuvre ou de justifier votre censure publique tout en clamant le plus haut et le plus fort possible que les « élections ont été libres ». Ils ont limité la diffusion de ce site par de nombreux moyens. Ils ont empêché la libre expression d’un François Fillon ou même, du président des USA. Ils ont fermé des millions de comptes sur les réseaux sociaux. Au capitole, ils ont abattu de sang froid une manifestante pacifique pour provoquer des émeutes. C’est vous dire ce qu’ils entendent par « élections libres et démocratiques  » et « lois légitimes »… 

Voilà pourquoi seule la politique de la terre brûlée me semble viable. Laissez le système s’épuiser en attendant l’hiver. Vous n’avez pas les moyens de vous battre contre lui. Reculez quand il avance. Le plus doucement possible. Participez à l’épuiser autant que possible, à lui coûter le plus cher possible en renonçant à votre confort de brave citoyen paisible, jusqu’à ce que la bérézina arrive. Car oui, il y a tout de même un horizon à ce combat et qui n’est plus si lointain que cela apparemment : le moment du grand reset où tout va se jouer, où nous allons devoir prendre conscience de nos lâchetés et de nos erreurs, où de nouveaux choix seront possibles.

Certes, l’impréparation, notamment idéologique, est totale dans le camp dissident. Une grande majorité des contestataires compte encore sur le grand papa état qui n’aurait pas joué son rôle tel qu’il aurait dû le jouer et qui le jouera à l’avenir grâce à eux. Pauvres enfants moribonds. Confinés dans une idéalisation mimétique d’avec le socialisme. Cependant, à force d’échecs répétés, la France va-t-elle peut-être avancer sur le chemin de la prise du conscience du réel, de l’impéritie intrinsèque de l’état, du socialisme ravageur et propagateur de misère, de la jalousie néfaste aux rapports sociaux, de l’importance de croire en Dieu, Père Fils et Saint Esprit. Et de miser sur notre responsabilité individuelle. En tout cas, l’occasion va se présenter de nouveau à nous, comme en 1945, comme en 1870, comme en 1789. Ce sera la seule fois où nous aurons l’occasion dans notre vie d’agir un peu mieux que nos aînés. Par la suite, nous serons reclus à palabrer sur internet. Que Dieu nous inspire en ces instants cruciaux.

 

 

Léonidas Durandal

Antiféministe français, j'étudie les rapports hommes femmes à travers l'actualité et l'histoire de notre civilisation.

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Léonidas Durandal

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